5/10
Cloud atlas n’est pas un film « conforme », donc je vais plutôt jeter un peut tout mon avis (hautement subjectif, vue la teneur du film, il ne peut en être autrement) a l’arrache comme ça sans trop de construction, tout comme le film, donc voila liste de course de cloud atlas :
- 6 histoire a chaque fois des destin, époque , limite dimension , différente , la moitié dont j’avais rien a foutre poliment mais « bien fait » ( dont 1 qui ma exaspérer a outrance ) , 2 vraiment très bien ( un génial et un excellent ) , bref la moyenne pour moi , peut vraiment pas plus même si le film reste un petit puzzle sympa a y repenser , mais pas moins car oui l’ambition , l’audace et la gueule du truc joue bien faveur du film .
- clairement les 100 millions de budget on les voit bien pas de problème la dessus (a part 1 segment, toujours le même ! )
le segment « neo-seoul » j’ai détester, encore pis que speed racer , je mettrai 0/10 a celui la . pfff doona bae je pouvais plus supporter sa tronche d’autiste a fait passer ryan gosling pour marlon brando .
C’est cheap a en crever , le coter voulue façon manga , au secours quoi , le seul segment ou la prod design manquait cruellement de moyen et de goût ( putain l’espèce de fast food ou toute ces chinoise bosse c’est high level concept )
Sans surprise l’idée de reprendre les même acteurs mais avec des faux nez et des perruque c’est un peu con , mais pour la plupart du temps c’est fait avec soin , sauf dans le futur a seoul , la c’est juste pas possible tout ces acteurs avec des yeux brides , impossible de prendre ce moment au sérieux , on sombre dans la nanars ridicule et pis l’interrogatoire de cette nana c’est une des épreuve les plus durs que j’ai endurer dans ma vie de cinéphile et de manière générale cette histoire fait sous matrix du pauvre . le recall de wiseman c’est blade runner a coter
A part ce passage, tout le reste du film jouit d’une photographie sensationnel, les paysages très picturaux sont cadrer de manière classique , sobre et très élégante , cherchant toujour l’angle « épique » , john toll est un artisans du cinéma qui comprend le mieux l’héritage de l’age d’or et c’est une excellente idee que les wacho l’est choisit pour rendre un film un peu plus poser et « beau » que leur folie visuel habituel .
Le segment en 1849 sur le bateau qui traverse le pacifique, la c’est du 8/10 pour moi, sturgess y est excellent et visuellement ça arrache, dommage que j’ai l’impression qu’on en voit pas autant que les autres passages (impression peut être due au faite que j’attendais a chaque fois de revenir sur ce segment ) et le traitement de le vie a bord , des blacks est vraiment tres fin .
J’ai aussi beaucoup aimé le segment post-apo sur l’île qui mêle tribu guerrière et civilisation futuriste.
Hanks est crédible et sont perso, plus humble le rend attachant, pareil pour sa relation avec berry qui fonctionne malgré le décalage
Le cadre y est encore une fois a tomber, ça fourmille de détail et weaving et grant sont ici charismatique j’ai beaucoup aimer cette menace barbare a la limite du surnaturel, une île pleine de mythe , du 7.5 pour moi ici et j’aurai aimer voir un film tout entier dans cette univers ( ouai y a quelque sfx grossier , rien de bien grave )
Que dire d’autre, que forcement on saute tellement du coq a l’âne et souvent en plein développement d’intrigue (je trouve que le Montage cherche trop a ménager les direction des destin pour jouer la carter du grand dénouement ou tout ce lie ), et vue mon manque d’intérêt pour de nombreux segment
J’avais souvent envie d’accélérer , parc que bon en plus on se tape une histoire de PD entre ben whishaw et james d’arcy qui sont la crème de la tafiolle au charisme de crevette . Et pis les actions qui se relie c’est poussif pour la plupart quand même, bref c’est le matériel de base qui veut ça , mais trop épisodique tue l’osmose , un comble pour un film qui cherche une universalites . La réalisation rend les transition fluide a l’écran visuellement mais narrativement ce qui fonctionnait sur papier ne l’est pas toujours à l’écran , résultat ça fait un gros truc boursoufler qui laisse pas le temp de respirer .
L’intrigue dans les 70’s est sympa surtout grave a keith david et berry qui est bonne tout le film , le seul passage avec le post apo ou weaving est bon et pas insupportable , car sinon il ne cesse de s’auto parodier avec sa diction et ces dent serrer on dirait qu’il va dire : Mister anderson !! a chaque réplique .
Le passage contemporain avec hanks en gangster british ( etonament credible ! ) et broadbent est juste fade et plat .
Bon ce qui est bien c’est qu’on sent et voit que les wacho et twyker on fait exactement ce qu’ils voulait , sans concession , mais bon c’est quand même au risque de perdre de nombreux spectateur car même si le récit est bordelique dans sont entrelacement , c’est pas vraiment si complexe que ça donc bon les excuse du « ceux qui on pas aimer c’est qu’ils ont pas compris » ne tiennent pas ici , c’est vraiment un film trop « autre » et presque égoïste de la part des real ( de toute évidence le film est très personnel et sincère , mais s’en bat les couille du spectateur ) qui on fait au mieux de ce qu’ils envisionait et ce , même si certaine idée bancal et foutraque reste.
cloud atlas c'est quoi ? la version epique de southland tale