[Milkshake] Mes critiques en 2012

[Milkshake]

Pas lu le bouqin que je ne juge pas mais au vu comment Jackson le présente ici oui ça ressemble à une pâle ébauche du SDA car les endroits, lieux, races, personnages sont là mais sans enjeux, sans émotion, sans réplique ou scène marquante.

Bref tout les élement d'un bon récit sont absent et Jackson qui étire tout ça au maximum ça n'aide vraiment à rentrer dans l'aventure là en 3h on a l'impression que ça a à peine commencé. Le même sentiment que Heatmann, pour une fois il faut le souligner

Donc la sensation d'un gros foutage de gueule.

[Dunandan]

Oui malgré mon côté fan-boy du SDA j'ai un peu peur de me le faire (surtout qu'en termes de rythme et de fun le bouquin n'en manque pas, et puis c'est du fantasy merveilleux, pas de l'héroïc fantasy ou de la fantasy épique, j'espère que P. Jackson a saisi la différence )

[Milkshake]

Pour le coup il aurait mieux valu que Del Toro realise on serait resté à 2 films et on aurait été moins gave de CGI à toutes les sauces. Quoique au vu de son dernier trailer il a l'air d'avoir mis la dose aussi.

La Jackson est passé en mode automatique, l'envie de cinema se ressent plus du tout à l'écran. A trop se concentrer sur des techno gadget on en oubli l'essentiel. Une bonne histoire, des acteurs impliqué, du rythme ...

[Milkshake]

Cogan d'Andrew Dominik : 4/10

Je savais qu'il fallait que j'évite ce film ça sentait le roussi et là Dominik tombe de haut à mes yeux.

Non mais où va le monde si même Dominik commence à faire des films creux et vain.

Là il manque clairement 1h de plus pour que ça deviennent intéressant, toujours se méfier des films qui peine à depasser 1h30 pour faire croire au format cinéma car là ça brasse du vide tout le long avec des dialogues à rallonge inutile qui font plus Tarantino du pauvre avec un sous texte étallé au marteau piqueur pour les 2 sourd au fond de la salle, Dominik magne aussi bien le tact en parlant de politique que Spike Lee lorsqu'il s'occupe de son sujet favori.

Même en terme de réal on sort bredouille, il y a 2/3 effets de style surappuyé tape à l'oeil excepté ça on a droit à quelques scènes de tension efficace avec lumière obscure qui font plus sous James Gray non inspiré qu'autre chose mais ou est passée le réal du coup point Chopper et du sublime Jesse James ??? Plus de Deakins pour enrober son cinéma, plus de sujet fort à traiter, de personnages hors du commun.

Là est la question, on dirait qu'il a reformé son duo avec Pitt car les deux n'avait strictement rien de mieux à shooter sous la main, un film plus bouche trou qu'autre chose. C'est la grosse sensation que laisse le film après être pris de surprise par sa coupure net, alors que l'histoire vient à peine de demarrer et promettait de s'envenimer. Rien du tout, on a plus l'impression d'avoir vu un pilot de série qu'un véritable film.

La bonne chose c'est que l'on a envie d'en voir plus, on prend plaisir à voir tous ces acteurs dans leur rôle et se lancer la balle même si Gandolfini un tel acteur aurait clairement mérité mieux, il y a clairement de gros morceaux de bobine resté au montage (ou alors c'est simplement mal écrit) car certains passages ne mêne nulle part, on sent les sous intrigues coupé au montage. D'ailleurs le placement de musique autant que ces discours politiques m'ont semblé totalement vain, pour faire croire à un film cool qui a du fond.

Au final on a plus l'impression de voir le prémice d'un bon polar raté en se travetissant par trois couche de maquillage en un objet cool et profond comme le perso de Pitt, quitte à parasiter son histoire, ses personnages. Un peu plus de simplicité et de franchise parfois ça fait pas de mal. Là ça fait film de petit malin pas maitrisé.

Pourtant le discour cynique à la base me plait bien, mais le constat d'une politique façade pret à tout pour empocher votre vote est juste fait avec des moufles et il y avait un potentiel dans cette vision des gangster en pleine crise mais ça se resume aux deux idée du film prendre des billet en classe eco et revoir son salaire de tueur à la baisse. Au final on en sort comme Brad avec la sensation de s'être fait arnaqué.

[Heatmann]

t'est on fire en ce moment , ca fait plaisir de te voir demonter pour une fois de tel merde qui le merite

gando avec sa pute dans sa chambre d hotel ou gando qui boit des biere et cocktail avec pitt , c'est du cinema qui s ecoute debiter ces dialogue faussement cool mais vide , et qui se regarde filmer car il raconte rien et prend le spectateur pour un gogo en faisant croire que enfaite c'est un film de malin qui a des chose a dire ( cf , tout les sourlignage et la fin , oh my god quoi )

[Milkshake]

On va commencer à croire que je deviens aigri, Scalp va être jaloux.

Non mais la The Hobbit et Cogan même combat. Des film monté sur du vent, rien à raconté, aucune histoire, aucun personnages.

Le genre de film qui mérite sincerement d'être démonté. Bien qu'ici le film soit pas fait pour le pognon comme The Hobbit, juste pour passer le temps pour Pitt et Dominik histoire de pas attendre 10 ans avant de pouvoir faire un film qu'il a vraiment envie de faire.

Quand Brad Pitt commence enfin à se lacher qu'on pense que le film va enfin commencer, CUT. Frustrant au possible.

[Val]

Ta critique peut largement être référencée pour le coup.

[Scalp]

Le clan des aigris va devenir majoritaire

[Heatmann]

Cogan , sucer sur le simple nom de sont real et un trailer mensonger , a prix bien cher au final , ca rassure un peu et fait plaisir meme si certain ireductible resistent encore et tente de lui trouver des bon pts

[Scalp]

Quand vous en parlez on dirait que vous parlez de The American.

[Heatmann]

ah ouai pas faux tient , c'est un peu la version goodfellas de the american

[francesco34]

t'est on fire en ce moment , ca fait plaisir de te voir demonter pour une fois de tel merde qui le merite

Tu lui as mis plus de la moyenne quand même à ce Cogan

Bien qu'ici le film soit pas fait pour le pognon comme The Hobbit

On en revient toujours au même point, m'enfin ça s'appelle pas l'industrie du cinéma pour rien, c'est un business... Personnellement je trouve que certains films à petits budget qui surfent sur une certaine mode actuelle (style paranormal activity) sont faits dans un esprit 100 fois plus mercantile que The Hobbit...

Mais bon, je trouve dommage de voir en PJ et sa team que des gens avides de pognon qui se foutent de ce qu'ils font, alors qu'ils ont bossé des années sur un projet, et que PJ a finit par endosser le rôle du réalisateur pour ne pas voir mourir le bébé...
Moi je trouve qu'on se méprend sur PJ, je pense que c'est un type très (trop) généreux et enthousiaste, et que c'est ça qui le pousse à en faire plus (plus long, plus de films, etc...) dans une idée de donner plus de spectacle au public. Il se plante peut-être selon les points de vue à trop en faire, mais le taxer de Lucasisme je suis pas vraiment d'accord, je crois pas que ce soit cet état d'esprit qui l'anime et le pousse à faire ces films là...

[Heatmann]

t'est on fire en ce moment , ca fait plaisir de te voir demonter pour une fois de tel merde qui le merite

Tu lui as mis plus de la moyenne quand même à ce Cogan

...

ouai j'ai mit 5.5 en sortant du cinoche sous l'influence de gando , liotta et un coup de shotgun bien sentie , et la maintenant ca tombe a 4 quoi , phenomene tres courant .
Pis c'est pas comme Ghost rider qu'on savait tous que ce serait une merde , la je suis content que le film soit rater et que tout le monde s'en rendent compte , jme delecte a chier dessus

[Milkshake]

Cloud Atlas des Wacho et Tom Tykwer : 6/10

En voilà un film singulier et ambitieux, dont l'existence est proche du miracle en ces temps cinématographique, rien que pour l'odace narrative, la finition visuelle d'un trio de réal en forme, Cloud Atlas est un film à voir bien qu'il y ait de nombreuses choses qui ne fonctionnent pas à l'écran.

Un film qui narre 6 histoires en simultanée pose forcement des problèmes et limites narrative même étalé sur 3 heures, le montage est à la fois ingénieux lorsqu'il superpose ses fils rouges avec une voix off pour accelerer le récit mais bien frustrant lorsqu'il enchaîne les mini-climax multiplié par 6 toutes les 20 minutes, passant d'un moment crucial à un autre. Coupant au meilleur moment. Cela donne un rythme effréne au film, on ne voit pas le temps passé mais laisse la sensation d'avoir des ébauches de film collé les uns aux autres, des mini-bout de pellicule qui se veulent épique et tragique par moment cela fonctionne d'autre non surtout aucune histoire a le temps de trouver le souffle necessaire.

Cloud Atlas doit supporté les défauts inhérant au film choral avec forcement des storylines et personnages plus captivant que d'autres, avec des surprises le passage futurisque fonctionne du tonerre, les aventures du pianiste sont touchante, le thriller 70's captive par moment comme celui du mini master & commander, par contre l'histoire présente d'un publisher semble totalement hors propos, d'une banalité en terme de réal, et celle qui mélange civilisation de pierre/futuriste tombe totalement à plat offrant des moments comique de manière involontaire.

En pleine envolé, Lana a du pousser la plus mauvaise idée du film : faire jouer les même acteurs dans chaque segment. On sort constamment du film à regarder ces acteurs se grimer, se travestir pour changer d'age, de sexe et d'ethnie, Tom hanks et Hugo weaning en tête qui cabotine joyeusement quitte à ridiculiser leur segment, mais certain s'en sorte parfaitement comme Jim Sturgess et Ben Whishaw.

Un véritable Ovni qui à défaut d'être coherent même en essayant de créer des liens un peu factice entre ces 6 histoires, ces thèmes, ces personnages, offre de véritable moment de cinéma quitte à en faire trop ou pas assez.

[Heatmann]

rho mais comment t'abuse de mater la sale copie Rip qui traine la par contre ... genre t'avais rien d autre en stock a mater