[oso] Mes critiques en 2012

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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Jeu 06 Déc 2012, 09:07

Ue, j'pense pas le revoir celui-là, ou alors pas de sitôt ^^ C'est dommage, il aurait pu bien cartonner mais en l'état, malgré ses 1h20, il est quelque peu poussif :|

Cela dit, pour 1€50 à Noz, ça valait le coup de le découvrir 8)
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Insider (2012) (The) - 6/10

Messagepar osorojo » Jeu 06 Déc 2012, 21:36

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THE INSIDER
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Dante Lam (2010) | 6/10


Un petit polar idéal pour un bon moment sans prise de tête. Dante Lam, en habile faiseur d'image, pare son film d'une photographie super soignée, mise en valeur par des petits effets, certes parfois un peu m'as-tu vu, mais en général plutôt léchés qui donnent au film ce petit trait caractéristique des bobines HKs bien énervées. Résultat, on se laisse happer par la belle image et les quelques séquences bien pêchues que propose The insider pour une petite séance assez tonique des plus agréable, même si on en aurait aimé un peu plus.

En effet, Dante Lam prend parfois un peu trop son temps et se révèle quelque peu avare niveau action. Si l'on a quand même pour se rassasier quelques scènes de gunfight bien sèches ainsi qu'une petite course poursuite sinon dantesque, au moins agréable, le reste du film a un peu trop tendance à se perdre dans un script qui se veut trop compliqué sans jamais vraiment trouver d'aboutissement. Ainsi certains personnages sont alourdis par des trames narratives qui ne servent pas l'histoire en plus de tomber dans un pathos dégoulinant. Toute la partie concernant la femme de notre flic héro est par exemple assez atroce et se finit dans un excès de drame qui fait rire jaune au lieu d'émouvoir. Heureusement, le personnage de l'indic infiltré est un peu plus sympa, mais bon, c'est quand même un peu faible, à l'image de cette romance avec sa collègue de casse qu'on voit venir à 100 bornes et qui ne convainc jamais vraiment.

Du coup, le film ne décolle jamais, et la fin n'a pas l'effet escompté. J'étais pour ma part assez froid devant le dénouement, qui aurait pourtant du m'attendrir un peu. The insider est un petit film sympathique, qui délivre son quota d'images bien pêchues, mais il ne faut pas en attendre non plus une grosse dose, le minimum syndical est juste présent pour faire supporter des à côtés racoleurs un peu maladroits.
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Jeu 06 Déc 2012, 21:43

Putain, j'étais sur mon Ipod et j'ai vu The Insider 6/10 pensant que c'était le Mann. J'étais prêt à te sauter à la gorge!!! :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Jeu 06 Déc 2012, 22:32

Et bien dis donc, merci hein, tant de violence envers ma personne, j'en suis tout retourné :eheh:

Cela étant dit, je l'ai pas encore vu ce Mann, on est ptet pas à l'abri d'un futur 6 :mrgreen:
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Mise à prix - 8/10

Messagepar osorojo » Dim 09 Déc 2012, 15:35

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MISE A PRIX
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Joe Carnahan (2010) | 8/10


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Si t'aimes les bobines burnées où les impacts de balle font vraiment mal, où les personnages sont tous aussi barrés les uns que les autres et surtout où la réalisation impeccable n'est pas juste un faire valoir mais un vrai moteur de l'intrigue, alors Mise à prix risque de te mettre une belle taloche de bonne humeur. C'est bien simple, on ne s'y ennuie pas une seule seconde et c'est avec grand plaisir qu'on voit Carnahan poser son script petit à petit en y insérant avec panache une galerie de personnages hors de notre monde. Tous complètement allumés, chacun dans son genre, de la féministe lesbienne à la langue bien pendue à l'assassin psychopathe au sang froid en passant par des nazis aux tendances homos complètement tarés, difficile de faire la fine bouche et ne pas y trouver son compte. Mise à prix, en bon film choral, donne une part égale à chaque allumé pour faire avancer tranquillement mais surement un script qui est tout sauf anecdotique. Et même si le final peut paraître un peu facile, le faux twist étant un peu tiré par les cheveux, force est de constater que Carnahan a doté son film d'une écriture soignée pour s'éviter de sombrer dans une démonstration technique reposant uniquement sur une ambiance générale très tordue dont le rôle n’est définitivement pas d’illustrer un défilé d'acteurs en roue libre.

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C'est ici tout le contraire, on sent que le réalisateur sait où il veut aller. Il délivre ainsi une bobine d'une efficacité redoutable, rudement inspirée dans sa mise en scène et très fluide dans sa narration. Du coup, on peut apprécier tout le savoir faire du cinéaste quand il met en scène ses gunfights : tous sont d'une percussion extrême, les impacts sonnent lourdement lorsque les acteurs sont touchés. La petite phase d'exécution à la Barrett M82A1 est bien jouissive, on sent bien les murs exploser et les victimes se faire dézinguer avec violence ! Mais plus que ces moments qui procurent au film une dynamique à toute épreuve, c'est également la fluidité avec laquelle le réalisateur fait danser sa caméra qui impressionne. Toute la partie finale dans l'Hôtel Casino est la démonstration d'un talent indéniable en termes de prise de vue. Chaque plan est finement pensé, les mouvements de caméra sont optimisés, on est dans l'action en permanence, les exécutions sont filmées sans cut excessifs.

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En ajoutant à cette belle maîtrise technique une direction d'acteurs au poil et un casting en béton armé, on obtient un vrai petit moment de plaisir non contenu. On pardonne ainsi aisément au film certaines digressions provoquées sans doute par la volonté de Carnahan de mettre sur écran un condensé de ce qui l'inspire, et qu'il aurait peut être fallu contenir un peu plus à certains moments. Je pense notamment à cette phase tournée dans un mobilhome où une grand mère range son vibromasseur pendant que son petit fils se fade d'un kata énervé qui lui procure une montée sanguine un peu malvenue :D
M'enfin, ne boudons pas notre plaisir, ayant lancé le film sans rien en attendre, j'ai passé un excellent moment devant cette symphonie arythmique d'images énervées qui déborde de bonne humeur et témoigne d'un tournage bon enfant (les bonus confirment, ça avait l'air d'être une folle ambiance de tournage ^^). Le second semble moins réussi, mais après un tel plaisir, il va passer à la casserole assez rapidement (le coquin).
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Suspiria - 9/10

Messagepar osorojo » Dim 09 Déc 2012, 22:44

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Poster par Michal Bialogrzywy

SUSPIRIA
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Dario Argento (1977) | 9/10


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Avec ce premier volet de sa trilogie des Enfers, Argento signe un film très marqué, fortement caractérisé par des tonalités graphiques vraiment osées. Si ces dernières ont, au moment de la sortie du film, provoqué des réactions passionnées au sein de la critique, certains iront jusqu'à qualifier le film comme étant de mauvais gout, elles sont pourtant à l'origine de la réputation dont jouit Suspiria, la raison première de cette source d'inspiration qu'est le film aujourd'hui chez bon nombre de réalisateurs contemporains.

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Si ces partis pris très marqués au niveau de la couleur ont tant fait parler, c'est parce qu'ils sont frontaux et jamais mitigés. Argento, en laissant une grande marge de manoeuvre à son chef op Luciano Tovoli, embrasse les choix de ce dernier d'injecter à l'image des contrastes de couleur on ne peut plus assumés. En plus d'être terriblement efficaces, ils transportent véritablement le film dans un monde onirique, presque surnaturel, qui colle parfaitement à cette histoire de sorcellerie ou magie noire côtoie épouvante. Des premières images jusqu'à un bouquet final où le pourpre, le vert et le bleu sont les chefs de fil d'un jeu dont la lumière dicte ses règles, ses créateurs se font un plaisir d'apposer sur chaque élément du cadre une couche de peinture fantastique. Suspiria ne cesse de surprendre un spectateur à la fois hypnotisé par l’atmosphère si palpable de cette école de danse comme sortie d'un autre monde mais perd également ce dernier entre rêve, réalité et monde de l'occulte, pour le plonger dans la même situation que la frêle Suzy Banner.

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Complètement impliqué dans le sort de cette dernière, il ne peut que se mettre à la place de ce personnage qui erre en eaux troubles et peine à comprendre cet environnement dans lequel elle est plongée presque contre sa volonté. Les personnages secondaires qui peupleront ce voyage initiatique dans lequel elle s'est embarquée seront sa seule aide pour parvenir au bout d'un chemin trouble et dangereux, des victimes qui tenteront de la mettre en garde aux psychiatres avisés qui la mettront sur le chemin de la très redoutée reine noire Helena Markos. Dès lors le film sombre totalement dans des jeux de sorcellerie qui, couplés avec cette ambiance hypnotique apportée par la photographie, finiront d’envoûter les plus septiques avant un final d'une intensité redoutable, aussi bref qu'intense. Qui ne se fera d'ailleurs pas surprendre par cet écran annonçant la fin de la séance, aussi imprévisible que soudain, et pourtant parfaitement senti. En un sourire sur les lèvres de Suzy, tout est plié, il n'y aura pas de faux retournement de situation, le film est limpide, du début jusqu'à la fin, il n'a jamais été question d'une histoire énigmatique et c'est tant mieux.

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On termine en effet Suspiria hypnotisé, mais surtout profondément charmé par ce boulot titanesque pour mettre en valeur le point central du film, cette ambiance si soignée. Argento impressionne et prouve avec cette bobine qu'il est homme à faire des compromis. Oser livrer un film d'épouvante si peu effrayant, car bercé à la fois par des ambiances sonores davantage mélancoliques qu'oppressantes et des images plus poétiques que bouleversantes, rien dans Suspiria, hormis peut être quelques personnages un peu antipathiques, ainsi que les quelques morts qui ponctuent l'intrigue, ne font finalement réellement peur. C'est à mon sens la raison pour laquelle certains aiment ou détestent instantanément le film. Là où les uns se sentiront lésés par une histoire sans mystère bien trop colorées pour eux, les autres seront quant à eux pris dans ce tourbillon d'inspiration et cette avalanche de créativité qui imprègne chaque parcelle de cette bobine au magnétisme évident. Je suis indéniablement de la seconde catégorie, plus que convaincu que Suspiria est, et restera, un film à part, marqué par ce génie pictural qui l'habite et en fait une oeuvre qui continuera à marquer les esprits.
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Logan » Dim 09 Déc 2012, 22:49

C'est vrai faut que je le vois celui la :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Dim 09 Déc 2012, 22:51

A mon avis, tu vas être plus mitigé que moi :mrgreen:
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Naked Weapon - 6,5/10

Messagepar osorojo » Lun 10 Déc 2012, 23:20

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NAKED WEAPON[/color]
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Ching Siu-tung (2002) | 6.5/10


Divertissement sympathique s'il est pris au 3000eme degré en ayant mis son exigence au placard. Naked Weapon est un film sans aucune tenue qui compte uniquement sur les parades des jolies héroïnes qu'il met en scène. Si le pitch est amusant, des jeunes filles prédisposées pour les arts martiaux sont enlevées quand elles ont une douzaine d'années pour rejoindre un camp d'entraînement qui va en faire des tueuses redoutables. On pouvait donc s'attendre à une petite phase de vengeance en seconde partie dans laquelle les kidnappées botteraient les fesses avec l'arme redoutable qu'ont forgé leurs bourreaux, à savoir leur corps affûtés et plutôt harmonieux.

Et bien que nenni. On se fait cruellement rouler dans la farine, surtout que le réalisateur nous fait des promesses de changement de ton vers un Rape and revenge lors d'une séquence viol complètement autre, complètement assumée dans sa grossièreté, entre humour Grolandesque et ralentis dramatiques bien caractéristiques du ciné HK. L'ensemble du film est d'ailleurs en cohérence avec cette scène. Tout est exagéré à outrance pour donner à ce naked weapon des allures de nanard très marquées.

Heureusement, si le script est un bordel monstre, Ching Siu-tung sait nous flatter la rétine. Il prend son plaisir en mettant en valeur le corps de ses actrices et pour ce faire les place dans des chorégraphies assez graphiques. Du coup, le quota de tatane sexy est rempli, on se laisse charmer par certaines séquences assez dynamiques, comme ce mini tournoi que se livrent les détenues dans une cage bien glauque. A noter également une photographie qui sait se montrer inspirée par moment. De nombreux passages qui font leur petit effet valent le coup d'oeil.

Au final, Naked weapon est forcément à réserver aux purs amateurs du genre et à ceux qui aiment se mettre en mode OFF devant des nanards rigolos. Parce qu'on rigole vraiment devant ce foutoir incontrôlé où tout part en cacahuète, où les scènes de romance d'une niaiserie sans nom côtoient les idées les plus trash (les corps des gamines tirés sur le sable). Et tout est tellement grossier et exagéré qu'il est impossible de se prendre au sérieux une seule seconde, et c'est tant mieux, on ne lance ce genre de film que pour passer un petit moment de détente sans prise de tête, et c'est réussi en l’occurrence avec ce sympathique girls with guns et plutôt chouette, formellement parlant.
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Mar 11 Déc 2012, 00:02

Bien trippant effectivement Smokin Aces. Tu peux zapper la suite par contre... Ces screens de malade encore une fois :bluespit: Faut que je me fasse Suspiria aussi.
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Mar 11 Déc 2012, 00:30

Erf, j'avais pas vu les deux critiques en base pour le 2, je le pensais dans la lignée du premier. Path' m'a bien calmé du coup. Il est vraiment si naze ? :(
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Jimmy Two Times » Mar 11 Déc 2012, 01:35

Pire que ça, je ne suis même pas aller au bout pour ma part...
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar francesco34 » Mar 11 Déc 2012, 08:58

Ca a l'air sympa ce Naked Weapon.
Par contre sur les 2 dvd listés sur Amazon y'a que la VF d'indiquée... Une erreur ou faut piocher ailleurs?

Sinon y'a un illuminé qui vend un blu-ray en import d'occasion... 188 euros :mrgreen: Y'en a vraiment qu'ont fumé la moquette...
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Mar 11 Déc 2012, 09:06

J'ai celui-ci et il y a VF, VA et VO ^^ Je l'ai eu dans ce coffret que j'ai acheté 3€ à Noz la semaine dernière. Si t'en as un près de chez toi, tu peux peut être l'y trouver ;)
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Mar 11 Déc 2012, 09:14

Je le kiffe grave ce Naked Weapon! :love:

Sinon bah à peu près d'accord pour les notes à Mise à prix et Surpiria. Par-contre le Dante Lam, comme je l'ai déjà dis, je met difficilement la moyenne.
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