[oso] Mes critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Mer 07 Nov 2012, 23:38

Moi aussi je suis resté sur ma faim pour à peu près les mêmes raisons que toi. Sinon si tu veux découvrir d'autres films du genre et de la même époque, Le cid c'est très bien aussi, dans un contexte médiéval celui-ci, si tu ne l'as pas déjà vu.

Possible que tu y trouves les mêmes qualités et défauts mais je trouve qu'il a plus d'ampleur :wink:
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Mer 07 Nov 2012, 23:55

Yep, Le Cid c'est prévu, je vais me le choper prochainement ^^
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Messagepar Dunandan » Jeu 08 Nov 2012, 00:09

Le Seigneur de guerre aussi :mrgreen: ? (d'ailleurs j'aimerais vraiment le chopper à un prix raisonnable, je me tâte ...)
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Jeu 08 Nov 2012, 00:12

aaaah , si le cid debarque ici , y a de forte chance pour que j'ouvre ma gueule :mrgreen: THE fresque quoi , ou le statut du heros est largement depasser aussi bien dans sont recit , ces actes , sa reputation et influence , que concretement et symboliquement a l'image .

War lord aussi c'est le tres haut du panier mais la on a moin le souffle aventurier , c'est deja plus une description de l'epoque moin "hollywoodien" et enivrante facon spectacle , mais le moyen age sombre et limite intimiste dans ces theme et psychologie .

sinon Oso , va taper dans le panoram adequate , la selection est au poil et y a de quoi faire dans les epoque et contexte different
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Jeu 08 Nov 2012, 14:22

Mouais nul la critique, on dirait du Milshake :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Jeu 08 Nov 2012, 16:08

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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Jeu 08 Nov 2012, 16:15

milk il avait essayer de faire un cycle vieux peplum et films aventure 50/60's , on a vue comment ca a terminer .... par contre blanche neige :love: ..

sinon oso jpense que tu a deja du le voir , mais met Jivago en tete de ta liste quand meme , il a peut de critique celui la ici .
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Gas-oil - 7,5/10

Messagepar osorojo » Jeu 08 Nov 2012, 23:22

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GAS-OIL
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Gilles Grangier (1955) | 7.5/10


Un bon petit polar oldschool à la française dont le principal atout se trouve être les relations humaines qui y sont dépeintes. Gas-oil met en avant cette fraternité à toute épreuve qui liait les hommes d'un même corps de métier et du même attachement au coin qu'ils habitent. Gabin y incarne un routier de la campagne, dont les valeurs sont celles de l'amitié et la bonne bouffe, qui se fait empoisonner la vie par un trio de malfrats parisiens (toujours les mêmes ! :D). Il pourra compter sur l'aide de ses collègues aux caractères entiers pour faire entendre raison aux énervés de la gâchette débarqués de la capitale.

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Gas-oil est vraiment passionnant dans son intrigue, car même si cette dernière n'est pas spécialement étonnante au niveau de son déroulement, elle paraît crédible parce qu'elle n'est pas exagérée. On est devant une tranche de vie authentique, irradiée d'une bonne humeur communicative. Toutes les scènes où ces messieurs sont attablés pour profiter de bons petits plats sont exquises et s'apprécient comme une bise fraîche en période de canicule parce qu'elles savent être simples.

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Gas-oil est aussi l'occasion de se régaler de truculents dialogues signés Audiard. Comme à son habitude, il inonde le film de punchline très fleuries qui filent la banane. C'est fou comme des dialogues fleuris permettent de mettre en valeur un film et ses acteurs. Il faut dire que Gabin les délivre avec une classe naturelle qui ne peut qu'inspirer chez le spectateur un sentiment de nostalgie. Ces bonnes vieilles trognes au charisme ravageur manquent cruellement au cinéma français, comme la plume d'Audiard d'ailleurs. Ces deux ingrédients suffisaient à eux seuls pour faire de Gas-oil un film qui inspire une sympathie immédiate chez quiconque est réceptif à son ambiance authentique quelque peu cynique.

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La réalisation de Grangier est efficace sans être tape à l'oeil, ni dans la démonstration technique. Le bonhomme soigne ses plans et emballe de jolies séquences, en milieux peu éclairés, au moyen d'un photographie précise. Il se plait également à faire découvrir ses acteurs via leurs reflets à travers des jeux de miroir inspirés qui font mouche. Gabin qui situe ses agresseurs par l'intermédiaire de son rétro, c'est chouette d'un point de vue graphique en plus de fonctionner pour rendre la scène plus immersive.

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Une vraie bouffée d'air frais et surtout un plaisir non retenu. Ce qui est assez surprenant avec ce genre de film, c'est qu'on sait qu'on n'est pas en face d'un chef d'oeuvre, le script est un peu trop léger pour cela, mais c'est proposé avec une telle envie de faire plaisir, une telle application, qu'on passe un excellent moment et qu'on a le sourire aux lèvres quand le mot FIN, dont la typo typique d'une époque révolue finit de nous charmer, apparaît au centre de l'écran.
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Skyfall - 7,5/10

Messagepar osorojo » Sam 10 Nov 2012, 12:13

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SKYFALL
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Sam Mendes (2012) | 7.5/10


Avant de m'engager dans cette critique quelque peu mitigée à propos de ce film qui squattera certainement de multiples top à la fin de l'année, je tiens à préciser que je n'ai jamais été fan de la saga James Bond et que si je n'avais pas lu toutes les review dithyrambiques à propos de ce dernier né des aventures du flingueur britannique en costard, je ne serai probablement pas allé voir Skyfall en salle. Et même si je n'ai pas été totalement convaincu par ce dernier, force est de constater qu'il sait divertir en plus d'être d'une beauté formelle à couper le souffle.

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Le gros point noir du film est à mon sens son script et sa tonalité, sans cesse changeante, tantôt novatrice, tantôt classique, comme s'il était impossible de totalement reconsidérer l'ambiance Bondienne sans bousculer les habitudes bien ancrées d'un public à ne pas décevoir. En résulte un semblant de révolution en terres britanniques sans cesse estompé dans ses élans de modernité. Si Mendes et Logan insufflent à leur histoire une noirceur qui fait plaisir en teintant le film d'un soupçon de réalisme qui faisait défaut à ses prédécesseurs, ils ne peuvent mettre de côté les aspects qui font partie de l'héritage un peu vieillissant de la saga. On se fade donc des personnages féminins sans intérêt qui marquent uniquement de leur présence un label d'appartenance au monde de Fleming et viennent alourdir le film avec des séquences aussi ridicules que celle d’un Bond concluant au deuxième rendez-vous, sans mot dire, nu comme un vert dans la salle de bain de sa conquête.

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L'autre souci de Skyfall concerne à mon sens la globalité des personnages. Non pas qu'ils soient loupés, la plupart sont même réussis et apportent au film de la fraîcheur, mais j'ai eu la cruelle impression qu'ils étaient bien trop soignées dans leur apparence physique, au détriment des dialogues censés les mettre en valeur. Le personnage de Q par exemple, est introduit de superbe façon, comme un pied de nez à son ancien lui et ses gadgets trop enfantins, mais complètement malmené par la suite par des répliques d'un niveau CE2. C'est d'autant plus dommage que l'idée de le rendre plus présent en tant qu'aide bondienne permet au film de varier les points de vue. Un petit mot également à propos du bad guy qui, à mon sens, est également en deux teintes. Terriblement bien présenté, lors d'un plan séquence qui fait mouche par son habile mise en scène, malheureusement très creux par la suite. Qu'on le décrive un peu plus subtile qu'à l'accoutumée, soit, mais ses motivations sont quand même dignes d'une nuance de télé réalité. Heureusement que Bardem le porte à bout de bras et parvient à lui insuffler un intérêt qu'il ne possède pas sur le papier.

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Bien évidemment, toutes ces réserves sont amplifiées par une réticence personnelle à la saga James Bond. Il convient néanmoins de nuancer ces quelques propos négatifs par ce qui fait la grande force de Skyfall, à savoir son esthétisme qui tient du génie. Quelle claque visuelle constante pendant 2h30. Chaque plan est une oeuvre d'art prête à être encadrée. La partie finale est un modèle de photographie, d'une inspiration sans limite, d'une précision exemplaire. Aucune réserve à ce niveau, juste une passion qui s'amplifie pour les belles images. Deakins connait son affaire, il avait déjà réussi à donner au Jarhead de Mendes une beauté formelle époustouflante. Il récidive puissance 12 dans Skyfall, chaque lieu est éclairé avec une finesse qui se ressent à l'écran. Que ce soit à Shangaï où il joue avec les reflets de cet immeuble en verre, dans cette salle de jeu généreusement éclairée à Macao ou au sein d'une nature préservée en Ecosse, chaque placement de caméra est une ode à la belle image. Skyfall est une symphonie visuelle avant tout autre chose, Mendes l'annonce d'entrée de jeu avec un générique d'ouverture qui restera à coup sur dans les archives comme étant l'un des plus inspirés de la décennie. Sensuellement accompagné par le thème suave d'Adèle, on se laisse porter sans broncher, comme hypnotisé par ce flot d'image maîtrisé, pour plus de 2h d'aventure.

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En ajoutant à ce génie pictural un sens de la narration qui permet de ne jamais ennuyer son spectateur, il faut bien reconnaître que Skyfall est terriblement bien gaulé et ne vole pas sa subite réputation d'outsider de l'année. Mendes et Logan ont su apporter au film ce qui manquait aux anciens Bond. Un peu plus d'ampleur, des scènes plus réalistes et bien intenses. Tout le final où le trio infernal revient à ses bases premières pour miner le terrain de pièges bien old school, avant de sortir les canons sciés pour faire parler les vieilles bastos, est un vrai plaisir de vieux briscard habitué aux films qui font parler la poudre et un bras d'honneur apprécié aux excentricités qui avaient construit la saga. On aurait d'ailleurs aimé un peu plus de tenue sur la durée, pour le moment on sent que les envolées hors limites bondiennes sont encore timides et entachées d'un héritage qu'il est difficile de laisser sur le bas côté. Difficile également d'être pleinement convaincu par un film qui flingue l'une de ses plus belles réussites par une écriture ridicule. Le coup des deux vieillards qui font une petite randonnée échappatoire à la lampe torche histoire de les rendre aussi localisables qu'une requête googlemap, c'est complètement absurde et ça flingue la séquence, qui est un pourtant un modèle dans son ensemble.

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Reste tout de même un film solide qui a pour lui de belles qualités à même de faire comprendre l'engouement des amoureux de la saga pour ce qui est sans aucun doute son aboutissement le plus total. En tout cas sa plus belle réussite. Si l'on peut espérer un maintient de ce cap vers moins de supercherie, davantage de réalisme, ainsi qu'un affranchissement à ces codes poussifs qui ont fait, en leur temps, le charme d'une série qui était en train de s’épuiser, on peut espérer des futurs James Bond encore plus réussis.
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Forteresse cachée (La) - 8,5/10

Messagepar osorojo » Sam 10 Nov 2012, 22:43

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LA FORTERESSE CACHÉE
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Akira Kurosawa (2012) | 8.5/10


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De l'aveu de Kurosawa, la forteresse cachée est un film qui se voulait grand public en vue de financer ses futurs projets ; l’homme signe alors un film ludique, jamais alambiqué, dont les enjeux, facilement mesurables, rendent l'histoire accessible et très divertissante. En adoptant le point de vue de deux paysans maladroits, qui se partagent les valeurs communes de la cupidité et la débrouillardise, Kurosawa marque son film d'une empreinte comique qui ne le quittera jamais. Les sourires s'imposent entre deux séquences plus sérieuses grâce aux bouffonneries inspirées de ses deux trublions, bien déterminés à remplir leurs poches d’un peu d’or fin pour assurer leurs vieux jours.

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Mais résumer la forteresse cachée à un film d'aventure comique grand public ne serait pas lui rendre justice ; il porte en lui bien plus que cela. Cette fresque épique envoutante contient en effet tout le génie de son auteur en matière de mise en scène et de composition graphique. Ce dernier s’arme, pour la première fois de sa carrière, du cinémascope, pour composer un festival de belles images, dans lesquelles il met en valeur, avec beaucoup de maîtrise, toutes les séquences marquantes de son récit. Que ce soit lors d'un duel millimétré où deux samouraïs rompus au maniement de la lance se répondent férocement ou bien lors d'une chevauchée furtives où les coups de sabre se font à dos de monture, Kurosawa impose son style et son sens du découpage. Ce dernier, millimétré, ne laisse aucune place à l'improvisation ; l'efficacité est au rendez-vous pour permettre aux images d'arborer cet impact réel qu'elles conservent encore aujourd'hui, plus de cinquante ans après avoir été réalisées.

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Toute cette finesse d'exécution est au service d'une intrigue qui ne se perd jamais en pistes poussives et malvenues. Le seul fil rouge qui tient le film est la fuite d'un groupe d'individus dont chaque membre se fait minutieusement analyser par un cinéaste soucieux de leur caractérisation. Chaque personnage possède sa particularité et permet au groupe d'avancer vers un objectif commun, plus ou moins volontairement. Si certains, poussés par une soif de richesse, s’évertuent à rester avec leurs compagnons de galère, les autres usent au contraire de leur charisme pour manipuler les plus faibles. Tout ce petit monde navigue en eaux troubles sans se rendre vraiment compte des conséquences de leurs agissements.
Les acteurs qui font vivre cette joyeuse bande s’investissent tous à corps perdu dans leur rôle, proposant une partition sans fausse note. Toshiro Mifune brûle l'écran de son charisme implacable, et même lorsqu’il tempère ses rugissements agressifs, il capte l'objectif de sa simple présence d'une façon quasi magnétique. La belle idée du film, c'est de lui associer, avec audace, un autre personnage au fort tempérament, qui trouve en la personne de cette princesse qu'il escorte le répondant nécessaire. Véritable résonance au féminin de son protecteur, elle apporte à l'intrigue une nuance bienvenue et surtout une pointe d'humanisme à un récit généreusement critique de la nature humaine.
Pour ne rien gâcher, tous les seconds rôles sont également au diapason.

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Cette part belle faite aux personnages rend le film passionnant et permet à l'ennui de ne jamais se faire ressentir. Un petit manque d'inspiration se fait sentir dans la conclusion des hostilités, mais cette dernière prend finalement place dans le même état d'esprit que celui qui a ouvert l'aventure. La forteresse cachée commence par une dispute entre deux compères aux bouilles sympathiques, elle se finit sur la même note, quelques onces d'or en plus, les yeux d’un spectateur amusé scintillant de respect.
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 10 Nov 2012, 23:17

Belle critique, et content que tu aies bien apprécié ce film. Puis tes captures :love:

Voilà tu peux enchaîner avec "Le château de l'araignée" (ou "Sanjuro" si tu veux rester dans le même délire/ton) :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Sam 10 Nov 2012, 23:33

Déjà vu le chateau de l'araignée qui m'avait un peu laissé froid malgré une plastique de haut niveau. Sanjuro, il me semble que je ne l'ai pas sous le coude ! Par contre, j'ai 2 autres Kuro à me mater, Entre le ciel et l'enfer dont le pitch me cause bien et Barberousse dans lequel je pourrai retrouver Mifune :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 10 Nov 2012, 23:43

Ah oui j'avais oublié que tu l'avais vu. En fait c'est dans "lesquels" vu que Mifune joue dans les deux :mrgreen:.

Je pense que tu vas rentrer sans problème dans Entre le ciel et l'enfer, j'ai beaucoup aimé en tous cas, puis il y a le bonus Nakadai. Barberousse est aussi sur ma liste, mais je vais devoir attendre d'avoir un créneau important vu qu'il dure environ 3h00.
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar osorojo » Sam 10 Nov 2012, 23:54

Je me suis fait la réflexion sur le coup à propos de Mifune, mais j'ai pas pris la peine de checker ^^

C'est clair qu'ils sont chauds à caser les films du père Kuro avec leur plus de 2 plombes à chaque coup :mrgreen: Dans le genre long pas fastoche à caser, j'en ai un qui me fait de l'oeil aussi, de Gosha, L'ombre du loup (2h30). J'en calerai un demain je pense, j'ai pas encore décidé duquel ^^
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Re: [oso] Mes critiques en 2012

Messagepar Jed Trigado » Dim 11 Nov 2012, 00:20

Barberousse c'est un des meilleurs Kurosawa ! Faut vraiment foncer dessus ! :super:
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