*Panorama* Le Cinéma Coréen

[Scalp]

Bein la réalisation elle a rien de choquante, c'est carré et efficace, c'est pas virtuose mais ça met jamais mal au crane.

[Mark Chopper]

Un indispensable en comédie :

[Alegas]

A rajouter aussi vu la présence de My Way :

[Scalp]

Un indispensable en comédie :

Suite à tes notes pour Baby Cart, toutes tes demandes sont refusés pour 1 mois.

[Alegas]

L'affiche de Crying Fist n'apparaît plus :



et celle là aussi :

[Scalp]

Merci, c'est bon.

[Mark Chopper]

Memento Mori qui restait invisible, ce n'était pas grave.

Concernant la réflexion sur Baby Cart : dis-toi que j'en ai encore 4 en stock

[pabelbaba]

Suite à tes notes pour Baby Cart, toutes tes demandes sont refusés pour 1 mois.

[Alegas]

Petit post résumé du Festival Coréen à Paris, il me reste encore 2 jours et 3 films à voir (dont The Thieves même si tout dépendra du nombre de places dispo).

Stateless Things : Bien naze. C'est la première fois que je vois du pur ciné d'auteur coréen et ça donne l'impression de voir Bruno Dumont qui tourne sur un scénar de Van Sant. Montage incompréhensible, scènes de cul homos gratuites et étirées sur plus de 10 minutes en plan-séquence, changement de mise en scène WTF, bref c'est à éviter. 1/10

War of the Arrows : Super sympa, pour le moment la grosse surprise du festival même si le film est sorti l'année dernière en Corée. Du survival pur jus qui doit beaucoup à son sujet central (les archers) et qui est super bien mis en valeur. On a vraiment l'impression de voir un film d'époque tourné comme un film de sniper. Seul bémol, la shaky un peu trop présente même si ça reste convenablement lisible. 7,5/10

Taste of Money : Déjà posté mon avis sur le topic du film mais en gros ça a les mêmes qualités et défauts que The Housemaid. Première partie convaincante mais seconde qui fait déchanter rapidement. 5/10

Et deux films que je proposerais bien à rajouter :

Helpless : Un mec perd sa fiancée sur une aire d'autoroute et au fur et à mesure de son enquête (les flics ne faisant rien, comme d'habitude en Corée) lui découvre un passé pour le moins étrange. C'est pas un film totalement mémorable, la faute à un final trop facile et à un manque de rythme évident, mais en l'état, en tant que film d'enquête pur, ça se tient plutôt bien. L'acteur principal est excellent. 6/10



Two Doors : Documentaire choc sur une tragédie ultra-connue en Corée qui a vu une manifestation se transformer en incendie dans un immeuble avec intervention du SWAT à l'appui. La reconstitution est prenante, les questions posées intéressantes (même si ça reste un peu trop didactique), et puis le film permet réellement de montrer à la face du monde que le pays a réellement des gros problèmes sociaux et politiques (genre on apprend que tout le monde à la Cour Suprême est corrompue par le gouvernement). 6,5/10

[Mark Chopper]

Stateless Things : Bien naze. C'est la première fois que je vois du pur ciné d'auteur coréen et ça donne l'impression de voir Bruno Dumont qui tourne sur un scénar de Van Sant. Montage incompréhensible, scènes de cul homos gratuites et étirées sur plus de 10 minutes en plan-séquence, changement de mise en scène WTF, bref c'est à éviter. 1/10

Ses courts-métrages ont l'air aussi collector.

[Alegas]

Le pire c'est que j'ai entendu des discussions de spectateurs qui élèvent le mec au rang de très grand cinéaste. Franchement, ça me dépasse.

[Alegas]

Silenced : La deuxième grosse surprise du festival. Petit film tiré d'une histoire vraie, celui d'un prof pour enfants sourds-muets venant de Séoul qui va se retrouver dans un village de campagne afin d'enseigner dans un institut, avant de se rendre compte qu'une bonne partie des résidents trempe dans une histoire de pédophilie. Un film qui a eu un gros succès l'année dernière et qui a permis la réouverture d'un procès et de tout un débat sur les sentences de viols en Corée. Pas un grand film, la faute à l'utilisation de gros sabots sur l'émotion, mais c'est difficilement reprochable tant c'est véritablement un film fait pour chambouler les mentalités. 7,5/10



Nameless Gangster : Un poil déçu, ça partait pourtant très bien avec une fresque humaine sur deux amis qui deviendront petit à petit les maîtres du crime organisé à Séoul dans les années 80. Ça reprend beaucoup au cinéma de Scorsese et notamment à Casino (on pense souvent à la relation De Niro/Pesci) mais malgré l'histoire super intéressante, le rythme est vraiment inégal. Néanmoins, un film qui arrive à être vraiment très drôle et superbement interprété (en même temps avec Choi Min-sik et le serial-killer de The Chaser, c'était difficile de faire le contraire). 6/10

[Mark Chopper]

Ces deux-là, je les ai en stock.

Tu vas voir The Thieves ?

[Alegas]

Je vais tenter mais pas sur que je réussisse, j'ai cru comprendre que 90% des places étaient réservées et qu'il fallait venir grave en avance pour espérer une place (ce que je peux pas forcément faire avec mes cours).

[Alegas]

Bon Scalp tu les ajoutes les affiches ? Parce que bon on est en novembre et j'ai le droit à un nouveau quota là.