[Caducia] Mes critiques en 2012

[Heatmann]

Le meilleur film du projet Avengers pour moi : un vrai cachet dans sa première partie. Je regrette juste le manque d'action dans la seconde, sinon, pour une fois, je n'ai pas eu l'impression de voir du cynisme dégoulinant.

Un film plus intelligent qu'il n'y paraît.

bien jolie description ca , pis ca me fait plaisir , j aime bcp le film pour ces raisons

[Dunandan]

J'ai bien aimé le début aussi, mais mon appréciation a dégringolée avec le méchant tout moisi et la seconde partie vite expédiée ...

[Moviewar]

Kick-Ass

Réalisé par Matthew Vaughn Avec Aaron Taylor-Johnson, Nicolas Cage, Chloe Moretz Action - USA/UK - 1h57 2010

6.5/10

Synopsis

Dave Lizewski est un adolescent gavé de comics qui ne vit que pour ce monde de super-héros et d'incroyables aventures. Décidé à vivre son obsession jusque dans la réalité, il se choisit un nom – Kick-Ass – se fabrique lui-même un costume, et se lance dans une bataille effrénée contre le crime. Dans son délire, il n'a qu'un seul problème : Kick-Ass n'a pas le moindre superpouvoir... Le voilà pourchassé par toutes les brutes de la ville. Mais Kick-Ass s'associe bientôt à d'autres délirants copycats décidés eux aussi à faire régner la justice. Parmi eux, une enfant de 11 ans, Hit Girl et son père Big Daddy, mais aussi Red Mist. Le parrain de la mafia locale, Frank D'Amico, va leur donner l'occasion de montrer ce dont ils sont capables...

Critique

Je n'avais pas du tout aimé lors de ma première vision, ici j'apprécie un peu plus avec le recul mais quand même du mal à adhérer totalement à ce mélange de genres barré.
Plutôt jouissif comme spectacle pour ceux qui arrivent à entrer dans cet univers décomplexé et déjanté du Geek issu tout droit de "Big bang theory" qui veut devenir un super-héros qui ont bercé son enfance et adolescence, sauf que l'ado en question Dave (Aaron Taylor-Johnson ) est plutôt trouillard, pas baraqué, et timide, il y a donc beaucoup de chemin à parcourir...mais ce qui est bien c'est que l'ado se rend compte de sa nullité et de ses limites et se cache derrière son costume fait maison, sachant que ce n'est pas un vrai super-héros.
Aaron Taylor-Johnson est excellent, jouant de son physique de l'époque plutôt banal de mauviette ( qui est méconnaissable dans "savages")

Je pense que pas mal de geeks se reconnaîtront dans "Kick ass" car tous ont voulu jouer les super héros étant gosse, et Dave arrive néanmoins à ses fins non sans difficultés et blessures. Le personnage de Dave constitue déjà un coté jamais vu au cinéma et bien déjanté, mais Kick-ass révèle aussi un autre surprise de taille, le couple Big Daddy / Hit Girl (Nicolas Cage / Chloe Moretz).
Je trouve que Nicolas Cage est assez quelconque et transparent ici, surement à cause de son personnage qui se veut un père aimant mais distant comme un professeur avec sa fille.
Le personnage de Hit-girl est beaucoup plus surprenant et osé aussi, c'est une sorte de mini Uma Thurman qui se la joue à la Kill Bill pour dégommer ses adversaires. Entraînée façon "Hannah" à toutes sortes de combats et d'utilisation d'armes blanches ou à feu, cette sale gamine n'est pas ordinaire. Un costume d'écolière vaguement inspirée des mangas aux couleurs flashy, et une dextérité inégalité, très efficace.

La réalisation de Matthew Vaughn est très honorable faisant la part belle aux combats avec des ralentis à gogo, mouvements de caméras de dingue permettant une grande visibilité des chorégraphies. La photographie aussi fait aussi l'identité du long métrage avec beaucoup de contrastes, costumes fluos. Vaugh n'hésite pas à insérer quelques pages de comics entre deux séquences.

Mélange entre film de super héros et comédie pour ados, le second degré est au rendez-vous avec pas mal de clichés lourdingues. je trouve la partie action très bien fichues même si c'est pas du tout crédible et que c'est du n'importe quoi, mais la partie comédie pour ados j'ai beaucoup plus de mal, ça sonne très faux, même la relation père/fille n'est pas crédible mais le film revitalisant brille par son culot et son originalité et la critique des superhéros et des stars jetables.

[zack_]

Bouh!

[Dunandan]

L'Attaque du métro 123

Réalisé par Tony Scott Avec Denzel Washington, John Travolta, Luis Guzman Thriller, Policier, Action - USA/UK - 1h57 2010

5/10

Synopsis

Walter Garber est aiguilleur du métro à New York. Comme chaque jour, il veille au bon déroulement du trafic, lorsque la rame Pelham 123 s'immobilise sans explication. C'est le début du cauchemar. Ryder, un criminel aussi intelligent qu'audacieux, a pris en otage la rame et ses passagers. Avec ses trois complices lourdement armés, il menace d'exécuter les voyageurs si une énorme rançon ne lui est pas versée très vite. Entre les deux hommes commence un incroyable bras de fer. Chacun a des atouts, chacun a des secrets, et le face-à-face risque de faire autant de victimes que de dégâts. La course contre la montre est lancée...

Critique

Un film qui est un concentré de gâchis pour un résultat d'une rare banalité de "film catastrophe" artificiel.
Le casting dépote avec un face à face Denzel Washington / John Travolta mais hélas derrière leurs tirades qui n'en finissent plus, on n'éprouve d'empathie pour ni l'un ni l'autre. L'un étant vraiment très mou, Walter Garber un employé presque modèle où notre dangereux Denzel s'est transformé en Danny Glover...Plus banal, ça n'existe pas. Son personnage conserve une part de lâcheté et se fait dicter ce qu'il doit faire par sa direction, ce n'est que vers la fin du récit qu'il fait preuve d'un peu de bravoure, mais le spectateur a depuis longtemps laché le film qui tourne en rond.

Travolta est un peu plus concerné par le rôle de terroriste manipulateur et cabotine un max de façon caricaturale.
C'est dommage que le monsieur tout le monde (Garber) soit si lisse et ne s'énerve pas, reste zen sans désobéir à sa hiérarchie ce qui donne un héros sans intérêt contrairement à un J McLane rebelle et insolent. Bras de fer interminable, personnages secondaires quasi inexistants.

Niveau rythme, il y a quelques scènes d'action qui sont de moyenne facture et oubliables rapidement peu spectaculaires, dialogues interminables de médiation prévisibles, rebondissements téléphonés.
Résultat proche d'un simple téléfilm si ce n'est la réalisation de Scott (filtres, montage stroboscopique, travellings tournants) qui apporte une petite touche de modernité la chose.

[Dunandan]

Bouh!

+1

[alinoe]

Je suis complètement d'accord avec ton analyse et ta note pour Kick-Ass.

Avec ce film, je me suis aperçue que bien que très imprégnée de culture comics et super-héros, je ne me rangeais pas dans la catégorie geeks. J'ai trouvé le film intéressant sans plus et je n'ai pas du tout été enthousiasmée par son ton décalé et son côté légèrement subversif.

[Alegas]

Parce que aimer Kick-Ass c'est la preuve qu'on est geek ?

[caducia]

Piège de feu

Réalisé par Jay Russell Avec Joaquin Phoenix, John Travolta, Jacinda Barrett Drame, Aventure -USA- 1h55 2005

5.5/10

Synopsis

En cherchant à sauver des flammes un inconnu, Jack, sapeur pompier expérimenté, fait une
chute de plusieurs mètres et se retrouve, seul, au 10ème étage d'un entrepôt vétuste qui
menace à tout moment de s'effondrer sur lui.
Piégé par le feu, aveuglé par une épaisse et âcre fumée noire, le corps recouvert de lourds débris, Jack ne peut compter que sur son ami et mentor, le chef Mike Kennedy qui coordonne les secours au dehors. A bout de forces, Jack se remémore ses dix années de carrière...

Critique

Long métrage en hommage aux pompiers dans la lignée de " Backdraft" sauf que "Piège de Feu" est nettement en dessous pourtant le début du film est très alléchant et donne vraiment envie en faisant entrer le spectateur au coeur de l'action et du danger avec une ouverture spectaculaire.
Contrairement à "Backdraft" qui suivait une narration linéaire, Jay Russell instaure un montage en mixant des images du passé et du présent, sachant que le film se déroule sur plusieurs années néanmoins on arrive facilement à distinguer les deux époques.

Ainsi le film se focalise principalement sur J Phoenix qui débute sa carrière chez les hommes du feu et le film se termine des années plus tard aux services des pompiers.
On assiste donc à l’accueil du bleu au sein de la caserne avec les scènes de bizutage habituel (particulièrement réussies), puis son 1er feu maîtrisé et enfin son évolution au sein de ses collègues.
Contrairement à Backdraft qui mettait en évidence le coté solidarité entre soldats du feu et le coté héroïque, "Piège de Feu" ne prend pas cet angle de vue, et nous montre un monsieur tout le monde capable de devenir un héros en se sacrifiant et ainsi nous donne pas mal de scènes d'évolution de la vie privée de son personnage (rencontre avec sa femme, vie de famille peu compatible avec la vie de pompier...) Hélas ces tranches de vie bien banales et clichés plombent énormément le film, ont très peu d’intérêt mais sont très présentes au détriment des scènes d'action.

Les collègues pompiers sont ici présentés comme de simples camarades de jeu avec qui on déconne sans arrêt, et la solidarité de ne se fait trop ressentir, un cruel manque de sincérité. L'ambiance est plutôt sérieuse et austère mis à part les blagues entre pompiers, sinon ça regorge de bons sentiments.
Joaquin Phoenix tient un de ses pires rôles de sa filmographie en bon petit soldat du feu cliché, assurant néanmoins l'émotion dans la scène finale.
Malgré son casting tout à fait honorable mais clairement inexploité, le film se focalise sur Jack Morrison (Phoenix), son chef (J. Travolta) et sa femme (Jacinda Barrett) délaissant ainsi les personnages secondaires comme Robert Patrick . La relation du pompier avec sa femme est d'une rare banalité, celle avec son est est plus touchante, et Travolta se révèle assez convainquant. Les personnages sont très peu travaillés, n'ont pas d'histoire.

Le scénario peu subtil n'a rien d'exceptionnel mettant en avant le sens du sacrifice des pompiers , un hommage direct pour ces héros du 11 septembre mais l'histoire est trop plate, seules les scènes d'incendies sont impressionnantes mais trop peu nombreuses et trop courtes.

Film jouant sur les sentiments avec une grande thématique le sacrifice et la famille, on attend encore les grands moments épiques, et le sauvetage à gogo d'inconnus. Le long métrage reste très monotone, proche du documentaire anti-hollywoodien mais empli de clichés : la sauce a du mal à prendre.

[caducia]

Je suis complètement d'accord avec ton analyse et ta note pour Kick-Ass.

Avec ce film, je me suis aperçue que bien que très imprégnée de culture comics et super-héros, je ne me rangeais pas dans la catégorie geeks. J'ai trouvé le film intéressant sans plus et je n'ai pas du tout été enthousiasmée par son ton décalé et son côté légèrement subversif.

et encore lors que ma 1ere vision j'aurais mis 2/10

[Alegas]

Bad Lieutenant

Réalisé par Abel Ferrara Avec Harvey Keitel, Frankie Thorn, Victor Argo Policier, Drame - USA/UK - 1h38 1992

6/10

Synopsis

Un flic pourri et drogué accumule les dettes. Lorsqu'une nonne est violée par deux hommes dans une église, celle-ci place une récompense sur la tête des deux criminels. Le Lieutenant voulant payer les dettes qui mettent en danger sa propre vie, décide de rechercher les criminels, tel un chasseur de primes. Sa descente au enfer ne verra plus de fin...

Critique

Abel Ferrara nous offre une descente aux enfers brute et réaliste du Lieutenant (Harvey Keitel), qui est un véritable déchet humain qui a du mal à tenir debout, tellement imbibé d'alcool et drogué jusqu'à la moelle. Mauvais père de famille, voyeur, parieur, flic pourri, un anti-héros en puissance qui ne respecte rien si ce n'est son plaisir immédiat et les paradis artificiels.
Empli de solitude et de désespoir, errant dans les bas-fonds et ruelles sales sordides de New York, une vision brute et crépusculaire sans fard livrée par Abel Ferrara.

Un portrait d'un homme qui a touché le fond qui vit au jour le jour, essaye d’extorquer par n'importe quel moyen les gens qu'il croise pour se payer sa dose ou sa prostituée et qui s'enfonce jour après jour.
Le long métrage est très réaliste, plutôt crédible se voulant volontairement choquant de part sa réalisation brute spontanée à l'arrache. On suit de façon pesante le quotidien de ce flic pourri, assistant à ses magouilles, ses séances de shoot, ses frasques sexuelles, et son job de flic qui détourne les butins, use de pouvoir sur les victimes, sans éthique ni honneur.
Harvey Keitel est saisissant de crédibilité et met ses tripes, c'est le point positif majeur du film avec cette interprétation habitée passant du rires au larmes. Jusqu'au jour où ce lieutenant croise une nonne et sa vie bascule atteignant une volonté de meilleur , de rédemption...

La mise en scène est là pour créer le malaise par une longueur de séquences malsaines prolongées au maximum qui ont pour effet de provoquer le malaise ou l'ennui et de contaminer le spectateur dans le voyeurisme et l'aspect glauque de l'intime quotidien du flic avec ce temps suspendu détaillant ses perversions multiples.

Le réalisateur distille de nombreux symboles bibliques et christiques pour rendre son lieutenant comme un homme sacrifié sur l'autel de la société ayant goûté à tous les vices sans y trouver le bonheur, et au final cherche à sauver son prochain en pardonnant l’impardonnable. La fin est très belle déchirante et c'est une vraie libération pour le héros et le spectateur.

Pour ma part c'est l'ennui qui l'a emporté sur la fascination devant ce "bad lieutenant", et le coté rédemption ne m'a pas touché, résultat plutôt banal malgré le fort charisme Keitel qui reste admirable.

[caducia]

Calme Blanc

Réalisé par Phillip Noyce Avec Nicole Kidman, Sam Neill, Billy Zane thriller - USA / AUZ - 1h37 1989

6/10

Synopsis

Pour oublier la mort tragique de leur fils dans un terrible accident, un couple décide de partir en mer. Sur l'océan, ils vont à la rescousse d'un homme qui est en train de couler. Mais ce que John et sa femme Rae ne savent pas encore, c'est que leur nouveau passager est un dangereux psychopathe...

Critique

Thriller à l'ancienne qui se laisse regarder se passant uniquement sur l'eau d'où son originalité.
L'histoire est assez captivante plein de surprises et de rebondissements, le suspense est donc au rendez-vous (sauf que quand on a vu le film une fois le film perd grandement de son intérêt même des années après) ce qui en fait un film "jetable" à voir une fois.
Le scénario est donc assez bien construit, il se passe toujours quelque chose avec des forces opposés équivalentes et on ne sait jamais qui prendra le dessus, le cadre maritime tient une place à part entière.

Mise en scène forte agréable qui n'a pas du être aisée avec les scènes dans le bateau, qui joue sur le contraste de bateaux (un luxueux, l'autre digne d'une épave hantée), de styles de passagers dans leur allure et dans leurs formes d'intelligence, entre la croisière paradisiaque, et la prise d'otage qui tourne en naufrage.

Niveau casting, beau trio d'acteurs : Nicole Kidman avant toute la chirurgie est méconnaissable (plutôt moche à part son joli regard) mais son interprétation est correcte, Sam Neill est le mari courageux plein d'astuces et qui garde toujours la classe malgré un naufrage. Billy Zane est le méchant qui cabotine un max c'est assez rigolo de voir habité par son personnage.

Un film honnête, assez peu violent en fin de compte qui est original de part son cadre bien utilisé et son script plein de surprises. Huis-clos efficace mais un peu trop formaté mais demeure assez haletant et riche en suspense qui joue sur le contraste de carte postale de la vie sur le bateau luxueux et l'enfer que vit le couple tyrannisés par l’intrus psychopathe.

[caducia]

American Gigolo

Réalisé par Paul Schrader Avec Richard Gere, Lauren Hutton, Hector Elizondo Drame, Thriller, Romance - USA - 2h00 1980

5.5/10

Synopsis

Un beau ténébreux loue ses charmes à des femmes dans le besoin. L'une d'elles va lui jouer un mauvais tour en réfutant son alibi pour un meurtre qu'il n'a pas commis.

Critique

A voir la filmographie de Paul Schrader, on remarque que celui-ci aime traiter du sexe et de la pornographie de façon assez crue et osée, on peut donc penser que le classique "American gigolo" ne peut être que provoquant et marquant, mais la déception est grande.
Niveau réalisation, l'ambiance années 80 est bien marquée niveau décors et meubles design avec loft très modernes, mais aussi au niveau des accessoires soignés. Le réalisateur joue sur la lumière avec les ombres des stores sur les visages non sans rappeler un certain "Basic instinct" qui est un cran au dessus niveau provocation.
Julian Kaye est donc au service de ces dames,narcissique au possible qui ne sait pas faire grand chose si ce n'est user de sa bogossitude pour travailler. On pourra comparer ce personnage à celui de "American psycho" qui prend énormément soin de son apparence jusqu'à en user les miroirs, très maniaque, perfectionniste. Richard Gere incarne bien le rôle mais le film ne lui donnera aucune scène très forte et mémorable.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, le métier de Kylian est évoqué et est le centre du film mais on ne voit qu'une scène un peu chaude et pas choquante pour un sou, plutôt soft. Alors que quand il s'agit de prostitution ou de pornographie traditionnelle, on a des femmes à poil en veux-tu en voilà...

Et oui, car le réalisateur ne s'intéresse pas au job de Kylian en lui-même mais ce sont plutôt les relations complexes qui font qu'il arrive à survivre qui l'occupent et qui font la base du thriller.
Ainsi, le jeune homme propre sur lui qui a des principes et des limites à ne pas dépasser, ne fréquentant que des clientes de la haute société de Beverly Hills mais il est contraint d'avoir des missions par divers maquereaux et maquerelles. Sans ces relations son business s'effondre et ses entrées dans les milieux autorisés ne lui seront plus permis. C'est ce commerce peu avouable et ses rouages qui intéressent le réalisateur entre fascination et révulsion mais il n'assume pas son sujet.

Le scénario repose donc principalement sur le démantèlement des rouages des réseaux qui se désagrège au fil de l’enquête et des accusations portées contre lui. Son cocon d'appartement luxueux , sa cage dorée est fouillée détruite ainsi que sa réputation, son monde s'écroule, il essaye de trouver de vrais amis parmi ses relations même les plus douteuses.
La première partie du film s'attachant au quotidien du gigolo, son train de vie, ses préparatifs minutieux, son emploi du temps de ministre et ses passes qui sont simplement éludées, la seconde partie plus répétitive sur le meurtre qui n'a rien d'original.

Dans l'ensemble plutôt décevant, peu sulfureux avec son gigolo peu crédible caricatural, un script peu passionnant, beaucoup de bruit pour rien à part le charisme de Gere.

[zack_]

Très bon souvenir de ce Calme Blanc, de tête un bon 7.5 pour moi

[caducia]

j'avais un bon souvenir, mais quand tu n'as plus l'effet de surprise ça reste moyen.