[Criminale] Mes Critiques en 2012

[Dunandan]

T1 & T2 c'est juste indispensable (si on aime ou pas la SF), fact ...

Par contre The last action hero, j'ai au aussi bcp de mal avec le gamin, véritable tête à claques.

[caducia]

j'ai une préférence pour T2, la classe internationale quoi.

[Jed Trigado]

Vu ton avatar, c'est pas étonnant.

[Criminale]

Non mais surtout commencer une saga par le 3, s'te idée!?

Ba tu sais, je tombe dessus avec des potes on se le matte, on se prends pas la têe.

T1 & T2 c'est juste indispensable (si on aime ou pas la SF), fact ...

Rien n'est indispensable

[Kakemono]

Oh tu sais on vit très très bien.

Peut être mais tu vivrais mieux en les ayant vus.

[Criminale]

Ce qui veut dire que toutes les personnes qui les ont vu vivent mieux que moi ?

[Mark Chopper]

Oh tu sais on vit très très bien.

C'est ce que je disais avant de perdre ma virginité.

En fait, je me mentais à moi-même.

[Criminale]

Tu devais bien être la seule personne au monde à te dire ça alors.

[Mark Chopper]

Je ne savais pas encore ce que je manquais...

Comme toi avec les Terminator

[Criminale]

Tout le monde sait ce qu'il manque dans ton cas. Moi pas.

Avec tout ça je vais bientôt les mater en tout cas. Si jaime pas ça va être folklo.

[Mark Chopper]

Je te traiterai de frigide, et on en parlera plus

[Alegas]

Les Moissons du Ciel de Terrence Malick: 6/10

J’ai commencé le cinéma de Malick avec Tree of Life, film que j’avais particulièrement détesté mais poursuivi avec Le Nouveau Monde qui m’avait enchanté. J’ai donc regardé ce Days of Heaven en espérant retrouver le Malick qui me plait. Finalement je suis sorti de mon visionnage un peu sur ma faim.

Certains points comme la voix off féminine nonchalante (je préfère celle de Tree of Life c’est dire), le rythme particulièrement lent et quelques longueurs ont suffi pour me faire comprendre que je n’y verrai pas le chef d’œuvre que quelques-uns ont pu voir. J’ai trouvé le scénario particulièrement commun, avec cette histoire de triangle amoureux entre Gere (qui interprète le mari prêt à tout pour arriver à ses fins, comme tuer ou laisser sa femme dans les bras d’un autre afin de récupérer son argent une fois décédé), Adams et Shepard (qui interprète parfaitement un fermier atteint d’une maladie et dont le couple profite). Cette histoire finalement banale où l’on sait forcement que cela laissera des traces sur les protagonistes participe à ce manque d’émotion que j’ai pu ressentir.

En revanche, tout le travail sur la photographie est absolument magnifique. Ces grands espaces filmés quasiment tout le temps soit à l’aube soit au crépuscule de la journée participent à cette superbe esthétique. Les Moissons du ciel ressemble finalement plus à un magnifique tableau. Le monde rural est justement magnifié par cette photographie qui dépeint également le travail compliqué des saisonniers. On retrouve certaines références bibliques avec l’invasion de sauterelles détruisant le blé et dont la seule solution pour arrêter ce massacre est d’utiliser le pouvoir destructeur du feu. Ce blé, courbé par le vent que Malick prend tellement de plaisir à filmer se voit donc détruit en une fraction de seconde.

[caducia]

oui, j'ai eu du mal à le voir en entier.

[pabelbaba]

Le triangle amoureux est pas franchement "commun", non? Surtout avec le perso de Gere. Mais bon, en terme de cadre et de montage c'est un vrai grand délire, j'ai beaucoup aimé.

[Criminale]

J'ai déjà l'impression d'avoir vu plusieurs fois ce genre de triangle dans lequel on sait pertinemment que la personne faisant semblant se prends au piège.

C'est plus ce fait que qualifierai de commun.