[Caducia] Mes critiques en 2012

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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar caducia » Jeu 23 Aoû 2012, 22:47

ah non là il causait de son tatouage de la chèvre qui est le diable, faut suivre !!! :eheh:
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Jeu 23 Aoû 2012, 22:55

ah oui c'est vrai , avec sont fameux :

it's a nice knive ! i like symboles ! :eheh:
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Couleur de l'argent (La) - 6,5/10

Messagepar caducia » Mer 29 Aoû 2012, 21:08

La Couleur de l'argent

Réalisé par Martin Scorsese
Avec Paul Newman, Tom Cruise, Robert Agins
comédie dramatique - USA - 1h59 1987

6.5/10








Synopsis


Un champion de billard, ex-arnaqueur invétéré, est devenu représentant en alcools. Quand il fait la connaissance d'un jeune joueur de billard prometteur, les vieux démons remontent à la surface...



Critique

Un Scorcese assez plaisant à regarder mais qui a pris un petit coup de vieux par son rythme assez lent, une ambiance de bars enfumés...Le film reposant sur le relation Eddie Felson (Paul Newmann) et Vincent (Tom Cruise) entre le vétéran du billard et le jeune surdoué. Cette relation étant loin d’être linéaire mais qui va subir des hauts et des bas, entre père de substitution, choc des générations ou compétition au sommet.
Paul Newmann est exceptionnel avec ce champion de billard retiré qui a une envie soudaine de revenir dans le coup malgré les années par les prouesses du jeune Vincent qui excelle dans l'art du "9 ball".
Tom Cruise assure aussi une bonne interprétation de petit merdeux agaçant qui a tout pour lui (un peu comme dans "cocktail") mais il ne crève pas autant l'écran que Newmann.

Image


Scorcese souhaite livrer un long métrage réaliste, et il ne faut pas s’attendre à des tournois de snooker où les billes voltigent en tous sens, ici à part un coup qui sort de l'ordinaire, ça reste peu spectaculaire pourtant pas de doublure ces sont les acteurs qui assurent le show qui parait simple mais nécessite un travail de titan (8h par jour pendant des mois). Dommage point du vue visuel pour le billard où les coups s' enchaînent et se ressemblent, même le tournoi à Atlantic City n'est pas très passionant.

ça sera donc la relation tourmentée Felson / Vincent qui retiendra notre attention, duel entre la sagesse et la spontanéité. Le jeune Vincent est au départ plutôt innocent, voit le billard comme un simple jeu et non comme une source de revenus potentiels , et ça lui fait mal de prendre des sous à des piliers de comptoirs, mais peu à peu la sagesse du vieux Felson va commencer à entrer dans sa caboche et il va se prendre au jeu de l'arnaque avec une stratégie millimétrée jusqu'à utiliser contre son mentor.
Felson au contraire ne voit le billard que comme de l'or en barre et le coté artistique du jeu lui est étranger, mais au fur et à mesure il va redécouvrir ce coté adrénaline de la compétition.

Mise en scène intéressante, surtout avec le mélange d'images de gros plans sur Newmann fondu avec la table de billard, ambiance 80's avec des plans séquences circulaires magiques. Malheureusement Scorcese multiplie les différents plans (en plongée, en travelling, en plan-cut, en panoramique ou en caméra subjective) pour diversifier le billard, mais il reste pas mal de longueurs...72 parties de billard ça laisse des traces.



La relation entre les deux protagonistes est touchante, mais le film manque de peps et l'histoire est un peu trop convenu sans grandes surprises.
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Hollywoodland - 7/10

Messagepar caducia » Dim 02 Sep 2012, 16:20

Hollywoodland

Réalisé par Allen Coulter
Avec Ben Affleck, Diane Lane, Adrien Brody
thriller, drame - USA - 2h06 2007

7/10








Synopsis


16 juin 1959. L'acteur George Reeves, le héros du feuilleton télévisé Les Aventures de Superman, est abattu d'une balle dans sa maison des collines de Hollywood. Il laisse derrière lui sa fiancée, la starlette Leonore Lemmon, et des millions de fans sous le choc.
Malgré les circonstances étranges de sa mort, la police clôt aussitôt l'affaire, mais la mère de George, Helen Bessolo, n'est pas décidée à s'en tenir là. Elle engage un détective privé, Louis Simo. Celui-ci découvre que la liaison torride entre Reeves et Toni, l'épouse d'Eddie Mannix, un cadre haut placé chez MGM, pourrait bien être la clé du meurtre.
L'enquête de Simo va le conduire dans l'envers du décor de Hollywood et il va se rendre compte que la justice y règne plus sur les écrans que dans la vie. L'affaire implique beaucoup de monde et il n'en sortira pas indemne. George Reeves avait des secrets...



Critique

Un bon petit polar qui respecte bien les conventions du genre, des décors et accessoires très crédibles au sein des soirées hollywoodiennes, qui mêle histoires de coeur, de réseau, de trahisons à travers une photographie rétro magnifique.
La mise en scène n'est pas très conventionnelle avec un montage déstabilisant qui met en parallèle l'histoire de la vie de la victime George (Ben Affleck) et l’enquête sur le meurtre menée par Simo (Adrien Brody). Ce système de flashbacks permet de ne pas donner trop d'indices au spectateur et de les découvrir en même temps que l’enquêteur en ménageant ainsi le suspense et en l'amenant sur de fausses pistes.
Casting de folie avec un Ben Affleck impressionnant plutôt enlaidi avec pas mal de kilos en trop, qui débute avec l'esprit d'un requin prêt à tout pour réussir à hollywood, qui devra passer par la case films alimentaires, et va suivre une longue déchéance. Joli rôle avec une part de fierté, mais aussi de vulnérabilité et d'autodérision.
Brody endosse le rôle du détective opportuniste qui doit faire marcher son imagination pour fureter, se jouer des medias et capter le moindre indice malgré le peu de moyens de l'époque. On ressent le même mal être du personnage que celui de l'acteur raté, qui ici est un flic raté en quête de reconnaissance et ambitieux.
Dommage que le rythme soit plutôt poussif, avec un style contemplatif descriptif et ce thriller manque de scènes sulfureux et reste assez peu violent, et le suspense n'est pas très soutenu. Belle reconstitution des années 50 et un hommage à l'age d'or du cinéma et du contraste entre les projecteurs et les coulisses ténébreuses.
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Film: Hollywoodland
Note: 6,5/10
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Révoltés du Bounty (1962) (Les) - 8,5/10

Messagepar caducia » Lun 03 Sep 2012, 19:45

Les Révoltés du Bounty

Réalisé par Lewis Milestone
Avec Marlon Brando, Trevor Howard, Richard Harris
aventure - USA - 2h58 1962

8,5/10




Image




Synopsis


Le Bounty ramène de Tahiti des plants d'arbres à pain et les transporte en Jamaïque. A son bord, le cruel capitaine Bligh affame ses hommes et les maltraite. Le lieutenant Fletcher Christian va s'opposer à lui et organiser une mutinerie.



Critique

Un joli film d'aventure qui nous fait voyager à travers les mers, et permet de dévoiler les caractères des personnages à bord du Bounty. Le capitaine Bligh (Trevor Howard ) est le personnage le plus intéressant du récit, un des grands méchants du cinéma, méprisant, tortionnaire qui use de son pouvoir gigantesque sur tout son équipage sous prétexte de servir son pays et de réussir sa mission. Magnifique interprétation de Trevor Howard qui garde son allure de gentleman en presque toutes circonstances, et réalise des joutes verbales avec son lieutenant.

Image


Marlon Brando interprète le lieutenant Fletcher, personnage lui aussi intéressant car son caractère n'est pas bien tranché, tiraillé entre son devoir envers sa patrie et son humanité intérieure; on le sent bouillonnant devant les ordres idiots donnés par son capitaine mais il finit par plier et les honorer. Il rappelle ses hommes quand ceux-ci contestent les ordres donnés jusqu'au jour où c'est la goutte qui fait déborder le vase.
Brando reste très calme tout au long de la narration, et garde une allure comparable à son capitaine avec les bonnes manières, des costumes à froufrous, bonnet de nuit ce qui contraste beaucoup avec la vie misérable de ses matelots. Cet aspect très zen de Flecther est assez étonnant, son 1er signe de rébellion est de discuter les ordres donnés sans jamais enfreindre les règles.
Pourtant le film montre quelques incohérences : Fletcher qui jète de l'eau sous l'effet de l'énervement alors que chaque goutte est précieuse notamment. Ou encore les tahitiens qui apprennent l'anglais en un rien de temps, Et aussi sur la fin :
Brulé à mort, Flecther garde son calme légendaire et ne crie pas de douleur

Fletcher reste assez distant avec son équipage et ne se mélange pas à eux, pourtant intérieurement il partage la même humanité et le sentiment d'injustice face aux dévires du capitaine, ce qui est un thème universel repris de nombreuses fois depuis dans tous les films qui traitent de l'armée en général.



Après un début de périple bien douloureux, le Bounty arrive enfin à destination à Tahiti et on peut dire que l'ambiance bascule dans un univers paradisiaque avec un accueil en grande pompe des locaux qui offrent leurs richesses, leurs coutumes et mêmes leurs femmes (réalité historique ?). On a droit à pas mal de clichés sur les îles, avec de belles vahinés , colliers de fleurs, et paysages somptueux mais les plans sont vraiment magiques à voir, très dépaysants et ça ne fait pas trop trafiqués (sauf peut être la partie de pêche).



Bref, une fois la mission des arbres à pain terminée, retour au pays plutôt difficile, source de conflits et naissances de nouvelles tensions au sein de l'équipage, et enfin le film bascule avec la mutinerie menée par Fletcher.
L'équipage s'enfuit sur une ile "perdue", mais reste divisé. Là encore, Fletcher voit son ordre moral le tourmenter et veut que justice soit faite en voulant retourner aux bercailles et être jugé comme un soldat et non comme un déserteur.



Une histoire assez captivante car les personnages ne peuvent laisser indifférents, le charme de Brando opère, et celui des îles aussi (d’ailleurs lui aussi est tombé amoureux de tahiti jusqu’à la fin de sa vie). Une réalisation superbe et une belle mise en scène des séquences d'action et des images paradisiaques efficaces.
Je trouve juste que la love story avec l'indigène n'est pas très crédible et assez peu évoquées, coté plutôt raté du film. Ayant vu la version avec Mel Gibson il y a longtemps, il me semble que sa version était plus épique et la romance beaucoup plus mise en valeur, et le rôle de Fletcher beaucoup plus rebelle.
Film qui malgré sa durée ne laisse pas trop le temps à l'ennui de s'installer.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Lun 03 Sep 2012, 22:24

2012 a ete l'annee du bounty sur BOM :love: 8)
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Cloclo - 7,5/10

Messagepar caducia » Lun 03 Sep 2012, 23:23

Cloclo

Réalisé par Florent Emilio Siri
Avec Jérémie Renier, Benoît Magimel, Monica Scattini
biopic - FR - 2h28 2012

7,5/10




Image




Synopsis


Cloclo, c’est le destin tragique d’une icône de la chanson française décédée à l’âge de 39 ans, qui plus de trente ans après sa disparition continue de fasciner. Star adulée et business man, bête de scène et pro du marketing avant l’heure, machine à tubes et patron de presse, mais aussi père de famille et homme à femmes…
Cloclo ou le portrait d’un homme complexe, multiple ; toujours pressé, profondément moderne et prêt à tout pour se faire aimer.



Critique

Biopic plutôt déroutant car on peut dire que le réalisateur ne fait pas trop de cadeaux à notre Cloclo national, et met en avant tous les travers du personnage au point de le rendre bien peu sympathique... Personnage à l'égo démesuré à la recherche de la perfection en tout, qui cherche la gloire à tous prix.
Le film traite de la vie entière de l'artiste, un sacré morceau, et on peut dire que la partie enfance et galère de jeunesse est touchante mais un peu cliché et longuette avec la mère pied noire envahissante pénible à souhait, et il faudra attendre 40 minutes avant d'entendre un air connu.

Florent Emilio Siri souhaite un décryptage profond du personnage, insiste sur sa relation complexe avec son père qui est hyper stricte et qui l'a influencé sur son caractère d'homme perfectionniste.
On découvre un homme qui a inventé pas mal de choses, ou qui a plutôt copié pas mal de choses en s'inspirant des tendances venues des USA et de l'angleterre (swing, disco...) mais au final il sera l'auteur de la chanson la plus jouée au monde, un sacré retournement de situation, pourtant il ne pourra jamais percer aux USA et reste inconnu là-bas.

Image


On voit qu'il fait évoluer son style en fonction des tendances, de la concurrence, et c'est un grand manipulateur de son public, des media, et inventeur du marketing (magazines, agences de mannequins, boite de prod.)
Un homme en recherche de reconnaissance et de gloire, qui n'en n'a jamais assez et qui traite son entourage comme des moins que rien, qui garde néanmoins un certain respect envers ses fans qui lui ont donné son succès.
On découvre aussi que c'est un homme à femmes, cherchant à garder une image proprette mais la réalité est toute autre.
Jérémie Renier a le rôle titre, certes physiquement rien à dire, mais son jeu est aléatoire, le ton de voix n'est pas le même que l'original, et c'est flagrant quand on passe de quelques mots parlés à une chanson, ça pique les oreilles et le playback est rarement synchro.
Benoît Magimel en Paul Lederman c'est la grosse blague, il est méconnaissable, un accent juif bien appuyé, ridicule au possible.
Ensuite, le réalisateur souhaite ajouter de l'authenticité au film avec des célébrités. La légende Frank Sinatra qui apparaît à plusieurs reprises n'est autre que T bag de Prison break (Robert Knepper), c'est abusé !!!!
Puis il y a J.Halliday qui ressemble à Eddie Mitchell, France Gall aussi c'est n'importe quoi.

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L'ambiance 60's-70's est assez bien reconstituée et crédible, de nombreuses vues appuyées sur les fans hystériques dont la plupart finissent dans la chambre avec cloclo. Le réalisateur offre quelques raccourcis par exemple Cloclo assiste à un concert aux states et se met à danser comme les nanas sur scène et ça va lui inspirer les claudettes, c'est du grand n'importe quoi.
Le concert au royal albert hall, tout droit copié/collé de Robbie Williams avec un décor tout en numérique, complètement loupé niveau ambiance.
Le coté musical est plutôt décevant dans le choix des titres, et assez mou, on voit assez peu de performances musicales, pour un chanteur c'est embêtant, c'est le coté producteur qui est mis en avant.
La mise en scène est globalement réussi, un bémol sur la caméra subjective de la scène de douche, même si cette scène reste plutôt sobre mais poignante.

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Un biopic assez réussi tout de même dans son ensemble qui ne cherche pas à rendre le personnage sympathique à tout prix mais montre quelqu'un d' obsessionnel qui veut toujours être dans le coup. Plutôt réaliste et ne tombant pas dans le pathos qui cède à quelques facilités, mais assez faible musicalement et casting semi-réussi.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Mar 04 Sep 2012, 06:42

Je ne pense pas que le mimétisme soit important dans un biopic : sinon, on délaisserait le cadre de l'interprétation pour entrer dans celui de l'imitation et Laurent Gerra collectionnerait les Oscars.
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Alegas » Mar 04 Sep 2012, 10:43

Je vais finir par croire que je suis le seul à trouver Magimel bon dans ce film.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Mar 04 Sep 2012, 12:18

Pour en juger, il faudrait connaître Lederman, mais je ne trouve pas d'interview de lui (j'avoue que l'accent m'a paru forcé à moi aussi).
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar caducia » Mar 04 Sep 2012, 12:23

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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Creeps » Mar 04 Sep 2012, 17:01

Mark Chopper a écrit:Je ne pense pas que le mimétisme soit important dans un biopic : sinon, on délaisserait le cadre de l'interprétation pour entrer dans celui de l'imitation et Laurent Gerra collectionnerait les Oscars.

Tu insinues que Laurent gerra est un bon imitateur...hum :mrgreen:
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Mar 04 Sep 2012, 17:47

caducia a écrit: video Lederman


Bon, OK, Magimel a abusé sur l'accent caricatural: on dirait que Scalp a écrit ses dialogues :mrgreen:
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar caducia » Mar 04 Sep 2012, 18:13

non mais surtout que des gens typés du meme genre tu en croises partout, pourquoi aller prendre Magimel, parce que c'est son pote ?
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Re: [Caducia] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Mar 04 Sep 2012, 18:16

Ecoute : c'était Lederman ou France Gall :mrgreen:
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