GUNNIN' FOR THAT #1 SPOT
de Adam Yauch - 2008
9/10
Certes hoops dreams était un documentaire plein d’espoir et de cœur, through the fire lui montrait un destin et le portrait d’un jeune homme ( sebastian telfair ) et sa volonté ainsi qu’une machine financière sans taboo comme on en a rarement été témoin et pis more than a game était arriver comme le plus complet et passionnant documentaire fleuve façon saga sur lebron , sont enfance et sont épopée lycéenne , mais alors la , je vient enfin de decouvrir le fameux et difficile a mettre la main dessus : Gunnin’ for that number #1 , et on a bien LE meilleur documentaire sur le basket-ball et plus précisément la culture streeball .
enfin la le terme est réducteur c’est carrément un compte rendue façon plonger exhaustive sur les mœurs des playground d’harlem autant qu’une sorte d’étude ethnocentrique traitant chaque aspect et raison du pourquoi Rucker park , LA Mecque du streetball mondial , est devenue si mythique et un passage obligatoire pour tout les plus grand joueur du monde , inclus évidemment toute les légende de la NBA , tout le monde y est venue s’y frotter les sneakers ( chamberlain , abdul jabbar , magic , bird , his airness , kobe, lebron , durant , julius erving , kenny anderson , chris mullin , carmelo lui a grandit dans l’immeuble en face , marbury aussi dans le meme ghetto ect ect ..) .
Un terrain a part , qui a créer lui-même ces légende ( earl manigault pour le plus célèbre et mystique même ) et adoube les joueurs une fois le cuire user ici , les surnoms se gagne comme le respect et la violence d’autrefois a laisser sa place un aspect presque religieux de la chose ( enfin y a encore eu un tournoie qui a fini en gun fight cette été et blesser JR smith qui etait présent )
Alors le film a quand même un fil rouge en toile de fond , et suis au plus prêt , 8 joueur parmi les meilleur espoir universitaire de l’époque du tournage ( en 2006 ) qui participe au plus prestigieux des tournoie organiser sur le célèbre terrain , le élite 24 challenge , alors maintenant on reconnaît notamment kevin love , michael beasly , tyrek evans ou brandon jennings .
Réaliser par le Génie éternel d’adam yauch ( MC des beastie boys pour les non inities ) , il oublie pas d’aller au source du mythe , placer des images d’archives qui font rêver et peindre une toile artistique de tout ce qui englobe l’ambiance et univers culturel autour du sujet et forcement avec Yauch , la place du hip hop old school et raw est ici prépondérante , l’intervention de la soundtrack est rien de moins qu’historique et enorme ! Jay-z délaisser de ces impératif lucratif , kool , luda , Nas , house of pain , game , NWA , public enemy , joe budden , fat joe et évidemment plein de beastie .
Yauch se paye même des petit clip et effet de Montage déjà instantanément jouissif , la longue intro sur le « hate it or love it » de game c’est un régal pour les sens , de même que le générique final sur le « dirt off your shoulder » de jay z , au final le film est presque autant porter sur le basket que la music , chacun se complétant l’un l’autre tout en livrant un vrai regard informatif et détailler , bref un documentaire quasis parfait traitant sont sujet de la plus belle et passionnante façon.
C’est un peu la version « reel life » de above the rim , donc encore plus viscéral et propice a l’émerveillement et identification , et sinon pour la version cinema dramatiser y a aussi l'excellent american streetballers qui est intrisequement aussi bien que le tupac .
Le double dvd est un pur bonheur , y a un second disc remplis a craquer d’interview , de behind de scènes avec les beastie qui discute avec tout ces joueurs , se confie , des making off plein de tranche de vie et deconnade , bref le panard ultime . si vous aimez le basket , le streetball , le rap 90’s , les beastie boys , le culture ghetto east coast , c’est tout simplement 90min qu’il est impardonnable de rater .
enfin la le terme est réducteur c’est carrément un compte rendue façon plonger exhaustive sur les mœurs des playground d’harlem autant qu’une sorte d’étude ethnocentrique traitant chaque aspect et raison du pourquoi Rucker park , LA Mecque du streetball mondial , est devenue si mythique et un passage obligatoire pour tout les plus grand joueur du monde , inclus évidemment toute les légende de la NBA , tout le monde y est venue s’y frotter les sneakers ( chamberlain , abdul jabbar , magic , bird , his airness , kobe, lebron , durant , julius erving , kenny anderson , chris mullin , carmelo lui a grandit dans l’immeuble en face , marbury aussi dans le meme ghetto ect ect ..) .
Un terrain a part , qui a créer lui-même ces légende ( earl manigault pour le plus célèbre et mystique même ) et adoube les joueurs une fois le cuire user ici , les surnoms se gagne comme le respect et la violence d’autrefois a laisser sa place un aspect presque religieux de la chose ( enfin y a encore eu un tournoie qui a fini en gun fight cette été et blesser JR smith qui etait présent )
Alors le film a quand même un fil rouge en toile de fond , et suis au plus prêt , 8 joueur parmi les meilleur espoir universitaire de l’époque du tournage ( en 2006 ) qui participe au plus prestigieux des tournoie organiser sur le célèbre terrain , le élite 24 challenge , alors maintenant on reconnaît notamment kevin love , michael beasly , tyrek evans ou brandon jennings .
Réaliser par le Génie éternel d’adam yauch ( MC des beastie boys pour les non inities ) , il oublie pas d’aller au source du mythe , placer des images d’archives qui font rêver et peindre une toile artistique de tout ce qui englobe l’ambiance et univers culturel autour du sujet et forcement avec Yauch , la place du hip hop old school et raw est ici prépondérante , l’intervention de la soundtrack est rien de moins qu’historique et enorme ! Jay-z délaisser de ces impératif lucratif , kool , luda , Nas , house of pain , game , NWA , public enemy , joe budden , fat joe et évidemment plein de beastie .
Yauch se paye même des petit clip et effet de Montage déjà instantanément jouissif , la longue intro sur le « hate it or love it » de game c’est un régal pour les sens , de même que le générique final sur le « dirt off your shoulder » de jay z , au final le film est presque autant porter sur le basket que la music , chacun se complétant l’un l’autre tout en livrant un vrai regard informatif et détailler , bref un documentaire quasis parfait traitant sont sujet de la plus belle et passionnante façon.
C’est un peu la version « reel life » de above the rim , donc encore plus viscéral et propice a l’émerveillement et identification , et sinon pour la version cinema dramatiser y a aussi l'excellent american streetballers qui est intrisequement aussi bien que le tupac .
Le double dvd est un pur bonheur , y a un second disc remplis a craquer d’interview , de behind de scènes avec les beastie qui discute avec tout ces joueurs , se confie , des making off plein de tranche de vie et deconnade , bref le panard ultime . si vous aimez le basket , le streetball , le rap 90’s , les beastie boys , le culture ghetto east coast , c’est tout simplement 90min qu’il est impardonnable de rater .