Ça « vaudra » sûrement un peu moins pour le commun des mortels et les plus regardant qui se prennent la tête, personnellement : ENFIN !!! Enfin un dtv cette année ou je me branlais sur le trailer et qui m’a pas déçu au visionnage !
Enfin quand je dit Dtv c’est ici purement un détail technique sur la sortie , car freelancers a quand même eu une sortie salles ( 4 salles a NY et LA ) et autant sur le fond ouai le script est du niveau d’un bon pti dtv ricain ordinaire , autant sur le forme c’est quand même un film a 10 million qui aurait largement pue avoir une vrai grosse sortie en salles , ça fait pas cheap du tout , d’ailleurs a tout les niveau
RAMPART et ellroy donc se font bien enculer par 50 cent !
C’est honnêtement bien plus plaisant et meilleur que righteous kill , et ca vaut kif kif un
Dirty , pour rester dans le même patrimoine .
Comme le trailer l’annonçais, on est devant le meilleur film de 50 et de loin, un polar urbain qui flirte bien avec le hood et y passe le plus clair de sont temps . Un mix entre du david ayer et du van peebles ! T’imagine si je me suis tout de suite sentie a l’aise et kiffer !
Le script est pas bien épais ni finot , mais ça équilibre bien entre les 45 première minutes qui font presque tranche de vie dans la police , des patrouille qui pose le décors et les persos et état de lieu et la suite qui approfondie un peu l’intrigue principale et les enjeu personnel de 50 qui ici s’efface bien derrière sont rôle .
L’histoire de 3 jeunes gangsta qui reviennent dans le droit chemin et devienne même flic et pour le coup assez idéaliste et naïf ( enfin ils posent pas trop de question non plus et au début ils croquent tous a tout hein !! ) . Chaque rookie est affecté à un partenaire vétéran et on a un visage différent de la Police de NY pour chacun. La corruption a outrance est omniprésente et organiser , le racisme , la violence , la drogue , tout est exposer par des scénette assez simpliste d’intervention monter en parallèle entre les patrouille et destin des 3 rookie , ça se balade uniquement dans les ghettos de Brooklyn et du Bronx pour le compte de la DEA . La soundtrack est exclusivement faite de gros son gangsta rap , terrero le réalisateur ( qui a shooter des clip pour dre, snoop , game ect …) a encore quelque tics de clipeur d’ailleurs mais soignent bien sont ambiance from the streets et ça mise en scène , mais les amateur s’en plaindront pas , au contraire . D’ailleurs freelancers c’est pas un film ou la nana on leur place , y a que de bitch qui suce et sniff de la coke lors d’orgie dans les whore house .
Un film de mec , macho , brut de decoffrage et couillue , pas pour chochotte sensible , la suite de
street kings etait pourrave, freelancers est la vrai relève et suite , ça shoote et gueule pas mal et révèle bien des surprise , souvent je pensait pas que ça finirais pas en head shot , et finalement si , et pis c'est bien R , du sang , des fuck , du cul ! .
Bon tout converge après ¾ d’heures a une intrigue principale, pas bien original avec le passif de 50, sont père qui était une sorte de serpico et le dementellement de l’empire de De niro , le boss de ripoux qui règne la dessus comme un vrai Godfather .
Parlons en tient de Bob , he is the fucking man !! rah il fait plaisir la ! bien moin pepere que dans righteous kill, il est en pleine forme , un rôle sur mesure bien que caricaturale , limite du fan service , gros bonus mériter bien nerveux , bien vénère et intimidant , un commissaire au méthode de parrain .
J’ai quand même un gros bemol sur le script bien léger au niveau de la fin de de niro
Pis whitaker il me soule pas mal récemment mais la je l’ai bien aimer, over the top , un bad guy avec un badge tout droit sortie de
training day du pauvre mais east coast , il assure bien et crédibilise pas mal le film .
Voila, j’ai eu ce que je voulais , vivement fire with fire avec 50 en pompier face a willis si c’est aussi bien gauler !