Un petit joyaux de cinéma hard boiled et de genre, complètement assumer dans sont machisme et ancrer dans des valeurs presque ancestrale avec se combat entre le bien et le mal et le cœur d’une femme au milieu. Déjà l’œuvre de walter Hill, sur toute sa carrière est déjà bien affirmé dans un style démonstratif droit au but, et ici on est témoin d’un alignement de planète entre plusieurs talents pour un résultat jouissif et stimulant.
Hill avait tâter différente approche, sous genre, époque, et ici il trouveras le parfait écrin pour laisser éclater toute sont énergie et sa hargne. Son style brut et efficace hériter de sont mentor Peckinpah est ici a sont paroxysme , une filiation éclatante , tout 2 cineaste des excès avec ses personnages typés et sa violence graphique ambiante . Oui, il signe ici sont wild bunch a lui, avec un face a face entre un Texas moite ou la loi est légèrement dépasser par sont époque , et le désert brûlant d’un Mexique picaresque presque encore coincer 100 ans en arrière . Une amitié virile , fraternel , un respect réciproque, tout les thèmes sont la , le carnage final jusqu’au boutiste a souhait en est la cerise sur le gâteau .
Et avec un mec au idéologie et une vision comme john milius au scénario qui construit sont histoire autour d’un noyau réaliste de contre espionnage militaire, de figure de style exacerbes et de scène badass qui se succèdent les uns a la suites des autres, ça ne pouvait que donner rien de moins que l’un des sommet du western moderne burner flirtant avec la série B d’action charger a la testostérone et qui suinte la tequila, le molard , la sueur , le sable et le sang .
Extreme prejudice c’est l’ordre de mission pour aller buter le colonel kurtz dans apocalypse now , milius le reprend pour tisser autour une merveille de caractérisation de personnage et une intrigue moins linéaire qu’il n’y parait . En effet la narration garde le suspense quand on réel intention de la death squad d’ironside , ils évoluent au début du film en marge des enjeu principaux , leur couverture est obscure , leur hierachie militaire , leur discipline brouille les pistes , et puis tout culmine avec des objectif commun pour un long voyage final au sud de la frontière , un climax qui c’est vue justifier tout le long du film .
Dans extrême préjudice les nombreuse scène d’action bien vénère , sanglante et mortelle , sont toujours justifier et on un but , que ce soit le braquage de la banque , l’embuscade a la station service ou toute les autres , pas de spectaculaire gratuit , ça fait mal , rentre dans le tas , toujours comme une mission a exécuter , il y a toujours une monter en puissance , des affrontement de regard , une rigueur pragmatique , qui superposer au contexte réaliste écrit par milius fond de ce film un fantasme concrétiser . hill gère a merveille sont rythme et en bon roublard il torche des gun fight lourd en bodycount et ionisation pictural et des séquence de tension purement atmosphérique avec brio ( geniallisime score de goldsmith ) .
La présentation en prologue du film de ces soldats officiellement mort et leur regroupement a l’aéroport , ou l’entrer de nolte dans le bar sous la pluie , c’est de la gourmandise visuel trop classe et il y en a beaucoup dans extrême préjudice .
Le déferlement d’artillerie fait entièrement partie de l’identité du film , un florilège balistique qui peut être considérer comme un trait de caractère , les fusil , revolver et autre canon sont montrer brillant au soleil , d’ailleurs le direction artistique retranscrit parfaitement la chaleur plombant qui ajoute au malaise cynique de pessimiste de chaque instant , et ce , même dans les scènes d’intérieur , notamment tout ces bar enfumer .
Bien que les persos soit relativement classique et simpliste, il en reste pas moins que leur fonction et leur présence soit multiplier par des dialogues épurer qui n’appuie jamais la punchline mais qui sur un ton sec en disent long .
Et puis le casting enormissime de tough guy qui joue en retenue sur l’amertume, l’envie de justice et même de revanche fait que chaque rôle a un vrai impact dans l’histoire .
Nolte est un ranger anachronique droit comme une barre d’acier , fait de principe et éthique professionnel qu’il ne cesse d’étaler lors de ces dialogues. Sa relation face a Power booth est un régale , chacune de leur rencontre électrifie l’écran et le triangle amoureux n’est qu’une perche tendue pour allumer la mèche déjà bien embraser .
Une petite inversion des symbolique avec le bon sheriff en uniforme noir et le bad guy narco-traffiquant en costume blanc , et au milieu , la bande a Ironside , dans la zone grise forcement , entre le bien et le mal , ils sont en marge , une unité zombie comme ils sont d’ailleurs estampiller …
Voila , extreme prejudice c’est de la bombe , c’est tout ce que j’aime et bien plus encore , et cette enieme vision en bluray bien propre avec un longue et recente interview de hill et featurette n’a fait qu’emplifier le respect et l’admiration que j’ai pour cette œuvre , et je vais meme lui trouver une petite place dans mon top 100