[Heatmann] Mes critiques en 2012

[Heatmann]

et encore la , Lou il a un peu la classe , y a bien bien pire niveau look dans le film

C'est vrai que je l'ai toujours pas vu celui-là, pourtant j'ai vu pas mal de trucs chez Lester, même certains de ses derniers téléfilms pour tout dire.

ben la c'est de loin , de tres tres loin , le meilleur film et taf en real de lester , commando a part le trip nostalgique toussa , ben c'est bien en dessous , la extreme justice ca fait pas dans la dentelle mais serieux et sans aucun coter nanard .
sinon moi j'aime bien sont Blowback a lester et surtout Night of the running man .

[Scalp]

Et merde on dirait qu'il n'y a qu'un Z1 sans sous titre de dispo pour ce film

[Heatmann]

c'est celui que j'ai en effet , apres bon les dialogues c'est pas super compliquer , j'avoue que je sait pas si y a d autre edition et/ou des titre alternatif pour ce film , mais sinon le dvd est super propre .

dans le meme genre , et toujour avec des looks de ouf , y a Renegade qui me fait de l'oeil , j en ai lue tout plein de bien , quelqu un l'a vue ? ( meme si je sais que je le prendrai a ma prochaine commande )

[Killbush]

Encore un truc qui a l'air bien bandant, dommage que ce soit sans st

[Heatmann]

STASH HOUSE - de edouardo rodriguez 2012 -

Vivement que les titres prometteur sorte au plus vite ( les 50 cent , le steven vs austin , le dolph vs cuba , le dolph vs austin , universal solidier 4 , El gringo , et d’autre truc pas encore en promotion ) parc que la ça continue dans les dtv pourrie cette année , on est deja fin juillet et y a rien eu a sauver a ce mettre sous la dent .
Stash house , un home invasion pantouflard et moche , déjà ça prend 25 minutes de néant sitcomesque a présenter le couple de puceaux tout droit sortie de beverly hills ( sean faris a une sacrer tete a claque ) et placer l’intrigue de home invasion . c’est seulement a ce moment la que Dolph apparaît enfin .

Le script il est pas original mais on s’en foutait un peu de ça, c’est évidemment un mix entre panic room ( que j’aime deja pas du tout ) et Hostage ( mais juste dans l’idee hein ! ) .
Dire qu’il ne se passe rien est encore gentil ! ils se cachent dans le placard , font diversion dans le jardin et le top de la violence visuel c’est un raton laveur buter de sang froid par le sidekick de dolph et balancer a la tronche de la nana pour lui faire peur et montrer qu’ils deconnent pas !! tout ça , et déjà 1 heure de passer…
Sur la fin la nana se transforme carrément en total mongol , la maison regorge de tunnel , porte cacher , vitre blinder , le rêve pour un film de cache cache géant sauf que c’est tout gentil , inoffensif au possible et que ça parle beaucoup . les 5 derniere minutes c’est la fete du slip niveau twist , retournement de situation , ah non mais enfaite il etait pas mort !!!

La réalisation c’est affreux, cheap a en crever, une photo laiteuse degeulasse , et plus de la moitier du film est vue a travers les 12 000 camera de surveillance accrocher partout dans la maison , mais ça crée aucune tension vue que les perso sont inexistant et tellement débile ( les réaction de la nana sont digne d’un scary movie ) et antipathique qu’on veut les voir crever . D’ailleurs le seul bon point du film c’est dolph . très classe et charismatique en bad guy un brin psychotique sur les bord , mais quel dommage qu’ils soit si sous utiliser , et du coup on est vite de sont coter quoi , enfin il pose un jolie headshot sur une petasse blonde et les dernieres 20 minutes meme si elles sont ecrit a l'arache , c'est bien plus rhytmer et le dolph show se venere un peu

Une merde mais dolph est bien , enfin ca reste mieux que la plupart de ces trucs roumain des 00's vue que ici ca ressemble a un telefilm ricain , mais dolph merite bien mieux . le tresspass de schumi est bien mieux et pourtant c’est une merde aussi .

3/10

[Heatmann]

L'extreme limite - james B harris 1993 -

Un wesley peu connut, et il mérite à rester dans l’ombre. Je suis déçus je croyait dénicher un polar a réhabiliter, et bien pas du tout, c’est pas très bon. Pourtant le script a été écrit pas l’auteur du bouquin dont il a été tirer, gerald petlevich , ancien flic reconvertie en romancier et scénariste de cinéma et quand on voit que c’est lui derrière to live and die in LA on se demande ce qu’il c’est passer sur boiling point ( on retrouve d’ailleurs le même perso de l’avocat usurier max waxman ) .

La réponse est simple, on a déjà a la base une histoire vraiment banal et puis aussi quelque massacre de producteur qui on changer d’avis pour vendre leur film. Al’origine tourner avec hopper en lead , centrer sur sont personnage , qui cabotine comme un ouf en arnaqueur qui cherche a éponger ces dettes en sortant de prison , sans le savoir il bute un flic undercover , dont le partenaire ( un wesley snipes transparent ) va tout faire pour trouver le coupable . Entre temps Snipes est devenue une action star avec passenger 57 du coup le film est remonter en coupant des scène de hopper , reshooter d’autre avec wesley et même essayer de faire croire a un actioner , du coup le résultat plafonne a 1h25 et on se dit qu’il y a eu une couille .

Un polar a enquête sans perso , sauf que l’enquête aussi est bien décousue et en second plan . les rajouts ou snipes est tourmenter par sont fils et ex femme ça tombe comme un cheveu sur la soupe , de même que sa liaison avec davidovich , on sent vraiment les grosse coupe , on passe d’une scène a une autre sans raison , sans liens , c’est confus , bordelique et du coup créer d’énorme coïncidence .

Et pis c’est super moue, il se passe pas grand-chose, le seul bon truc a sauver c’est mortensen , même si il a 2 de tension ça scène de deal est classe , tendue et enfin un coup de feu .
Hopper est assez ridicule, il est teint en rouquin et sont rôle semble peut sérieux. lui aussi se tape un background personnel bidon avec sa vielle grosse femme et sa rencontre avec davidovitch , tout cela va nulle part et apporte rien . bref un polar chiant , des persos peut intéressant et surtout une enquête massacrer par des coupe et rajout qui empêche toute crédibilités a cette traque et investigation , on a l’impression que y 2 bad guy dans toute la ville et que snipes perd beaucoup de temp a trouver un mec que tout le monde pointe du doigt .
Reste un bon viggo qui disparaît du film sans prévenir , pareil pour tony lo bianco excellent en parrain mafieux mais qui a vue sont rôle charcuter et une bonne ambiance urbaine .

4/10

[Scalp]

Il a répute de merde celui là quand même.

[Heatmann]

ouai souvent des sale note et critique , mais j'ai trouver un site francais sur le cine ricain 70's/80's qui en parlait et ils ont bien craquer , pis je pensais que petlevich avait accoucher d'un film incompris par ceux qui attendais un action wesley au lieu d un polar noir , et ben non , c'est nul pour de vrai

[Scalp]

Je crois bien qu'on trouvera plus de polar méconnu qui soit une pépite, faut se faire une raison

[Heatmann]

j'y croit toujour moi ! par contre ca fait aller fouiller dans des coin sombre et ca devient de plus en plus risquer j'ai encore quelque truc en stock la que me laisse une lueur d'illusion on verra .

[Heatmann]

A contre courant

- mike kirton 1998 -

5/10

C’est pas génial mais se regarde, déjà d’emble faut le dire, ça ressemble a rien , enfin plutôt a un long épisode de série tele cheap oublier des 90’s. pas de cachet cinéma du tout et filmer a l’economie platement a part 2/3 plan iconique , mais on est loin de red hill . pour faire bref , le debut et la fin bien , au millieu y a une enquete relou et des sidekick nanardesque .
Bref , sinon ben un polar fortement mâtiner de neo western , c’est en effet le concept sur appuyer .
glenn joue vraiment le Last marshall , un texan qui voit une prise d’otage dans une église mal finir , mais qui cache un contrat la dessous . Apres un rapide passage a l’osto , il se met en chasse des malfrats , ce qui le conduit a miami . glenn c’est le marshall texan typique dans toute sa splendeur , alcoolique , vieux grincheux , raciste , bourrin , et ne s’exprime uniquement en punchline . forcement dans un miami bling bling il a du mal a s’adapter , voyez le genre .

C’est quand même fun car très con et sans contrainte de studio , ça bute du prêtre , femme , enfant , civils et le langage est bien croustillant . L’image du cowboy rester a l’age de l’old west qui sort ces guns après avoir poser des question et trop caricatural mais en mode détente ca passe.
A miami ça grouille de petite frappe cubaine , glenn les mates tous , il est excellent glenn en vieux reac badass et pis le boss local n’est autre que William forsyth qui joue un parrain d’origine allemande !
Apres une bonne intro vénère et un débarquement en Floride prometteur tout le milieu est un long ventre mou , cheap et racoleur , y a même des scène de cul hollywood night . c’est meme pas une serie b , juste un telefilm bourrin ( ca sort les guns pas timidement et le final c'est overdose de surenchere d'action ) mais con et kitch comme un walker texas ranger .
Le final remonte le niveau avec démastiquage de la villa du kingpin facon scarface avant de conclure sur une poursuite en speedboat versus une moto sur la riviera comme dans le film starsky & hutch .

[Scalp]

Tu le vends pas trop mal quand même.

[Heatmann]

arfff , c'est parcque glenn en mode badass vieux reac ca me fait kiffer , mais serieux c'est le genre de truc tu tombe dessus tard le soir sur des chaine chelou
le mix neo western du fond du texas qui insulte tout les mexicain , indien , cubain , et qui deboule dans un miami carte postal c'est fun , punchline bien raciste et bien 80's , mais le millieu c'est raz des paquerettes .
bon pas deplaisant quand meme , mais c'est pour public avertie c'est certain .
j'ai un bien meilleur souvenir de Night of the running man a revoir tient celui la

[Heatmann]

Code Mercury

- harold becker 1998 -

5/10

J’en est toujours conserver un sentiment moyen de code mercury , et bien c’est exactement toujours pareil ! Pas de réévaluation. Je pourrai copier-coller mon avis de striking distance tant c’est dans la même ligner et les pour et contre sont semblable. A savoir un thriller qui se regarde sans grimacer, sans gros temps mort mais vraiment pantouflard et mollassons. Du thriller pour papa le dimanche soir en prime time TF1 , production générique ou papy harold becker ( très bon sea of love , excellent city hall et puis aussi malice ) fait ce qu’il peut pour créer un peu de suspense et soigner quelque plan mais il peut pas fait de miracle avec un script fadasse enfilant les poncifs les uns apres les autres et un cahier des charge willisien trop présent .

Comme pour piège en eau troubles, ici aussi on a un très bon prologue ou on se dit qu’enfaîte le film va être excellent, un braquage qui a évoluer en prise d’otages qui rentre bien dans le lard , avec un bruce undercover , alors c’est la bonne excuse pour lui créer un trauma a 2 balles et justifier sont attachement et opportunités de rédemption avec le gosse plus tard . Malheureusement la suite c’est convenue et prévisible. L’originalité du sidekick de 9 ans et autiste c’est la fausse bonne idée, le traitement de l’autisme c’est epic facepalm , un horreur surligner avec en plus une mise en scène et des effet sonore lourdingue ( et pis le score de john barry est indigeste a souhait ) . mal renseigner , mal diriger , le gosse est une vrai plaie du début a la fin .
Bruce est monolithique a souhait , il a pas grand-chose a faire pendant la grosse moitié du film , mais bon quelque poursuite et face a face avec le hitman de la NSA ( bonne gueule cette acteur , un des meilleur roles du film aussi ) sentent bon le Mclane light .

Baldwin un manipulateur très tres méchant est pas mal ( bon bonus pour buter la mère et le père du gosse , scene bien efficass ) mais on a pas trop le sentiment d’une vrai menace comme dans ennemi d’etat . les 2 geeks qui travaille sur le code c’est dans la même ligner de rôle sans saveur vue trop de fois qui garnissent le script qui niveau conspiration est pas bien malin . La nana trouver dans le café c’est bien a l’arrache , de même que le pote chef de la police qui débarque toujours au bon moment pour aider bruce alors qu’il est limite ennemie publie numéro 1 .
La moyenne quand même pour les 25 première minute , le tueur , Bruce , la scène qui enchaîne poursuite avec l’ambulance puis séquence fight contre peter stormare dans la train , ah oui et le final sur le toit c’est bien laid , du fond vert qui vieillit tres mal .

[B00lz]

C'est bien le film avec le gamin caché dans le placard au début ? J'avais pas survécu longtemps.