Dure de faire un « critique » de danse avec les loups.. Surtout que récemment il y en a eu d’aussi complète sur le forum, et que ces 10 évidemment mériter on fait des éloges logique a ce monument.
En plus malgré le profile risquer vue le genre, le budget ( dont la moitié venait de la poche de costner lui-même ) , la durer et le ton au début des 90’s , ben le film fut un succès mondial public hallucinant , touchant les spectateur par sa beauté , sont héros , cette amitié et un message qui force le respect et admiration et aussi un succès critique et médiatique façon raz de mare ( c’était le 1er western a gagner l’oscar pour best movie depuis cimarron en 1931 ) . donc je sais pas quoi rajouter qui a pas déjà été dit , et puis c’est intimidant tellement le film est riche en propos et thème fort , tous évoquer avec grâce et intelligence .
Une aventure au proportion épique dans la logistique et étendue naturel tout bonnement captivante, aux proportion humaine, philosophique et historique qui tiennent de la fascination collective tant on reste en admiration de la toute première image jusqu'à la dernière, et la version ciné de 3 heures était parfaites, la DC de 4 heure l’est encore plus ! (Notamment le rajout de la scène ou les sioux célèbre la mort des chasseur de peau de bison ou celle au début ou le major qui affecte dunbar commence a delirer , se pisser dessus , puis se suicide , la scène de la boite de conserve et plein de scène avec two socks ) . Costner créer une véritable odyssée dans les prairies du dakota du sud , le dernier état civiliser avant l’ouest encore inconnue , intoucher , sauvage . les repère de temps et espace sont peut important ici , d’ailleurs kevin n’en met pas , le chemin jusqu’au fort abandonner , les repérage aux alentours , les rénovation du fort , on sait pas combien de temps s’écoule ni les distance avec le camp de sioux , le temp passe et on se régale de chaque instinct presque égoïstement , couper du monde , loin de la folie de la guerre .
I'd never known a people so eager to laugh, so devoted to family, so dedicated to each other. And the only word that came to mind was harmony
Forcement la contemplation de chose simple , le détail hautement authentique des coutume de mode de vie indien prennent ici la place la plus importante aux yeux du réalisateur qui traite cela avec un lyrisme chaleureux et évocateur ( quand dunbar est réveiller par le troupeau de bison de nuit c’est juste irréel quoi ) , les rituel comme les peinture du guerre sur les chevaux sont aussi attentif que la construction des tipi , une observation et témoignage ethnologique de la chose . On passe d’une élégie respectueuse des sioux a une destiner plus romantique et sentimental en créant des lien d’amitié déchirante de compréhension et de valeur universel.
La fameuse frontière que dunbar souhaite voir avant qu’elle ne disparaisse, et c’est la un peu tout le fond du film. C’est le projet de dunbar et c’est aussi celui du film . Le prologue qui montre la barbarie de la guerre , les amputation , les généraux bien percher en haut de collines venus admirer le massacre , et meme le suicide rater du heros , il représente un coter de cette frontière qui prend un vrai sens métaphorique sur tout le métrage . alors la frontière entre la civilisation connue , et les terre encore vierges . C’est plus que ça , c’est 2 univers . La guerre et la paix, le connu et l'inconnu, la folie et la sagesse, le bien et le mal, la vie et la mort, le même et l'autre. J’aime beaucoup l’ajout de toute la séquence du major malade et incurable , presque fou , dans la director’s cut , celui qui donne le poste a dunbar qui le demande apres le prologue , un mec dont l’incontinence est le signe de la dégénérescence de sa nation et qui devant la sereniter trouver de dunbar , décide de se suicider a sont tour , un scène forte .
Bon alors la dualité ici est fondamentale. D'un côté on a un idéal de vie communautaire, la solidarité sans attente d’un truc en retour, le respect de l'autre et de la nature, la sagesse … et pis de l’autre il y a l'individualisme forcené, l'égoïsme, le profit immédiat ( le soldat qui vole le journal de dunbar pour finir par se torcher le cul avec , ou qui tire sur le loups juste pour le plaisir alors qu’en prenant sont temps et étant calme et ouvert , il n’était pas une menace , moi j’ai les larmes qui monte a chaque fois quand on a ce putain de plan sur two socks mort ) la destruction de la nature ect… et au milieu donc on a dunbar , le juste milieu entre les 2 , l'harmonie .
Bon alors ouai ce schéma est forcément un peu simpliste. Mais c’est de la que la morale du récit prend sa force car c’est avec tout ces infinis détails avec lesquelles costner raconte tout cela , avec la justesse de l’acting et la crédibilités des emotions qu’il rend la leçon acceptable et convaincante , moi a la fin j’ai qu’une envie c’est partir vivre dans une tente dans les bois , parler au hiboux et me faire mes propre fringue en peau de castor quoi . le style de vie et l’attitude des sioux est loin de tout stéréotype et la relation au cœur du film est justement bien étaler tout au long du film , c’est pas précipiter , le rythme bien que lancinant est juste parfait , comme un bon livre qu’on ne veut pas finir .
I had never really known who John Dunbar was. Perhaps because the name itself had no meaning. But as I heard my Sioux name being called over and over, I knew for the first time who I really was.
Bon tout les indien ne sont pas des saint . Les Pawnee sont la et bien cruels , ils butent le paysan qui a escorter dunbar au fort juste pour avoir un scalp et pis y a le flashback qui explique le background de Stand with a fist . Costner ne cache pas la violence, ni la mort , ni le sang , on est plus proche de Soldier blue que de little big man . Y aussi la frontière qui existait déjà a l’intérieur de dunbar , un idéaliste qui comprend sa voie et se reconnais seulement quand sont nom sioux est prononcer . le film est un parcours imager et concret, une ouverture, une prise de conscience, un rite initiatique .
Tout le film , depuis sont tout 1er plan en vue subjective ( on peut pas être plus claire la ) ou il coupe sa botte, sera vue depuis les yeux de dunbar , il observe , contemple tout a ces alentours, les paysage , les animaux , souvent avec sa longue vue , c’est depuis dunbar qu’on les perçoit . Pour cela costner abuse donc logiquement de grand et vaste plan large , de panorama a perte de vue , des ligne horizontale vertigineuse qui montre la place que dunbar ressent dans ces espace , pis en plus c’est super beau donc sa fait d’une pierre 2 coup vue que la photo et les cadrage de dean « lonesome dove » semler ( lonesome , auquel costner rendras hommage lors de sa prochaine réalisation qu’il bati et finance lui-même , open range , une veritable lettre d’amour au perso de Gus que duvall reprendras presque a l’identique , la boucle est ainsi boucler ) tue la gueule méchamment .
la voix off quasis omniprésente de dunbar ajoute encore plus dans l’esprit que le film est comme un recueille de ces penser , et puis de grand plage du métrage sont silencieuse quand dunbar et seul au fort et permet ainsi de partager sa quête spirituel et ces états d’âmes , plus que jamais l’identification fonctionne au maximum .
Costner oublie pas de mettre le paquet aussi sur les scène d’action , il y a la séquence hallucinante de chasse au bison , un troupeau de millier de bêtes lâcher en pleine furie ( pour la petite histoire , dans le bouquin c’est des commanche que dunbar rencontre , mais costner a eu la benediction de sioux de tourner dans leur reserve et c’est eux qui ont mis a disposition leur propre troupeau de bison , donc costner a fait l’ajustement et le rendre hommage ) , et les archer au milieu , un montage qui fait des merveille pour décupler le sens épique et l’impact de la prouesse , 9 camera dont certaine opérer par kevin reynolds d’ailleurs , l’assaut sanglant des pawnee sur le village de ten bear avec beaucoup de steady cam immersive au cœur de la bataille et le commando de brave guerrier venue le libérer rappelle les meilleur attaque d’indien des grand classique , a la différence qu’ici il est prisonnier des soldat de l’union et que les sioux sont les « bons » , un idéalisme qui tranche , les tunique bleus sont belliqueux et féroce .
L’adieu forcer dans la final sous la neige ( merveilleusement pictural ) est puissant et émouvant , kicking bird cherche a tout prix une pipe de cérémonie a offrir a dunbar ( l’échange de connaissance , de culture , de cadeau , et une thématique tout au long du film qui est une métaphore sur la soif d’apprendre de l’autre , que ce soit le cafe , le chapeau , les offrande pour une demande en mariage ect..) , les hurlement de wind in his air du haut de la falaise résonne dans la vallée .
John barry créer des thème qui suivent la narration classique du film , de grande envoler majestueuse qui monte en puissance dans les prairies vide et s’affole d’héroïsme pendant les scène d’action , tout est fait pour créer une illusion totalement crédible , un niveau de réalisme envoûtant et de détail jamais atteint ( des petit détail comme la relation entre kicking bird et sa femme, leur discussion au lit ou le changement graduel de l’uniforme et du look de dunbar , la rénovation puis negligage du fort ) les saison change , les couleurs des arbres aussi , le ciel et le climat évolue .
Danse avec les loups c’est la vie , l’un des plus beau film de l’univers , aussi bien sont fond et sa forme , c’est donc en total harmonie , ou quand les intention d’un homme , d’un cinéaste , d’un écrivain , fusionne avec brio pour servir une culture et conscience collective , danse avec les loups est un film que le monde avait besoin de voir et d’avoir . un film qui fait du bien a l’esprit , qui fait du bien au cœur et qui fait du bien a l’ame .