[Heatmann] Mes critiques en 2012

[Heatmann]

ben le monde se divise en 2 categorie , ceux qui aiment le mohican et john huston , et ceux qui aiment the eagle et mari antoinette , toi tu creuse

[Alegas]

[Heatmann]

LE DETECTIVE - 1968

Bien que datant de 68 , the détective a déjà tout ce qui fera le polar urbain ricain des 70’s avec sont ambiance du bitume si froide , grisonnante et a fleur de peau .
Sinatra dans un role moin flamboyant que d’habitude mais de loin l’un des meilleur performance de sa carriere d’acteur , un flegme taciturne proche de clint , un flic forcement bien cynique , désabusé qui doit resoudre un meutre d’un PD , un meurtre bien anti gay, bien brutal avec mutilation a la clef , et tout ca commencera a reveler une corruption policiere allant jusqu'à city hall , la mairie de New york .
Les theme plutot audacieux sont tacler avec la subtilités de l’époque et le panache d’un dirty harry , alors en plus de l’homosexualités ( ca va c’est bien moin glauque et cliches que chez friedken , et surtout plus prenant niveau enquete quoi ) y aussi la nymphomanie puisque la femme fatal du film qui empreinte pas mal au film noir aussi , est une folle du cul !
On plonge dans une epoque ou tout commence a partir en couille et ou les flics on du mal a faire respecter la loi sans enfraindre leur code de conduite , sinatra est bien solitaire , les gens le repugne il croisent tout ces deviant et cherche a faire sont enquete , on dirait un travis bickle mais saint d’esprit .
on dirait un peu du lumet qui aurai eu envie de faire un film a la limite de la transgression et des taboue mais la ou c’est intelligent c est que c’est dénuée de complaisance et du moindre compromis .
c’est jamais moralisateur non plus et les personnage sont aussi travailler que la mise en scene ou le decorum , limite ici d ailleur le bad guy c’est sinatra en flic homophobe et violent mais justement on l’aimerai presque pour ces raison , c’est ambiguë et tout ce qui fait le charme perdue du cinema de cette epoque .
Le montage est bien sympa et montre toute les idee de realisation , entre des gros plan et plan ample a la grue et meme des scene graphique oser ( un suicide en vue subjective ! ) . bref un tough cop dans les bas fond de manhattan qui se la joue subversif et en plus y a robert duvall en second role alors c est encore mieux . je met pas plus car j’ai mit 7.5 a the seven ups qui est bien meilleur quand meme .

7/10

[Scalp]

Même le poster est classe, tu m'as bien convaincu.

[Heatmann]

De si jolis chevaux

6.5/10

Un jolie petit film , pas exempt de défaut , mais pétrie de bonne intention , avec un beau message , une philosophie a laquelle j’adhère et un film forger avec un respect old school qui fait que forcement ça élèvent le truc et le rend attachant .
Faut pas trop si fier au titre un peut cul cul qui est pas forcement perspicace et l’affiche a l’eau de rose qui représente mal le propos principale du film ( imaginer juste le poster sans les 2 tete de damon et cruz , et ca vous donnera le vrai parfum du film ). Alors oui il y a un petit coter naïf et une histoire d’amoure , mais sur les 1h50 de film il n’y a au final que 2 passage sur les tourtereaux et puis ça arrive tard et disparaît bien avant la fin sans finalement être si important que ça dans le récit .

Pendant 45 minute le film est lent , calme , tranquille , virtuellement ça raconte pas grand-chose mais ça le fait très bien ! 2 jeunes texans qui ont toujours rever de bosser dans un ranch et partent aux Mexique pour y trouver leur Eden parmi les haciendas les plus luxueuses .
Un film qui prône des valeur de libertés , de travaille de la nature , la vie au ranch , l’exploitation du bétail mais aussi et surtout un amour et respect des chevaux . Un hommage a ces homme du ranch qui dans les années 50 on commencer a disparaître, tout comme l’avait fait peckinpah avec junnior bonner dont on sent que billy bob thornton a aimer et voulais apporter sa pierre a l édifice, bien aider en adaptant Mccarthy qui lui pose une bonne histoire et sont savoir faire narratif .

Ca se passe en 1950 mais on s’en rend quasiment jamais compte, techniquement oui c’est un neo western, mais tout est la sur la forme et dans sont propos pour être devant un bien beau western pur et dur . bon pendant 50 minute c’est presque la perfection , rythme lancinant , on prend le temps de vivre , de parler de ce qui anime ces personnage mélancolique du temps des cow-boy … c’est pas la carte postal comme le redford ( horse whisperer ) la on pense surtout toute proportion garder a open range ou légende d automne . D’ailleurs all the pretty horses est Très dans l’esprit de costner .

Bon la love story apparaît finalement qu’après ¾ d’heure et on juste 5/10 minute bien insipide ou damon et cruz tombe follement amoureux en 2 regards .. Évidemment c’est un amour impossible. bon c’est vite abandonner pour laisser place a un événement dramatique qui fait basculer le film apres 1heure , le ton change , le décors aussi , et la , la mccarthy touch apparaît , d’un cadre idyllique on passe a la prison , la mort , la violence . un passage dans une prison bien glauque ou on sent que le mec derrière no country a eu envie de faire un film avec un peu plus d’espoir et croire en l’homme mais qui ne peut renier ces envie de noirceur .

Damon reviendras voir sa dulcines et on a un peu de ventre mou a base de melo mais heureusement penelope se barre dans un train de façon plutôt sobre , sans des litres de larmes , enfaîte c’est pas du tout ce qui intéresse le réalisateur , bon quand les 2 se font des bisous c’est nul , mais c’est pas si présent que ça . Et damon repart, bien désabusé, régler quelque compte et trouver sa place dans se monde . On a droit a une petite embuscade bien sympa super bien mise en scène . Et puis tout ce final avec le juge , c’est le genre de truc humaniste qui fait plaisir , plein d espoir , de tolérance , et la scène qui clôt est belle et simple et en fait un film sur l amitié aussi .

La Réalisation c’est superbe. Tres classique , et aussi très embellie grâce a de superbe paysage, cadrage fixe souverain et profondeur de champ qui remplie le scope , a l’ancienne donc c’est beau et ça fait plaisir.
Voila , j’aurai pue mettre bien plus ( et le film a une belle cote dans mon cœur ) mais le casting pue du cul . Damon en lead ça le fait pas , un rôle comme mqueen chez peckinpah , faut voir le gouffre niveau charisme et amertume chez le personnage , il est trop tendre . henry thomas pareil , il est bien mignon fait a plus sa place a brokeback mountain qu’ici . pénélope est belle mais c’est mieux quand elle ouvre pas la bouche et les 2 séquence sur leur couple plombe ce qui aurait été un vrai petit 3 burials like .

[Scalp]

Les captures sont belle mais vu ce que tu dis sur le trio d'acteur ça me donne pas trop envie, en plus ça a pas l'air original

[Heatmann]

ah ouai c'est carrement pas original , du bon vieux film simple et beau sur des mec qui ne trouve plus leur place dans un monde moderne et regrette le temp revolue des cowboy et valeur simple d'entre aide et amitier , t'imgine comment c'est encrer dans notre epoque

ouai le trio d'acteur c'est assez fade , dommage car en l'etat si on changait le cast c'etait un bon gros point en plus , malgrer la gueule a damon qui nous fait regretter un barry pepper ben ce film je le trouve tres attachant , une phylosophie old school et humaniste qui fait plaisir , pis la petite Mccarthy 's touch qui eclate par moment , 1 moitier de film a la costner , 1 passage en prison assez No country et un final a la junior bonner , alors y 2 moment Melo a la con , mais sinon c est bourrer de bonne intention et le film a une belle petite place dans mon coeur

[Heatmann]

Sherlock Holmes 2 : Jeu d'ombres

Bon Sans surprise j’ai souffert , madame a fait des pieds et de mains pour le voir , j’avais déjà pas vraiment aimer le 1er et cette relecture un brin putassiere de sherlock et la on a le syndrome de la suite sans finesse , qui va nulle part et apporte rien , surtout que tout le coter « décales » du personnage et encore plus présent et appuyer , Robert downey ne joue plus le rôle de sherlock mais belle et bien sont propre rôle maintenant , j’ai eu le feeling d’être devant une parodie du 1er film.

Downey se déguise comme kilmer dans le saint ou willis dans le chacal ( référence de qualités ! ) le summum c’est quand il fait le travelo , en plus la séquence dans le train c’est immonde quoi , on dirait involontairement un « rêve » de sucker punch , pareil plus tard pour la scène en foret aussi gratuite que poussive dans ces intention d’en mettre plein la vue ..
L’action ne prenait pas trop le pas et il y avait un peu de sérieux dans le 1er , la c’est la fête du slip , un clown , il fait sont show , scène après scène , jamais avec retenue , du cabotinage sans limite , j’était au bord de l’exaspération … pis alors la c’est un seagal victorien vue que dans chaque lieu ou il entre il se fight et balance les gars par les fenêtres . Bon l’histoire c’est du grand n’importe quoi . on dirait une « intrigue » d’un besson shooter par un paul anderson sous coke ! (d’ailleurs sont 3 mousquetaire est moins relou et a un meilleur casting ) .

La reconstitution est encore plus artificiel , c’est bling bling et too much , numérique raz la gueule , on se croirait devant une prod design a la subtilités et crédibilités digne d’un baz luhrman .
Au moins dans le 1er on avait un bad guy plutôt pas trop mal ( je peut mettre 5 a sherlock 1 ) avec un mark strong bien ténébreux , charismatique et menaçant , autant la jared harris je le trouve carrément pas convaincant son moriarty ( climax tout pourri inside ) , noomi rapace elle fait peine et se fait éclipse par rachel mcadams on se dit déjà qu’il y a un soucis dans la direction d’acteur ! et je parle par évidemment de kelly reilly qui resplendit et fout la misère aux autre nana mais qui est cruellement sous utiliser , pareil pour jude law , très digne qui gagnerait a avoir sont spin off loin de l’autre boulet .
Je preferai revoir iron 2

3.5/10

[Jimmy Two Times]

Faire des concessions pour l'autre, c'est beau l'amour! Je compatis.

[Dunandan]

Quelles bouses j'ai dû voir aussi (Comme la dame en noir ..., pour certains le fait de faire une gueule d'enterrement signifie bien jouer )

[Killbush]

Ah ouais Radcliffe il est mauvais là dedans, on dirait qu'il décuve de la cuite de la veille à chaque apparition

[Heatmann]

Dos au mur

Petit plaisir sympa pour ma part ce man on a ledge , bon c’est vite oublier et faut pas être trop regardant sur de grosse facilites , invraisemblance ou coincidance dans le script , mais sinon ouai j’ai bien ete tenue en halaine pendant 1h35.
Un sorte de Phone booth meet the negociator , ça fait penser a un thriller polar très 90’s , alors c’est pas finot mais ça brasse plusieurs genre et aspect qui font que le suspense et surtout le rythme est souvent renouveler . la partie négociation est pas la plus réussit , surtout que le film pêche pas mal a cause de plusieurs miscast avec en tete une elizabeth banks qui ne vas pas du tout au rôle ( pourtant je l aime bien elle ) , une soit disante flics apparemment a la dure et qui en a vue et elle a le look limite glamour , pis manque de mordant et crédibilités , en plus sont trauma est bidon et superflue .

Le bluff du mec qui veut se jeter sa s’essouffle vite mais pourtant même si on reste la haut pendant un moment, c’est pas chiant vue que ça varie les point de vue , les personnage et les enjeu .
Worthington il s’en sort très bien , il est impliquer , ces détracteurs évidemment ne le verront pas de cette œil , perso je trouve même que c’est le type de rôle et film qu’il lui faut , il porte bien le film et quand il se vénère au début en prisonnier puis s’échappe , c’est parfait .

Le petit ajout de caper movie sur le coter est sympa , dommage que jamie bell soit toujours aussi fade ( je l’aime vraiment pas lui ) il est aussi transparent en cambrioleur qu’en légionnaire romain .
Alors par contre le film permet de révéler une trouvaille de toute beauté : genesis rodriguez , une potiche de prime abord , dans la veine de jordana brewster , et enfaîte elle assure bien niveau acting , tough girl mais alors uber bonnasse , je suis tomber amoureux , en plus elle nous fait une halle berry comme dans swordfish complètement gratuitement , je vais suivre sa carrière c’est évident !

Anthony mckie et titus weeliver ( the town ) apporte un peu plus de profondeur au script avec des soupçon de machination et corruption policière . Edward burns fait le flic de base qui reste dans le fond , mais c’est un bon gars, pis ed harris en mogul crapule sa le fait toujour surtout qu’il abuse de sont charisme ! j’ai bien aimer cette mise en scène qui me rappelle l’enjeu de barbet schroeder , ça en fait pas des tonnes , mais choisit toujours le bon angles , un montage vif et pis ça utilise bien l’environnement new yorkais .
Bref j’aurais pue mettre un peu plus, mais la fin est vraiment poussive , les course poursuite sont sympa j’ai rien contre , de meme que l’intervention du swat , mais c’est ce final sur le toit qui est vraiment écrit a l’arrache et un épilogue cul cul pire que italian job . ça reste quand même efficace

5.5/10

[Criminale]

Quand j'ai parlé de ce fil avec tous mes potes, peu importe lesquels, le premier truc dont on parle c'est "putain t'as vu la meuf comment elle est grave". Et ya pas à dire, elle est vraiment ouf !!!

(Puis se dire qu'elle est avec Jamie Bell dans le film )

[Heatmann]

Knights of the south bronx - Allen Hughes 2005

Vous vous souvenez dans fresh quand le perso de fresh va jouer au échec avec sont père Sam jackson ? Le jeu de stratégie etait utiliser comme un véhicule de communication entre un père qui fait aussi figure d’instructeur de la vie , une connection éducative entre un père , un adulte issue du ghetto mais qui a évoluer en personnage responsable et ne s’apitoyant pas sur sont sort , pas de fatalisme due a sont environnement et delivre sont message et ces conseil sur sont experience pour guider sont fils , les échecs était une métaphore pour calmer les esprit et expliquer les dynamique de vie et survie dans le hood , et ben ce knight of south bronx c’est pareil sauf que tout le film est consacrer a ce sujet .

C’est baser sur une histoire vrai , alors oui c’est un brin naïf ce discours qui prône des valeurs de tolérance et apprentissage qui semble facile a gober pour ces petites racailles , leur désavantages est compenser par un nouveau sens que les échec leur apporte et de l’inspiration de la part d un role model . bon ca tombe pas dans le mélodrame moralisateur comme le cercle des poète disparues car ici on a Allen hughes a la réalisation et le Bro , car même si c’est prévisible , il apporte sont grain de noirceur , ou plutôt de réalisme crue a la chose .

C’est pas violent, cash et n’a pas la vocation de faire une version maternel de Menace II society mais on sent d’où vient hughes qui n’édulcore pas trop sa description du quotidien et responsabilités de ces jeunes ( bon le media telefilm de luxe bride un peu ces ambition de mise en scenes ) , ce n’est pas a montrer au plus jeunes , le langage est sans censure et on ne cache rien mœurs local ( l’affiche est trompeuse car c'est plutot "juice les jeunes aneees" ici ) .
un feel good movie plein de bonne intention et qui pour le coup a bien fait d’adapter un fait divers qui laisse espoir et apporte de l’humanisme et montre un beau coter du bronx dans les 90’s sans non plus baisser sont froc .

6/10

[Scalp]

C'est un film ou un téléfilm ?