Bon ben ça se confirme haut la main, Empire of the sun c’est tout simplement mon Spielberg favoris avec War horse ( d’ailleurs je me rend compte que dans sa filmo ces 2 films sont vraiment proche sur moult point ) , Alors ok Raiders of the lost ark j’adore aussi mais entre guillemet c’est juste « fun » et il complète quand même mon top 3 ( avec munich et Private ryan formant eux mon top 5) .
Ici Empire of the sun c’est de l’émotion et un claque monstrueuse dans la gueule , un film que je vit sans retenue pendant ces 2h25 qui passe a une vitesse folle , une intensité et sentiment de compassion , de compréhension , d’attachement , se noud avec le héros et pis le spectacle offert pour nos rétine est juste inouï .
L’enfance c’est un des thème si ce n’est même LE thème de prédilection de l’œuvre de Spielberg, et ici il en livre sa meilleur et plus lucide vision puisqu’il arrive a en conserver tout le coter « fable » et émerveillement qui décrit si bien le réalisateur ( ici surtout présent sous forme de mise en scène plastiquement très pousser , et séquence onirique qui font irruption au milieu du chaos) tout en livrant un film a l’Histoire dur , sombre , un vision de l’enfance plutôt cynique qui n’occulte jamais les horreur de la guerre ou cruauté de l’âme humaine . Tout est suivit depuis le point de vue du petit garçon et il sera souvent victime des adulte (que ce soit américain , japonais , chinois , anglais ..) qui l’utiliserons , du coup il se débrouille lui-même la plupart du temps , ne compte sur personne même si il cherche toujours des amis , des figure model , il s’adapte a toute situation malgré les grande désillusion qui frappe tout au long du film a intervalle régulier .
Moi ce qui me fascine et plait tellement c’est tout ça justement, cette espèce de coter Oliver twist , un destin qui méritait largement un film ( script baser sur un récit autobiographique ) tellement c’est Romancer et au figure de cinéma déjà bien présente mais aussi terriblement encrer dans un réalisme historique , un contexte guerrier sans concession ou la mort et le sang resurgissent a chaque lueur d’espoir ou de stabiliser que le perso de bale trouve . Même si ça finit « bien » est souvent très sombre et les images sont puissante.
Apres une séparation déchirante lors d’un séquence de foule magistralement orchestrer , le jeune jim est laisser libre a sont insouciance , rapidement la faim et les nécessites de la vie lui rappel qu’il doit grandir et se responsabiliser ( très bien la transition en douceur entre le fils de bonne famille a la bonne éduction habituer a être servit , en petit rat de camp qui se demerde lui-même et vient aider les plus faible ) . des enfant SDF chinois le prennent en chasse pour lui voler ces chaussure et même si il trouve rapidement le camion de pantaliano , c’est pour essayer d’aller vendre grâce a sa dentition bien soigner .
Avant d’aller dans le camp, bale est contenue dans un espèce de hangar d’internation (ici la photo c’est irréel tellement c’est beau et travailler sur les faisceau lumineux) ou déjà la il est confronter a la mort de plein fouet , sans détour , c’est glaçant même la façon dont les personnage considère les perte humaines ( scène assez glauque pour spielby ou malko veut prendre les chaussure de la mère morte sous les yeux de ces enfant et le corps est secouer dans tout les sens ) . Dans les camp jim est aider et instruit par le docteur , Spielberg fait encore une fois fort avec la séquence ou jim tente de reanimer une patiente morte . Dans le camp japonais , le Détail de l’organisation , la hierarchie , bref la vie , la survie , c’est une des prouesse du film , un film très adulte sur l’enfance , voila comment on pourrait le résumer .
Déjà a cette age christian bale il perdait du poids pour ces rôles ! non sérieusement il est juste incroyable la , si jeune , inconnue et il porte le film avec une grande crédibilité et justesse , et puis on reconnaît déjà plein de tics d’acting qui feront de lui le grand acteur qu’il est de nos jours .
Comme dans the road l’année dernière par exemple, ici on a vraiment faim et fatiguer pour les perso, chaque boite de conserve ou bol de riz trouver est un moment de repis , de confort qu’on ressent vraiment , les ration parachuter par les ricain vers la fin sont vraiment mis en scène et perçut par le spectateur comme une délivrance , un miracle , quand un film arrive a faire vivre de tel émotion en alliant un forme si ébouriffante, on peut qu’applaudir .
Et puis il y a toute la cruauté et égoïsme du personnage malkovitch magistralement interpréter qui oscille entre figure paternel et employeur , une relation complexe qui évoluera et apporte encore plus d’humanités et couche au film .
Le final sous forme d’odyssée ou la femme du médecin meurt dans le stade, ou jim ère seul dans des paysages désoles a la recherche de vivre après les bombardement salvateur ricain avant de revenir dans les camp et y retrouver sont « amis » le pilote japonais kamikaze avant la scène de la mangue avec le sabre et le retour de malkovitch . D’ailleurs la relation qui se noud entre bale et ce pilote c’est vraiment beau , un petit insert de naïvetés , d’espoir , de simplicité ( un avion en papier , une chanson improviser, 2 sourire , quelque regard et pourtant on sens un lien ) qui équilibre le sentiment de mort et désolation qui se dégage du reste .
La fin et les retrouvaille aurait pue très facilement tomber dans les grande embrassade et en faire des tonne dans le larmoyant , et non pas du tout , c’est pudique et tout en retenue , on sent que le perso de bale se rend compte que pendant qu il vivait l enfer des camp , ces parent avait déjà fuit le pays et attendais tranquillement la fin de la guerre pour aller le chercher , c’est fait grâce a quelque geste et regard coupable et rancunier qui lance un dernier froid et regard sans complaisance .
Rapidement la bomba atomique et évoquer et montrer , c’est fait avec classe . Alors sur la réalisation c’est énorme quoi, la maîtrise et la classe qui se dégage de la mise de Spielberg ici est digne des grand fresque classique ( d’ailleurs le film était pendant longtemps un projet de david lean , la boucle est boucler ) avec encore plus de panache et de fulgurance formel.
Entre l’invasion japonaise carrément épique en envergure , le survole d’escadrille et tout les plan séquence suivant jim courir au 4 coin des décors (sublime scène ou bale joue avec sa lampe torche et croit communiquer avec un bateau artilleur japonais ) , on est devant une reconstitution qui touche a la perfection , moi la derniere fois que j’ai vue un tel combo de richesse dans les décors , dans un cadre chaotique et des personnage humain bigger than life , un contexte historique réaliste , c’était gangs of new york . La photographie de Daviau c’est divin.
Bref un film aussi épique dans sa représentation mastodonte que dans ces perso et thème et sont émotion ( le meilleur exemple qui résume tout ca c’est quand bale danse et criez de joie sur les toit du camp japonais sous les bombardement violent américains ) ou quand Spielberg assouvit sa vision de rêve enfantin et dureté adulte et sombre d’une période qui l’obsède .