Aaaahh Open range , un des rare film auquel j’ai envie de mettre plus que 10/10 , un film que j’emmènerai sur une île déserte , un duo que j’aime autant en tant qu’acteur tout au long de leur carrière que leur personnage dans ce film , un récit auquel j’adhère a 100% dans tout ce qu’il dit , représente et de la manière dont c’est fait . Tout simplement mon western préfère …. Of all time. Oui oui , rien de moins , tout sous genre et époque confondue .
Apres sa fresque pacifiste rendant hommage au nation de natif s’élevant d’entrer comme un chef d’œuvre définitif , kevin costner était le seul et dernier cow-boy , héritier d’eastwood , capable de pouvoir retravailler le genre et lui offrir un enieme fleuron flamboyant en visant un traitement moins épique dans ces proportion que Danse avec les loups mais en traitant un autre pan de l’histoire de l’old west avec le même soucis d’authenticité , d’humanisme et lucidités .
Costner le cinéaste livre une œuvre en toute simplicités prônant des thèmes et conviction fidèle au bonhomme, le suivant même en dehors de plateau dans sa vie prive, filmer de façon souveraine et remarquablement humble , s’appuyant sur ces inspiration aux grand cinéaste classique américain qu’il cite ouvertement . On est a la fin d'un mode de vie , les temps changent , le clash d'un monde naïf et de la cupidité , du pouvoir et du cynisme face a la liberté de ces vieux cow-boys . Dans open range il est aucunement cas de parler de western ayant subit quelconque influence de l’après 60’s , les spaghetti et crépusculaire sont un autre pere de manche ( pis unforgiven a largement suffit a poser THE benchmark du genre ) , pareil pour la nouvelle vague de western modern cherchant un nouveau public après la mort du genre , costner est lui un fruit du pur western classic , et sont open range est formellement une des plus belle déclaration de respect et amour a tout ce que john ford avait bâti .
Comme beaucoup d’autre costner cite forcement the searchers , suffit de voir le code couleur des coucher de soleil ( et cette affiche ) , ces long plan en travelling , lent qui suivent les convoie de bétail en mettant la terre au 1er plan et laissant un place importante au ciel cadrant ces personnage de loin , large panorama , pour mettre les homme a leur place dans le monde , petit, par rapport au étendue de la nature , la gestion et l'importance des grand espace d'ou le titre lui meme " open range " , le titre s’affichant a l’écran est plus qu’évident quand a l’orientation et souhait de costner pour le ton et feeling de sont film .
Ford était le cinéaste au valeur de la liberté , du travaille honnête et naturel , de soutient amical entre pionnier , une certaine philosophie old fashion reprise par les personnage de Charley et de boss spearmann qui est au cœur du message du film . Boss ne supporte pas qu’on puisse le dire quoi faire et ou aller avec sont troupeau sédentaire . L’honnêteté un brin naïve est aussi un sujet que costner a traiter tout au long de sa carrière ( postman souvent bacher sur ce critique , étant le plus belle exemple de sont amour pour ford en allant même jusqu'à insérer des plan de film du maître ) et dans open range si on triche au carte , ca froisse les sentiment , une scène pas écrite pour remplir, tout a un sens et un idéologie derrière .
Formellement aussi c’est splendide et grâce forcement a la technicité modern , costner embellit encore plus ces paysage naturel en les cadrant de manière poser et respectueuse , un film de printemps enivrant de beauté plastique . l’histoire reste simple et forte a la fois grace a ces personnage ecrit avec finesse et complexité , a ford , costner se sert de sont autre influence et cinéaste qu’il admire, anthony mann .
Enfait open range c’est ça , c’est un western fordien avec des perso mannien dedans
Des personnage en apparence héroïque, fière , prêt a défendre leur mode de vie et même par la suite tout un village, mais dont on perçoit leur névrose , leur noirceur enfouit qu 'il cherche a fuir , des éclat de violence et pulsion de revanche sont satisfait si il en sentent le besoin , bref c’est humain et nuances et typiquement mannien , de plus il est pas rare de voir le convoie de boss spearmann prendre sont temps a traverser une rivières, brouter les pâturage verdoyant ou même disserter sur la façon de faire un bon café , ca prend aussi le temps de vivre et créer un harmonie , costner cite souvent Bend of the river et jimmy stewart comme ces idoles .
La relation costner/duvall est juste indescriptible tellement c’est classe et beau , des jeu de regard , une complicité et des réplique qui suffisent a bâtir un background d’une décennie entre les 2 hommes .
Robert duvall , la légende , se voit offrir un rôle en or , largement inspirer et semblable a sont rôle de Guss dans lonesome dove ( dont open range est un peu le petit frère , un condenser en 2h20 ) , un patriarche qui sait se montrer sévère mais aussi une figure paternel au valeur simple qui considère ces «employer » comme sa famille . il se dégage un truc souverain de duvall , il est imperiale et pis tellement touchant car tout le long il se démène pour réhabiliter charley a des relation social « normal ».
Costner lui créer un personnage troublant, plus il vieillit et plus il a de présence , de charisme . Pas besoin de femme a la maison, on est comme un vieux couple il diront même ! Sobre mai torturer c'est un pur régal de voir costner faire son apologie de la liberté et condamner les injustice apporter par le très bon michael gambon et sa clique ( kim coates et james russo ! ) , c'est un brin naïf mais depuis toujours au vue de sa filmo et ces choix , costner est un éternel amoureux qui a espoir et croie en l'homme , un humaniste avec des colt , ca va chier au saloon !! le début de sentiment qui naît entre lui et anneth benning tout en retenue , est tres pudique , adulte , c’est très mature et appropries , la dignités débordante des protagonistes est ici un gage de qualités .
Chez costner les gens sont simple , brave , gentil , les petits commerçant s'allier a lui pour faire face au salaud ( et je trouve juste super beau et classe la scene ou duvall s’achete des cigare et du chocolat et partage avec l’epicier pendant que costner achete de la porcelaine en cadeau testamentaire pour benning ), les persos feminins sont pur . le respect de valeur simple fait partie des enjeu du film tout comme la vérité ( faux voir comment costner flippe quand quelqu'un triche au carte ) et les bons sentiment , defois ca fait du bien et definitivment un film qui fait grave du bien cet optimisme , open range un film aux grand coeur et attachant qu'on se le disent!!
Tout est merveilleux dans open range , les costume sont de toute beauté , les paysage choisit remplisse le panorama comme un carte postal , le village est idyllique , le lyrisme avec laquelle ces grandes étendues au paysage sont parcourues c’est juste magnifique de contemplation , la lumières accentuer , les dénivelés , les textures , ça transpire l'admiration de costner pour la nature est hypnitisant . des grand plan large fluide , souple , ample , et illuminer avec finesse et élégance , les coucher de soleil , la boue , la nuit , tout est cadre et montrer avec une beauté inouï et lorsqu'il faut faire monter la pression et le rythme c'est tout aussi magistrale . les affrontement dans le bar , les menace et dissuasion du gangs de gambon , les face a face nocturne , la pluie torrentiel ... tout pousse dans la directions d'un ultime shootout final inévitable et qui seras au proportion attendue .
Le climax on l’attendais , et il decoit pas , tout les fantasme sont combler, sec , violent , bien long et magistralement mis en scène . Sans concession et genereux , costner annoncer la couleur en disant que si il y vas des gens vont mourir , et ce sera par lui . les cow boy de costner sont pas les beau héros tout lisse et parfait comme Wayne ou hawks aimait les dépeindre , c'est des gachette qui tire pour tuer et ils sont precis . Apres on a droit un bel epiloque , boss s’installe et continue a chercher a tranquilliser la conscience de charley et un possible retour a la paix et vivre en communauté . oui c'est magistral .
par Heatmann » Sam 26 Mai 2012, 22:26 
... le coupable devient victime , clint n'as pas pue se "racheter" et sauver butch qu il se reproche presque d avoir "creer" , personne ne gagne .... pis c'est poignant les regard et compliciter reciproque entre kevin et le pti garcon ... du grand eastwood qui fait du sentiment qui touche dans le mille . 
) mais ca fait un bail que je l'ai pas revue
3 film , 3 chef d'oeuvre ..
