Clint eastwood qui rencontre kevin costner ! évidemment l’image est autant jouissive qu’attendue tant les 2 cinéastes acteur sont proche l’un de l’autre de part leur œuvres . A perfect world est au neo western ce que Heat est au polar urbain , un alignement des planètes entre 2 légende faisant ce qu’il savent faire de mieux . Un film maîtriser de bout en bout , une élégie mélancolique sur la perte de l’innocence ( ouai butch se reconnaît en buzz ) , un final poignant , déchirant même , qui fait mouche a chaque fois ou le coupable devient victime , il n’y a pas de gagnant on est chez clint . Eastwood s’efface dans un second rôle typique de sheriff old school qui ravira ces fan et offre a Costner l’un de ces plus beau rôles ou l’acteur montre l’étendue de sont talent avec un personnage très profond , un bad guy rempli de zone noir certes mais gardant un cœur , touchant et sans chercher aucun commentaire social ni même excuse , prouve que l’empathie et compréhension peut se créer de plusieurs manières. La relation pere fils entre costner et le petit garcon ( vraiment « mignon » et juste ce gamin , loin des tête a claque qu’Hollywood nous fournit d’habitude , chez eastwood , tout le monde joue bien ) qui est au cœur du film et évolue constamment est un pur bijou de sensibilité .
Eastwood livre un film d’une grande simplicité et humilités , pas de débauche de flamboyance dans la photographie , pas personnage réellement héroïque pour le spectateur lambda , un film qui prend sont temp pour raconter sont histoire sous forme de road trip a la recherche d’un père commun , un fuite , un poursuite a travers la campagne américaine ou tout les codes du western sont savamment exposer et assumer . Un bandit s’échappe de prison , prend un otage , cavale a travers le Texas des années 50 dont le décor offre le cadre idéal pour faire encore plus le lien , un sheriff part a sa poursuite , un mec un peu ancrer dans le passe , les femme on pas de place ici , et puis la relative « simplicités » des enjeu et des sentiment de chacun vas droit au but , un script humble qui n’est jamais pris en défaut , chaque nouvelle étape apportant toujours un nouveau visage a butch , le personnage central aussi complexe qu’humain et touchant dans sa vulnérabilités , un mec blesser qui cache sous sa nonchalance et insouciance une colère et injustice qui le ronge . la realisation d'eastwood fait encore plus le parralelle entre une forme au cadrage sortie d'un western typique des siens des 70's , les cadrage sont inspirer et sans equivoque quand a la direction qu'inssufle clint .
un dialogue filmer du point de vue des fesses de Dern , et une petite citation a "bull durham" qui fait plaisir ( painture sur le mur derrier kevin ) Un film d’un force émotionnel allant crescendo , on apprend a connaître et aimer butch au cours de sa cavale , un scénario admirablement écrit , d’une tel justesse que tout semble logique même quand le ton devient plus sombre . A perfect world traite d’une palette d’émotion et sentiment la plus large possible , ose aborder des thèmes assez fort avec des idées qui aurait pue choquer ( c’est quand même un petit gamin , issue d’une communauté a part , qui tient un gun , tire sur mec , vole , joue au bandit , est témoin de meurtre et la plupart du temps il sourit , il s’épanoui au coter d’un évades de prison , y trouve un père , il va l’aimer , choisir de partie avec lui ect… ) .
Un film baignant dans l’univers d’eastwood , un monde de macho ou prime la virilités , tout le début avec clint et ces député et leur traitement vis-à-vis du perso de laura dern c’est ultra sexiste , il film même un plan avec sont cul en 1er plan et puis plus tard butch devra rassurer phillipe sur la taille de sont zizi ! La relation pere-fils est alors a sont zénith , bon c’est évidemmentv une formule concrète pour montrer que costner apporte la confiance en buzz qu’il manquait . Le duo improbable a finalement besoin l’un de l’autre, que ce soit les péripéties dans le magasin, ou le champ ou ils prennent des vêtement, peut importe , c’est l’occasion pour butch et buzz de faire un break de leur vie imparfaite , juste le temps de quelque moment ou pour eux ce sera presque « parfait » .
T-bone steak au feu de camp ... chasser le naturel avec ces moyen modern de traque , et il revient au galop...
buzz a jamais pue grandir comme un enfant normal , sa mère est témoin de jehova et de nombreuse scène insiste la dessus ( halloween dont il est privers , les bonbons , le costume et la promesse finale ) . Butch lui cache un peu sa jeunesse gâcher sûrement par sont père mais on le devine par ces réaction et certain non dit pudique , il se sent de plus en plus responsable du petit garçon , biensure clint n’est pas naif et reste lucide , ainsi le passage dans la famille de paysans black commence idéalement et finit en drame déclencher encore une fois par la défense du petit gamin black .
En face d’eux 2 , clint joue le sheriff , what else ? un vieux roublard sous pression car le gouverneur est en campagne electorale , et on apprend meme que c’est clint qui avait par le passe arrêter et fait condamner costner a une lourde peine pour un delit mineur seulement pour sont bien afin de le garder eloigner de sont pere violent qui le frappait , eastwood se sent responsable, peut être même coupable et prend la tache a cœur , enfin ca reste assez enfoui et encore une fois les non dit primes , une écriture touchante, simple et humble comme je le disait , mais tellement humaine et vrai , jamais le pathos est appuyer alors que les 2 background opposer aurai pue donner un truc larmoyant , et même leur face a face final évite les confession inutile.
clint meet kevin , les 2 seuls plan seulement mais halle-fucking-lujah quand meme D’ailleurs on pourrait croire que le film est aussi bien réaliser par costner lui-même tant les thème partager sont les même et que le classicisme formelle embellie par un traitement sobre et humain sont la vision que partage les 2 cinéaste .