Le sujet parfait pour Bob pour passer derrière la camera et diriger sont 1er film , ici il fait un peu sont mean stress a lui , avec beaucoup plus de sensibiliser et d’implication personnel . Car a Bronx tale c’est avant tout un film d’une communauté , d’une culture . Les italo new yorkais . De niro perd sont père, sont amis de toujours chazz palminterie fait un carton a Broadway avec sa pièce de théâtre monologue autobiographique qu’il a écrit lui-même . Bob y voit un lien , il s’y reconnaît , ils ont grandit au même moment dans les même rues et été témoin des même choses , une éduction similaire . de niro dédiera le film a sont père . Bob et chazz se nourrissent l’un et l’autre pour livre un film très personnel ou les 2 hommes se livrent . le degré d’authenticité qui s’en dégage est donc bluffant . c’est très sincère et même si souvent violent et composer d’une galerie de personnage pas forcement recommandable , c’est très humain et touchant .
De niro propose a palminteri qu’il adapte sa pièce en un script pour le cinéma qu’il aimerai réaliser , auto produire et lui propose évidemment un des 1er rôle .
Le petit calogero ( rôle baser sur la vie de palminterie himself, de sont vrai prénom calogero justement ) grandit dans le Bronx des 60’s , et 2 figure paternel vont le forger . D’un coter sont père, un immigrant fière et honnête , la working class humble qui inculque des valeur honorable . Mais aussi d’un autre coter , sonny et tout sont crew , les gangster rital qui peuple le décor et sont quotidien . La fable (le Tale du titre) sur l’enfance et les rites de passage ainsi que l’ouverture a la criminalités ou pas , les choix a faire sont tous relier a l’environnement ou il grandit ( encore une fois , le titre est suffisamment clair ) et la dernière phrase du film le résume : it’s just another bronx tale .
Pendant une bonne heure on a affaire a une véritable chronique mafieuse, la peinture d’une culture, une époque, un quartier. le film s’appelle A Bronx tale , c’est pas pour rien , ça aurait pas pue être transposer ailleurs puisqu’il s’agit d’une œuvre personnel . De niro de part sa mise en scène le montre constamment en filmant ces passant, les magasin locaux, les partie de jeu de des, les longue conversation devant les bar ethnique ect ect ..
Lecon de vie et code moral dans A bronx tale :
- ne jamais balancer quelqu'un du quartier au flics ( deja entendue dans goodfellas tient ) - la scene ou calo ne "reconnais pas sonny"
- il vaut mieux etre craint qu'aimer , ca dure plus longtemp - le moto de Sonny
- sinatra et les yankees sont bon , non pas car ils ont italien ( enfin pas seulement ) mais parcqu'il n'on pas gacher leur talent
- defois il faut faire un bon geste pour des gens "mauvais" - conclusion de lorenzo
il fait une peinture et description presque documentaire en montrant le quotidien , un empreinte sur tout le film ou les enjeu sont dessiner au jour le jour au grés des tribulation de calogero . l’étude de caractère et le film sur le perte de l’innocence sont envelopper dans un portrait urbain très détailler composer par un langage presque singulier , une fierté communautaire patriotique mis en avant et arborer avec confiance , une dynamique de rue faite d’admiration , de crainte , de haine raciste .
La double relation père fils avec une influence grandissante de sonny mais aussi un recul de lorenzo ( de niro ) qui laisse plus de place et de choix a sont fils adolescent , ainsi que le dilemme amoureux de calogero apparaisse plus clair et définit dans la 2eme heure du film alors que la 1er moitié du film c’est un petit goodfellas 2 quoi.
De niro a bien appris a l’école Scorsese , il n’y a pas la voix off ici mais sinon c’est rigoureusement reconnaissable comme un de ces disciple . la soundtrack omniprésente est sponso marty , la gallérie de personnage pourrait sembler caricatural de nos jours car le realisme de marty a ete repris mainte et mainte fois pas la suite et définit un genre ( plein de casting , de lieu et de scène font échos au sopranos ) , pesci vient apparaitre a la fin du film , la description du bronx est tres proche de beaucoup de chose vue dans raging bull aussi ...
De niro s’attarde pendant de longue scène a décrire les mœurs et mode opératoire de ces gangster qui arpente les rue du bronx . Toujour du point de vue de calogero , leur présence et ce qu’il représente dans le quartier . les long débat sur les yankees , les leçon de drague , il insiste aussi sur la violence qui éclate ( la scène sans importance narrative ou ça défonce du biker dans le bar puis dans la rue , tout les affrontement avec les black ) et les rapport de respect , de crainte et hiérarchie du crime organiser , bref même si raconte d’un point de vue du jeune garçon qui a grandie la dedans et idolâtre ces mec ( tout comme goodfellas tient ) , ici pendant la moitié du film sa famille est aussi importante a la maison , que dans le crime , ça fait partie de sont environnement , ça nourrit l’histoire , c’est l’essence même des racine de bob , chazz , du film , du script ..
La ligne scénaristique principale est donc très classique et se refere beaucoup au background des film du même genre qui on fait le succès de bob qui se permet ici de revisiter un univers qu’il connaît bien en reliant ça a sa propre relation intime avec sont père . une réflexion sur les image dangereuse que peut prendre certaine figure paternel et le clash entre élégance extravertie et dramatisation de la gestuelle intimidante ( tout le génie de l’acting de palminterie qui fait un sonny très ample , autoritaire et usant de sont pouvoir ) et le père travailleur au quotidien routinier , précaire et discret .
Le personnage de de niro est vraiment humble , sobre, touchant , un second rôle qui finalement est très important qui est le contre poids parfait a sonny, toute les leçon de vie qu’il enseigne a sont fils sont facilement identifiable comme universel , une sensibiliser un poil renfermer , c’est des hommes qui se livre peut , mais on sent tout de même l’amour et la protection paternel .
La flamboyance protectrice de sonny complémente bien les inquiétude de lorenzo , leur dialogue commun au court du film sont souvent électrique .
Bref a bronx tale , un beau film plein de modestie , au charme tenace qui prend a cœur et qui n’édulcore pas pour autant ces racines ni ne livre de leçon de moral , une reconstitution sincere aussi bien sur le forme que la précision du cast , tout est question de choix comme le dit la thématique principale . un film qui livre beaucoup de sont réalisateur , extrêmement personnel ou les 3 personnage principaux au tous un peu de bob , et inversement , en eux .