2h10 d’un portrait de grand joueur professionnel a haut niveau ainsi que celui d’un homme , un regard porter sur une carrière , en parallèle avec une vie prive , l’intime et les spotlight qui se mêlent . Alors toute la partie sportive c’est vraiment prenant et excellent car on entre vraiment dans la tête des lanceur, tout leur moment de concentration sont très immersif et le traitement est très authentique, ça va que ça prend les ¾ du film , mais il y a quand même une grosse partie Romantique, qui elle , est bien plus classique et convenue .
Tout se déroule lors d’un seul et unique match , a la fin d’une longue carrière , billy chapel ( costner ) le plus grand joueur de baseball des 18 dernière saison , s’avance devant les yankees ces adversaire de toujours . la légende prend le temps de faire le bilan , faire des choix .. Et ainsi on épluche en flash-back le background du perso . un procéder qui fonctionne a merveille pour apprécier ce perso qui est le cœur du film , en plus du choix de l’acteur . parce que bon ce film est limite autobiographique , costner en outre du cinéma et le western , a une autre grande passion dans sa vie , le baseball . tout le générique d’intro du film est monter avec photo et vidéo d’archive de la jeunesse de costner avec ces parent , ces équipe de collège ect .. Il produit le film et tout sont univers a lui est la. le personnage vétérans qui a subit des échec , une certain philosophie bien personnel , une rigueur , une fidélité ,une loyauté , chapel / costner , même combat . en plus pour la petite anecdote , Kevin a jamais été doubler , c’est lui qui a tout fait lui-même sur le terrain et les pro des yankees engager comme technicien sur le film en croyait pas leur yeux de sont niveau proche des pros .
Le truc aussi avec costner en tant qu’acteur et ce qu’il dégage, c’est ce sentiment d’être proche de lui . Ici il joue la star planétaire ( même si il est en fin de carrière, sur le déclin , il reste l’âme de sa team , cette aspect est traiter avec beaucoup de classe ) , intouchable , du sport emblématique ricain considérer comme religion , et pourtant l’identification marche a fond , il rend le perso simple et abordable , humain , touchant , vulnérable , compréhensible , au bout de 5 min on l’aime déjà et acquis a ça cause .
Le script se concentre sur sont perso, sa psychologie, a ce titre donc la partie sport est très bonne, un portrait complet et la description du monde du baseball pros est épatante les rivalités entre équipe , les vieux contentieux entre joueur , la vie lors des déplacement , le trash talk . on plonge dans la stratégie individuel , les dynamique d’équipe , le moral , la concentration ect …
Par contre faut pas se le cacher , for love of the game a aussi un gros aspect romance avec beaucoup de sentimentalisme facile . bon moi ça me gène pas car je sait en quel terrain je m’aventure ici , et déjà j aime bien bodyguard . l’amour naissant est limite conte de fée ici . puis le couple passe par toute les étape obligatoire entre une nana ordinaire et une vedette , c’est pas follement passionnant ou original , mais c’est juste 30 minute au milieu quoi . y a quand même 2/3 moment bien cheesy ( a l’hôpital , et les clip de famille réunit a noël ) . kelly preston est toute mimi et tien tete a kevin , bon sa gamine se fout dans les patte , mais jena malone est pas du tout relou et on échappe au père de substitution .
Les derniers moment du match sont bien etendue sur plus de 40 minute final assez épique si on aime ce sport . le parallèle match parfait / vie imparfaite est simpliste mais fonction , surtout que c’est entierement du point de vue intérieur de Billy chapel ( excellent tout ces monologue a lui-même ) .
Grosse production avec le soutient officiel de la MLB et ces licences , donc pas de film avec équipe imaginaire ou universitaire , la c’est tout les vrai clubs , les vrais stades et la plupart des joueur et entraîneur a part les rôle important , sont interpréter par les vrais sportif et manager de a l’époque , donc super réaliste et kiffant tant on s’approche d’une mélange fiction/réalités . Grosse ambiance dans les stade ont s’y croirait , aussi bien des tribune que sur la pelouse . pis quand kevin se remotive et balance des boulet de canon , ça se fait sous « paint it in black » des stones , et ca c’est la classe .
Raimi en fan de baseball a accepter cette commande que pour ce faire plaisir et shooter tout sont film au yankee stadium . la mise en scène est terriblement immersive est ultra réaliste , les fondue entre plan de retransmission et ceux sur la pelouse sont fluide , le reste est toujours hyper bien cadrer et spectaculaire . John C reilly joue le complice de toujours , bon pote . JK simmons en coach amical et pis Brian cox en propriétaire de club old school .
La score de poledouris a bien compris ce qui motive un joueur et donne un souffle excitant a une prouesse et exploit sportif , tout en gardant des envoler romanesque .