[Dunandan] Mes critiques en 2012

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Sam 28 Avr 2012, 21:25

Putain, t'as des DVD collectors, introuvables neufs, jamais édités en Blu-ray et tu n'en profites pas :evil:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Kakemono » Sam 28 Avr 2012, 21:34

:oops: J'sais pas pourquoi je les ai jamais vus, j'aime bien ce que j'ai vu de Kitano pourtant. J'me les fais dans la semaine alors. :D
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 29 Avr 2012, 00:26

Sonatine, avec Hana-bi, c'est quand même LE film à voir si on aime le réal' :mrgreen: (juste après j'aime beaucoup L'été & Kids returns)
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Derniers samouraïs (Les) - 9/10

Messagepar Dunandan » Dim 29 Avr 2012, 17:26

Rétrospective Chambaras/films historiques japonais :



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Les derniers samouraïs, Kenji Misumi (1975)

Véritable film testament de Kenji Misumi, ce dernier signe son oeuvre la plus optimiste et la plus aboutie malgré une tonalité dramatique très forte. On peut presque dire qu'il a eu de la chance de terminer sa carrière sur un tel chef-d'oeuvre, qui respire l'amour qu'il avait pour le genre du chambara. La période couverte est exactement la même que dans Le dernier samouraï, sauf que le cadre historique est davantage respecté, comme en témoignent les nombreux sous-titres nous situant les différents personnages historiques. Il s'agit d'un adieu à une époque finissante, crépusculaire, prenant un samouraï sans maître comme témoin du changement, et dont l'amitié avec d'autres acteurs très représentatifs de cette époque (partisans de l'ancien ou du nouveau pouvoir), ainsi que l'aspect émotionnel et nostalgique me font beaucoup penser aux Il était une fois (en Chine, dans l'Ouest, en Amérique, ...). Puis enfin, il y a cette musique magnifique, probablement le plus beau score du metteur en scène (pourtant connu pour la qualité de ses musiques qui parviennent chaque fois à apporter un petit plus en termes de mise en scène et de transport émotionnel), sorte de trémolo composé de piano, de trompette, et de violon (on dirait du Leone).

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Le seul petit défaut selon moi, plus subjectif qu'autre chose, est la difficulté du spectateur à retenir les nombreux noms des personnages (surtout durant l'introduction, qui nous plonge directement dans l'action), mais heureusement ils ont tous une trogne et un charisme uniques qui nous permettent de les reconnaître tout de suite. Le film est divisé en deux grandes parties, l'une se déroulant à partir de la lutte acharnée entre le nouveau monde (symbolisant l'ouverture) et l'ancien (symbolisant le repli), ponctuée par la poursuite du pouvoir royal - actuelle autorité en place - des partisans du Shôgun - devenus rebelles et espions, et tentant de reprendre les rennes du pouvoir -. Dès les premières images, nous sommes plongés dans le vif de l'action, et concentrent déjà les thèmes du film : violence entre les deux camps se battant pour le pouvoir ; profond dégoût des anciennes valeurs et de la classe des samouraïs (moqueries des vainqueurs à l'égard des morts) ; la vie reprend ses droits malgré l'ampleur du charnier (instant de paix surréaliste animé par des chants d'oiseaux alors que l'odeur du sang est encore palpable). Le cadre historique n'est pas trop développé, résumant les batailles les plus importantes en quelques plans, et le script se concentre surtout autour du destin des personnages et les combats qui les concernent individuellement. Le rythme est très bien géré selon moi, et je ne me suis jamais ennuyé, grâce à une bonne alternance entre combats très bien filmés comment souvent chez Misumi (très réalistes, mais explosant parfois en une violence digne d'un Baby Cart sans son côté surréaliste avec ses geysers de sang) et développement psychologique des personnages qui me fait plus penser à la Trilogie du sabre ou aux Zatoïchi, qu'aux Baby Cart (tous du même réalisateur), lorgnant beaucoup du côté des valeurs héroïques chevaleresques.

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Finalement, trois personnages sont particulièrement développés. Le premier, le héros peut-on l'appeler, n'est attaché à aucun régime, et a une destinée particulière unique. Durant l'enfance, on lui avait prédit aucun avenir, et il a voulu se donner la mort pour cela, mais sera recueilli par un samouraï qui le sauvera, et lui apprendra à se battre. Nous assistons à son retour chez lui, mais suivant un montage alterné très bien senti, nous suivons aussi son entraînement et sa relation avec son maître, qui lui inculquera des préceptes très chevaleresques qui l'éloigneront des conflits habituels : l'art du sabre n'est pas destiné à tuer, mais à l'épanouissement personnel, par soi ou par les autres. En résumé, il représente l'espoir de ce Japon en pleine métamorphose, celui qui doit survivre (ce qu'il n'était pas prédisposé à être en raison de sa condition physique) malgré les difficultés rencontrées. Pourtant il lui arrivera bien des malheurs (assassinat de ses amis, de sa femme, et de son maître), mais il a cette force morale qui l'empêche de se venger, dans la mesure du possible tout du moins (à la suite de la mort de sa femme, il exprime une violence proche des épisodes de Baby Cart). Il s'agit d'un personnage qui pourrait paraître extraordinairement naïf s'il avait été interprété par un autre acteur ou s'il était moins bien écrit : beaucoup moins lisse qu'il n'y paraît, nous assistons à un conflit interne qui l'habite, entre optimisme (impliquant l'adaptation aux drames personnels et au(x) tournant(s) de l'histoire) et trouble moral qui le taraude (interrogation proche du sens du destin, un thème souvent traité chez Misumi : par exemple, ses deux pères - biologique et spirituel - sont tous deux engagés dans la guerre civile, suivra-t-il finalement le même chemin de violence, de loyauté, et de fatalité qu'eux ?), dans une dialectique finalement très chevaleresque. Attaché ni au devoir des samouraïs (soumis au Shôgun) ni aux partisans du nouveau pouvoir (soumis au roi), il incarne une nouvelle race de samouraï qui trace sa route au milieu, à l'instar du héros de Baby Cart, mais d'une manière totalement opposée, baigné dans une lumière positive malgré les drames qui surviennent, simplement guidé par le sens de la fraternité et des loyautés inter-individuelles, qui constituent à la fois sa force et sa faiblesse. Les deux autres personnages sont chacun partisans de l'une des deux formes du pouvoir. L'un représente l'âge d'or des samouraïs, tempéré du moins jusqu'à ce que sa classe soit menacée. L'autre est passionné, et désire intensément gravir les échelons alors qu'il était tout en bas de l'échelle sociale. Loin d'être manichéens, ils sont animés par une certaine sincérité, mais leurs choix et leur désir d'intégration ou de rejet aux temps modernes les conduiront vers des voies plus obscures. Il y a une scène puissamment nostalgique, qui réunit autour d'un repas tous ces personnages aux destinées bien différentes avec d'autres individus aux chemins semblables, et qui me fait penser par exemple aux futurs Johnny To : malgré leurs différences et différends, tous se retrouvent en un instant sur un pied d'égalité, mais nous savons en même temps que ce moment ne durera pas, ce qui en fait toute la beauté mélancolique. Nous pressentons bien que face à cette période en proie à la métamorphose, seule la solidarité a un sens. Enfin, plus que dans aucun autre film du cinéaste, les femmes ont un rôle très important (elles sont aussi très différentes : une guerrière bien efficace, une religieuse qui n'hésite pas à avoir des relations sexuelles car elle aime ça, une femme au foyer qui convainc son prétendant avec raison de faire respecter sa promesse d'aller au théâtre avec elle plutôt que de faire un duel amical ...), et apportent un côté émotionnel essentiel pour rendre ces personnages-hommes encore plus humains, dotés de principes et d'ambitions, mais aussi de désirs tout simples.

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La seconde partie, tout aussi essentielle que la première, comporte moins de combats que dans cette dernière, et insiste fortement sur le tournant événementiel de la victoire du pouvoir royal sur le Shôgun, d'abord avec l'apparition de la technologie occidentale, et surtout des nouvelles normes sociales : nouvelle coupe vestimentaire et capillaire avec la disparition du chignon, disparition de la classe des samouraïs, ... Il n'est donc pas étonnant que le héros soit barbier, se retrouvant de nouveau en plein milieu des changement sociaux (une moustache représente l'ascension sociale (ainsi qu'un rapprochement physique avec l'Occident), alors qu'avant le chignon occupait cette place symbolique). Puis finalement, Misumi nous montre que le processus du changement n'est pas terminé avec l'abdication du pouvoir royal, se retrouvant dans la même position que celle du Shôgun auparavant : dans l'Histoire, il n'y a pas de gagnants. Enfin, le duel final vient confronter la force morale du héros, qui vient se terminer en notes encourageantes pour la suite, malgré le destin funeste de ceux qui s'accrochent au passé. Vraiment triste et sublime à la fois.

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Pour en venir à la mise en scène, celle-ci est bien plus discrète qu'à l'accoutumée (je ne reviens pas sur le réalisme des combats au sabre, un modèle du genre, à la fois diversifiés dans leur manière d'être filmés et leur configuration (duels ou 1/10), et dotés d'une très bonne chorégraphie), surtout après avoir vu une bonne douzaine des films de Misumi. Elle sert avant tout le récit, qui compte parmi l'un des plus aboutis de ce que j'ai pu voir de ce dernier (alors que son esthétique prend le pas habituellement sur l'histoire), faussement simple, et tournant principalement autour des personnages (bien mis en valeur par des gros plans sur les visages, une tendance chez le metteur en scène), tous soit approfondis, soit suffisamment consistants pour qu'on s'y attache. Enfin, au niveau de la symbolique, il y aurait toute une étude à faire autour de la place du sabre dans le film (par exemple, il reste à la porte d'une maisonnée pendant qu'un couple se retrouve malgré les dangers encore présents, manière de dire que l'amour et la violence ne peuvent pas cohabiter sous un même toit), et aussi du pont, lieu de rencontre et de changements continus (le père et le fils qui se croisent rapidement ; des processions du pouvoir qui s'y déroulent, ...). Au niveau du fond et de la forme, il s'agit probablement de l'un des films les plus riches et accomplis de Misumi.
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Misumi signe son chant du cygne, son film-testament du genre qu'il a tant chéri, sur une période phare du Japon. Une histoire à portée nostalgique à la manière des Il était une fois, soutenue par une magnifique musique et un casting parfait.
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Serpent Blanc (Le) - 7,5/10

Messagepar Dunandan » Dim 29 Avr 2012, 21:38

Le serpent blanc

Réalisé par Taiji Yabushita

Avec Mariko Miyagi, Hisaya Morishige

Animation, Japon, 1h15 - 1958

7.5/10


Résumé :
Dans la Chine ancienne, un enfant achète au marché un petit serpent blanc. Mais ses parents n'en veulent pas. Il doit donc se résigner, la mort dans l'âme, à le relâcher. Quelques années plus tard, l'enfant est devenu un beau jeune homme, tandis que le reptile refait son apparition sous la forme d'une délicieuse princesse et se met à la recherche de son ancien protecteur. Ils tombent amoureux l'un de l'autre, mais doivent affronter de nombreux périls, parmi lesquels un puissant bonze chasseur de fantômes. Ils sont aidés dans leur lutte par les amis du jeune homme, un petit panda et un mini-panda, qui rallient d'autres animaux à leur cause.


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Pour ceux qui connaissent Green Snake, Le serpent blanc s'est inspiré de la même histoire que ce dernier. Voici donc un DA japonais s'inspirant d'une légende chinoise, qui est historiquement le premier essai national en couleurs. Bien que les personnages ainsi que l'animation ont beaucoup vieilli, manquant de détails et de diversité dans le traitement (à part quelques-fois les protagonistes principaux), un véritable charme émane de ce petit conte naïf et enfantin, grâce à son histoire et son ambiance enchanteresses, avec un fond musical évoquant les légendes oubliées (le thème introductif est vraiment magnifique), et les décors rappelant les estampilles chinoises. Un classique dans le genre, préfigurant certains artistes tels que Miyazaki, mais à déconseiller fortement aux cyniques.

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L'histoire est belle et simple (voir le résumé). Deux questions sont en jeu, celle de l'amour et celle de la barrière raciale : existe-t-il des barrières entre deux personnes qui s'aiment ? Est-ce qu'un esprit-animal et un humain sont compatibles ? Au fil de l'histoire, nous découvrons que les animaux sont souvent bien plus solidaires et capables de sentiments que les humains. La fin est absolument dénuée de noirceur, chacun demeurant avec ceux qu'ils apprécient, peu importent leurs différences. Du côté des influences passées ou futures, le design de certains animaux nous évoque Walt Disney (une partie un peu pénible pour moi et manquant d'originalité), puis on retrouve un panda qui met la pâtée aux autres en faisant du kung-fu, et enfin l'usage de la magie astrale ou à base de boules de feu annonce déjà les mangas contemporains.

Un classique du DA japonais qui a un peu vieilli dans la forme, mais pas trop dans le fond. Malgré des inégalités dans le graphisme et l'animation, l'ambiance est suffisamment enchanteresse à tous ceux qui auraient gardé leur âme d'enfant.
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SPL: Saat po long - 7/10

Messagepar Dunandan » Lun 30 Avr 2012, 04:01

SPL

Réalisé par Wilson Yip

Avec Simon Yam, Donnie Yen, Sammo Hung Kam-Bo, Jacky Wu, Wu Jing

Polar/arts-martiaux, Chine, 1h30 - 2005

7/10


Résumé :
Le détective Chan met tout en oeuvre pour arrêter Po, un chef de gang impitoyable. Il est aidé par Ma, un policier intègre, expert en arts martiaux, dont les méthodes violentes déplaisent à la hiérarchie.












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Pour commencer, il ne faut pas trop compter sur l'intelligence ou la vraisemblance du script tant ce film enchaîne les séquences sans aucune logique, des ellipses énormes (le "trois ans plus tard" m'a scié, laissant en suspens le personnage principal gravement malade, et le déroulement de l'enquête contre le baron de la drogue qui est le sujet central du récit). Puis pour un polar, l'enquête est quand même mal fichue : aucune information sur la manière dont les policiers suivent leurs pistes ou ils se retrouvent bloqués. Enfin, tout est bien surligné, sans subtilité : l'incompétence de la police, le manque de discrétion du bad-guy, l'importance de la famille (l'attente du coup de fil de la fête des pères, et la baston finale interrompue pour que le bad-guy puisse répondre à sa copine). Bref, un film à ne pas trop prendre au sérieux au risque d'être sérieusement déçu, et qui se résume essentiellement à un jeu du chat et de la souris, heureusement jouissif comme je vais l'expliquer.

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Ainsi, l'intérêt se situe ailleurs. D'abord par son trio d'acteurs : du côté de la police, Donnie Yen qui exhibe ses muscles quand il n'est pas content, et Simon Yam déjà vu notamment dans Election, puis de l'autre, le baron de la drogue incarné par un Sammo Hung qui joue un bien bel enculé, très charismatique avec ses cheveux mi-longs, sa petite barbichette, et son cigare au bec. Ils sont tous bien mis en valeur, poseurs comme dans un journal de mode. Sans oublier Wu Jing, qui vaut surtout pour sa prestation au couteau, bien pervers dans son genre. Puis, la mise en scène est bien chiadée, bien qu'inutile dans le fond : pour les uns elle apparaîtra prétentieuse et masquant les défauts du script (ce qui est vrai), pour les autres, elle apportera un rythme et une classe à la narration (ce qui est vrai aussi). Ensuite, certaines situations sont drôles par leur côté excessif, comme par exemple le duel avorté au début avec les deux voitures qui se rentrent dedans et les deux hommes brandissant les clubs de golf. Cette scène a pour fonction de placer le spectateur en haleine de scènes d'action, malheureusement au final trop peu nombreuses, concentrées à la fin avec deux combats, le premier animé au tonfa et au couteau (manié par l'excellent Wu Jing), puis le second à mains nues, qui figurent parmi les plus jouissifs de ces derniers temps. Bref, on prend un plaisir pervers à voir tous ces protagonistes s'en mettre plein la gueule, et effectivement ça y va sans concession, avec une fin bien WTF sous-titrée "dans ton cul mec".

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Un film où on dépose son cerveau, prenant le plaisir simple de voir ce trio d'acteurs figurant parmi les plus charismatiques de la scène HK se narguant, puis enfin se mettant sur la gueule dans un final dantesque et bien énervé. Loin d'un chef d'oeuvre avec un script à la ramasse, mais se regardant avec un gros plaisir coupable.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar francesco34 » Lun 30 Avr 2012, 07:25

J'ai le dvd depuis un moment de ce SPL, faudra que je me décide un de ces quatre...
Sinon t'es retourné à la fnac pour faire ta sélection? Je vois que tu as récupérer le Serpent blanc...
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Lun 30 Avr 2012, 07:50

On est d'accord sur SPL, même si je mets plus tant les deux fights finaux envoient du lourd. Et j'aurais également évoqué Simon Yam !
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Lun 30 Avr 2012, 11:19

Simon Yam c'est le gars au couteau ? Oui, oubli de ma part :wink:

Sinon t'es retourné à la fnac pour faire ta sélection?


Oui en effet :mrgreen:, j'ai vraiment pris tout ce que je voulais, sauf peut-être l'île au trésor, qui avait l'air finalement pas mal, mais l'exemplaire était parti :(
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Lun 30 Avr 2012, 11:20

Non Simon Yam c'est pas le gars au couteau, ah ces newbs du ciné HK :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Lun 30 Avr 2012, 11:24

Je viens de rectifier par moi-même, c'est la faute à allociné qui ne l'a même pas cité dans les acteurs principaux. Désolé, la génération 2000 des acteurs chinois, à part Donnie Yen, je ne les connais pas :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Lun 30 Avr 2012, 11:25

Simon Yam ça fait plus de 20 ans qui fait du cinéma :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Lun 30 Avr 2012, 11:27

Ben moi je l'ai découvert seulement dans Election :oops: (même si je l'ai vu aussi dans Mission, mais j'avais oublié qu'il jouait dedans, re :oops: ). Faut vraiment que je voie Full contact & une balle dans la tête alors :mrgreen:, en plus j'aime beaucoup sa tronche
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Killbush » Lun 30 Avr 2012, 11:29

Ouais, et puis ne prends pas Allociné comme référence pour le ciné HK, c'est bourré d'erreurs.

Par contre, regarde jamais Ballistic Kiss, le script va te tuer :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Lun 30 Avr 2012, 11:30

Scalp a écrit:Non Simon Yam c'est pas le gars au couteau, ah ces newbs du ciné HK :mrgreen:


:eheh:

Nan mais là, je te mets un mauvais point Dunandan :nono:
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