[Dunandan] Mes critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Indiana Jones et les aventuriers de l'Arche Perdue - 10/10

Messagepar Dunandan » Dim 15 Avr 2012, 04:37

Les aventuriers de l'Arche Perdue

Réalisé par Steven Spielberg

Avec Harrison Ford, Karen Allen, Paul Freeman, Denholm Elliott, John Rhys-Davies

Aventure/action, USA, 1h50 - 1981

10/10


Résumé :
1936. Indiana Jones est enrôlé par les services secrets de l'armée américaine pour trouver le chemin de l'Arche d'Alliance, avant que Hitler et un autre archéologue, Bellok, s'en emparent.











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Indiana Jones, puits de fantasmes pour les aventuriers en herbe, il a du influencer un grand nombre de carrières d'historiens ou d'archéologues (j'ai moi-même été tenté ...). La collaboration rêvée : Spielberg (réalisation) + Lucas (scénario dépaysant et moyens techniques pour les SFX) + Williams (thème musical unique). Un véritable divertissement, inspiré des romans-feuilleton des années 30 (et comme autres influences : Allan Quatermain, Le château de l'araignée, Tintin, et un peu Star Wars - je pense notamment au bar, ressemblant à celui de Tatoïne -) consistant à mettre en scène un héros dans un cadre exotique, avec des stéréotypes basiques : le bien et le mal, l'ami loyal, et la femme qui jette un trouble dans la quête du héros. Tom Selleck a été pressenti pour le rôle, mais heureusement pour nous, il a été retenu par son contrat avec la série Magnum : il est bien difficile aujourd'hui de dissocier Harrison Ford de la figure d'Indiana Jones.

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La scène d'ouverture est mythique. Pendant au moins cinq minutes, le visage du héros n'est pas révélé, présentant des attributs : sa silhouette, son pistolet, son fouet. Aventurier endurci, il est aussi professeur, séduit par ses propres élèves. Enfin, son obsession pour les objets antiques l'a éloigné d'amis proches, tel ce professeur-mentor. Je n'ai pas grand chose à dire sur le déroulement de l'histoire, sauf qu'il est toujours aussi jouissif de voir notre Indiana Jones se laisser dépasser par des situations qu'il pensait contrôler (la statue dans le temple ; le bar au Népal ; ...). Puis, j'adore le voir arriver à saturation, et employer une méthode "sale" pour en terminer avec ses adversaires (pour une production "grand public" c'était osé). Il y a également des punchlines inoubliables, pleines de ... punch (exemple : Vous voulez parler à Dieu? Alors allons lui parler ensemble, je n'ai rien d'autre à faire ce matin). Les effets spéciaux, mis à part peut-être ceux de la dernière séquence, ont très peu vieilli, et je remarque à peine quelques défauts de synchronisation (le timing trop long entre la fermeture de la porte piégée et l'arrivée du héros jusqu'à elle ; les indiens qu'on aperçoit tantôt à 10 mètres du héros, tantôt à 50 mètres, ...) durant les scènes d'action. Les personnages manichéens font partie du charme, et du coup on n'a qu'une envie sadique : que les "méchants" en pâtissent (en plus ce sont des nazis ...).

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En conclusion, probablement l'un des meilleurs films d'aventures dans la catégorie "divertissement" qu'on a essayé de copier (La momie, Benjamin Gates, ...) mais sans jamais atteindre son charme, son rythme, et la qualité de ses scènes d'action. Un film culte, qui doit beaucoup à une collaboration idéale, et au charisme de son interprète. Si bien qu'un quatrième épisode a été fait vingt ans après, mais loin d'atteindre la magie et le niveau des autres.

Deux mots : Indiana Jones. Tout est dit. La quintessence du héros d'aventures : intrépide, érudit, séduisant. Et une collaboration esthétique (Spielberg, Lucas, Williams) qui vaut à elle seule le détour.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar francesco34 » Dim 15 Avr 2012, 08:04

Je hais cette modification du titre original avec l'ajout de "Indiana Jones" au début... en plus je crois qu'il avait changé pour l'édition vidéo...
D'ailleurs je tiens à faire remarquer que le film reste référencé sous son vrai titre sur imdb, wiki, etc...

mais sinon:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Chuck Chan » Dim 15 Avr 2012, 11:54

Il fait partie de la poignée de films pour lesquels je pourrais aussi mettre 10/10. A voir avec l'excellente VF. Belle critique !
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar comICS-soon » Dim 15 Avr 2012, 13:42

Voilà du surnotage justifié !!! :mrgreen:

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 15 Avr 2012, 15:31

Chuck Chan a écrit:Il fait partie de la poignée de films pour lesquels je pourrais aussi mettre 10/10. A voir avec l'excellente VF. Belle critique !


Je l'ai vu en VO pour la critique, mais oui, je préfère la VF (puis il y a des dialogues qui claquent moins je trouve)
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Dim 15 Avr 2012, 15:53

Les films qu'on a découverts enfant/ado en VF, c'est toujours difficile de les voir en VO.

J'ai essayé Retour vers le futur en VO une fois, j'ai arrêté au bout de 10 minutes pour repasser en VF.

Mis à part ces films nostalgiques, je suis à 100 % VO, mais là...
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Alexandre - 9/10

Messagepar Dunandan » Dim 15 Avr 2012, 23:36

Alexandre revisited

Réalisé par Oliver Stone

Avec Colin Farrell, Angelina Jolie, Val Kilmer, Jared Leto, Anthony Hopkins, Jonathan Rhys Meyers, Rosario Dawson, Christopher Plummer

Peplum/Biopic, USA, 3h25 - 2005

9/10


Résumé :
La vie d'Alexandre le Grand, narrée par Ptolémée : de son enfance à sa mort, des cours d'Aristote aux conquêtes qui firent sa légende, de l'intimité aux champs de bataille. Fils du roi Philippe II, il soumit la Grèce révoltée, fonda Alexandrie, défit les Perses, s'empara de Babylone et atteint l'Indus pour établir à 32 ans l'un des plus grands empires ayant jamais existé.


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Alexander est un film mal-aimé, tant au box office que par la critique. Mais il serait dommage de passer à côté de ce nouveau montage, qui est bien meilleur que le précédent, et me fait redécouvrir le film, à la manière de Kingdom of Heaven. Malgré les défauts toujours présents (casting inégal, longueurs, raccourcis narratifs et historiques), le récit est bien plus fluide et riche qu'avant, notamment grâce à un placement pertinent des flashbacks, qui rendent visibles de manière subtile l'ascension et la chute d'Alexandre.

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Bien que le film retrace avant tout la destinée personnelle d'Alexandre, le contexte historique n'est pas pour autant mis de côté, bien au contraire. En effet, l'historien Ptolémée, l'un des généraux d'Alexandre, est présent au début et à la fin, et omniprésent par une voix-off, pour nous dessiner les contours de cette époque. Il ne nie pas posséder toute la vérité, et donc admet les limites de son entendement, tout en nous donnant ses propres hypothèses. Ainsi, j'ai eu le sentiment de ne pas être trompé sur la marchandise, ce qui est assez rare dans le genre. Le choix d'enchaîner avec la bataille de Gaugamélès (présente dans la version cinéma au bout d'une heure) aurait pu être casse-gueule, et pourtant je le trouve vraiment pertinent, tant cette séquence résume le profil psychologique d'Alexandre : son lien affectif avec l'armée (la manière de s'adresser personnellement à chacun, nous permettant aussi de les identifier et de nous attacher à eux), son talent de stratège (admirablement lisible grâce à la présence de sous-titres, absents de l'ancien montage, qui nous indiquent quelle partie de l'armée est en mouvement), son rêve démesuré (envahir la Perse, Empire gargantuesque), la différence idéologique (ses hommes se battent pour la liberté, ceux d'en face y sont forcés), et enfin, le choix cornélien qui s'offre à lui (abandonner son armée ou foncer vers le chef ennemi). Puis jamais une bataille entre grecs et perses n'a été aussi bien filmée, sanglante à souhait (peut-être plus encore que Braveheart).

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Chaque flashback intervient ainsi pour éclairer un trait particulier de la personnalité de Alexandre. Les mythes (Hercule et Achille), modèles culturels de ce dernier. Les travaux sur le corps effectués dès l'enfance (la lutte). La sagesse grecque, importée par Aristote, privilégiant la modération par rapport à l'excès, et présentant une idéologie douteuse sur les femmes (qu'il faut craindre car elles seraient soumises aux passions) et la géographie (la Grèce, les Lumières antiques ; et l'Asie, des barbares qu'il faudrait éduquer). La bisexualité, qui était une pratique courante, voire encouragée (y compris par Aristote). L'idée de conspiration et les fatricides qui s'ensuivent. Puis il y a surtout l'influence du père et de la mère d'Alexandre, qui se détestent mutuellement. Le premier veut être fier de son fils (la magnifique scène de dressage du cheval) et lui enseigne le difficile parcours pour devenir roi et le danger des tentations du pouvoir. La seconde couve son fils, et lui inculque l'idée qu'il serait fils de Zeus. Aucun des deux parents n'est traité de manière manichéenne, et ainsi les zones d'ombre et de lumière s'enchaînent, empêchant le spectateur de se positionner. Au final, il n'est pas étonnant que Alexandre se décentre progressivement du pouvoir central pour fuir l'ombre de ses parents, qui finiront tragiquement par le rattraper (Babylone - tentations du pouvoir - ; Roxane - reflet de sa mère - ; paranoïa avec des soldats ...).

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Ainsi, tout ce background (hormis le fait de nous immerger dans la richesse du contexte historique), a pour fonction d'essayer d'expliquer les motivations d'Alexandre. C'est comme s'il agissait à contre-courant de ses parents dans un conflit oedipien, et obéissait d'autre part à l'idée d'universalité grecque qui n'avait jamais été appliquée de manière aussi absolue à l'époque. Libération des peuples conquis. Possibilité d'offrir une éducation grecque ou une formation militaire à ceux qui le souhaitent. Mariages entre différents peuples pour consolider l'union. Tous des principes grecs qui étaient destinés à eux seuls et que Alexandre offre à tous. La seconde grande bataille, se déroulant en Inde, symbolise cette rupture entre Alexandre avec les siens, géographiquement et mentalement, à l'extrême opposé de la première bataille. Le coeur n'y est plus, et le désir d'Alexandre de faire du monde un peuple uni est devenu plus fort que l'écoute des siens, provoquant ainsi sa chute inexorable. Au niveau esthétique, cette saturation est exprimée à travers le filtre de couleur rouge.

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Selon moi, le casting n'est pas le point fort du film. J'ai parfois du mal à "voir" Alexandre derrière les traits de Colin Farrell avec sa teinture blonde, bien que son interprétation torturée soit justifiée, résultat d'un conflit profond entre ses parents et son rêve de grandeur. D'autre part, je ne trouve pas que se mettre du mascara (ça existait vraiment ou est-ce un anachronisme ?) soit suffisant pour jouer un homosexuel (Jared Leto), malgré des scènes de sexe plus explicites que dans la version cinéma (on aperçoit même les parties intimes de Farrell ...), et des signes d'affection touchants : il y a quelque chose qui ne fonctionne pas, je ne saurais dire exactement quoi. Par contre, j'ai trouvé que les personnages secondaires étaient tous bons, Val Kilmer en tête. Il y a aussi quelques longueurs sur la durée, surtout vers le milieu du film. Cependant, le rythme est très bien géré, grâce à l'alternance parfaitement dosée entre flashback et narration linéaire. Enfin, la réalisation est de haute volée et la musique de Vangelis est magnifique, dont l'esthétique générale est digne d'un Kingdom of Heaven, avec un traitement plus gratiné de la violence et du sexe. Bref, malgré ces défauts, j'ai été séduit par la richesse et le souffle épique qui jaillit de l'ensemble, plaçant ce film dans la petite famille des grandes fresques historiques réussies de ces vingt dernières années.

Le meilleur peplum moderne, dépassant même Gladiator (sauf peut-être au niveau du casting), et l'un des meilleurs DC avec Kingdom of Heaven, qui nous apporte une vision neuve de l'oeuvre.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar comICS-soon » Lun 16 Avr 2012, 00:08

Ça me donne envie de le revoir :super:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Lun 16 Avr 2012, 00:36

DC obligatoire alors :wink: ma note est passée de 7.5 à 9 ...
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar comICS-soon » Lun 16 Avr 2012, 00:38

C'était déjà la DC que j'avais vu il me semble :wink:
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Clerks II - 7,5/10

Messagepar Dunandan » Lun 16 Avr 2012, 04:53

Clerks 2

Réalisé par Kevin Smith

Avec Brian O'Halloran, Jeff Anderson, Rosario Dawson, Jason Mewes, Kevin Smith, Jake Richardson, Ethan Suplee, Jennifer Schwalback

Comédie, USA, 1h37 - 2006

7.5/10


Résumé :
Dix ans après Clerks, revoici nos employés modèles, Dante Hicks et Randal Graves, désormais contraints de travailler dans un fast-food. Rien ne semble avoir changé, jusqu'au jour où Dante annonce à son copain qu'il s'apprête à quitter la ville pour se marier.


Lorsque j'ai commencé le film, je me suis dit : merde, une comédie sociale pas drôle (traduction : humour gras avec un arrière-plan social, et donc glissant vers le pathétique car jouant à deux niveaux à la fois sans réussir complètement son contrat). Mais dès que je suis arrivé au fameux extrait sur le SDA et du débat Lucas/Jackson, ouf je suis rentré dedans, à fond. Sérieux, c'est l'une des scènes les plus drôles que j'ai pu voir en référence à un film "culte". J'avais en fait besoin de ce petit "quelque chose" pour me connecter à l'histoire. Sinon c'est très intelligent lorsqu'on gratte un peu derrière des répliques qui "claquent" parfois très bien (entre le débat de ce qu'est une blague raciste et l'amalgame entre Anne Frank et la triplement handicapée, j'étais plié en deux), avec un bon coup de pieds dans les choses reçues heureuses comme telles : se marier, avoir un boulot sûr, une vie rangée, sans plus se poser de questions (génération de l'homme qui suit la femme, blasée des hommes trop sûrs d'eux qui les ont jetées comme des merdes). Derrière cette amitié parfois contrariée entre ces deux "ratés" de la vie, (l'un complètement à côté de la plaque et l'autre voulant sortir du cercle "no life") il se passe quelque chose de fort, qui témoigne d'une vie réussie malgré les apparences (ça ressemble à du The big Lebowski sur le fond). Puis ça fait plaisir aussi d'entendre parler de sexualité de manière aussi débridée (le truc de la sexualité inter-espèces, j'étais aussi plié ...), de racisme (juifs, blacks, mexicains ...) , de religion ("les camps de la Bible" ...), ou encore d'homosexualité, sans tabous et sans cynisme (derrière cet humour dévastateur, des vrais questions sont posées).

Enfin, il faut dire que les acteurs sont bien sympathiques. J'avais d'abord bien accroché à Kevin Smith et Jay, déjà aperçus dans Dogma : les seuls acteurs qui parviennent toujours à me faire autant mourir de rire en parlant de "chattes", "bites", ou que sais-je encore (c'était mon quota gros mots ...). Les deux autres acteurs principaux, Brian O'Halloran et Jeff Anderson, me sont très familiers, et pourraient être de bons potes. Enfin, il y a Rosario Dawson, que je venais revoir dans Alexandre (O. Stone), je ne l'avais pas reconnue, ça c'est de la meuf. Voilà, la réalisation est toute simple, mais c'est quand même la classe de faire danser sur du Jackson Five (le film se transforme pendant quelques secondes en comédie musicale) ou d'exprimer un coup de blues par du Smashing Pumpkins. Un petit bémol quand même sur le fond : c'est un peu "too much" la manière dont les deux compères se réconcilient (au fond l'argent a résolu leurs soucis), mais je n'ai rien à dire du côté de la tournure de la relation sentimentale, bien au contraire. Je comprends que ce film fasse l'unanimité tant ça respire de sincérité.

Une comédie sociale intelligente, qui demande un peu de temps pour rentrer dedans après une avalanche de gros mots qui peuvent paraître lourds pour un public non averti, et qui finit par devenir très drôle, touchante, et jouissive.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar francesco34 » Lun 16 Avr 2012, 07:40

Mark Chopper a écrit:Les films qu'on a découverts enfant/ado en VF, c'est toujours difficile de les voir en VO.

J'ai essayé Retour vers le futur en VO une fois, j'ai arrêté au bout de 10 minutes pour repasser en VF.

Mis à part ces films nostalgiques, je suis à 100 % VO, mais là...


Idem, la plupart des films des années 70-80 j'ai du mal à passer à la VO après les avoir vu tant de fois en VF... J'ai pas essayé avec Retour vers le futur, mais j'avais tenté avec Star Wars, Les aventuriers... impossible de tenir. Un des rares de cette période qui a fait le chemin inverse c'est Rencontres du 3ème type, je peux plus le revoir en VF à cause des problèmes de langage notamment (puisque Truffaut parle français en VO).
Par contre dès qu'un film a un nouveau doublage, du coup je suis perdu, l'impression qu'on m'a piqué une partie du film (c'est le cas sur le dvd de E.T.)... ben du coup on repart sur la VO par défaut.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar erferf » Lun 16 Avr 2012, 07:58

J'garde qu'un vague souvenir du premier opus que j'avais trouvé pas mal, jamais matté le 2 mais la critique motive pas mal, ouais j'ai été apâté par les mots bites et chattes :eheh:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Lun 16 Avr 2012, 08:00

Si on cherche bien c'est dédicacé à plusieurs personnes, tu es la première à te reconnaître :mrgreen:

Sérieux tu vas apprécier :super:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar erferf » Lun 16 Avr 2012, 08:05

Ho j'en doute pas j'suis plutôt bon public pour ce genre de films, les délires à la Jay et Silent Bob j'aime bien aussi, même quand c'est que pour une brève mais remarquée apparition :mrgreen:
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