En vieillissant les valeurs et penchant du père milius se révèlent un brin Reac mais reste que le cinéaste est un grand conteur avant tout , férus d’histoire et passionner par sont pays . Ce rough riders qu’il signe pour sont propre plaisir et assouvir sont admiration pour Roosevelt et la construction des États-Unis est un film patriotique à la gloire de ces soldats plein de bravoure , d’honneur et qui défende fièrement leur drapeau , des thèmes cher a milius qu’il traitera tout au long de sa carrière ( remember Red dawn ? faux blockbuster pro ricain en plein guerre froide et véritable pépite généreuse en action et symbolique a double lecture , un panard de divertissement intelligent ) . Quand un réalisateur a de tels moyen pour communiquer sur ces passions et possède un sens du divertissement populaire et sait ce qui plait au spectateur, ça donne un moment de plaisir qui nous rappelle pourquoi on s’arrête le temps de regarder un film.
Ici le format de 2 partie de 1h30 ( tout comme broken trail qu’il a produit ) chacune est parfait puisque c’est pas non plus trop encombrant ou lourd mais ce donne quand même la place et le temps pour traiter de façon fleuve cette partie peut voir jamais exploiter de l’histoire au cinéma ( la guerre américano-espagnole du début du siècle dernier ) . 3h donc qui passe très vite, passionnant , entraînant et un régal de bout en bout sans 1 minutes de lacement , la preuve indubitable d’un récit mener de main de maître . Bien sure devant une telle production imposante on a droit a un film a plusieurs visages. Rough riders c’est donc avant tout une fresque historique très détailler et fidèle aux dates, lieux et hommes en charges . c’est aussi un pur western dans toute sa 1er partie , une épopée yankee épique dans ces proportions humaines avec un pays qui se reconstruit après la guerre la civil et ou les hommes sont a mi-chemin entre l’old-west et le modernisme qui progresse . j’y reviendrait mais dans la 2em partie , la c’est ni plus ni moins qu’un véritable film de guerre , ça se passe en 1898 la guerre entre USA et les possession colonial espagnole éclate et on forme des troupes pour aller combattre a cuba et au panama donc . Un film de soldat même avec ces valeur que ça englobe, la fierté de porter cette uniforme, l’importance des galon , le respect des grades , des hommes dévouer a un honneur commun .
Milius écrit toujours ce propre scénario qui mélange donc beaucoup d’étape historique vérifiable ainsi que des rajout et etoffage plus romancer et proposer une aventure hollywoodienne noble et divertissante. Les rough riders c’est un régiment de cavalerie de volontaire de tout horizon, Roosevelt était encore jeune et pas président et comme beaucoup d’hommes qui ont grandit dans l’après civil war , il était impatient d’aller au combat avec derrière lui enfin une nation unifies a défendre . il va donc mener , lui aussi volontairement une bande de soldat improbable , et la ça ratissait larges , de hors la loie qui trouvais la un moyen de faire profil bas , des paysans rafler , des trappeurs qui ne gagnait plus leur vie en vendant des peaux de castor et aussi la jeunesse bourgeoise qui s’ennuyait et
Ne supportait plus d’entendre les exploit héroïque de leur parent et voulait une guerre a eux , bref tout le monde pouvait signer .
La 1er partie c’est donc comment ces troupes ont été former, d’où viennent ces hommes, on a un représentant de chaque type , tous ont droit a une petite scène d’intro et un background psychologique avec leur propre enjeu et conviction quand a leur enrôlement . brad anderson a rater sa carrière , dommage le mec est bon et une gueule de cinéma dans un registre similaire a un josh brolin . Les régiment sont organiser on a même une bonne partie consacré a l’entraînement au combat et code de la guerre de ces civil pour les changer en soldat . ici donc c’était une guerre attendue et presque voulue par tout une partie de la population donc aucune des valeur patriotique semble hors de propos . Milius il kiff les gun alors comme d’habitude il le film sur toute les couture , les présente , les détails , les décortique , y en a de toute les tailles , pour chaque situation , une vrai thématique ici .
Le perso central c’est un Roosevelt begins, impatient , ambitieux et assez excentrique et ces scène dans la 1er partie sont un peu déstabilisante, tom berenger est charismatique mais l’interprétation est tellement exaltes qu’on se demande si teddy était vraiment ainsi , bon vue les connaissance et admiration de milius pour Roosevelt j’imagine qu’il a donner a berenger ces indication ( d’ailleurs Le salut militaire compléments WTF de Roosevelt et une citation ouvertement revendiquer de milius au perso de lawrence d arabie évidemment au début du film de lean ) , enfin , une fois dans le chaos de la guerre il deviendras sérieux . lui aussi il apprend sur le tas , il mène ces hommes et créer un véritable lien de camaraderie , de soutient qui est le fil rouge émotionnel tout le long , ils mange ensemble , saigne ensemble , célèbre ensemble sans barrière social ni hiérarchique . Sam elliot lui c’est le formateur, le vieux de la vielle, une classe monstre, d’ailleurs elliot je suis sur qu’il est née avec ces moustache et que dans la vrai vie ça doit être un cow-boys ! pis il a ici un personnage aux couille tremper dans l’acier .
Une fois la genèse et les participant de cette guerre bien étudier jusque dans ces arcane politique , militaire et stratégique via le perso du Major général d’un très très bon gary busey , la 2em partie aussi différente que complémentaire consacre elle entièrement ces 1h30 au affrontement . Du pur western ici on change et passe au film de guerre, a cuba donc , c’est original de voir des troupe de cavalerie et d’infanterie de tunique bleus crapahuter dans la jungle pour débusquer du vilains !
Les situation pendant cette 2em partie sont bien varies , de longues charge de masse bien épique dans des plaine au passe au bataille de trancher sous les obus et canons . Des échanges a la gatling camoufles dans les foret tropical touffue entre 2 bords de rivières opposes , ou enfin une colline imprenable défendus stratégiquement par l’état major cubain dont la conquête sera décisive .
Les scènes d’action sont lies pas des moment de répit au campement , l’accalmie est le moment de revenir a hauteur d’homme et suivre l’évolution de leur état d’âmes entre leur idéalisation qu’il se faisait de la guerre et sa dure réalités .
Milius livre une mise en scène autant classique que ample et constante sur les 2 partie . pratiquement que des grand plan large très épique et majestueux , rough riders c’est l’opposer total du film timide et intimiste dans sa forme ( l'a influence de ford , comme toujour chez milius , est visible de partout ) . un déluge de moyen qui permet une reconstitution d’époque fascinante qui grouille de vie et d’authenticités . la logistique est opulente , le moindre plan regorge de centaines de figurant , les décors et choix de paysages naturel élèvent encore plus ce qui visuellement passerai pour un blockbuster a 120 millions et je le note pas souvent mais ici les costume sont superbe on se croirait vraiment en 1900. et pis la conclusion du métrage est l’occasion a milius pour rendre encore hommage a une autre de ces influence qu’il place dans chacun de ces film , et la on a droit a un final identique a Searchers .
Bref un film-fesque parfait pour les dimanche de paque , un charme d’antan , un film qu’aurai pas renier charlton heston dans les 60’s , ah oui et pis le score d’ elmer bernstein ronfle au sont du clairon et le main thème une pure tuerie, écouter moi ça et oser me dire que ça donne pas envie de le mater !