Grand classique megalo de l’age d’or , la conquête de l’ouest plutot vieillit mal . Pas du tout sur la forme, car pendant 2h40 l’effet de profondeur est ultra saisissant, la largeur des panorama vertigineux et un réel effet tridimensionnel confères une immersion spectaculaire, on en prend plein les yeux , par contre paye ton fond en carton qui pour le coup ne peut même pas se cacher derrière la naïvetés des classique westernien tant ici on atteint un degré de moralisation et manichéisme aigue ! pourtant au début des 60’s on sentait deja pointer le bout de sont nez quelque œuvre revisionist du genre qui lanceront le renouveau en cassant un peu les code et ces récit si partial , et tent mieux , how the west was won lui fait chemin inverse …. Alors oui techniquement le film est plus que irréprochable, la technologie visuel du cinerama c’est une grosse reussite , la demo pictural qu’est le bluray vaut a elle toute seul la vision du film en HD ( et le documentaire d’1h30 sur le cinérama est excellent ) , le casting est un défilés de superstar , mais du coup les enjeu financier pharaonique et un soucis d’universalites pro-yankee trop important on empêcher toute prise de risque et livre une succession de tableau aussi beau que manichéens , naïf , édulcorer et limite douteux .
Toute l’histoire de l’évolution moderne des States vue a travers une famille qui sert de fil rouge et passe par toute les étape importante entre 1820 et 1900 , des vignette qui s’enchaîne de façon très épisodique surligner par une voix off didactique . les enjeu dramatique n’ont aucune poids et c’est plutot dommage de se rendre compte que chaque tableau essaye quand meme tres legerement quelque petite nuance . Ainsi la 1er partie présente la vie aventureuse des pionniers qui parte dans l’inconnue de l’ouest , vivent de la nature et la terre , bâtissent leur maison et embarcation . la famille prescott c’est trop la famille modèle quoi . catho , gentil , solidaire, plein de reve et d’amour . l’hymne au mythe américain n’a aucun œil critique ici . ils croisent des trappeur vivant en marge de la sociétés , un James stewart qui n’ayons pas peur des mot est ici tres mauvais , accent et grimace cabotin , perruque ridicule , love story dégoulinante . bon ca va que dans les 2 sœur , il y en a une qui a un peu de caractère et pis les parent crevent dans la descente de rapide .
Puis la désillusion de la rue vers l’or et un gregory peck plutôt intéressant , un itinéraire moins linenaire que les autres , l’ideologie positif du far west s’efface un peu , mais les perso qui la raconte sont trop fade et bien pensant . les fils sont de gros idéaliste bien évidemment et ils feront face a la dure réalités de la guerre civil ( john wayne passe 2 min pour une scene et 3 ligne ) , ces passage diriger un ford post searchers sont bien epique et dispose de decors studio superbe , on sent que dans les dialogues et ces tunique bleus un soupçon désabusés ils essayent de dénoncer un peu le sujet ( sympa l’idee de la riviere de sang ) plus sobre, moins grandiloquent , mais il n’y est pas aller a fond .
La difficultés de la construction des chemin de fer donne a widmark un des meilleur role du film . un mechant tres mechant , ambitieux , mais cruel et juste attirer par l’argent , pas vraiment le portrait le plus glorieux . il gagnera seulement grace au mensonge et la trahison de sont pacte avec les indiens en plus il clash avec un henry fonda en davy crockett que j’ai eu du mal a reconnaître !! fonda lui aussi a droit a un role qui tente de prendre un peu le partie indien , dommage que le propos du film le mette clairement en marge de l’evolution , ici le theme et message est qu’il faut changer et accepter l’americanisme , sinont on a qu’a aller vivre dans les bois et fermer sa gueule. bon la du coup sa intervient avec des indien réduit a l’état de sauvageons barbare et concon . les familles d’émigrant europeens viennent chasser le bison et les peau rouge , d’ailleur la scene d’attaque du troupeau de bison est énorme quoi ! un prouesse toujour a l’heure actuel !
La fin de l’ouest avec les hors la loie est expedier sans aucune traitement , par contre ca se termine sur une attaque de train epique et ebourrifante, serieux tout le long c’est vraiment bidon et même gênant dans le fond , mais alors sur la forme y a rien a dire pour un blockbuster de 62 , meme en 2012 , ca le fait quoi !
Cette anthologie de la memoire ricaine est trop bancal et bavarde pour avoir un réel souffle humain ( la 1er partie avant l’entracte est chiante et trop cul cul avec un karl malden qui ressemble a un amish alors que la 2em partie après l’entracte est bien rythmer , epique ) , encore moins emotionel ok les moment de bravoure sont nombreux , l’experience est chouette avec cette patine « grande fresque hollywoodienne » , gros budget , decors , paysage , saga sur plusieur generation , ca sauve le visionage .