[Killbush] Mes critiques en 2012

[Mark Chopper]

Au pire, il y a eu un remake japonais... Mais j'ignore ce qu'il vaut.

[Jimmy Two Times]

Sideways, c'est le meilleur film de Payne. Pour les adeptes des soirées plateau de fromages/bon pinard/on refait le monde entre potes

[Heatmann]

je suis grand adepte de ce genre des soirer , j aime bcp Payne , et sideways c'est en effet une merveille de film , d ecriture et de "moment"

[Jimmy Two Times]

et puis, c'est super fendard!

[Dunandan]

TUCKER & DALE FIGHTENT LE MAL - Eli Craig (2011)

Spoilers (sauf si vous avez vu le trailer)

Bonne surprise ce Tucker & Dale, j'ai eu la chance de le découvrir avant sa sortie et avant d'avoir vu le trailer qui regroupe les meilleures scènes du film.

Ça commence comme un survival classique avec une bande de jeunes décérébrés venus faire la fête dans des bois paumés et qui vont vite tomber sur un duo de rednecks au look plutôt inquiétant. S'ensuit un détournement total des codes du genre, puisque les deux compères s’avèrent au final des mecs sympas qui n'ont pour seule ambition que de retaper une vieille cabane dans les bois, mais la bande de jeunes, nourris aux slashers et autre films d'horreur, vont immédiatement les prendre pour des tueurs en série.

Et c'est donc parti pour un jeu de massacres et de quiproquos assez jouissif et très drôle, où les jeunes essaient par tous les moyens de buter le duo de rednecks, tandis qu'eux se demandent ce que veulent cette bande de jeunes débiles qui meurent accidentellement les uns après les autres. On enchaine les références au travers des scènes et des dialogues repris des classiques comme Massacre a la tronçonneuse entre autres.
Passé une heure, le film perd de son rythme et le dernier tiers du film plombe légèrement l'ensemble, notamment à cause d'une storyline secondaire tiré par les cheveux.

Le duo du titre fonctionne à merveille et on s'attache immédiatement à ces deux bouseux totalement dépassés par les événements. On ne peut pas en dire autant du reste du casting, même si la très mignonne Katrina Bowden s'en sort pas mal.
Une bonne comédie gore qu'il faut découvrir vierge de toutes infos pour ne pas gâcher l'effet de surprise !

6,5/10

[Alegas]

LA BELLE AU BOIS DORMANT - Clyde Geronimi (1959)

Sans conteste un de mes Disney préférés et l'un des plus beaux représentants de l'age d'or du studio, La Belle au Bois Dormant est l'adaptation du célèbre conte autrefois narré par Charles Perrault ou les Frères Grimm. Nécessitant près de huit années de travail et un budget colossal pour l'époque de 6 millions de dollars, ce chef d’œuvre retrouve toutes ses lettres de noblesse grâce à son sublime transfert en haute définition.

Tourné en Technirama 70 mm et présenté en Scope (ce qui permet une profondeur de champ bluffante), le film n'a pas pris une ride malgré ses 50 ans au compteur, et il en ressort même grandi, tant le niveau de détails et la qualité des couleurs est époustouflante. Rarement un Disney n'a atteint une telle qualité des dessins, des arrières plans, de l'animation des personnages, sans oublier la partition enchanteresse de Tchaikovski.

L'histoire tout le monde la connait, mais elle fait partie de ces récits sur lesquels le temps n'a pas d'emprise. Le mélange entre romance, fantastique et merveilleux est parfaitement dosé, et les différents personnages qui parsèment le film apporte chacun une tonalité différente. De l'inquiétante sorcière Maléfique (certainement la plus grande méchante du studio) à la princesse Aurore, en passant par les trois bonnes fées ou le Prince Philippe, chacun participe à faire de cette belle histoire d'amour et d'espoir un des classiques majeurs de l'animation.

En extrapolant, on peut aussi voir en La Belle au Bois Dormant (et surtout dans les contes d'origines) un manifeste pour la liberté de la femme, soumise aux choix de ses parents et de ses marraines, qui deviendra enfin une femme lorsque son sang aura coulé (la quenouille : symbole de la perte de virginité) et que le mal aura enfin sa vengeance.

Une des plus grandes réussites du studio Disney qui n'a rien perdu de sa superbe et qui continuera encore longtemps à faire rêver les futures générations !

9/10

[Heatmann]

c'est vrai que ce bluray il est assez impressionant bon alors moi aussi c'est vrai je kiffe bien a chaque fois qu'on le revoit , le detail visuel tue bien et ma femme aussi y prend bcp de plaisir qu'en on se fout tous devant , par contre mes enfants il prefere shrek 2

[Killbush]

Rhaa les mioches, faut tout leur apprendre

[Waylander]

Ouais bon bah faut que je le vois en BR mais le prix putain. En UK ça va mais il est que VOSTA et ma mère ça va la saouler.

[Killbush]

V.O je peux pas sur les vieux Disney

[alinoe]

Mon Disney préféré, chaque scène ressemble à un tableau, parfois on a véritablement l'impression de regarder une tapisserie ou une fresque. J'adore la verticalité du graphisme qui apporte un style unique au film. L'image fabuleuse du Blu Ray rend un digne hommage à ce chef d'oeuvre.

[Killbush]

A VERY HAROLD & KUMAR CHRISTMAS - Todd Strauss Schulson (2011)

Trois ans après le second épisode délirant se déroulant à Guantanamo, Harold & Kumar sont de retour pour la joie de tous les amateurs de stoner comedy. Et même si ce troisième opus n'est pas a la hauteur des deux précédents, il reste néanmoins très sympathique et rempli de scènes aussi débiles que jouissives.
On retrouve nos deux personnages plus vieux, qui ne sont plus revus depuis leur dernière aventure. L'un sur le point de se marier mais incapable de se faire accepter par son beau père (Danny Trejo dans un contre emploi marrant), et l'autre vient d'apprendre qu'il va être père alors qu'il est toujours aussi irresponsable et défoncé du matin au soir. Mais le destin va bientôt les réunir pour un réveillon de Noël qu'il ne sont pas prêts d'oublier.

Commence alors une succession de scènes délirantes et de quiproquos à base de père Noël qui fume des joints, d'une nympho qui s'avère être la fille d'un parrain de la mafia, d'une gamine qui prend de la coke, de courses poursuites en stop motion avec un bonhomme de neige géant, de Neil Patrick Harris dans un rôle d'auto dérision très réussi (gay à la ville, il est ici un serial fuckeur qui se fait passer pour gay pour draguer les femmes) Malgré le coté totalement nawak, le film se conclura sur un happy end où chacun rentre dans le rang et retourne à une vie bien rangée. Un défaut malheureusement récurrent dans les comédies US.

Sans atteindre le niveau de ses deux ainés, ce troisième volet des aventures d'Harold & Kumar comblera ceux qui veulent s'amuser en éteignant leur cerveau pendant 1h30. Et parfois, ça fait vraiment du bien !

6/10

[erferf]

Le screen avec les bonnes soeurs suffisait tu sais

[Kareem Said]

J'ai nettement préféré le 3 au 2. Ce troisième opus est presque du niveau du premier. Bien fendard et trippant !
J'ai une critique qui doit pioncer quelque part.

[Killbush]

Le screen avec les bonnes soeurs suffisait tu sais

Perso, je préfère Paula Garces même si elle est pas Topless