[Dunandan] Mes critiques en 2012

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Sam 17 Mar 2012, 10:11

Historiquement le premier western pro indien c'est sur le Territoire des Comanches, bon le film est pourri mais il est sorti avec la Flèche Brisée ( et ptet la Port du Diable, à vérifier ) et Fort Apache a une approche pro indienne aussi sans que ce soit le sujet principal du film.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Waylander » Sam 17 Mar 2012, 12:53

Alegas a écrit:J'ai un peu de mal à comprendre l'avalanche d'excellentes notes pour celui, j'aime bien mais y'a quand même quelques baisses de rythme en milieu de métrage.



Ya pas de baisse de rythme ya pas de rythme du tout. Tout joue sur la tension, le suspens (car oui contrairement à ce que dis Dunandan il ya énormément de suspens alimenté par le mystère entourant toute l'intrigue et la narration) et le développement des personnages. C'est inhérent au genre quand même.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 17 Mar 2012, 12:55

Merci, je remets tout ça en perspective :super:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 17 Mar 2012, 13:04

Waylander a écrit:
Alegas a écrit:J'ai un peu de mal à comprendre l'avalanche d'excellentes notes pour celui, j'aime bien mais y'a quand même quelques baisses de rythme en milieu de métrage.



Ya pas de baisse de rythme ya pas de rythme du tout. Tout joue sur la tension, le suspens (car oui contrairement à ce que dis Dunandan il ya énormément de suspens alimenté par le mystère entourant toute l'intrigue et la narration) et le développement des personnages. C'est inhérent au genre quand même.


C'est quel film :mrgreen: ?
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Messagepar Waylander » Sam 17 Mar 2012, 13:05

L'armée des ombres.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 17 Mar 2012, 13:09

Ah bon moi qui pensais avoir dit qu'il y avait un rythme (au moins au niveau des personnages, je vais vérifier ça), car effectivement il y a une tension, du fait que la destinée n'est jamais écrite pour les personnages bien qu'on connaisse l'histoire globale.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 17 Mar 2012, 13:21

J'ai légèrement modifié ma critique, car pour moi aussi il y a une tension, mais qui n'est pas classique, je cite le paragraphe modifié :

Dans Pat Garrett et Billy the Kid, il s'agit d'une ballade mélancolique sans qu'on en connaisse le bout, guidée seulement par des personnages qui savent que le bout de la route peut arriver à tout moment, mais ne savent jamais ni où ni quand. Or, il s'agit pratiquement du même rythme, de la même manière de concevoir une histoire chez Melville, et particulièrement dans L'armée des ombres. . Autrement dit, la tension émane des questions existentielles des personnages face aux situations qu'ils rencontrent, et de l'impossibilité de savoir comme cela se terminera à l'issue de leurs décisions.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Waylander » Sam 17 Mar 2012, 13:23

:super:
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Cloclo - 8,5/10

Messagepar Dunandan » Sam 17 Mar 2012, 17:50

Cloclo

Réalisé par Emilio Siri

Avec Jérémie Renier, Benoît Magimel, Monica Scattini

Biopic, FR, 2h28 - 2012

8.5/10


Résumé :
Cloclo, c’est le destin tragique d’une icône de la chanson française décédée à l’âge de 39 ans, qui plus de trente ans après sa disparition continue de fasciner. Star adulée et business man, bête de scène et pro du marketing avant l’heure, machine à tubes et patron de presse, mais aussi père de famille et homme à femmes. Cloclo ou le portrait d’un homme complexe, multiple ; toujours pressé, profondément moderne et prêt à tout pour se faire aimer.









Image

Allez le voir, vous n'allez pas être déçu, en plus il y a un singe, in-con-tour-na-ble je vous dis !


Cloclo s'inscrit au milieu de la mode actuelle des biopics. C'est Emilio Siri qui s'y colle, connu surtout pour ses films d'action, Nid de guêpes et Otage, à la photographie et à la mise en scène soignées. Or, il nous montre qu'il s'agit non seulement de son projet le plus ambitieux, mais celui-ci transcende carrément le genre, et ce n'était pas gagné d'avance, vu que je fuis chacune de ses chansons ... Le film mène deux fronts à la fois : d'une part, La personnalité de Claude François, disséquée de A à Z, avec les rencontres qui l'ont marqué et ses zones d'ombres, ses contradictions, et d'autre part, sa progression en tant que star. Derrière l'icône, il y a d'abord l'homme, qui a vécu en Egypte avec sa famille, qui avait tout, et un père fier de son image et exigeant pour ses enfants. Toute la partie qui précède le phénomène est admirablement décrite, sans fards, en montrant un Claude François qui a puisé son don musical dans son environnement culturel, cet amour paternel difficile à satisfaire, un physique mal-aimé, qui produisent finalement le désir inépuisable d'être aimé par les autres. Parallèlement à ce mal-être vient s'ajouter la réalité impitoyable du show-business qui le pousse à projeter une image de star qui fait rêver, mais qui va le déposséder paradoxalement de lui-même, alors qu'il peut tout contrôler (magistrale la petite scène de maquillage). Nous découvrons aussi le parcours musical de Claude-François, qui ressemble parfaitement à celui de Madonna, pompant sur les influences modernes pour composer son propre style. Enfin, les musiques sont toujours mises en avant de telle manière qu'elles font écho à sa vie : les moments tristes, essentiellement des chagrins d'amour, font toujours les plus belles chansons, tandis que les moments "creux" flottant sur son succès, font les plus superficielles. La chanson du générique mêle avec talent racines et influences modernes. Ainsi, aucun aspect n'est oublié, sans jamais perdre le fil directeur de l'histoire : la psychologie de Claude François, l'environnement familial, le show business, les dérives, les fans, la recomposition de l'époque historique et musicale. De plus, la ressemblance physique de l'acteur avec Claude François est frappante, ainsi que les mimiques qui le caractérisent. Puis, la mise en scène n'est pas en reste, toujours habile et discrète, faisant ressortir simplement les émotions des situations et des personnages au rythme des chansons de Cloclo sans jamais tomber dans le pathos et dans le tape à l'oeil, comme j'ai pu le ressentir parfois dans Otage, et dont la présence ne se fait vraiment ressentir qu'aux moments clés (reprise de Sinatra qui signifie énormément pour l'artiste, maquillage, concerts, composition de certains morceaux, parallèle étoiles de la scène/étoiles miroitant sur le canal de Suez ...). Pour terminer, je ne retiendrais que deux bémols à ce portrait presque parfait : si l'acteur interprétant Claude François est très crédible, il n'en est pas autant pour les autres, particulièrement à Frank Sinatra qui ressemble à un gangster, et certaines zones d'ombre sont parfois un peu trop surlignées (mal-être, amour manquant du père, la bougeotte permanente ...) mais qui ont au moins le mérite de mettre l'accent sur les "pics" de la personnalité du mec. En conclusion, l'un des meilleurs biopics de ces dernières années.

Un biopic qui fera date, abordant tous les aspects de la personnalité de Claude François sans langue de bois, et qui interroge plus largement sur le rapport entre l'homme et l'artiste.
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Flèche Brisée (La) - 7,5/10

Messagepar Dunandan » Sam 17 Mar 2012, 22:54

Flèche brisée

Réalisé par Delmer Daves

Avec James Stewart, Will Geer, Jeff Chandler, Debra Paget

Western, USA, 1h28 - 1950

7.5/10


Résumé :
Arizona, 1870. La Guerre fait rage entre Blancs et Apaches. L'ancien éclaireur Tom rencontre le chef Cochise et propose la paix. Un traité est signé. Mais ils vont être trahis.


Avec La porte du diable, il s'agit de l'un des premiers grands westerns pro-indiens, à la différence que ce dernier s'exprime par le point de vue d'un américain et non d'un indien, de nouveau interprété par James Stewart (décidément un habitué du genre), et cette fois-ci, il s'agit d'une histoire vraie bien que romancée. La question de base est relativement semblable, portant sur la paix entre les deux peuples, mais alors que le juridique était le thème principal de l'autre film, ici le traitement est bien plus classique, dérivant vers l'aventure et la romance.




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Le début du film m'a beaucoup fait penser à Danse avec les loups à cause de l'angle choisi et de la voix off qui se fait l'écho des pensées du personnage principal : un américain marche à la rencontre du peuple indien, après avoir aidé un jeune indien blessé qu'il a aidé et qui l'a fait réalisé qu'il souffrait comme n'importe quel humain, mais surtout après fait l'expérience désagréable de racisme dont il a été témoin juste après dans un bar et qui mettait en doute son patriotisme. Peut-être que la grande différence entre les deux films réside dans l'attachement à la patrie et le respect des règles de ce personnage, malgré son voeu de faire la paix, du moins jusqu'à la fin. Et aussi le cadre géographique, ici les Rocheuses, n'est pas du tout le même.

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Dans un premier temps, les indiens (qui parlent en anglais, mais on est prévenu dès le début) sont quand même méfiants, et la vie de l'américain ne tient qu'à un fil. Ce sont avant tout des guerriers prêts à tuer si leur peuple ou leurs terres sont menacés. Cependant, le chef est aussi un grand sage et n'use de la violence qu'en vertu de règles, donc prêt à faire la paix entre les deux peuples si ça permet de protéger le sien. Pendant un temps, je trouvais ça un peu trop rapide et simpliste, comme si ce chef se faisait influencer par l'américain, d'autant plus qu'il s'est affranchi de certains de ses meilleurs guerriers (dont le fameux Géronimo) pour faire respecter la paix. Mais finalement, le respect des règles sera encore plus difficile pour l'américain que pour le chef indien, contrastant ainsi fortement la position de l'indien, tenant sa parole, peu importe ce qui en coûte. Enfin, d'un côté comme de l'autre, il y a des gentils et des méchants, évitant ainsi une vision naïve des gentils indiens voulant la paix et des méchants américains voulant s'emparer de force des terres des indiens. Cependant, les raisons évoquées pour la paix ou la guerre, hormis le dépassement des habituels stéréotypes (américains qui ne tiennent pas leur parole/indiens sauvages et sanguinaires), sont peu développées.

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Parallèlement à la découverte de l'américain des moeurs indiennes (rites d'initiation, mariage, ...), aux affrontements armés, et aux discussions de paix, se déroule une histoire d'amour entre une jeune indienne (très mignonne) et l'américain. Ainsi, politique et romance font la paire, de manière assez prude comme cela se faisait dans les années 50. L'acceptation de l'américain dans le clan est par contre un peu trop facile à mon goût, basée seulement sur son courage et son franc-parler, mais je n'ai pas d'autres références de la même époque pour comparer. Enfin bon, ça m'a paru mignon mais naïf, fleur bleue.

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La réalisation est très sympathique, en technicolor, avec des beaux plans de l'Arizona. Les batailles sont bien filmées pour l'époque, avec affrontements au couteau, aux armes à feu, ou à l'arc. Un vrai film d'aventure bien efficace, interprété par un James Stewart que je commence à découvrir et que je trouve plutôt bon, mais bon à part John Wayne, je ne connais pas d'autres acteurs du genre des années 50.

Un western pro-indien à découvrir, traité sous l'angle d'une politique et d'une romance inter-raciales. Un beau film humaniste et naïf réalisé avec beaucoup de sincérité et de conviction, malgré quelques facilités de traitement.
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Libre comme le vent - 7,75/10

Messagepar Dunandan » Dim 18 Mar 2012, 05:00

Libre comme le vent

Réalisé par Robert Parrish

Avec Robert Taylor, John Cassavetes, Julie London

Western, USA, 1h24 - 1958

7.75/10


Résumé :
Tony Sinclair (John Cassavetes) supporte de plus en plus difficilement l'autorité de son frère Steve (Robert Taylor). La présence de la jeune Joan (Julie London) ne l'empêche pas de se montrer de plus en plus violent. Fasciné par les armes, il va bientôt tuer.


Avec Libre comme le vent, je commence à mesurer à quel point le cadre du western est parfait pour raconter un tas d'histoires différentes, mais qui auraient pu tout aussi bien être racontées à travers d'autres genres cinématographiques au spectre parfois plus réduit, tel que par exemple, le polar urbain.





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Le film est entièrement structuré sur les faux-semblants et les rebondissements. Par exemple, l'introduction s'ouvre sur une chanson enchanteresse, vibrante de liberté et de rêveries bucoliques, mais elle est immédiatement suivie de l'un des bad-guys les plus collectors que je connaisse, accumulant les gestes désagréables. La rupture du ton est totale. Ensuite, nous découvrons qu'il est en quête d'un homme à qui il cherche des noises, sans en savoir plus sur la situation. Puis, le récit se resserre autour de deux frères, qui se retrouvent après une assez longue absence du cadet, tout guillerets, avec le jeune frère qui a ramené une jeune femme avec lui. Mais le cadre se noircit une fois de plus lorsque nous apprenons que l'aîné était un ancien bandit à qui on a prêté des terres en échange de bonne conduite, que le cadet a acquis une passion morbide pour le tir au pistolet, et enfin que la femme est une ancienne prostituée qui se retrouve un peu ici pour tenter sa chance comme la fameuse héroïne de Il était une fois dans l'Ouest.

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Le film peut se résumer à un enchaînement de situations-limites (l'homme qui attend le frère aîné au bar ; un groupe d'hommes qui réclament leurs terres qui ont un double statut, à la fois héritage de leur ancêtre et propriété du maître de la vallée, et donc des deux frères) auxquelles se confrontent essentiellement les deux frères et celui qui leur a prêté leurs terres. Il y a un véritable rapport responsable à la violence que l'on retrouve assez rarement dans le western. D'abord, l'aîné représente la voie de la rédemption et de la sagesse pratique (résultat de ses erreurs de jeunesse qu'il ne veut pas commettre de nouveau) mais aussi le respect strict mais raisonnable des règles. Il est également l'ombre de l'homme qu'il était par le passé dont il veut s'affranchir, mais que veut recouvrir le cadet car il l'estimait tel qu'il était, comme un père. Le feu impétueux de la jeunesse bout dans les veines du petit frère, jusqu'à prendre possession de lui. C'est étonnant de le voir à la fois si proche des autres au sens spatial du terme, et de voir son entourage s'éloigner simultanément de lui mis à part ceux qui sont comme lui. Enfin, le vieil homme qui leur a prêté les terres déteste qu'on fractionne les terres de manière non harmonieuse, mais déteste encore plus la violence : le vivre-ensemble lui semble plus important que tout. En outre, la femme semble excentrée par rapport à l'action, toujours en équilibre entre les deux frères : elle prouve qu'une femme comme elle ne peut pas contenir le tempérament du cadet et donc montre subtilement son désaveu, tandis qu'elle témoignera d'une partie de la bonne influence de l'aîné sur le cadet, alors que ce dernier ne le voyait pas lui-même. Au second plan, par le biais du traitement de la violence, se joue donc l'esprit de la vallée, sans frontières visibles comme des barrières qui seraient signes d'inimité ou de violence possibles, dévoilant ainsi un paysage harmonieux, où souffle une liberté saine. Autrement dit, cet espace géographique peut être comparé à la communauté humaine : peut-on partager ces terres sans signes de violence, en évitant les marqueurs visibles de la frontière ? Une interrogation très moderne et assez rare dans le genre pour être soulignée.

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La photographie est une fois de plus magnifique, comptant des plans parfois très travaillés (je pense notamment à un duel qui semble indiquer que le frère cadet veut dominer la vallée par sa présence et ses propres règles, en complète contradiction avec son esprit de liberté et ses règles impartiales), et surtout des extérieurs et des décors de toute beauté. Cet environnement idyllique et cette impression d'inachevé quant aux villes nous plongent entre rêveries et instabilité, résumant au fond tout le film. Au niveau des personnages, la psychologie de chacun d'eux se densifie au fil du récit par le biais des situations qui la mettent à l'épreuve, et John Cassavetes se démarque particulièrement des autres acteurs pour son jeu tout en nuances.

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Un très beau drame fraternel jouant sur les faux-semblants et les ruptures de ton, avec au second plan une subtile réflexion sur l'unité de la communauté humaine et du partage de l'espace géographique, et dont je remarque un magnifique thème musical qu'on entend qu'une poignée de fois mais qui reste obstinément dans la tête.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Dim 18 Mar 2012, 07:23

Et oue le western c'est le genre le plus riche du cinéma 8)
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Dim 18 Mar 2012, 07:43

ah ouai celui la me semble que je l ai toujour de coter chez way pour un echange :bluespit: jvai kiffer !
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Waylander » Dim 18 Mar 2012, 10:11

Scalp a écrit:Et oue le western c'est le genre le plus riche du cinéma 8)



:nono:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Dim 18 Mar 2012, 10:14

Bein si, tu peux TOUT raconter, même de la merde SF, des comédies pourrave et même des daubes pour sundance.
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