[Dunandan] Mes critiques en 2012

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Dim 26 Fév 2012, 08:33

Sélectionne, mate les pas tous, y en a des biens mauvais.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 26 Fév 2012, 08:35

Ben en fait je ne sais pas si t'as fait gaffe, mais il y a une réelle continuité dans le cheminement du personnage (par exemple les trois premiers forment un tout). Donc je vais tâcher de me les mater plus dans l'ordre. Je n'aime pas faire les choses à moitié :mrgreen: !
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Dim 26 Fév 2012, 08:37

Ah bein j'en sais rien moi je les ai maté dans le désordre :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 26 Fév 2012, 08:43

C'est ce que je voulais faire à la base pour varier un peu, mais bon apparemment, même si tous les épisodes ne se suivent pas au niveau de l'histoire (les trois premiers forment une unité, ça c'est clair, mais je verrais par la suite), il y a une véritable cohérence dans le parcours du gars. Un chambara-saga quoi :love: !

J'ai mes sources si ça t'intéresse d'en voir plus :mrgreen:.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Dim 26 Fév 2012, 08:45

Merci c'est bon je vais m'arrêter à ceux de mon coffret Wild Side ( que j'ai pas encore terminer en plus ).
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Killbush » Dim 26 Fév 2012, 13:13

J'ai revu Punisher War zone hier et je suis bien d'accord avec ta critique, je me rappelais pas que c'était aussi badass !
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Dim 26 Fév 2012, 13:33

aaah voila du bourrinage violent , badass et gore en accord avec sont perso , terrible film war zone :super: :love:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Killbush » Dim 26 Fév 2012, 13:35

Le yamakasi qui se fait éclater au lance roquettes, c'est énorme
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Alegas » Dim 26 Fév 2012, 13:36

L'une des pires scènes du film. :mrgreen:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Dim 26 Fév 2012, 13:37

rha ouai genial , completement comics book la , de vrai planche de bradstreet illustres :love:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 26 Fév 2012, 13:59

Cette scène représente exactement mon ressenti par rapport à ces ptits cons sautillants :eheh: !
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Waylander » Dim 26 Fév 2012, 14:00

Killbush a écrit:Le yamakasi qui se fait éclater au lance roquettes, c'est énorme




:llol: :llol: :llol: :llol: :llol: :llol: :llol: :llol:
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Zatoïchi : le fugitif - 7/10

Messagepar Dunandan » Dim 26 Fév 2012, 21:52

Rétrospective Chambaras/films historiques japonais :




Lien avec les autres films

Zatoïchi : le fugitif

Réalisé par Tokuzo Tanaka

Avec Shintaro Katsu, Sachiko Murase, Miwa Takada, Masayo Banri, Koichi Mizuhara, Toru Abe

Chambara, Japon, 1h26 - 1963

7/10


Résumé :
Zatoichi se retrouve mêlé à une guerre de territoire entre des yakuzas après avoir tuer maladroitement le membre d’un clan naïf pensant arriver à toucher la somme mise sur la tête du masseur. Ce meurtre suffit comme simple prétexte aux chefs qui vont essayer de faire de Ichi le bouc émissaire à éliminer, masquant ainsi le véritable but, s’accaparer les terres de leurs ennemis.








Intrigue

ImageImageImageImage


Ce Zatoïchi est un cran en dessous du précédent, pourtant réalisé par le même directeur, la faute à une histoire centrale un peu moins palpitante. Au niveau de la progression de la série, le noeud se referme autour du destin du masseur aveugle. En effet, après une première scène guillerette, le mettant en scène dans une joute de sumotori qu'il remporte grâce à sa connaissance des points vitaux qu'il a acquise par sa profession de masseur et son sens aigu des autres sens, des chasseurs de prime en ont après lui, en commençant par un jeune homme qui s'attaque à lui sans savoir à qui il a affaire. Il ramène alors son corps à sa mère pour lui présenter les doléances, et aussi pour lui montrer à lui-même et à elle qu'il n'est pas un tueur, et se préoccupe de sa victime, du moins quand cette dernière n'agit pas de manière fondamentalement méchante avec lui. Sa relation avec cette vieille femme sera belle, digne, comme celle d'une mère avec son propre fils. Zatoïchi en saura également plus sur l'auteur de cette mise à prix, et sur les différents individus qui en ont après lui : un samouraï alcoolique, mari de son premier amour du premier épisode et tout un clan de yakuza. Parallèlement à cette histoire classique de chasse à l'homme, le Parrain de la ville vise à s'emparer du territoire d'un jeune héritier du clan, qu'il poussera sur la base de leur code d'honneur à affronter Zatoïchi tout en sachant pertinemment qu'il n'a aucune chance.

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Malgré une histoire peu intéressante car trop classique dans son fond et dans son traitement, il y a toujours des choses à grignoter au passage au niveau des sous-intrigues ou des rencontres : le dialogue mère-fils dont j'ai parlé plus haut ; la discussion au sujet de la philosophie des yakuzas avec le jeune successeur de clan qui pense qu'elle possède une âme noire et donc veut s'en éloigner ; la légende qui s'empare du personnage ("il dégaine aussi vite que l'éclair") ; et enfin l'ombre du passé qui plane encore à travers son ancien amour. Ce dernier personnage est le plus intéressant, car elle sera la responsable de la destruction du souvenir idyllique du passé chez Zatoïchi. Une fois son problème réglé, ce dernier enchaînera deux émotions contradictoires, la joie et sa noirceur intérieure, représentations de son parcours intérieur.

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Au niveau des motivations des personnages, il n'y en a pas vraiment du côté de Zatoïchi : il veut seulement se sortir de la situation dans laquelle il est empêtré, et devra être plus sombre que jamais pour ce faire. Ce sont donc les autres personnages qui sont habités par des intentions "positives", essentiellement composées de convoitise d'argent ou de territoire en ce qui concerne les chasseurs de prime. Et pour une fois, c'est une femme (son ancien amour) qui est responsable d'une bonne part du malheur du masseur, brisant en partie ses relations habituellement idéales avec les femmes en général.


Réalisation

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Cet épisode a la même identité visuelle et sonore que le précédent. Deux tons dominent le film. D'abord, les premières séquences montrent un Zatoïchi en sueur, puis dans une lutte à corps à corps dans un extérieur naturel : tous ces éléments expriment la maîtrise des éléments extérieurs par la force intérieure, comme en témoigne la victoire de Zatoïchi sur le sumotori. Ensuite, les couleurs deviennent de moins en moins lumineuses et les contrastes deviennent plus prononcés. D'autre part la musique, toujours de qualité, est très sombre. Tous ces éléments reflètent l'abîme de noirceur dans lequel Zatoïchi est plongé bien malgré lui. Ensuite, il y a deux combats (collectif & individuel) assez sympathiques à la fin, sans atteindre les meilleurs de la série, mais qui expriment très bien sa position morale, à travers sa furie et sa montée en avant sans attendre qu'on le frappe en premier. Enfin, l'interprétation est de la même qualité que dans le précédent opus.


Un Zatoïchi à l'histoire classique, mais intéressant par la place qu'il occupe dans la série, plongeant le masseur aveugle petit à petit dans un abîme de noirceur en lutte avec sa nouvelle prise de confiance.
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Otage - 6,5/10

Messagepar Dunandan » Lun 27 Fév 2012, 03:11

Otage

Réalisé par Florent Emilio Siri

Avec Bruce Willis, Kevin Pollak, Ben Foster, Jonathan Tucker, Marshall Allman, Michelle Horn, Jimmy Bennett

Action/triller, USA, 1h48 - 2005

6.5/10


Résumé :
Parce qu'il a été incapable d'empêcher le meurtre d'une jeune femme et de son enfant, Jeff Talley, ex-policier de Los Angeles spécialiste des négociations en cas d'enlèvement, a tout quitté pour devenir chef du bureau de police d'une ville reculée. Il ne pouvait pas prévoir que trois petits malfrats allaient prendre en otage la famille d'un expert comptable bien moins banal qu'il n'y paraît.









ImageImage


Le réalisateur du Nid de guêpes reste dans son trip western. Sauf que la greffe prend beaucoup moins bien, et dans le genre du film de négociations, Le négociateur c'est quand même mieux, et dans le genre du western moderne, je pense bien sûr à No Country for old men, autrement plus couillu. Pourtant le début annonce du lourd : après une brillante introduction BD instillant un brin de fantastique, la réalisation est tout de suite maîtrisée, même si elle abuse légèrement en effets. A l'aide d'un impressionnant zoom arrière, le point de vue passe de l'action se déroulant à l'intérieur de la maison à un plan large indiquant l'organisation policière, et nous présente dans le plan suivant un expert en négociation d'otages au bout du rouleau, qui rate ensuite son coup en laissant toute une famille se faire assassiner. On l'a compris, ce trauma va hanter le personnage, en quête de rédemption.


Un western moderne un peu trop tiré par les cheveux

Mais ensuite, le réel et le fantastique s'entrecroisent trop à mon goût, et il y a de sérieuses auto-citations abusives, jusqu'à la présentation du prochain lieu d'action, ressemblant en tous points à celui de l'entrepôt dans Le nid de guêpes, musique y compris. Ensuite, les personnages sont stéréotypés, comme le veut le genre : le psychopathe ayant un lourd passé, le gentil jeune qui se fait embrigader, et le frère aîné qui se trouve entre deux postures, qui suivent une jeune riche jusqu'à sa maison pour voler à la base la voiture. Mais ça dérape. Le script est un modèle de raccourcis narratifs : la simplicité du crime, la facilité de la manière dont ils entrent avec toutes ces caméras, le caractère isolé de la maison, la critique implicite des riches qui reçoivent ce qu'ils méritent. Ensuite, dans le déroulement, il y a un petit côté Panic Room, que je trouvais plus sympathique au niveau du style et de l'utilisation de la chambre-forte. Mais ici, il ne s'agit pas que de survie de la famille riche, mais aussi de la rédemption du vieux flic, et donc l'histoire se trouve compliquée par une deuxième prise d'otage, celle de sa propre famille, car le père des riches possède un DVD qui appartient à une puissante organisation inconnue, qui reste dans l'ombre. Cet ennemi invisible ressemble en tous points à l'armée albanaise du Nid de Guêpes, un peu trop puissante par contre (dès le début ils auraient pu agir à leur guise, vu qu'ils envoient carrément une escouade). Bref, ça s'auto-cite à longueur de temps, entrecoupé par des crises de violence du psychopathe (se terminant par un beau final d'auto-destruction massive, éjectant hors de lui toute la négativité dont il est capable), et une énervante fuite du gamin qui connaît par coeur la maison et donc parvient à aider sa soeur à s'échapper quasiment sans difficulté. Enfin, il y a des séquences tire-larmes avec le vieux flic : arrivera-t-il ou pas à sauver sa famille, et aussi cette famille dont il est responsable (car il a un trauma à guérir) ?


Réalisation

L'une des réussites du film est quand même son ambiance, malgré son côté tire-larmes, ses multiples auto-références (ou références tout court, allant jusqu'à terminer le film en un règlement de comptes à l'ancienne dans un vieux saloon), et son côté sur-démonstratif : au moins ça a de la gueule, il y a plein d'idées au niveau de la photographie, du montage, et des prises de vue de la caméra. On ne s'ennuie pas de ce côté là. Malheureusement, je n'ai pas trop participé à l'émotion des personnages, à cause de ce métissage forcé entre fantastique et réel qui m'a empêché d'y croire. Et Bruce Willis est en mode dépressif pendant tout le film. Même s'il joue bien, et rentre dans la moyenne de ses meilleurs rôles, son côté mélodramatique ne m'a pas attiré plus que ça.

Le réalisateur du Nid de guêpes ne s'est pas encore libéré de son style pour créer du nouveau, et donc s'auto-cite à longueur de temps. Cependant, si on accepte ce manque d'originalité formelle, et les facilités narratives dues au genre du western (ici moderne), on parvient à passer un assez bon moment.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Alegas » Lun 27 Fév 2012, 03:20

Radin. :evil:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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