[Pathfinder] Mes critiques en 2012

[Scalp]

Oue carrément Giallo, Argento en a pleurer de dégout même

[Pathfinder]

Good job, le film entre dans le top

Hein!!!!! Il n'était pas dans le top??? Oh putain!!!

[Pathfinder]

Belle critique pour une bombe!

Par-contre le film est clairement plus proche du giallo que du slasher.

Merci!

Pas faux, Y a beaucoup de Argento dans ce film mais j'y ai trouvé tout de meme des relents d'Halloween par moments.

[Pathfinder]

Jason X 6/10

Bon, il est indéniable qu'Adam Marcus a relancé la franchise Friday 13th. Cette tentative un brin maladroite a accouché d'un nawak assumé et suffisamment accrocheur pour lancer un autre épisode. Ce nouvel opus va encore plus loin dans le gros n'importe quoi mais avec la bonne idée de contenter les fans hardcore (Jason y est fortement présent et en mode customisé qui plus est!) tout en proposant de changer le cadre de l'histoire. Sur ce dernier point, le pari est aisément relevé avec un Jason cryogénisé et balancé dans le futur. Le déroulement reste équivalent à un Friday the 13th classique avec un boogeyman évoluant en territoire inconnu mais toujours aussi vigoureux dans son utilisation de la machette. Il est assez délirant de voir Jason dans des décors à la Star Trek à la recherche de chairs fraiches. Les cibles sont toujours des ados débiles et porté sur le cul sauf que là ce sont des scientifiques! Peu importe, les coups pleuvent, les morts s'empilent (dont certains bien graphiques, la blonde cryogénisée du visage!) et le bodycount se révèlent super généreux et original. Il y a bien sur de nombreux clins d'oeil sympathiques dont un David Cronenberg venu se faire trucider et un retour très fun à Crystal Lake.

Ce qu'il faut quand meme retenir de ce Jason X, c'est que le film se borne, pour notre plus grand plaisir, à iconiser à outrance un Jason en mode Robocop. D'un fun assumé à tous les étages, cet épisode reste bien sur l'un des plus originaux dans sa forme et très généreux dans une horreUr cartoonesque hautement appréciable.

[Pathfinder]

Freddy 3: Les griffes du cauchemar 6.25/10

3eme volet de la saga d'Elm Street, cet épisode fonce tout de go dans le délire visuel avec une approche mi cartoonesque, mi scary movie. Enfin affranchi de son somnolent créateur (qui officie juste en tant que producteur exécutif) et se démarquant considérablement d'un épisode 2 décalé, cette suite décide de passer la vitesse supérieure en proposant un télescopage, visuellement très marqué, entre la réalité et le monde des reves.

L'occasion est donc donné au débutant Chuck Russel d'apporter un peu plus d'originalité dans toutes les séquences de cauchemar. Meme si l'on atteint pas encore les délires de Renny Harlin ou ceux de Stephen Hopkins, la série prend une nouvelle direction ayant pour effet direct de populariser un peu plus Freddy Krueger. A la façon d'un train fantome, le film alterne réalité hospitalière et trips visuels propice à une belle débauche d'effets spéciaux. Ces derniers font preuve d'inventivité et de savoir faire, à tel point qu'ils ne paraissent pas si obsolètes que cela de nos jours. Ils permettent meme de varier les formes d'un Krueger insaisissable (le marionnettiste ou encore la scène de la télé) entretenant une vraie dimension comique de l'ensemble. L'excellent scénario de Franck Darabont délaisse complètement le coté inquiétant du boogeyman d'Elm Street au profit d'une approche plus clownesque (pouvant nuire au personnage à certains instants) tout en s'employant à maintenir un semblant de sérieux, abordant la génèse mouvementée de Krueger (développé par la suite dans l'enfant du cauchemar). Malgré ces quelques touches, la starification voulue de Freddy se fait plus pressante et prend le pas sur l'histoire, le transformant en maitre de cérémonie d'un spectacle comico-morbide ou se succèdent à un rythme de métronome les reves les plus délirants (certains sont de vrais courts métrages). En ce sens, le visuel du film adopte cette nouvelle posture opposant ses couleurs criardes à l'ambiance ténébreuse des deux opus précédents. Coté casting, c'est du correct avec une galerie de tetes connues bien sympathique allant du débutant (Fishburne, Arquette) aux habitués des productions 80's de seconde zones (Wasson (l'excellent héros de Body double) et Saxon).

Meme si le film tente de se raccrocher à la mythologie initiée par Wes Craven (le retour de Nancy alourdit un peu l'histoire), l'ensemble baigne dans une volonté marquée de glorifier son méchant de service en capitalisant sur un terrain de jeu passant allègrement dans la catégorie du cartoonesque tout en délaissant l'univers inquiétant de ses ainés. Le choix est sympathique mais on y perd clairement une vraie ambiance.

[Scalp]

De loin celui que je préfère derrière le 1.

[Pathfinder]

Moi j'aime beaucoup le Harlin qui marque une vraie rupture de ton!

Dans l'ordre de mes préférences, je dirais:

La revanche de Freddy 8/10
L'enfant du cauchemar 7/10
Le cauchemar de freddy 6.5/10
Les griffes du cauchemar 6.25/10
Freddy vs Jason 6/10
Les griffes de la nuit 6/10
La fin de freddy 4/10
Freddy sort de la nuit ?/10
Les griffes de la nuit (remake) ?/10

[Pathfinder]

Freddy 4 : Le Cauchemar de Freddy 7/10

Suite directe avec les rescapés de l'épisode précédent, le film de Renny Harlin exploite un peu plus le nouveau virage déliro-comique imposé par la New Line et le succès grandissant de Freddy auprès des ados ricains.

Le réalisateur scandinave se fait plaisir avec d'amples mouvements de caméras aussi gratuits qu'originaux tout en générant une vraie ambiance boite de nuit basée sur des couleurs ultra flashy et les tubes du moment. La vraie rupture de ton se fait précisément sur cet épisode avec un étalage de séquences cauchemardesques toujours plus dingues ou tout se mélangent gore sympatoche, comique de cartoon et effets spéciaux en cascade. Le ton est donné avec l'excellente renaissance de Freddy et un enchainement de reves qui ne laisse plus du tout la place à la moindre mise en place d'une quelconque ambiance. Freddy, c'est le patron et toute l'histoire n'est qu'un prétexte à le faire oeuvrer dans ce qu'il sait de mieux et dans les situations les plus rocambolesques! On le transforme en pizzaiolo morbide, en infirmière et on sent que les tetes pensantes du film ont avant tout imaginé toutes les mises à mort possibles avant de trouver un liant logique faisant office de scénario. Mais finalement, ça passe. Freddy, on sait de lui tout ce qu'il faut savoir depuis 3 épisodes et l'enchainement frénétique des tueries ne nuit pas du tout au rythme bien au contraire. L'approche Tex avery permet de mixer les genres tout en maintenant un bon bodycount et un quota très correct de tripailles. Le boulot de Screaming Mad George est très bon, faisant très souvent écho à ses exploits bien dégueu de Society (la scéne finale avec ce qui se passe dans le bide de Freddy est excellente).

A l'instar du troisième épisode, nous perdons complètement la dimension horrifique au profit d'un Freddy, un brin ridiculisé, faisant des arts martiaux, prof au collège ou encore s'immiçant dans les water bed. Mais l'originalité de l'ensemble couplée à la réalisation hyper dynamique de Renny Harlin font de cet épisode le point culmimant de la période nawak du tueur d'Elm Street.

[Val]

Ouais il est excellent le 4, je le préfère au 3, qui est pourtant le mieux coté après le 1.

[Heatmann]

c est celui la ou freddy entre dans un jeu video ? car c est celui la mon preferer apres le 1 moi

[Pathfinder]

Le coup du jeu vidéo ou il éclate un mec défonce? C'est le 6 me semble t il!

[angel.heart]

Ouais c'est le 6, mais c'est un des moins bon pourtant.

[Heatmann]

je confond , je me souvient d un episode que j aime bien mais je sais plus lequelle c est ; a un moment y a une bande de gamin qui se retrouve dans un espece d hotel dans une sorte de "dimension parralele" genre en sortant de l hotel ils se retrouvent a chaque fois au meme endroit et au meme moment dans le temp ...
c est confue se que je raconte ou vous voyez ?

[angel.heart]

Mouais... Je pense que tu parles du 6.

Mais ouais c'est confus à mort ce que tu dis.

Dans le 6 y a Freddy sur un ballet façon sorcière. ( oui je précise parce-que ça peut être un truc qui marque ).

[Pathfinder]

Le vrai bon moment de cet épisode 6, c'est Alice Cooper dans le rôle du beau père de Freddy.