Wyatt earp vue par costner qui produit et a sont emprise sur le projet a depuis le debut voulue tout simplement raconter l’histoire de cette figure historique legendaire de l’amerique , de la manière la plus fidele et respectueuse .
Wyatt earp c’est une vrai legend car d’un pur et simple coter fictionel et concret il fut un marshall impitoyable qui a capturer moult brigand , un vrai heros d’antant , mais aussi car plus en profondeur a lui tout seul il resume et synthetise tout un morceau entier de la construction et les etape de l’amerique .
Donc reelement et historiquement un personnage bigger than life dont le destin et le parcours sont vraiment une benediction pour le cinema .
Alors ici pour mettre bien en proportion l’etendue de la saga earp il fallait faire de l’epic , du film fleuve , prendre sont temp pour bien raconter et expliquer comment on en arrive a une certaine reputation et background psychologique du mec , et a ce niveau la le film est un pur reussite . Il n’y avait pas d’autre choix que de traiter le sujet comme un biopic scrupuleux et long , par contre c’est pas sans se mettre quelque qualites cinematographique inerante a l’epoque decrite a dos . en effet ca n’as pas tout les gros attrait d’un western purement fait en respectuent les code du genre . la il s’avere que les annees les plus touffue et interressante de Wyatt date de 1870 a 1890 et on peut pas ignorer cette toile de fond , mais ici la volonter et le traitement est plus sur le personnage comme il le serait sur n’importe quel autre perso du autre epoque , et pas forcement sur la codification cinematographique du western .
C’est peut etre brouillon ce que je dit la mais jme comprend !
Il serait fastidieux et inutile de parler du scenario et de l’ossature du film en detail . on fait difficilement plus passionant et diversifier que la vie de Wyatt earp . alors ici on commence vraiment au tout de debut . sont enfance/jeunesse est pas vaine a montrer a l’ecran puisque toute l’etique de travaille et le respect de forte valeur familliale instuite par le papa earp ( gene hackman qu’on voit 10 min dans le film mais qui impose une figure de patriarche qui fait echos au millieu des frangin ) est necessaire pour comprendre certaine decision et la solidariter sans limite des frere earp .
De meme que le 1er marriage idylique de Wyatt est important a raconter aussi , qui finit en drame inevitable comme se fut souvent le cas a l’epoque . Wyatt passe par des zone sombre , une epave humaine , pourtant si jeune ou les espoire et idealisation sont envoler rapidement , ca jouera bcp sur le coter glacial du perso par la suite et meme finit en prison et obliger de fuir la loie et s’eloigner pour toujour de ces racine qui sont pourtant la base de sont eduction ( tres belle scene d’adieur de nuit , sous la pluie entre costner et papa hackman ) . la , wyatt est face a l’ouest , sur un cheval , seul face au vide , l’inconnue , les possibilites sont immense , et cette thematique qui est un paradoxe avec l’enracinement du noyau familliale des earp sera une metaphore et un theme qui reviendra tout au long des etape imporante de Wyatt .
Wyatt decouvre la rue vers l’or , travaille sur la construction de chemin de fer , il chasse le bison et en fait un commerce , la vie d’aventurier quoi . la on a droit a tout le classisssime du cinema americain . les troupeau de bison sont impressionant , jm’en souvenait plus , c’est spectaculaire , pis l’effet de carcasse , de peau , c’est saisissant . pis ca introduit bien des perso sympathique comme tom sizemore et bill pullman .
Alors c’est sans prise de risque , encore moin de positionement . c’est tres traditionel de valeur yankee donc empeche le film de decoller au dela du biopic fleuve passionant mais pas de grand western sur la conquete de l’ouest . on se fait une raison , et apres 1heur pas des plus genial pour le genre ( mais quand meme tres sympa et surtout necessaire , pis wyatt jeune il fait un peu goofy , c est pas top mais ca contraste avec le cyborg sans cœur qu’il devient par la suite ! un terminator avant l’heure ! ) on rendre dans le vif et le mordant du sujet ! déjà la moustache sa change un homme ! enfin kevin enfile sont costume tout noir super classe et se tape des scene iconisante ou il montre sont badge et shoot au canon dans les saloo en gueulant sont nom !
Un des tres bon point du film c’est que c’est tres fidele et chronologiquement juste . donc tout les evenement attendue arrive et c’est bien detailler , tout a une raison , un conclusion . d’un autre coter ca exepedie un peu des passage que hollywood a eu pour habitude de romancer , donc ok corral ici c’est bacler en 2 min pas tres explosive car apres il y a encore plein de truc a raconter , du coup moi je trouve que au lieu de les comparer et opposer ben avec tombston il se complemente bien et j aime les 2 .
Le cast est enorme et genial . costner est parfait , au debut il parait tendre mais c’est normal , un fois le trauma du perso d’etablit , wyatt prend au autre dimension et il devient vraiment complexe et sans pitier , vers la fin quand le vengeance le remplit il est magnifique ! Quaid est lui phenomenal , déjà doc hollyday est un perso beton et ici leur amitier est aussi tres bien traiter et apporte bcp de richesse au film , mais Quaid livre une grosse perf ! madsen assure bien , virgil earp c’est le frangin le plus charismatique apres wyatt . hasby et caviezel complete la famille . y a des 10ene de tete connue un festival qui fait plaisir . jeff fahay en clanton .
Niveau production rien a dire c’est luxueux . decors pharaonique , dodge city et tombstone plus vrai que nature , meteo changeante qui le fait grave ( j’adore les pluies torrentiel et la neige dans les western moi ) , costume super classe , gros gun ect ..Bref ca fait toujour plaisir , un vrai film traditionaliste , une belle page d’americana fait avec plein de bonne volonter et de talent , le capitale sympathie est toujour la car les earp c’est genial a voir et on sent le respect pour le perso que costner peut avoir , il le montre dans ces bon et mauvais coter .
. la realisation est belle et ample grace a l’envellope du film . l’epilogue en alaska qui raconte une peripetie est mineur et j’ai pas trop compris l’interet a par surligner encore une fois le faite que le film soit tres « realiste » .
si comme moi on rafole de ce genre la et de kevin ( merci a lui quand meme , sont idee du cinema est vraiment belle et se partage bien a travers l ecran , pis 3h10 qui passe vite quoi et sans ennuie ) , on ne peut mettre de coter . !