[Val] Mes Critiques en 2012

[Milkshake]

Je parle du vrai top : pondéré

[Scalp]

Le top next gen qu'on appel ça.

[Heatmann]

ALIEN du coup avec tout le delire prometheus , le scott je me lui suis encore mater ( putain mais quel bluray bordel ) le 1er janvier , et pffffff c'est enorme quoi , et on repere on imagine deja plein de truc avec prometheus .... 10/10 evidement indiscutable , je comprend ce que tu veut dire val quand tu parle de relation special avec la saga et surtout le 1er film ..
Meilleur film SF ever avec justment blade runner dun certain ridley tient

[Val]

J'aimerais vraiment voir un jour la première version de 4 heures qui avaient été montrée en projections tests. On en voit quelques plans de l'attaque de Harry Dean Stanton dans le making-of et cette version semble bien plus violente. Ca n'apporterai rien au film, mais ce serait un document intéressant. Comme quoi, il reste encore du matériel pour faire de nouvelles éditions du film.

[Alegas]

Heureusement Scott n'est pas Lucas.

[Scalp]

Jolie manière détourné de dire que Scott n'est pas juif

[Val]

Heureusement Scott n'est pas Lucas.

Bah il sort une version director's cut de tous ses films même quand il n'y en a pas besoin.
Et j'ai pas dit qu'il fallait virer la version ciné, mais que la version "workprint" en bonus serait sympa.

[Alegas]

LA LOI DU MILIEU
Get Carter - Mike Hodges - 1971

Film à la réputation très flatteuse et comme toujours avec des films réputés, j'avoue avoir été un peu déçu sur le moment. Clairement, on est face à un film qui ose beaucoup de chose eu égard à l'époque de sa sortie. On peut même y voir une relation avec L'Inspecteur Harry de Don Siegel dans sa volonté de trancher avec les films d'enquêtes habituels avec une violence et une sexualité frontale quasi inédite à l'époque. Jack Carter n'est pas un héros de cinéma, c'est avant tout un gangster comme nous le fait comprendre la très étrange séquence d'introduction où un groupe d'hommes rigolent en regardant une série de photographies pornographiques. Il ne rigole pas, il ose tout, n'a de respect pour personne et n'a aucune honte avec sa sexualité débridé, n'hésitant pas à coucher avec toutes les femmes qui lui tournent autour ou encore à sortir nu en pleine rue lors d'un défilé d'enfants (séquence énormissime).
L'enquête souffre toutefois de ce personnage assez antipathique, à savoir que j'ai personnellement eu du mal à m'intéresser durant la première heure à ce qui pouvait arriver à se personnage tellement Hodges le montre d'une manière extrêmement négative.
Toutefois, je dois reconnaître que le film vieillit plutôt très bien dans ma tête et je pense qu'une seconde vision dans quelques mois (ou années) sera très positive. De plus, Hodges enchaîne les séquences d'anthologies comme celle déjà-citée, la mort de la fille enfermée dans le coffre ou encore la scène finale sur la plage. Le décor qu'offre cette ville anglaise donne un cachet particulier au film.
Vraiment un bon film, surprenant de part la nature de son personnage principal et le glauque de l'enquête, mais qui vieillit vraiment très bien en tête.

[angel.heart]

Ouais très bon film, le meilleur de Mike Hodges. Le remake est pas térrible parcontre.

[Scalp]

Quand on a aimé ce Get Carter, faut pas mater le remake ricain mais mater le quasi remake de ce même Hodges avec Clive Owen : Seule la mort peut m'arrêter.

[angel.heart]

Ouais mais bon, Stallone et Rouke c'était trop tentant!

Mais sinon éffectivement Seule la mort peut m'arrêter et aussi très bon.

[Scalp]

Surtout que Stallone et Rourke y se foute sur la tronche à un moment, mais bon à part ça le film est quand même pas fameux.

[Val]

LES DIABOLIQUES
Id. - Henri-Georges Clouzot - 1955

Clairement un film à la réputation méritée. Clouzot nous plonge au départ (après un générique à la musique angoissante) dans le milieu d’une école marquée par le « joug » d’un directeur très sévère même avec ses collègues et surtout, sa femme et sa maîtresse. Situation très surprenante où la femme trompée accepte publiquement d’être humiliée, puisque toute l’école (même les enfants) semble au courant de cette situation encore atypique aujourd’hui. La première heure qui suit la mise en place du meurtre du directeur d’école est un modèle d’écriture et de mise en scène, Clouzot arrive à ne jamais ennuyer son spectateur malgré un rythme finalement assez lent.
Le risque, après une première partie réussie et qui s’achève sur une telle note est de ne pas réussir à poursuivre avec une seconde partie aussi prenante. Clouzot réussi le défi et tout le film est un régal à suivre et jamais ennuyeux. La scène finale, à la limite du film d’horreur, parachève un récit raconté de main de maitre.
Une des choses remarquable chez Clouzot est sa direction d’acteurs. A chaque film, les acteurs semblent totalement crédible (et son aidés par des dialogues de grande qualités) que ce soit Signoret en femme forte, Paul Meurisse en salopard et même Serrault, Vanel ou encore Robert Dalban.
Un excellent film.

9/10

[Scalp]

Bon allez pour tes 2 critiques :

[Val]

Je vais me faire ma petite collection.