Cheval de Guerre
9/10
Pendant un bref instant Je pensais « mettre » un peut moin et restraintre mon engouement en me forcant a vouloir voir ca d’un œil critique acerbe , puis rapidement l’emerveillement et le voyage ont largement pris le dessus et je pourrais jamais me resoudre a reprocher au film d’emphaser ce qu’il est dans sa nature propre : un conte, c'est-à-dire, comme un beau livre qu’on raconterais au enfant ( car a lire c’est moin « choquant » que en image ) avec qu’ils aille se coucher , mais seulement le papier et en intention car autant War horse est un recit « familliale » ( et encore ..) autant moi je trouve que c’est absolument pas pour ou cibler ou facilites pour les enfant . pas du tout , du moin pas pour les moin de 10 ans , car ca risque des les choquer … y a quand meme beaucoup de scene tragique , adulte , triste , de scene bien sombre mis en image de manière tenebreuse et viscerale , de moment intense et pis la mort plane souvent au dessus des personnage et arrive sans prevenir . Alors oui c’est pas le soldat ryan et ca en avait jamais l’intention mais faut pas croire que c’est tout mignon pour les mioche , loin de la .
le coup de cœur parle et le ressentie est bien trop positif et la cote d’affection déjà grandissante , y a pas a chier j’ai adorer et surtout ete transporter emotionellement , des valeur tres simple mais tres noble auquelle j’adhere . une implication ultra facile d’acces et a partir du moment que le tres franc partie pris du traitement qui ne peut pas porter a equivoque ( oui c’est pas malhonnete , c’est un conte du debut a la fin raconter sous forme de legende presque ) et la fonction et psychologie des personnage accepter ( ben ouai on peut pas chipoter sur le faite que ce soit manicheens , c’est clairement une parabole animalieres sur l’humanites , donc y a plein de gens gentil au grand cœur qui font des chose bien avec de la bonne volonter et y a des mechant qui grogne ) on ne peut que s’incliner devant tout ces choix aussi maitriser que affolant de technique et sensibiliter . Et la c’est tres clair , pas d’ambiguites , on voit que le mec a choisit un livre de fiction et ne cherche jamais a reciter une histoire realiste , c’est une fable d’aventure , une amitier et un lien profond entre un animal et un jeune garcon puis une fresque humaniste du point de vue de cheval qui traverse les pays , le conflit et les different camp en etant temoin de la bonter et cruautes des hommes . Alors oui c’est beaucoup citer pour War horse en ce moment , mais le souffle ici est proche d’un john ford avec des cavalcade heroique , des soldat brave et polie , c’est aussi une Ode a la nature , au paysage qui prend beaucoup de place dans les grand angle , des peripeties et compliciter digne de jack london .
Oui c’est impropable si on rationalise tout ca mais bon c’est con et pas du tout le propos .
Spielberg a aussitôt compris l’approche formel qu’il se devait de faire pour retranscrire ce feeling et revient donc a un traditionalisme classique proche d’un david lean et grosse production hollywoodienne de l’age d’or , en plus le film a couter que 65 millions ! C’est hallucinant on dirait facile qu’il a couter le triple , la reconstitution est evidement merveilleuse , la mise en image et couleur est digne d’une belle gravure faite de dessin plus beau et pitoresque les uns que les autres . La boue et la pluie dans les tranches sont par contre pas du tout edulcorer . War horse est un film fleuve, une grand saga epique au sens propre , le nombre de scene qui coupe la respiration sont legion , des travelling virtuose , tout en decors naturel avec plein de figurant , de veritable animaux , une logistic guerriere impressionante et aucune map painting ou cgi . constament filmer en plan tres large , on prend du recul et se rend compte de l’immensites des horizon proposer .
le ciel est dominant et majestueux ( aussi bien ensoleilles que plein de brouillard et nuage grisonant hein ) , le sol au 1er plan , la nature un personnage a part entiere , rien en studio , bref war horse est penser, monter , voulue ,realiser et traiter comme un grand classic avec forcement des theme un peu desuet mais terriblement sincere , authentique donc tout les fan de cynisme exacerbes soyez prevenue , vous serez ecoeurer !! Les couleur , la lumiers, toute photo est travailles pour emphaser l’aspect conte justement , ca plairas peut etre pas, question de gout , mais c’est completement justifier et magistralement créer . la Bo de williams faite d’envoler lyric au violon est majestueuse et en fait des tonnes , tent mieux .
spielberg choisit aussi la parcour de ce cheval car il fesait aussi le lien avec des themes cher au realisateur . la jeunesse ici , a l’instar de l’enfance , est aborder de 3 facon differente , on a le perso principale albert qui ici est un jeune adulte, c’est l’education de la vie mais non plus la section coloriage , trouver ca place dans le monde . On a aussi les 2 jeune frere allemand qui vont deserter ensemble et la petite francaise vivant avec sont grand père , et la vision qu’en propose spielberg est loin d’etre edulcorer . joe ( le cheval ) croise la mort a chacune de ces rencontre et c’est souvent de facon radical , cruel et seche . Meme si on est dans l’imaginaire , dans l’expresioniste formel pur , on est quand meme en temp de guerre et justement la periode WW1 était parfaite pour surligner les valeur et message . Déjà ca permet a spielberg d’aborder une periode qu’on a jamais trop vue au cinema , les tranches c’est largement moin representer que la 2nd guerre.
Le petit passage a la « joyeux noel » est amener de facon vraiment noble la encore , vraiment on ne peut qu’etre conquis par cet elan de soutien , d’humanisme et de tolerence aussi grandiloquant soit il . et puis encore une fois , la forme est tellement sensationel que ca eleve le sens de la scene qu’un naze comme christian carion arrive a rendre culcul et improbable, spielberg lui nous y fait croirer et avec un decorum qui laisse sans voix . pis les tres legere point qui font sourire marche vraiment ( quand les allemand balance des pince coupante depuis les trancher ou alors quand la petite fille essaye de dresser joe ! )
La longue 1ere partie est un poil trop appuyer quand meme , l’un des 2 seul reproche que j’ai. ca presente bien l’epoque , debut du siecle dernier dans la campagne anglaise . alors visuellement ca fait tres carte postal , c’est fait expres hein . les paturage sont verdoyant , le ciel turquoise et les cheveux font la narration pendant un temp . le score de John williams est ici jovial , une petite ferme pitoresque , une famille qui vivent de leur travaille , de leur terre . une jeune garcon qui s’attache a sont compagnon, un père qui cache sont jeu , un mere affectueuse , les valeur familliale sont simple et appuyer , mais les perso sont consistant , au dela de la dramatisation , ils apportent vraiment de quoi rendre l’histoire facilement touchante . ca semble naturel . pis spielberg et sont equipe ultra pro et conscientieuse on reussit a raconter leur histoire quasiement entierement du point de vue narratif du cheval , c’est fort !
Quand Joe le cheval se prend d’affection pour sont maitre albert on y croit , les dresseur et l’animal sont vraiment tres fort et a saluer , c’est super efficasse et fait d’emotion et reaction quasie humaine et spontaner ! pareil pour la suite qui arrive a nous faire croire en l’amitier entre 2 cheval , leur compassion mutuel , leur entraide . la colere et desaroie de joe est palpable et sensible .
Certaine scene evidement directement sortie du bouquin prennent un autre dimension sous la direction de Spielby, quand joe et sont copain le cheval noir sont a flan de colline embourber et tire des canon allemand , on sait tres bien ce que cela represente et les regard et attitude des animaux sont suffisante pour jouer la scene , et ca , tout le long du film .
Mon autre leger bemol c’est que c’est episodique , on passe d’un maitre a un autre , le truc c’est que naturelement des qu’un personnage humain arrive dans le film , on se focalise dessus et du coup ils peuvent vite devenir superficiel car disparaissent aussito et ne sont la que pour livrer leur moral et message , mais le truc c’est que justement c’est joe le heros , les humains ne sont que les perso secondaire qui interviennet et font avancer sont periple. En apparence lineaire , spielberg c’est exactement ou il va et met 2h25 d’une fluidites sans conteste pour conter cette legende . Reste que c’est exctremenent bien caster . jeremy irvine represente l’insouscience mais aussi la maturation , peter mullan et emily watson tres bon en parent d’un autre temp , niels arelstrup , david thewlis , tim hiddelston et la nouvelle coqueluche benedict cumberbatch ( déjà tres bon dans La taupe ) assure de l’acting de 1er ordre dans des performance pleine de noblesse et d’elagance . toby kebbel , david cross , liam cunningham , eddy marsan … bref on croise plein de tete connue .
Bref un gros coup de cœur , un morceau de cinema vraiment oublier , comme on en fait plue et ca fait un bien fou , le dernier en date c’était costner avec sont postman et danse auquelle on pense beaucoup pendant War horse , Kevin aurait rien renier des themes et de la mise en scene de ce spielberg qui s’impose direct comme un chouchou de moi !
le coup de cœur parle et le ressentie est bien trop positif et la cote d’affection déjà grandissante , y a pas a chier j’ai adorer et surtout ete transporter emotionellement , des valeur tres simple mais tres noble auquelle j’adhere . une implication ultra facile d’acces et a partir du moment que le tres franc partie pris du traitement qui ne peut pas porter a equivoque ( oui c’est pas malhonnete , c’est un conte du debut a la fin raconter sous forme de legende presque ) et la fonction et psychologie des personnage accepter ( ben ouai on peut pas chipoter sur le faite que ce soit manicheens , c’est clairement une parabole animalieres sur l’humanites , donc y a plein de gens gentil au grand cœur qui font des chose bien avec de la bonne volonter et y a des mechant qui grogne ) on ne peut que s’incliner devant tout ces choix aussi maitriser que affolant de technique et sensibiliter . Et la c’est tres clair , pas d’ambiguites , on voit que le mec a choisit un livre de fiction et ne cherche jamais a reciter une histoire realiste , c’est une fable d’aventure , une amitier et un lien profond entre un animal et un jeune garcon puis une fresque humaniste du point de vue de cheval qui traverse les pays , le conflit et les different camp en etant temoin de la bonter et cruautes des hommes . Alors oui c’est beaucoup citer pour War horse en ce moment , mais le souffle ici est proche d’un john ford avec des cavalcade heroique , des soldat brave et polie , c’est aussi une Ode a la nature , au paysage qui prend beaucoup de place dans les grand angle , des peripeties et compliciter digne de jack london .
Oui c’est impropable si on rationalise tout ca mais bon c’est con et pas du tout le propos .
Spielberg a aussitôt compris l’approche formel qu’il se devait de faire pour retranscrire ce feeling et revient donc a un traditionalisme classique proche d’un david lean et grosse production hollywoodienne de l’age d’or , en plus le film a couter que 65 millions ! C’est hallucinant on dirait facile qu’il a couter le triple , la reconstitution est evidement merveilleuse , la mise en image et couleur est digne d’une belle gravure faite de dessin plus beau et pitoresque les uns que les autres . La boue et la pluie dans les tranches sont par contre pas du tout edulcorer . War horse est un film fleuve, une grand saga epique au sens propre , le nombre de scene qui coupe la respiration sont legion , des travelling virtuose , tout en decors naturel avec plein de figurant , de veritable animaux , une logistic guerriere impressionante et aucune map painting ou cgi . constament filmer en plan tres large , on prend du recul et se rend compte de l’immensites des horizon proposer .
le ciel est dominant et majestueux ( aussi bien ensoleilles que plein de brouillard et nuage grisonant hein ) , le sol au 1er plan , la nature un personnage a part entiere , rien en studio , bref war horse est penser, monter , voulue ,realiser et traiter comme un grand classic avec forcement des theme un peu desuet mais terriblement sincere , authentique donc tout les fan de cynisme exacerbes soyez prevenue , vous serez ecoeurer !! Les couleur , la lumiers, toute photo est travailles pour emphaser l’aspect conte justement , ca plairas peut etre pas, question de gout , mais c’est completement justifier et magistralement créer . la Bo de williams faite d’envoler lyric au violon est majestueuse et en fait des tonnes , tent mieux .
spielberg choisit aussi la parcour de ce cheval car il fesait aussi le lien avec des themes cher au realisateur . la jeunesse ici , a l’instar de l’enfance , est aborder de 3 facon differente , on a le perso principale albert qui ici est un jeune adulte, c’est l’education de la vie mais non plus la section coloriage , trouver ca place dans le monde . On a aussi les 2 jeune frere allemand qui vont deserter ensemble et la petite francaise vivant avec sont grand père , et la vision qu’en propose spielberg est loin d’etre edulcorer . joe ( le cheval ) croise la mort a chacune de ces rencontre et c’est souvent de facon radical , cruel et seche . Meme si on est dans l’imaginaire , dans l’expresioniste formel pur , on est quand meme en temp de guerre et justement la periode WW1 était parfaite pour surligner les valeur et message . Déjà ca permet a spielberg d’aborder une periode qu’on a jamais trop vue au cinema , les tranches c’est largement moin representer que la 2nd guerre.
Le petit passage a la « joyeux noel » est amener de facon vraiment noble la encore , vraiment on ne peut qu’etre conquis par cet elan de soutien , d’humanisme et de tolerence aussi grandiloquant soit il . et puis encore une fois , la forme est tellement sensationel que ca eleve le sens de la scene qu’un naze comme christian carion arrive a rendre culcul et improbable, spielberg lui nous y fait croirer et avec un decorum qui laisse sans voix . pis les tres legere point qui font sourire marche vraiment ( quand les allemand balance des pince coupante depuis les trancher ou alors quand la petite fille essaye de dresser joe ! )
La longue 1ere partie est un poil trop appuyer quand meme , l’un des 2 seul reproche que j’ai. ca presente bien l’epoque , debut du siecle dernier dans la campagne anglaise . alors visuellement ca fait tres carte postal , c’est fait expres hein . les paturage sont verdoyant , le ciel turquoise et les cheveux font la narration pendant un temp . le score de John williams est ici jovial , une petite ferme pitoresque , une famille qui vivent de leur travaille , de leur terre . une jeune garcon qui s’attache a sont compagnon, un père qui cache sont jeu , un mere affectueuse , les valeur familliale sont simple et appuyer , mais les perso sont consistant , au dela de la dramatisation , ils apportent vraiment de quoi rendre l’histoire facilement touchante . ca semble naturel . pis spielberg et sont equipe ultra pro et conscientieuse on reussit a raconter leur histoire quasiement entierement du point de vue narratif du cheval , c’est fort !
Quand Joe le cheval se prend d’affection pour sont maitre albert on y croit , les dresseur et l’animal sont vraiment tres fort et a saluer , c’est super efficasse et fait d’emotion et reaction quasie humaine et spontaner ! pareil pour la suite qui arrive a nous faire croire en l’amitier entre 2 cheval , leur compassion mutuel , leur entraide . la colere et desaroie de joe est palpable et sensible .
Certaine scene evidement directement sortie du bouquin prennent un autre dimension sous la direction de Spielby, quand joe et sont copain le cheval noir sont a flan de colline embourber et tire des canon allemand , on sait tres bien ce que cela represente et les regard et attitude des animaux sont suffisante pour jouer la scene , et ca , tout le long du film .
Mon autre leger bemol c’est que c’est episodique , on passe d’un maitre a un autre , le truc c’est que naturelement des qu’un personnage humain arrive dans le film , on se focalise dessus et du coup ils peuvent vite devenir superficiel car disparaissent aussito et ne sont la que pour livrer leur moral et message , mais le truc c’est que justement c’est joe le heros , les humains ne sont que les perso secondaire qui interviennet et font avancer sont periple. En apparence lineaire , spielberg c’est exactement ou il va et met 2h25 d’une fluidites sans conteste pour conter cette legende . Reste que c’est exctremenent bien caster . jeremy irvine represente l’insouscience mais aussi la maturation , peter mullan et emily watson tres bon en parent d’un autre temp , niels arelstrup , david thewlis , tim hiddelston et la nouvelle coqueluche benedict cumberbatch ( déjà tres bon dans La taupe ) assure de l’acting de 1er ordre dans des performance pleine de noblesse et d’elagance . toby kebbel , david cross , liam cunningham , eddy marsan … bref on croise plein de tete connue .
Bref un gros coup de cœur , un morceau de cinema vraiment oublier , comme on en fait plue et ca fait un bien fou , le dernier en date c’était costner avec sont postman et danse auquelle on pense beaucoup pendant War horse , Kevin aurait rien renier des themes et de la mise en scene de ce spielberg qui s’impose direct comme un chouchou de moi !