[Caducia] Mes citiques 2011

[Heatmann]

il fait pas reference, il reactualise sa creation , ce qui fesait le Vice de miami en 86 est plus le meme que en 2006 ... voila tout . pis etirer des relation sur 5 saison ou sur 120 min , c est pas pareil

[caducia]

Il n'est jamais trop tard


Fraîchement licencié d’un poste qu’il occupait depuis des années, Larry Crowne décide de s’inscrire à l’Université pour reprendre ses études. Ce changement de vie professionnelle prend une tournure plus personnelle lorsqu’il tombe sous le charme de son professeur d’expression orale, Mme Tainot. Belle, cynique, désabusée par le niveau affligeant de ses étudiants et déçue par son mariage, elle est également à un tournant de sa vie… Auront-ils droit à une seconde chance ?

Critique :

Petite comédie réalisée par Tom Hanks. Celui est derrière la caméra mais aussi en tant qu'interprète principal, mais disons qu'il s'est pris un coup de jeune avec me semble-t-il un lifting et une belle teinture, on le croirait presque sorti de Forrest Gump.

L'aspect sympathique du film c'est l'autodérision du réalisateur vis à vis de son personnage Larry Crowne qui est un homme assez simple qui n'a pas fait d'études mais qui entré directement dans la vie active. C'est loin d’être un Apollon, c'est plutôt un beauf qui s'habille assez mal, qui fait très démodé, peu attirant.
Mais cet homme simple a quand même de belles qualités humaines derrière cet aspect banal : il a beaucoup de volonté, de gentillesse et est attentionné envers les autres.
Bref, le film veut nous montrer qu'il faut gratter derrière le vernis de l'apparence et regarder ce que chaque être cache au fond de lui.
Un film assez béni oui oui, car le personnage de Larry n'a en fait aucun défaut si ce n'est son physique moyen, un peu trop caricatural et lisse.



Même s'il a toutes les qualités humaines (gentil, loyal, travailleur..) Larry est viré de son travail car il ne possède pas de diplôme et doit donc trouver un nouveau travail alimentaire (de cuisinier) et reprendre aussi des études pour étoffer son CV.
C'est là qu'il rencontre Julia Roberts qui sera sa prof de communication et qui subit aussi une crise existentielle dans son couple.

Julia Roberts est ici assez fade avec un rôle trouble.
Cette prof se veut être la méchante de service en impressionnant ses élèves avec des remarques cinglantes, car elle n'est plus passionnée par son métier d'enseignante et est en mode pilotage automatique, et quand elle rentre chez elle, elle file s'enfiler du whisky pour oublier.
Le film va nous dévoiler que cette femme forte a priori est un vrai sucre d'orge, sensible et qui bien sur va tomber sous le charme de Larry.
Julia Roberts réalise ici une prestation minimale pour un film alimentaire, mais son personnage est à la base peu empathique.



L'histoire du film aurait pu être intéressant, mais le film est beaucoup trop lisse et prévisible. Ce n'est pas tellement une comédie car on ne rit que très peu (j'ai bien ri quand on voit T.Hanks faire la danse de la joie derrière la porte de J.Roberts mais çà s’arrête là.), peut être que le réalisateur voulait plutôt mettre en avant le coté sentimental de l'histoire mais c'est aussi raté.
Dialogues très insipides, aucune scène de comédie très marquante.
L'intrigue sonne faux et n'est pas crédible, peu original. Film à l'eau de rose très très diluée alors. Un beau gachis avec un tandem Hanks / Roberts qui ne marche pas sans aucune inventivité.

[caducia]

L'Irlandais

Boyle est un flic irlandais, flegmatique et solitaire, amateur de Guinness, de poésie et de prostituées à ses heures perdues. En poste dans un petit village de la côte irlandaise où il ne se passe jamais rien, il passe ses journées à faire respecter la loi... au pub local. Malheureusement pour lui, des trafiquants de drogue ont jeté leur dévolu sur cette région endormie comme base de leurs opérations... Le petit village irlandais va bientôt se retrouver au cœur d’une importante opération anti-drogue menée par le FBI ! Les mauvaises nouvelles n’arrivant jamais seules, Boyle doit se coltiner l’agent Everett, un super agent du FBI déterminé et maniaque dépêché sur place... Certes, les procédures de l'élite du FBI diffèrent de celles du flic bedonnant, peu zélé et "politiquement incorrect"... Mais après tout, la méthode "locale" pourrait bien fournir des résultats inattendus !

Critique :

Film corrosif hors normes au ton décalé, politiquement incorrect.
Il est vrai que ce film ressemble beaucoup à "In Bruges" en beaucoup moins réussi ou encore à "Hot Fuzz".
Le film joue sur les contrastes à différents niveaux.
Tout d'abord, l'intrigue se déroule dans la campagne Irlandaise où en général tout est paisible et le temps se déroule au ralenti, où les gens sont assez peu ouverts aux étrangers et on est un peu coupé du monde. C'est dans cet univers qu'arrivent une série de meurtres sanglants à la "Seven" et où une grande enquête d'envergure internationale va être lancée.
Le réalisateur met bien en avant le fait que çà se passe en Irlande avec des mentalités ancrées dans les traditions,alcoolisme, un peu ancestrale avec un fort nationalisme et racisme latent : beaucoup de clichés.



C'est donc là que Don Cheadle du FBI débarque en tant qu'expert pour déjouer la bande de tueurs.
Un black citadin, déterminé et maniaque, issu d'un milieu aisé et de grandes universités qui débarque au pays des rouquins paysans, c'est un peu la caricature de la situation mais c'est ce qui crée le comique du film.
En tant qu'agent de terrain expérimenté,droit et efficace, Don Cheadle - le cowboy qui vient sauver le monde - devrait se sentir à l'aise en toutes circonstances, mais il est lâché en pleine nature dans un bled paumé où les habitants ne parlent pas anglais (mais gaélique), et ne sont pas ouverts à la discussion surtout venant d'un black.
Lui même est perturbé par une telle situation pas banale, et ne pourra pas continuer son enquête en solo et devra faire appel à la police locale, incarnée par le sergent Gerry Boyle.
Un choc des cultures entre la meilleure agence du monde - le FBI et une police amateur d'Irlande profonde endormie.



Brendan Gleeson interprète donc le fameux sergent et porte le film sur ses épaules avec ce role en or de flic bourru et maitrise à la perfection ce rôle.
Boyle est un sacré numéro, assez caricatural et excellent. Une sorte de Columbo qui cache un sacré enquêteur derrière son apparence anodine.
Gleeson l'interprète de façon admirable en toute aisance et joue de son physique atypique pour donner du caractère à ce sergent loufoque.
On le voit à plusieurs reprises à moitié nu mettant sa bedaine en valeur, mais sapé en uniforme on retrouve un agent qui a une image peu crédible, qui serait surement recalé à la visite médicale comme dirait un certain John Mc Lane.
Ce sergent prend son travail d’enquêteur au sérieux mais dans une certaine mesure, car çà ne le gène pas de picoler pendant le service, de répondre à ses supérieurs et de ne pas suivre les ordres. C'est donc un agent rebelle qui apparence franchouillarde cache un sacré bonhomme qui se paye le service d'escort girls, qui picole à outrance et a pas mal de vices cachés (alcool, prostitués, drogue), néanmoins il reste droit dans son travail, même si son quotidien de flic se contente de traiter des "chiens écrasés" la plupart du temps et qui n'a pas l'habitude de résoudre des vrais crimes et çà ne dérange pas de fusiller les indices d'une scène de crime.

La rencontre Boyle / Wendell Everett est un sacré choc des cultures et des personnalités car certes ils sont du même bord mais tout les oppose : origine sociale et ethnique, méthode de travail, caractères...
Une scène rigolote c'est quand les deux hommes comparent leurs CVs respectifs , ce qui donne une petite compétition amusante du meilleur enquêteur. Au début du film, ils se prennent de haut et sont de simples collègues le temps d'une mission puis une petite complicité va naitre quand ils vont s'apercevoir que leurs talents de flics peuvent se compléter pour former une équipe efficace.

Ensuite, notre duo de flics de choc est confrontée à des méchants trafiquants qui commettent des meurtres à répétition de toute personne qui se met sur leur passage.
Ce sont bien sur des bad guys pas comme les autres, qui aiment à discuter philosophie entre deux mauvais coups. Dommage qu'au niveau casting, ces acteurs ne soient pas au niveau des deux flics car çà aurait donné un peu plus de piquant au film.

Le film est attachant, reste sans prétention et joue sur le comique de situation et sur les répliques grinçantes, même si en VO on a du mal à décrypter l'accent irlandais.
L'intrigue reste néanmoins assez faible surtout sur la fin où on s'attend à ce que çà dépote un peu mais le film ne décolle pas vraiment et son rythme assez lent et répétitif ne permet pas d'en faire un "In Bruges" N°2.

Certes, il a quelques scènes très amusantes et de sacrées répliques racistes osées permettant de rires quelques instants mais çà reste sporadique.
Des personnages très funs et décalés servis par un bon casting permet d'avoir une empathie pour eux et de rester jusqu'à la fin mais c'est une petite déception.
Un coté buddy movie réussi mais l'ambiance humour noir retombe au milieu du film.
Il est dommage que le coté corrosif, féroce et politiquement incorrect du début de l’intrigue essouffle rapidement pour devenir inexistant en fin de film où se retrouve carrément dans l'univers de bisounours.

[padri18]

Bons Baisers de Bruges

Après un contrat qui a mal tourné à Londres, deux tueurs à gages reçoivent l'ordre d'aller se faire oublier quelque temps à Bruges.
Ray est rongé par son échec et déteste la ville, ses canaux, ses rues pavées et ses touristes. Ken, tout en gardant un oeil paternaliste sur son jeune collègue, se laisse gagner par le calme et la beauté de la cité.
Alors qu'ils attendent désespérément l'appel de leur employeur, leur séjour forcé les conduit à faire d'étranges rencontres avec des habitants, des touristes, un acteur américain nain tournant un film d'art et essai européen, des prostituées et une jeune femme qui pourrait bien cacher quelques secrets aussi sombres que les leurs...
Quand le patron finit par appeler et demande à l'un des tueurs d'abattre l'autre, les vacances se transforment en une course-poursuite surréaliste dans les rues de la ville...

Critique :

Le générique s'ouvre sur de très belles images type "carte postale" de Bruges sur une musique douce, rien à voir avec le reste du film qui commence fort avec le débarquement des deux tueurs à gages où on sait d'emblée que Ray (C. Farrell) y va à reculons et ne cesse de râler contre ce séjour forcé.
Deux tueurs à la personnalité opposée, l'un est jeune et un peu camé sur les bords, déteste tout ce qui est vieux , hermétique à l'Histoire alors que Ken (brendan Glesson) est plus posé et ouvert à la découverte, profite du moment présent.



La ville de Bruges est filmée de façon magnifique comme un petit bijou , de façon à croire que c'est un petit bourg médiéval paisible et préservé à travers les ages. Dans la réalité, il n'en n'est rien, c'est plein de touristes et pas si mignon que çà : un piège à gogos.
Mais, le réalisateur a souhaiter donner une image très vieillotte et figée dans le passé où il n'y a rien à faire et où ce ne sont que "des bouffeurs de chocolat".

Ray (Colin Farrell ) est bougon et direct, et dit ce qu'il pense sans arrière pensées ce qui lui vaut de se friter avec pas mal de monde. Il se fait royalement chier dans cette ville de Bruges ("le trou du cul du monde") et donc il cherche juste à picoler et à draguer les nanas qui passent mais il reste angoissé par son dernier contrat qui a mal tourné.
Nerveux, il a du mal à tenir en place et passe un peu pour un hyperactif et c'est compliqué pour lui de rester des heures dans les musées à suivre Ken.
Colin Farrell est excellent et en fait des tonnes avec son air dépité et triste puis soudain son visage qui s'illumine en quelques secondes.
Un rôle où l'acteur n'a pas la pression de Hollywood et est complétement décomplexé et relax à l'écran avec une belle dose d'autodérision. Son personnage est presque comme un gosse, assez spontané et irréfléchi.
Avant ce rôle, je n'aimai pas du cet acteur mais depuis je suis une adepte !

Ken (Brendan Gleeson)est le vétéran, personnage plutôt optimiste, plus posé que Ray, de la vieille école et apprécie les belles choses et se sent comme un poisson dans l'eau à Bruges avec des musées historiques tous les 3 mètres. Émerveillé par chaque petit recoin de la ville.
Contraint de se débarrasser de Ray par son boss Harry mais va y renoncer rapidement.
Au final, c'est un peu l'ange protecteur de Ray, celui qui le remet sur le droit chemin.
C'est le personnage le plus "normal" et le plus droit de l'intrigue.



Ralph Fiennes (Harry) est donc le chef des tueurs à gages. Qui dit "putain" tous les deux mots.
Susceptible et colérique avec un grand sens de l'honneur, un homme froid avec une grande classe. Personnage très caricatural extrêmement calme qui peut péter un plomb à chaque instant mais qui applique bêtement ses principes.

A noter dans les rôles secondaires : Jérémie Renier en skinhead méconnaissable et Clémence Poésy , seul personnage féminin du film plutôt fade.

J'aime beaucoup ce film par ses répliques grossières qui tombent comme un cheveu sur la soupe.
Démunis de leurs armes, les deux tueurs n'ont plus qu'à se balader et à discuter de choses et d'autres, et leurs dialogues sont loin d’être inintéressants traitant de Dieu, de la moralité de leur travail, du fait de l’arrêter car ils sont allés trop loin.
Les deux lascars ont une vision assez contraire des choses de la vie, tout comme leur vision de la ville de Bruges qui pour l'un est un trou perdu et l'autre un petit bijou.

Politiquement incorrect en tous points avec un ton décalé omniprésent. Le rythme n'est pas très soutenu mais on ne s'ennuie pas car il se passe toujours quelque chose de captivant ou de distrayant à l'écran. Une belle réalisation avec une jolie photographie simple mais efficace qui met en valeur la ville de conte de fées à l'époque de Noël avec ses ruelles pittoresques et ses canaux, mais aussi les expressions des protagonistes.
L'humour des dialogues se conjugue parfaitement avec la violence des situations dans un magnifique cadre.
Film difficilement classifiable que j'apprécie beaucoup par son humour noir , son casting, sa liberté de ton même si le scénario n' a rien de transcendant mais nous plonge dans un univers inattendu.

[Dunandan]

Thor

Au royaume d’Asgard, Thor est un guerrier aussi puissant qu’arrogant dont les actes téméraires déclenchent une guerre ancestrale. Banni et envoyé sur Terre, par son père Odin, il est condamné à vivre parmi les humains. Mais lorsque les forces du mal de son royaume s’apprêtent à se déchaîner sur la Terre, Thor va apprendre à se comporter en véritable héros…

Critique :

Et bien, même après une seconde vision, je dois avouer qu'il n'y a pas grand chose à sauver dans ce film.
Le scénario est très peu prenant, pendant les 1h54 il ne se passe pas grand chose de palpitant...et un humour au rabais.

Chris Hemsworth qui incarne Thor, en blond peroxydé et sourire ultra bright...et bien à part son travail de muscu qui est assez exceptionnel, son jeu n'est pas très fin,peu inspiré, proche de celui d' Arnold Schwarzenegger dans Conan.
Mais c'est un jeune acteur il ne peut que s’améliorer et puis le pauvre il a des dialogues proche du zéro absolu niveau intelligence mais peut être est-ce fait exprès car à part aller se bastonner Thor ne pense pas à grand chose. Un bourrin balèze sans cervelle.
Son look est assez ridicule et kitch mais c'est assorti aux effets spéciaux. Une armure nickel chrome bien plastoque et sans rayure malgré les combats.



Natalie Portman est Jane Foster - la scientifique super intelligente. Il y a un problème de crédibilité mais ceci mis à part, son rôle de potiche qui court après Thor est très limité, un rôle sans consistance.
Cette super scientifique a l'air de trouver le débarquement de Thor sur terre tout à fait naturel et ne se pose pas trop de questions à son sujet si ce n'est par simple curiosité.
Même Crocodile Dundee qui débarque à New York créait plus de vagues que Thor qui arrive sur terre. Et comme c'est une scientifique, la production a décidé de la fringuer comme un mec, anti-sexy au possible.

Le film bascule sans cesse entre la Terre et le monde de Thor, et bien autant choisir entre la peste et le choléra car les scènes sur terre sont super rasoir et celles sur Asgard sont juste à vomir visuellement.

Sur Terre, on assiste à Thor qui est dépourvu de tous ses pouvoirs et doté d'un "riche" vocabulaire étrange pour se faire comprendre. Il a l'air d'un beauf de service au style bucheron qui n'est jamais sorti de sa cambrousse, plein de maladresses, mais en quelques minutes, il est comme un poisson dans l'eau et se débrouille comme un chef sur Terre.
Il est très dommage que son premier contact avec la Terre et ses habitants se passe si bien, car le choc des mondes et sa découverte aurait pu donner droit à des scènes amusantes ( comme dans "les visiteurs"), mais Kenneth Branagh a choisi de ne pas exploiter ce thème, mais celà donne de grosses invraisemblances : Comme Thor qui prépare le petit déjeuner à ses potes scientifiques comme s'il le faisait depuis 10 ans, ou Thor qui comprend tous les mots de vocabulaire même les plus modernes.
Normalement, Thor est un Dieu et est prince orgueilleux mais sur terre comme par hasard, il devient un parfait gentleman attentionné, ce n'est pas du tout crédible.



Sur Asgard "bling-bling", des décors gigantesques, et bien on peut dire que c'est un bien joli royaume avec du clinquant et du kitch dans tous les recoins sur fond de ciel étoilé et galaxies lointaines.
Cet univers singulier ne fait pas rêver et fait très faux avec emploi d'effets spéciaux à outrance. Tous ces héros sont drôlement propres sur eux avec pas une mèche qui dépasse et des armures ultra bright que quelqu'un doit surement lustrer toutes les minutes...MDR.
Quelques scènes de combats sur Asgard permettent de donner quelques moments d'action au film avec un peu d'habileté mais encore trop d'effets spéciaux dans ces décors pompiers.
On assiste à la rivalité shakespearienne entre les deux frères, mais le film survole le coté psychologique et ne nous montre que le coté Dictateur de Loki, avide de pouvoir absolu.
Je trouve le machiavélique Loki le protagoniste le plus réussi car c'est le plus tordu de tous.

Sur terre, sacré contraste...c'est le grand désert. Une grande pauvreté dans les décors comme dans l'action dans un bled paumé. Les guerriers sont d'un ridicule extrême comme d'habitude, mais personne ne s'étonne encore de leur présence.
La seule scène d'action avec le super robot des années 50 tiré du film "le jour où la terre s’arrêtera" fait peine à voir.

Le film est donc très bancal malgré un gros budget investi dans les effets spéciaux surtout.
Des dialogues assez affligeants de bêtise, un Thor assez caricatural et écervelé dans un vide sidéral scénaristique. Le point positif du film ce sont les références aux autres films Marvel qui permettent au spectateur de se lécher les babines avec le futur"Avengers".
Réalisation dégoulinante avec un abus de ralentis, plans interminables sur musique sirupeuse.
Un long métrage calibré réalisé à la va-vite pour la production hollywoodienne mais pas pour les fans. Un space opera sans enjeu où on s'ennuie ferme malgré une demi-heure prometteuse.

[caducia]

Mon bilan cinéma 2011

Top 2011 :

Flops 2011 :

Acteur de l'année :

Michael Fassbender

Rencontres de l'année Ciné :

Hugh Jackman à la Première Real Steel



Johnny Depp à la première de Rhum Express.

Bilan

Pas eu trop l'occasion d'aller au ciné cette année, j'ai surtout vu des films plus anciens, mais 2012 semble une année prometteuse.