[Caducia] Mes citiques 2011

[Eikichi Onizuka]

Étrange en effet.
Il n'existe pas dans la bom base en fait, mais même en l'entrant comme cela ça ne fonctionne pas.

[zack_]

C'est pas un bug la fiche n'a jamais été créée, je ne sais pas qui a validé sans avoir entré la fiche, c'est corrigé (attention aux entrées chers modos!)

[Tyseah]

Ne JAMAIS valider si le titre n'est pas rattaché à la BoM Base, car ensuite il n'apparait pas dans le listing. Je l'ai déjà écrit sur BoModo.

[Eikichi Onizuka]

Quand je suis arrivé c'était déjà comme ça, de toute façon quand une critique apparait en rouge j'y touche pas

[Scalp]

Ah bein voilà je m'absente un week end et c'est le bordel.

[Heatmann]

non mais le vrai foutraque c est 5.5 a Mission impossible 1 et 7.5 a mission 2

[Scalp]

Oue le Woo c'est du caca tout mou, alors le De Palma c'est du caca tout dur.

[caducia]

non mais le vrai foutraque c est 5.5 a Mission impossible 1 et 7.5 a mission 2

à choisir entre les 2, je prèfère celui avec de l'action que celui ont se fait ch***

[Heatmann]

non mais MI2 moi je le trouve pas si immonde , je lui met la moyenne ( mais tout juste hein , pas plus ) alors que le depalma jlui trouve un peu plus sympa, moin frenetique mais j aime bien ce coter serieux et vraiment espionage ( 6.5 )

[caducia]

Cocktail

Après avoir quitté l'armée, Brian Flanagan essaie de se trouver un boulot à New-York, mais il n'a aucun diplôme. Il décide d'entamer des études tout en étant serveur dans un bar. La solution de facilité, pense-t-il. Mais ce boulot n'est pas aussi facile qu'il le pense. Le patron, Douglas Koglan, décide de lui apprendre tous les "trucs" : les façons de servir, les astuces de consommation, etc. En peu de temps, Brian devient très populaire.


Critique :

Jamais vu auparavant, j'avais un gros a priori sur ce film que je pensais vraiment sans intérêt et bling-bling, mais il n'est pas si mal que çà.
On suit le destin du jeune Brian Flanagan (Tom Cruise) qui débarque dans la vie active sans diplôme et a le choix de sa lancer dans la vie active ou de tenter la double vie d'un travail alimentaire en parallèle de ses études. Empli d'espoir et d'ambition, Il essaye de se vendre auprès de nombreuses boites pour être embauché , mais sans aucune ligne sur son CV, il n'y arrive pas malgré sa bonne présentation.
Au final, il dégote par hasard un job de serveur dans le bar de Doug Coughlin où la spécialité sont les cocktails qui sont servis avec une gestuelle bien étudiée.



Film avec une ambiance années 80 bien sympa où il y avait encore de l'insouciance, le sens de la fête, où tout était permis avec "l'american dream".
Le scénario tient la route et nous fait traverser les différentes péripéties de la vie de Flanagan qui est loin d’être rose. Au départ, il commence en bas de l'échelle comme simple serveur et rame pour assurer la cadence puis se plonge dans le bain et devient rapidement doué pour ce job !
On sent une belle entente entre Brian et son boss Doug, qui rêvent de monter un bar de cocktails de renom. Une vraie symbiose de pensées et de gestes entre ces deux-là qui fait plaisir à voir avec une vraie empathie pour eux.
Mais, c'est le clash car Doug déconne et pique la copine de Flanagan qui décide de la quitter et il part pour les iles continuer son métier de barman en tant que saisonnier.
On replonge à nouveau dans une vie de paradis avec une ambiance de fête, plages et maillots de bain. Tom Cruise est comme un poisson dans l'eau dans cet univers de vacances et fait des rencontres...une nouvelle fiancée et retrouve aussi Doug qui a épousé une milliardaire et dont l'avenir est tout tracé désormais.

Même si le film peut paraitre superficiel , l'histoire est intéressant car le personnage de Flanagan traverse plusieurs stades dans sa vie qui est comme une montagne russe.
Tout d'abord la galère de trouver un emploi, ensuite le clash avec son patron avec des années de bonne entente, puis il s'envole vers un nouveau départ dans les iles, mais il rattrapé par l’appât du gain et devient le gigolo d'une riche business woman qui le traite comme un toutou et lui promet monts et merveilles de retour à New York.



Enfin, il tombe vraiment amoureux d'une fille mais il est rejeté par ses parents qui sont issus de la bourgeoisie New Yorkaise.
Un personnage de Flanagan qui se cherche constamment dans ce film avec un avenir incertain, il a de hautes ambitions mais il est aussi tiraillé par sa vie personnelle et il doit toujours faire des choix et des sacrifices.
Il incarne le jeune avide de pouvoir et d'argent mais qui garde une certaine spontanéité et fraicheur qui commet des erreurs et qui malgré ses efforts ne peut aller certains obstacles comme la différence de mentalité et de milieu.

Le patron de Flanagan est aussi un personnage intéressant car c'est un peu son clone mais en plus vieux. Il partage le même métier et les mêmes rêves mais n'a pas le même destin.
Après avoir trimé comme simple Barman pendant des années, et avoir rêvé de richesse et pouvoir, celui-ci fait un mariage heureux et devient riche à millions mais son destin tragique montre qu'après avoir son but, il ne le supporte pas au final.
Le destin de Doug (Bryan Brown)est une vraie leçon pour Flanagan, qui comprend vite que s'il doit choisir entre l'argent et son bonheur, il doit opter pour le bonheur sous peine de finir comme son ami.
Bryan Brown nous donne une bonne interprétation d'homme blessé par les promesses de la vie et l'alcool.



Le film est pas mal mené avec un rythme correct, même si ce n'est pas celui d'un film d'action, mais le duo Doug / Flanagan provoque une forte empathie, on a du plaisir à les suivre.
Le film nous fait voyager entre les iles paradisiaques et New York et se focalise sur Tom Cruise qui se cherche constamment.
Les fameuses scènes de préparation de cocktails sont sympathiques, même si on ne se rend pas compte du travail effectué pour les réaliser, mais c'est loin d’être le sujet principal du film, c'est un petit plus visuel, je trouve que c'est plutôt anecdotique qu'autre chose.

Le film nous fait comprendre que l'argent ne fait pas le bonheur, et qu'il faut savoir limiter ses ambitions et aller au plus simple pour concrétiser ses rêves.
Film peu marquant mais divertissant, avec beaucoup, beaucoup d'alcool avec une jolie happy end.

[Moviewar]

I spit on your grave (2010)

Jennifer, jeune et jolie écrivain, s’isole dans un chalet pour y écrire son nouveau roman. Elle qui s’attendait à une retraite tranquille, se retrouve violée et torturée par un groupe d’individus complètement tordus qui empestent la cruauté et la perversité. Abusée par chacun d’entre eux, laissée pour morte, elle se livrera à une vengeance sans pitié…


Critique :

Pas trop fan des films d'horreur en général, mais un petit de temps en temps, çà change !
Celui-ci est assez dérangeant, n'ayant pas vu l'original difficile de comparer.
L'histoire est assez basique, une nana qui se fait violer par une bande de pervers et qui décide de se venger en les éliminant un par un.

Le début du film est assez lent et a pour but de nous situer l'action dans une campagne perdue, isolée de tout avec un village où tout le monde se connait et où tout se sait.
On nous met en avant le contraste en la vie campagnarde tranquille peuplée de jeunes peu éduqués et assez basiques qui pensent qu'à picoler et aux filles et à l'opposé les citadins intellos mais qui sont paumés dès qu'ils mettent un pied hors de la ville ou que leur téléphone ne marche plus.
On crée un sentiment de calme profond et d'isolement qu'est venu chercher Jennifer pour trouver l'inspiration.
Dès qu'elle arrive en ville, elle tombe sur la bandes de jeunes cons et commence à se fritter avec eux car l'apparition du moindre jupon les excitent.

Ensuite, on s'attache au séjour de Jennifer dans ce grand chalet qui est quand même tout confort, et où le moindre bruit suspect la fait sursauter, et on se rend compte qu'elle est loin d’être à l'alise dans cet environnement étranger et un peu trop "nature". Cette partie du film est pas très intéressante avec de faux suspenses, en gros il ne se passe rien.

Puis, Jennifer se fait prendre au piège par la bande de jeunes cons avec une montée en puissance de la tension, où ils commencent par la titiller en jouant la provocation, l'intimidation, puis la confrontation. Jennifer essaye de les dissuader par tous moyens car elle sait qu'elle n'a aucune chance face à ces types mais en vain.
Puis, Jennifer est complètement soumise face à cette bande d'alcooliques notoires et va subir humiliations et viols répétés...bref, c'est devenu un véritable jouet et elle ne peut rien y faire.
La réalisation fait en sorte qu'on assiste à tous les détails de son calvaire de façon très crue et bestial, rien ne nous est épargné, presque aucune ellipse d'où un coté malsain et voyeur proposé au spectateur.
Son calvaire dure un sacré moment et s'installe un vrai sentiment de malaise face à tant de cruauté.
Dans la petite bande de tarés on trouve un mélange de personnalités mais sur la base ce sont tous de jeunes types débiles qui ne savent pas trop comment se distraire et on se demande s'ils ont l'habitude de faire çà ou si c'est une pulsion qui les poussent à le faire.
Jennifer arrive à s'enfuir dans les bois à moitié morte sans que ses ravisseurs ne parviennent à la rattraper : c'est une grosse incohérence du film puis elle réapparait quelques mois plus tard par je ne sais quel enchantement pour "la vengeance" ultime !



Jennifer est en pleine forme pour se venger et à préparer un plan d'élimination de façon minutieuse voire chirurgicale et chaque pervers sera puni en fonction du sévice qu'il lui aura fait subir.
On assiste encore une fois à des scènes de tortures où cette fois-ci c'est l’héroïne qui a le dessus et qui est maitre du destin des pervers.
Elle n'a aucun remord, aucune pitié et exécute son plan sans en dévier et sans écouter les excuses et cris de pitié.
Ces scènes sont très réalistes et dérangeantes car d'une extrême cruauté même s'il y a assez peu de sang mais beaucoup de cris et de souffrance à l'écran. Enfin, étrange que la petite citadine réalise celà en toute simplicité comme si elle avait fait çà toute sa vie.



Le film met le spectateur en situation de voyeur pervers qui assiste à ces actes barbares gratuits qui défilent à l'écran, mais on se retrouve perdu car on ne connait pas la motivation de cette bande de jeunes à faire celà : pulsions, envie...
Pour moi ce n'est pas du cinéma, ce n'est pas de l'art, çà n'a aucun intérêt que d'attiser les esprits des plus tordus, digne d'un documentaire pour pervers sexuels.
Aucune morale à l'histoire, la vengeance est froide chirurgicale ne fait pas avancer la situation à part éliminer les ex-prédateurs.
L'image n'est pas belle, mais tout en crasse et sans pudeur. Trop invraisemblances et aucune émotion de soulagement profond de jennifer face à sa réussite...
Film sans suspense et assez linéaire dans l'horreur à réserver aux voyeurs avides de sensations de tordus sans le moindre intéret cinématographique.

[Scalp]

Oue dla belle merde ce film.

[Waylander]

mes citiques 2011.

[Moviewar]

Ouais ! .. et ça fait onze mois que c'est comme ça ..

[caducia]

ouais, mais on arrive pas à changer....c'est pas bien grave je ferai mieux l'an prochain.