[Caducia] Mes citiques 2011

[Heatmann]

[Hannibal]

Oui c'est vraiment très bien cet open range!

j'adore ton approuved Heat

[caducia]

Open range dans le top 5 !

[caducia]

Urban Legend III

Synopsis :

En 1969, à Salt Lake City, Mary Banner est battue par son petit ami au cours d'un bal de promo et enfermée dans un local du lycée où elle meurt de faim. Trente ans après, des adolescents parviennent à la ramener d'entre les morts au risque de déclencher une vague meurtrière sans précédent...

Critique

Film qui se veut le 3ème opus de la saga, mais on peut dire que celà n'a rien à voir. ici, le scénariste ajoute un aspect surnaturel au film qui n'existait pas dans les 2 précédents.



Je dirai plus que celui-ci ressemble à "destination finale" sauf que le phénomène inexpliqué de Destination finale qui tue les gens les uns après les autres est remplacé par le fantôme de Mary Banner qui souhaite de venger de la mauvaise blague du bal de promo et qui lui a couté la vie.
On est donc entre "destination finale" avec des meurtres successifs plus ou moins originaux et un coté exorciste avec l'apparition de "Bloody Mary".

Casting assez décevant avec que des acteurs de secondes zones quelconques qu'on peut switcher à tout moment, sans charisme particulier.

Ensuite, le début du film n'est pas trop mal avec un certain suspense où les ados essayent de retracer le passé et ce qui s'est passé le jour du bal et trouver un lien entre les meurtres.
Puis, les meurtres "originaux" s'enchainent. On retrouve pratiquement la même scène de "cramage" dans la cabine UV que dans "destination finale 3" notamment et quelques autres un peu rigolos. Effets spéciaux pas du terribles.

Mais au final, le film s’essouffle et on en devine aisément la fin, qui tourne au grand guignol, et c'est bien dommage. On est très très loin des légendes urbaines en tous cas.
Réalisation minimale et Bo presque inexistante.
Un teen movie bien peu passionnant très cliché.

[Dunandan]

Toi tu t'es payé la trilogie Urban Legend !

[caducia]

A Perfect Getaway

Synopsis :
Cliff et Cydney sont un jeune couple d'aventuriers qui, pour fêter leur lune de miel, se rend sur la plus belle et reculée des plages de Hawaï. Randonnant sur les chemins sauvages de l'île, ils pensent avoir trouvé le Paradis sur Terre. Mais quand leur route croise celle de deux promeneurs effrayés par le récent meurtre de deux jeunes époux dans les environs, ils commencent alors à se demander s'il ne vaudrait pas mieux retourner sur leurs pas. Ne se sachant que décider, Cliff et Cydney se joignent à deux autres couples et c'est à partir de ce moment que les choses vont mal tourner. Car si loin de la civilisation ou de toutes formes de secours, chacun semble être une menace et plus personne ne sait à qui faire confiance. Et le Paradis devient un véritable Enfer quand une bataille brutale pour la survie s'engage...


Critique

Film divertissant sans prétention au scénario intéressant dans un très beau paysage de rêve.
Le réalisateur David Twohy s'en tire pas mal et met bien en valeur les magnifiques paysages du pacifique avec des plans en hélico superbes aux couleurs paradisiaques.
Et oui, de si beaux paysages mais éloignés de tout et assez dangereux car non balisés, non sécurisés et en plus avec des jeunes couples qui se font dézingués par un sérial killer.

Steve Zahn / Milla Jovovich
forment un 1er couple, le couple idéal de jeunes mariés qui sont en voyage de noce et partent à l'aventure à Hawai, mais assez peu habitués à la nature sauvage.
S. Zahn est un acteur génial, ici il est parfait en mec banal qu'on ne soupçonne de rien.
M. Jovovich est comme d'habitude moyenne, fait juste de la figuration.

Timothy Olyphant / Kiele Sanchez
C'est un peu l'opposé du couple précédent.
Lui est un ancien soldat des forces spéciales, habitué à la survie et au combat en général.
sa copine est un peu du même style , assez débrouillarde.
T. Olyphant au physique irréprochable assure et permet de garder un doute sur sa potentielle culpabilité à cause de son passé, son amour pour les armes, sa débrouillardise.



Chris Hemsworth / Katie Chonacas
c'est un jeune couple aussi mais ils sont lus marginaux, avec tatouages, légèrement drogués sur les bords. Ici, M. Thor fait rebelle et les soupçons se portent sur lui naturellement.
Chris Hemsworth joue bien le bad guy rebelle qui fait peur on le croit sorti de taule.

La mise en scène et le scénario n'est pas mal et essaye de nous faire croire que l'un des couples sont des blanches colombes innocentes dans cet univers sauvage, entourés de deux autres couples un peu plus bourrin et le réalisateur multiplie les fausses pistes pour aller dans ce sens et rendre les 2 couples comme des coupables potentiels.
Mais, un retournement de situation apparait et le spectateur a été dupé à moins qu'il a pu déceler quelques indices...



Le rythme est assez soutenu , malgré quelques bla blas inutiles (genre des parlotes entre les nanas qui sont sans intérêt) , le suspense est léger mais présent, puis on passe à l'action dans la toute fin du film.

Les acteurs sont crédibles (sauf Milla qui est passable), décors magnifiques, histoire sympa mais rien de transcendant non plus.
Mais, si on le voit une fois, la 2eme vision sera sans intéret.

[caducia]

Toi tu t'es payé la trilogie Urban Legend !

meme pas ! le 3eme je me doutais de la daube, c'était par curiosité.

[Dunandan]

Mais bon parfois c'est bien de regarder des films bien con après une journée de merde, ça donne même l'impression d'être intelligent je sais moi aussi je fais ça, et c'est pour ça que de tels films existent non ?

Des films à vocation humaniste dans un sens ...

[caducia]

RED

Synopsis :

L'heure de la retraite a sonné ! Mais dans certaines professions, la transition peut s'avérer difficile : Franck ne supporte pas l'inactivité, son collègue Joe végète en maison de retraite, Marvin use d'amphétamines et Victoria fait des petits boulots. Pas facile de décrocher quand on a été... agents de la CIA toute sa vie ! Pourtant, quand leur ancien employeur décide d'éliminer pour de bon ces agents un peu trop compromettants, il va découvrir qu'en dépit de leur âge, ce sont encore de redoutables adversaires.


Critique

2ème vision de RED et je le trouve toujours aussi divertissant.
C'est sur que si on s'attend à un film d'action, c'est loin d’être le cas, c'est avant tout du grand délire point de vue scénaristique et comique de situation. Des roles à contre emploi pour un beau casting : pléiade de grands acteurs.

Frank Moses (Bruce Willis)
est peut être à la retraite officiellement mais il assure encore physiquement et coté action aussi, il n' a pas trop le look de retraité, même si dans le film on ajoute quelques touches humoristiques pour nous le faire croire. Une autodérision bien sympatique qui change B.Willis de ses roles de sauveur du monde de sa filmo, qui aime jouer de ses rides et son humour. Et comme dans "die hard", il reste d'un calme plat en toutes circonstances.
Même en essayant de le vêtir de quelques fringues de vieux, Bruce reste jeune et classe et efficace et arrive à battre les petits jeunes à main nue.

John Malkovich (Marvin)
Une grosse caricature d'un ex agent de la CIA, illuminé, déjanté ultra parano, et accro à la gachette.
Sympa aussi de la part de Malkovich qui montre sa grande palette de rôles au ciné. C'est la grosse touche de décalage du film.

Morgan Freeman
lui aussi assume un rôle de vieux en maison de retraite et casse son image avec brio, mais sans rester toujours aussi élégant et charismatique.

Helen Mirren
La touche féminine du film, ressemble à 1er vue à une dame bourgeoise bien sous tous rapports mais qui est en fait une tueuse à gage. Décalage entre son aspect élégant avec brushing toujours impeccable et calme qui cache une folle des mitraillettes.

Mary-Louise Parker
je trouve que c'est une erreur de casting, banale, elle joue la cruche de service, il y en a 1000 comme elle. Sa romance avec Frank est très peu crédible en plus.

Karl Urban
C'est le jeune agent de la CIA, très pro, c'est le seul personnage sérieux du film mais qui rame pour attraper Moses et sa bande.



Quelques seconds rôles sympas aussi : Ernest Borgnine, Richard Dreyfuss ,Julian McMahon (en homme de pouvoir pourri comme il sait si bien les jouer) .

Le point fort du film c'est que ces "retraités" sont un peu passe partout et on ne méfie pas d'eux, et çà leur permet de s’incruster plus facilement et se fondre dans le paysage.
Derrière leur apparence banale se cachent donc des ex espions expérimentés qui vont donner du fil à retordre à la CIA nouvelle génération et montrer que les vieux sont encore valables.
On ressent une belle complicité entre les acteurs et on ressent une belle alchimie.



Le film est bien rythmé, on ne s’ennuie pas, on découvre l'équipe du RED au fur et à mesure dans des situations cocasses, quelques grosses scènes d'action et de poursuite bien sympas.
En fait, on alterne souvent avec des scènes calmes de la vie quotidienne avec "musique d’ascenseur" et qui sont cassées par des scènes de bourrin, même si on aurait des scènes encore plus spectaculaires.
Le duel à mains nues Willis / Urban est excellente et montre un Bruce très en forme !



Le scénario rocambolesque tient la route et c'est jubilatoire de voir avec quelle facilité la bande de "vieux" arrive à rabattre le caquet aux petits jeunes aux dents longues super entrainés. Un décalage de génération et un décalage de situation.
Autant je n'avais pas aimé le mélange action/humour de "Very bad cops", autant celui de Red est bien dosé et de meilleur gout.

Film qui ne se prend pas du tout au sérieux et qui vous berce par sa fluidité d'action et d'humour avec cette bande de perturbateurs déjantés qui viennent mettre la bazar dans un monde si parfait.
La dernière scène complètement barge qui est un peu too much et qui nous laisse présager un RED II.
Un film qui change des films 100% action ou 100% comique, un petit mélange bien réussi pour ma part.

[caducia]

Chiens de paille (2010)

Synopsis :

Jeune intellectuel pacifiste, David a quitté l'angleterre pour s'installer aux USA dans une ferme isolée proche du bourg natal de son épouse, Amy. Afin de rénover le toit de la ferme, il embauche des hommes du village, sans savoir que l'un deux est un ancien amant d'Amy. Le comportement sournois et moqueur des hommes et l'attitude provocante d'Amy, font, petit à petit monter la tension.


Critique

Chien de paille étant un grand classique, c'était un grand risque de se lancer dans ce projet casse gueule. Je me souviens de ma 1ere vision de l'original qui m'avait beaucoup marqué, mais pour l'avoir revu récemment le film a beaucoup vieilli même s'il reste intense et marquant.

Ici, au lieu que David soit un américain qui débarque en campagne anglaise, c'est l'inverse ! On est tout droit plongés en cambrousse , un peu chez les Dukes de Sheriff fais moi peur ! Des purs et durs.
Le remake propose donc une version revisitée et mis au gout du jour ce qui ne fait trop de mal au film. C'est donc en campagne profonde comme il existe beaucoup d'endroits aux états unis, quasi désertique, où les lieux de vie se résument aux bars, l'église et le stade. On a une vision assez caricaturale des ploucs US qui ont l'air assez sous développés, qui ne pensent qu'à picoler, aux filles et un peu au football.
Comme nous sommes au 21eme siècle, nous avons droit dans cette version à des filles très sexys qui aguichent les garçons, des cheerleders, et des bars "modernes", ce qui donne un coup de neuf au film.

D. Hoffman est remplacé par James Marsden.
Ces deux acteurs ne se ressemblent pas trop, bien sur, D. Hoffman a un charisme supérieur et une grande intensité de jeu, mais J. Marsden s'en tire assez bien. Il joue David qui est un scénariste de cinéma, qui a un petit gabarit comparé aux habitants de la région, et plutôt intellectuel que manuel, mais il a de forts principes qui vont le transformer et le pousser dans ses limites.



Kate Bosworth / Amy Sumner
et bien, elle joue la femme de David qui a une personnalité étrange car elle joue sur son physique pour aguicher tous les hommes qui passent, elle titille son ex mais elle souhaite garder une certaine distance. L'actrice est plutôt moyenne, pas très convaincante.

James Woods est le coach.
Il est excellent en coach alcoolique, même si ses apparitions sont limitées.

Dominic Purcell est Miles.
c'est un peu le Lennie Small des souris et des hommes. Un colosse qui est attardé mental qui n'est pas méchant à la base mais qui ne contrôle pas sa force. Role qui demande 2 expressions et un regard dans le vague...



Le film bénéficie d'une belle réalisation, surtout avec les paysages dans les bois avec un beau jeu de lumière.
On ne peut pas dire que le film soit une copie conforme de l'original , on notera quelques modifications du scénario mais la seconde partie ressemble énormément à l'original.
La partie viol est plus subjective ici que dans original.
Dans l'original, Tom Heddon sait que Miles a tué sa fille et c'est ce qui lui donne une immense colère et le fait qu'il veille tuer Rimes, ici il ne le sait pas, ce qui rend moins crédible son acharnement à vouloir pénétrer dans la ferme.
La partie finale du film est bien fichue et crédible avec une tension palpable et le personnage de David qui a la rage et fait marcher ses méninges pour sauver sa vie et celle de sa femme également.

Le remake n'est donc pas si mal que çà et dépoussière l'original, même s'il est moins intense et moins cru que la version de 1971 et que l'acteur principal est moins convainquant que D. Hoffman.
On ne s'ennuie pas et l'histoire reste intéressante et le dénouement toujours aussi fort.

[Alegas]

Die Hard III

Synopsis :

Au petit matin, une bombe explose en plein New York, la police reçoit quelques minutes après un coup de téléphone leur demandant que John McClane soit amené à Harlem avec une pancarte où il est marqué "Je hais les noirs". S'il n'exécute pas ces ordres, "Jacques a dit'" qu'une autre bombe explosera.
Zeus voit John dans la rue et veut "l'aider" à ne pas se faire tuer par un petit groupe de jeune, c'est alors qu'il rentre malgré lui dans le jeu du "Jacques a dit'" psychopathe.

Ils devront arriver à faire une série d'épreuves tous les deux sans quoi, une bombe explosera à chacune de leur défaite.


Critique

J'aime bien cet opus mais c'est dommage que McLane seul contre tous devienne plus un buddy movie divertissant et bien huilé.
Mc Lane n'est donc plus le cowboy, ni seul contre tous mais entouré de tous les flics de NY et de Zeus.



Pour bien débuter le film, à peine la 1ere minute une méga explosion dans les rues de New York nous promet beaucoup d'action.
Ici, Mc Lane n'est plus le superflic du I et II, mais c'est plutôt un alcoolique déjanté au début du film mais qui retrouve vite toutes ses capacités d'antant pour ce jeu de devinettes à travers New York. Toujours beaucoup d'autodérision et d'humour avec Samuel L Jackson qui est là un peu comme un chaperon, pour veiller à ce que McLane ne parte pas trop en sucette, c'est une sorte de guide aussi, qui lui suggère la bonne marche à suivre avec plus ou moins de succès, dans cette course contre la montre.
Zeus est "le bon samaritain", un homme simple, plein de bon sens proche des réalités alors que McLane est spontané et de tempérament fougueux.
Le duo donne un coté sympa car les dialogues savoureux sont plus nombreux et plus savoureux que lorsque Mclane était seul face aux terroristes des films précédents où il se parlait à lui même.
Et le personnage de L. Jackson et ses réactions face aux folies de McLane amplifie le coté dingue des risques pris par John.



Dans Die hard I et II, c'était McLane qui menait le jeu et faisait tourner en bourrique les méchants, ici c'est l'inverse Mclane est le joujou du terroriste.
Humour omniprésent , action et cascades, on ne s’ennuie pas une seconde.
Réalisation nerveuse de McTiernan, caméra à l'épaule bien souvent où New York est un peu comme une fourmilière aux dédales permettant de cacher des explosifs n'importe où sans que personne s'en aperçoive.
Jeremy Irons reprend le rôle du méchant dans la lignée des 2 1ers opus. Fort charisme, nonchalance, un fort accent et un plan bien huilé, même si je préfère de loin Alan Rickman où ici Irons n'est qu'une vague copie. Un terroriste manipulateur qui laisse faire le sale boulot par ses sous fifres, et ici Simon a mis la barre encore plus haut avec un hold up de 140 milliards de dollars en y mettant de gros moyens. Le calme de Simon qui maitrise la situation face au McLane énervé qui court dans tous les sens...
Fidèle à la saga, Bruce Willis voit son état se dégrader au fil du film avec éraflures et blessures en tous genres dans son fidèle débardeur ensanglanté.



Au milieu de film, Bruce a enfin trouvé les traces de Simon et là on retrouve l'esprit de piège de cristal où McLane communique avec l'ennemi par talkie walkie et se fout de sa poire ouvertement.
Dommage qu'il n'y ait pas une vraie communication entre le cowboy et le terroriste tout au long du film comme dans die hard I qui donnait droit à un coté tableau de chasse, où chacun comptait les points au fur et à mesure et donnait droit à des dialogues de haut vol et où le méchant était titillé par McLane.

Die Hard III reprend donc quelques bases de la saga mais je ne le trouve pas comparable au deux 1ers car celui-ci est plus tourné vers l'action et le spectaculaire, on est loin du coté furtif des deux 1ers que j'aimai bien. La fin est assez décevante mais passable.

En gros, cet opus n'est pas mal du tout, pas beaucoup de points négatifs, mais ma préférence revient à Piège de Cristal avec beaucoup plus de finesse, de corps à corps que de spectaculaire.

[Milkshake]

Pour le coups je trouve les corps à corps bien plus réussit dans ce N°3, dans le 1 on voit constamment la doublure de willis.

[Logan]

Die Hard 3 le seul vrai chef d'oeuvre de son auteur

(Et encore la fin alternative a plus de gueule je trouve)

[Dunandan]

Die Hard II

Synopsis :

L'inspecteur de police McClane attend que l'avion de son épouse atterrisse dans un aéroport international proche de Washington. D'étranges allers et venues attirent son attention. Il suit des hommes qui communiquent discrètement entre eux jusqu'au sous-sol de l'aéroport. Là, des inconnus tirent sur lui et des mercenaires prennent le contrôle de l'aeroport, coupant toute communication avec l'extérieur. Les passagers des avions prêts a l'atterrissage, dont la femme de McClane, n'ont plus que cinquante-huit minutes pour vivre !

Critique :

Retour de J.McLane mais cette fois-ci on n'est plus du tout à L.A mais à Washington en plein hiver.
Adieu hotel de luxe et chaleur, ici c'est un aéroport, la neige, mais çà reste un huis clos.

McLane est à nouveau confronté à un groupe de terroristes, et seul contre tous car la police locale n'est pas très motivée pour l'aider et le croire. Décallage entre l'instinctif Mc Lane qui démarre au quart de tour et la police locale qui est longue au démarrage.

L'action commence assez rapidement dans les 10 premières minutes après une brève présentation du chef de bande nu : un peu bizarre...
Course poursuite et échange de tirs sur les tapis roulants des coulisses de l'aéroport, avec beaucoup de rythme et de pointes d'humour.
McLane se met vite à dos la police locale dès le tout début du film, avec son franc parlé et son humour cinglant qui braque tout de suite ses confrères de la cote Est.
C'est donc le système D qui prime et mener son enquête perso à travers les méandres de l'aéroport : comme il dit "Je suis habitué aux sous sols et aux ascenseurs" et autres gaines d'aération.



En parallèle, on suit la mise en place du plan des terroristes qui vont carrément mettre hors service un aéroport en piratant le système informatique.
Beaucoup de gunfights assez pétaradants et sanglants, bien bourrins.
Comme dans "piège de cristal", McLane peut se taper la discute avec le chef terroriste par radio.
Beaucoup de courses poursuites et explosions dans la neige et scènes spectaculaires comme celle du siège éjectable, l'état du cowboy se dégrade au fur et à mesure.
Dans "piège de cristal", McLane montrait plus de souffrance et d'émotions à chaque perte humaine, ici c'est moins présent par petites touches, dommage.



On retrouve quelques personnages secondaires du I comme le flic newyorkais Powell , le journaliste fouteur de merde ainsi que John Leguizamo , Robert Patrick, Dennis Franz .
Je trouve que le colonel Stuart en chef des bad guys est plutôt moyen par contre, moins intellectuel et raffiné que les frères Gruber et qui dialogue moins avec McLane.

Bref, épisode sympatique par son ambiance eneigée et un B.Willis fidèle à son personnage avec une action bien gérée, je trouve le méchant un peu faible peu intéressant.

[Dunandan]

Pour ma part, c'est clairement le moins bon des trois premiers, avec un début un peu foireux (Mc Lane qui découvre tout de suite que quelque chose cloche), un Mc Lane un peu moins humain, et un méchant pas terrible.