[alinoé] Mes Critiques en 2011

Modérateur: Dunandan

Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Pathfinder » Jeu 24 Nov 2011, 09:25

Ouais, faut vraiment que je me décide à le revoir celui là!
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King Dinosaur - 4/10

Messagepar alinoe » Jeu 24 Nov 2011, 20:27

King Dinosaur

Réalisé par Bert I Gordon

avec William Bryant, Wanda Curtis, Douglas Henderson, Patti Gallagher

Fantastique, USA, 1h01- 1955

4/10


Résumé : Une équipe de scientifiques part en mission sur Nova, une nouvelle planète du système solaire. Là il découvre un monde préhistorique…

Les années 50 furent un véritable âge d’or de la SF et des dinosaures avec une pléiade de séries B plus ou moins inspirées qui conservent encore pour certaines tout leur charme. Soyons objectif, ce n’est vraiment pas le cas de King Dinosaur qui rejoint aisément la dimension du nanar fauché involontairement hilarant. J’ai un faible pour les nanars faits de cartons pâtes qui permettent de passer une séance amusante entre passionnés du genre, du coup la note est franchement indulgente.

Le film débute comme un documentaire avec voix off, des reportages, des conférences et des images d’archives pour nous expliquer la construction d’un engin spatiale, la préparation physique et mentale des spécialistes américains (guerre froide et conquête spatiale obligent) sélectionnés pour mener à bien la mission d’exploration de cette nouvelle terre. Près de 15 minutes sur un ton didactique et sérieux pour donner une caution de vraisemblance scientifique à cette expédition spatiale. Sauf que toute crédibilité s’évapore lorsque les quatre scientifiques débarquent sur Nova (Deux hommes, deux femmes). Le premier couple de scientifiques débarque main dans la main, le sourire aux lèvres, gambadant gaiement sur une planète inconnue. Suprêmement drôle ! Surtout si on imagine fugacement Armstrong et Aldrin débarquant dans les mêmes conditions sur la Lune. Je ne suis pas du genre à pointer systématiquement les incohérences surtout dans ce style de production, mais le réalisateur joue clairement sur cette technologie de pointe. On est donc en droit de se demander mais où sont donc le pilote et l’équipage de cette fusée ? Probablement automatisés par une technologie en avance sur son temps, capable de téléguider un engin spatial depuis la Terre, mais pas de fournir du matériels de pointe à des scientifiques qui se baladent avec de vieilles carabines, un appareil photo, des bateaux pneumatiques à gonfler, un attirail d’explorateur du début du XXème siècle et tout de même summum de l’avancée planétaire : une bombe atomique car ça peut toujours être utile !

Une fois sur Nova, le côté scientifique s’efface donc pour livrer la place à l’exploration d’une jungle exotique, teintée d’un zest de mystère, d’une once de romance, de quelques périples et clou du spectacle de quelques espèces échappées de la préhistoire. Le terme exotique est bien sûr pour la forme, car les animaux proviennent très certainement du zoo d’à côté de la production (ours, lémurien, hibou, serpent…). Summum du spectacle de la première demi-heure d’un film qui dure 61 minutes, un duel à mourir de rire entre un crocodile en caoutchouc et le médecin de l’équipe. Au bout de 40 minutes, on se demande encore où sont passés les dinosaures vantés par l’affiche alléchante du film. Heureusement, une des scientifiques souhaite explorer l’île volcanique située au milieu d’un lac et là, le spectacle préhistorique peut enfin commencer, ainsi que les hurlements hystériques des deux représentantes de la gente féminine. Il reste 15 minutes de film !

Bert I. Gordon, le réalisateur est une sorte de sommité dans le domaine des séries B et surtout des bestioles et des insectes préhistoriques de tout acabit. Mais sa spécialité ce n’est pas la stop motion ou le caoutchouc, mais bien la gigantisation et le travestissement de lézard ou d’iguane en dinosaure, ce qui donne lieu à des scènes diablement loufoques. Dans le rôle du Tyrannosaure Rex nous avons un lézard, dans le rôle de dinosaures dont on ne saurait déterminer l’espèce, un varan et un tatou. A noter, un seul joli plan, celui du mammouth. Le film est représentatif de son époque, donc forcément, nos quatre scientifiques émérites tirent sur tout ce qui bouge et finissent par lâcher la bombe atomique sur l’île. En somme l’humanité dans toute sa splendeur ! Je me sers, je détruis, je pollue et je repars !!!

Un film tout à la fois amusant et agaçant, à réserver à un public averti et amateur de nanars. Quant on voit ce qui fut produit autrefois, en matière de films de dinosaures, on peut dire un grand merci aux magiciens des SFX pour les dinosaures plus vrais que nature de Jurassic Park ou de King Kong. Que le chemin fut long en séries B avant d’en arriver là !
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Kakemono » Jeu 24 Nov 2011, 22:22

Ca a l'air marrant. :eheh:

Alegas a écrit:Je le fais pour toi :mrgreen:


'foiré. :fuck:
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Police Story 2 - 7,5/10

Messagepar alinoe » Ven 25 Nov 2011, 20:37

Police Story 2

Réalisé par Jackie Chan

avec Jackie Chan, Maggie Cheung, Bill Tung, Lam Kwok-Hung, Ben Lam, Benny Lai, John Cheung

Action, HK, 1h57- 1988

7,5/10


Résumé : après la destruction d’un centre commercial, l’inspecteur Chan est renvoyé à la circulation. Comble de malheur, son ennemi Chu est libéré de prison pour raison de santé et jure de se venger. Pendant ce temps un gang rançonne des entreprises menaçant de les faire sauter…

Ce second épisode reprend tous les ingrédients qui ont fait le succès du premier épisode : comédie, action et drame, malheureusement il ne parvient pas à égaler la prestation de son illustre prédécesseur. En effet, le film souffre d’un évident problème de rythme, en raison d’une double intrigue mêlant anciens et nouveaux adversaires. Si toute l’intrigue autour d’une faction de terroristes est passionnante, celle de la vengeance de Chu est complètement ridicule et ennuyeuse (sauf les deux scènes de combat), donnant malheureusement au scénario une allure bancale. C’est bien dommage, car les personnages sont mieux développés que dans l’épisode 1 et l’intrigue autour de la demande de rançon est vraiment très intéressante, notamment toute la partie sur les manœuvres des équipes de filatures.

S’il est un point sur lequel je trouve Police Story 2 supérieur au premier, c’est sur le plan de l’humour moins burlesque et beaucoup plus léger qui fonctionne à mon sens bien mieux. La relation entre Ka-Kui et May est plus approfondie, du coup elle m’a permis de m’attacher à un personnage que je trouvais insupportable jusque là. La scène de ménage dans les douches est un grand moment de connivence loufoque, tout comme la scène d’interrogatoire d’un dynamique trio de femmes flics. Il reste bien évidemment quelques passages de comédie lourdingue, notamment tout ceux avec Ko et ses hommes de mains, mais d’une manière générale, la comédie est moins marquée dans cet opus avec des ressorts dramatiques plus présents (explosion d’une bombe, enlèvement, bombe humaine ou torture).

Ce second opus est légèrement moins intense et spectaculaire que Police Story au niveau de l’action, mais je trouve les cascades et les chorégraphies de combats toutes aussi folles et survoltées. Jackie Chan commence par un jeu de massacre dans un restaurant et poursuit quelques temps plus tard dans un parc public avec des barres de fer, non sans avoir auparavant traversé une autoroute en courant et sauté par la suite d’un bus à double étage. Mais le plus impressionnant reste à venir, lors d’un final explosif dans une usine, contre un adversaire sourd et muet (Benny Lai) d’une grande dextérité et rapidité au combat. On ressent à chaque fois la violence des coups et la fureur qui se dégage de chaque chorégraphie.


Même s’il est un ton en dessous du premier opus, Police Story 2 reste un polar urbain efficace et explosif à souhait.
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Ombre d'un doute (L') - 7,5/10

Messagepar alinoe » Dim 27 Nov 2011, 18:48

L'Ombre d'un doute

Réalisé par Alfred Hitchcock

avec Joseph Cotten, Teresa Wright, Patricia Collinge, Macdonald Carey, Wallace Ford

Thriller, USA, 1h43- 1942

7,5/10


Attention spoilers !

Résumé : Traqué, Charlie Oakley se réfugie chez sa sœur, où il retrouve sa nièce, qui lui voue une profonde admiration. Deux hommes le surveillent de près, semant le doute dans l'esprit de la jeune fille…

J’ai été légèrement désappointée par ce film considéré comme un chef d’œuvre de suspense, car justement cette notion est considérablement atténuée par le fait que le spectateur est placé dès le départ dans une position omnisciente, puisqu’il soupçonne sans l’ombre d’un doute, le caractère crapuleux et manipulateur de l’oncle Charlie, dès sa première apparition et conversation ambigüe avec la concierge de son hôtel. La seule chose que le public ignore alors, c’est la nature du délit, quoique les premières images du film, illustrant un bal mondain orientent très subtilement les soupçons vers des meurtres dans la haute société.
L’intérêt du film n’est donc pas dans le suspense quelque peu éventé, mais plutôt dans l’enchaînement d’évènements provoqués par l’intrusion d’un homme au passé trouble, séducteur, amusant et charismatique dans l’existence monotone d’une famille de la classe moyenne américaine, d’une petite ville tranquille où il ne se passe jamais rien. Pour sa sœur, Charlie est le frère prodige qui lui rappelle la douceur nostalgique de l’enfance, une période d’insouciance et de bonheur. Pour sa nièce, il est ce personnage qui apporte un zest d’animation dans une existence morne et sans perspective. Hitchcock s’amuse à étudier et bouleverser ce microcosme social. A la joie provoquée par l’annonce de la visite d’oncle Charlie, répond une ombre menaçante qui plane sur Santa Rosa, lorsqu’il arrive en gare.
Le cœur du film c’est aussi et surtout ce duel psychologique que se livre l’oncle et la nièce, tout les deux prénommés Charlie, à la fois complémentaires et dissemblables, représentants chacun une facette du comportement humain, l’un le machiavélisme et l’autre la bienveillance. Hitchcock nous présente un miroir à deux faces jusque dans la première apparition des personnages à l’écran, tous les deux allongés sur un lit et plongés dans une profonde réflexion, voire déprime. Le film est donc placé sous le signe de la dualité, dans un jeu de fascination puis de répulsion de deux êtres qui ont quasiment un lien « de géméllité ». D’un côté Joseph Cotten qui a tout de la séduction du mauvais garçon, à la fois cynique, manipulateur, qui se croit investit d’une mission, dépouiller et débarrasser le monde des parasites que sont les vieilles femmes riches et prêt à tout pour se protéger, même au meurtre d’un membre de sa famille. De l’autre Teresa Wright qui incarne à merveille, la fragilité et la détermination à voir partir cet homme dangereux et amoral. On pourrait croire, le film manichéen, avec un duel du bien contre le mal, mais il n’en est rien.
Ce que souhaite Charlie ce n’est pas la justice pour les veuves assassinées, mais le retour de la sérénité au sein de son foyer et surtout préserver le bonheur de sa mère. A l’exception du policier devenu son confident, nul ne saura jamais la vérité sur son oncle.
Le film n’est pas exempt de quelques défauts, notamment la progression des premiers doutes de Charlie à l’égard de son oncle, sur la base d’un lien quasi « télépathique ». Une touche surréaliste que je trouve quelque peu maladroite. Par ailleurs, si le suspense reprend le dessus vers la fin du film, dans une succession de tentatives de meurtre qui font monter la tension crescendo, la dernière tentative précipitée contraste avec le sens de la fourberie et de la méticulosité qui caractérise oncle Charlie.
Les meurtres sont à la fois omniprésents et quasiment absents, car hors champs. Rien n’amuse tant Hitchcock que de découvrir les milles et une manière de tuer quelqu’un. Il fait donc du jeu « du meurtre parfait », le passe temps du père de famille et de son meilleur ami, tous deux grands amateurs de littérature policière.
L’Ombre d’un doute est un bon thriller psychologique dans lequel Hitchcock invite la violence et le meurtre au coeur du foyer familial.
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Film: Ombre d'un doute (L')
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Auteur: Alegas

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Aventure de Madame Muir (L') - 10/10

Messagepar alinoe » Mar 29 Nov 2011, 17:01

L'Aventure de Mme Muir

Réalisé par Joseph Manciewicz

avec Gene Tierney, Rex Harrison, George Sanders, Edna Best, Nathalie Wood

Romance fantastique, USA, 1h44- 1947

10/10


Résumé : Après une année de veuvage sous le toit de son étouffante belle-mère, Lucy Muir cherche un nouveau logement pour y vivre avec sa petite fille Anna et sa servante Martha. Elle tombe sous le charme d’une maison hantée nichée au bord d'une falaise…


Je ne suis pas du tout du genre fleur bleue, mais il arrive qu’un film me subjugue par sa délicatesse et sa sensibilité, c’est indéniablement le cas de l’Aventure de Mme Muir, petit bijou de romantisme. Indubitablement, la plus belle et mélancolique histoire de fantôme contée par le cinéma, portée par deux acteurs éblouissants, une mise en scène élégante dans laquelle s’imbriquent avec naturel le réel et l’irréel, la réalité et le rêve.


Les touches fantastiques sont très subtiles et s’appuient essentiellement sur des jeux d’ombres. J’aime ce moment où Lucy découvre le portrait du Capitaine Gregg. Le spectateur à l’impression que le personnage est véritablement dans la pièce. Ce fantôme là n’est pas du tout une apparition éthérée, mais un marin pestant, jurant, tonitruant, une vision diablement charnelle. Car le propos du film ce n’est pas le fantastique, mais bien la rencontre improbable entre deux âmes esseulées, une jeune veuve pleine de vie et de détermination et un fantôme qui n’accepte pas sa mort.


Mankiewicz traite avec beaucoup de poésie, un brin d’amertume et une once d’humour de la solitude, des regrets et des désillusions de la vie. A l’image de ces promenades quotidiennes de Lucy sur la plage et de ce pilier de bois vermoulu par les embruns dont le nom « Anna Muir » s’efface peu à peu, miroir du temps qui passe inexorablement et des souvenirs qui s’effritent. Il égratigne également au passage les séducteurs cyniques, les relations familiales empruntent de dépendance et de cruauté (la belle famille de Lucy) et propose une satire succulente du monde de l’édition.

Si le roman de R.A. Dick et la mise en scène de Joseph Mankiewicz portent déjà les prémices d’une grande réussite cinématographique, les interprétations de Gene Tierney et Rex Harrison emportent définitivement le film vers les sommets. Gene Tierney apporte sa grâce naturelle et son côté femme moderne et déterminée au personnage de Lucy. Rex Harrison campe un savoureux vieux loup de mer, buté, plein de verves mais aussi de regrets. L’alchimie entre les deux personnages nait du contraste de leur milieu. Le Capitaine Gregg avec ses aventures maritimes truculentes fait voyager Lucy vers d’autres horizons. Le spectateur voit subtilement cette amitié complice se muer en amour. Dans la déclaration d’amour du Capitaine Gregg, l’une des plus saisissantes du 7ème art, le spectateur effleure cette vie idyllique qui aurait pu être celle de Lucia et Daniel.


Une douce mélancolie étreint le spectateur qui s’aventure dans les pas de Lucy et du Capitaine Gregg. Mankiewicz referme la page de sa variation sur le thème de la maison hantée, sur l’une des plus romanesques et émouvantes fins de l’histoire du cinéma.

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Milkshake » Mar 29 Nov 2011, 20:00

Enfin mettre 10/10 à Muir et dire qu'on est pas fleur bleue c'est un oxymore. :nono:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Dunandan » Mar 29 Nov 2011, 20:01

Avec vous tous qui vous vous faites une rétrospective de ce cinéaste, ça donne envie ! :super:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar osorojo » Mar 29 Nov 2011, 20:35

Ouais, il vaut le coup de la découverte dunandan, mais ce Muir, c'est quand même pour les petits coeurs tendres, parce que bon, même si la fin est très belle, c'est un peu longuet ! :D Mais Logan va être ravi, Alinoé rattrape ma note moyenne avec ce 10/10 :mrgreen:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Logan » Mar 29 Nov 2011, 20:53

Alinoe c'est une fille bien :eheh:


(Et oui Dunadan tu peux commencer ta rétro Mankiewicz quand tu veux ;))
Logan
 

Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Dunandan » Mar 29 Nov 2011, 22:06

Ben moi je suis un dur au coeur tendre, donc ça va aller :mrgreen: !
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Logan » Mar 29 Nov 2011, 22:16

Par contre faut avoir vu quelques films en NB avant pour bien s'acclimater avec le manque de couleur car sinon tu vas être choqué et tu vas mettre 5/10 au film comme Milk.
Logan
 

Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Alegas » Mar 29 Nov 2011, 22:20

Fais gaffe tu deviens comme Scalp.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Dunandan » Mar 29 Nov 2011, 22:23

Ben mon dernier film en date en N&B, c'est quand même Les jeux interdits, et j'ai pas mal grandi avec Charlie Chaplin (devant ma TV, pas avec lui hein :mrgreen:) ...

Je m'imagine déjà devant ma TV et régler la couleur ...
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Logan » Mar 29 Nov 2011, 22:27

Alegas a écrit:Fais gaffe tu deviens comme Scalp.


J'avoue ca me fait peur aussi :eheh:

(Mais c'est la faute à Milk on met pas 5/10 à Mankiewicz sauf si c'est du peplum ou du musical :mrgreen: )
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