[Milkshake] Mes critiques en 2011

[Logan]

Petit con

Non ca va j'aime bien Campion.

[Dunandan]

Le Cid d'Anthony Mann

Anthony Mann délivre un film épique presque parfait durant 1h30 visuellement le réalisateur soigne encore plus ces plans que dans son autre superproduction la chute de l’empire romain, ici pas d’erreur de casting Charlton Heston porte toute la fougue et la classe nécessaire pour porter sur ces épaules les dilemmes d’un héros de guerre rejeté pour son ouverture noble envers l’ennemi.

Toute la première moitié du film est fascinante, le réalisateur enchaine les morceaux de bravoure efficace d’un duel à l’épée jusqu’à une confrontation en tournoi, Mann a les moyen de reconstruire le faste de cette période moyenâgeuse alors que Sophia Lauren au jeu très théâtral n’aura de cesse d’aimer et haïr son beau chevalier durant les retournements de cette tragédie.

Une histoire d’amour impossible rythmé tambour battant par de bon moment d’actions, le tout dans une reconstitution luxueuse ou les donne tout ce qu’ils ont quitte à en faire trop. Au moment où Heston force le nouveau roi à jurer sur la bible le film bascule toute ambiguïté disparait, Anthony Mann entame un long brodage, le film rentre dans le rang le plus holllywoodien, le couple se reforme, chaque coup bas est annoncé, tout est surligné les méchants devienne très méchant, l’ode au respect mutuel se fait à grand coup d’accolade, le héros se voit même sacralisé.

Après un départ tonitruant toute la seconde partie du métrage déçoit les grande batailles tournent vite à cour surtout tout le siège final longuement préparé pendant plus de 2h, Mann au lieu d’offrir un véritable combat catapulte du pain, les milliers de figurants sont là remplissant le cadre mais ne font que marcher c’est à peine si on a droit à 5 minutes de combat brouillon alors que l’héroïsme de Heston devient limite dégoulinant.

Le souffle tragique annoncé n’arrive finalement pas sur une fin qui s’étire en longueur même si cette vaste production offre de belles images tout le potentiel montré dans son excellente première partie s’efface peu à peu dommage Mann avait là le sujet et les moyens de faire une grande fable qui sera faite des années plus tard par Ridley Scott avec son Kingdom of Heaven.

7.5/10

[Scalp]

Surpris je suis.

[Milkshake]

pourquoi en terme d'imagerie épique c'est du haut niveau même mieux que l'empire romain, la première partie est très bonne par contre après ça se gatte ça devient vite lourd tout l’intérêt du film se retrouve sacrifié.

[Heatmann]

un 7.5 de milk a ce genre de film , ca vaut un 8.5/9 pour scalp ou moi .

mate le seigneur de guerre maintenant milk , c est encore meilleur

[Milkshake]

Texas Killing Fields d'Ami Canaan Mann

Lorsque la fille de Michael Mann s’attaque à un scénario annoncé trop noir pour être porté à l’écran, le projet étant passé entre de nombreuses mains avant que le père mann s’en empare, on en pouvait qu’être intrigué de la première réalisation d’Ami Mann. Dès les premières secondes, le film se déroulant dans le sud des USA, Ami Mann joue la carte du polar atmosphérique avec décors marécageux et rift de guitare bien sentie, l’ambiance est bien posé, l’environnement intriguant mais au final c’est à peu près tout ce qu’on à se mettre sous la dent. Excepté une attaque furtive glaçante Mann aura du mal à déranger encore moins berner son spectateur.

La réalisatrice s’est entouré d’un casting prestigieux d’excellents seconds rôles du couple titre de la série Brotherhood ici peroxydé au nerveux Stephen Graham en passant par la découverte de malickienne Jessica Chastain d’autant plus de frustration qu’ils ne font tous que de la pale figuration porté par un scénario amaigri qui emprunte pas mal de raccourcis, le film fait le minimum syndical à peine au-dessus des standard télévisuel et surtout vidé de toute noirceur alors que tous les éléments sont réunis pour : des redneck crasseux, du pimp hautain et un serial killer de jeune fille.

La fille Mann cadre de manière élégante tout en cherchant un peu ces marques de temps en temps le montage est un peu chaotique mais le réel problème est la distance prise sur ces faits, la réalisatrice peine à emporter le spectateur dans son enquête faute d’une caractérisation asséché et une fausse piste un poil bateau pour qui a vu plus de deux polars dans sa vie, le duo de flic n’est jamais vraiment attachant ou émouvant plutôt anesthésié dans ce chaos brumeux, cela remet une fois de plus en doute la capacité de Worthington à porter un film sur son regard mono-expressif.

Un petit polar vidé de sa moelle obscure laissant un petit air atmosphérique planant et amère.

6/10

[Scalp]

déjà dispo ?

Il a pas de titre français le film encore ?

[Milkshake]

Non et ça prend bien l’accent texan

[Logan]

Ouais donc comme prévu c'est super moyen quoi. La fille la plus recommandable ca reste la Lynch quand même dans le même genre.

[Heatmann]

donc enfait milk c est le barometre , la classe , il pose une critique en ligne avec la tendance general , et pouf ca confime tout . Si c'est comme la brume electrique suivant la description de Milk qui d ailleur avait mit 3 au film de tavernier, moi je suis plus que preneur , enfin bon j ai pas vue le film et attendrai le Bluray ou cinema

[Logan]

Bah non c'est pas le baromètre, y a qu'à voir la moyenne de divers site de critique et les avis presse qui sont tous unanimes, faut pas non plus mettre des oreillères parce que la chick s'appelle mann...

[Milkshake]

La brume électrique c'est un film de papy, là au moins on a pas trop le temps de s'ennuyer mais du coup ça se résume à tout le monde viens faire coucou pendant 2 minute et puis on les revoit plus.

Et c'est pas demain que Worthington va nous scotché par son jeu ou nous décrocher une petite larmichette, ici les gamines tombent une à une sous sa juridiction on dirait qu'il en a rien à faire sauf la seul scène ou on lui demande d'être énervé en interrogatoire mais on y croit pas une seconde.

[Heatmann]

Bah non c'est pas le baromètre, y a qu'à voir la moyenne de divers site de critique et les avis presse qui sont tous unanimes, faut pas non plus mettre des oreillères parce que la chick s'appelle mann...

je met pas des oeillere , j ai meme pas vue le film .. j attendrais de juger moi meme . Fille de Mann ou pas , j ai quand meme des attentes et pour moi le coter atmopsherique est important et un gros coefficient , donc apparement c'est bien partie pour moi . Milk a deja pas aimer la brume electrique qui avait pas non plus recut un acceuille chaleureux , et je trouve le film excellent ...
pareil pour the pledge qui est une merveille et auquelle on pourrait coller tout les descriptif que milk en fait .

[Scalp]

Dans la Brume Electrique c'est même le genre de polar que tu peux revoir très souvent ( et pis bon faut pas se leurrer il est quand même plus sympa à mater si t'as lu les romans )

[Heatmann]

ben en plus tu vois je l ai pas encore lue la brume electrique et pourtant j avais deja bcp aimer la 1ere fois que j ai vue le film , et en effet , encore plus la 2em fois , comme quoi