[Dunandan] Mes critiques en 2011

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Lun 07 Nov 2011, 14:42

Encore une fois qu'une note fait tâche dans le listing des fils de l'homme :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar Logan » Lun 07 Nov 2011, 16:04

Destination finale 8,5/10, Les fils de l'homme 7/10 :eheh:

(Je taquine)
Logan
 

Rebellion - 8,5/10

Messagepar Dunandan » Mar 08 Nov 2011, 04:29


Image
Rebellion, Masaki Kobayashi (1967)

Les thèmes de Rébellion sont classiques et très représentatifs du film historique japonais. Il s'agit ainsi, encore, d'honneur et de loyauté, tiraillés avec le sentiment d'agir selon le coeur. Ce film est une critique du système féodal qui conçoit le choix individuel comme une hérésie, et la loyauté, comme la norme sociale. A ce titre, la réalisation respecte à la perfection la minutie des gestes que doivent accomplir les protagonistes dans la société japonaise, et livre ainsi le cadre étroit dans lequel le dilemme psychologique des personnages doit se déployer, donnant ainsi un déroulement narratif très lent. Mais la réalisateur va se lâcher un peu à la fin, quand ce code rigide et froid va laisser place à l'expression physique et morale de la liberté se rebellant contre celui-ci.

Le film s'ouvre d'abord sur des plans de toits, symbolisant la société fermée sur elle-même, puis se concentrera sur l'amitié entre les deux meilleurs bretteurs de la région, qui représentent chacun un visage de la société japonaise. Sasahara (Toshiro Mifune) est mis à la tête d'une famille et a mérité sa position sociale grâce à son talent de sabreur mais a été forcé à se marier avec une femme qu'il n'a jamais aimé. Et l'autre samouraï (Tatsuya Nakadai) est garde-frontière et se contente de préserver là la loi du Seigneur, mais on découvre également une ambiguïté chez ce personnage lorsque son Seigneur lui demandera de tuer son ami : quand il respecte la loi mieux que son Seigneur, est-ce pour monter socialement (car ainsi il doit devenir officier de la garde, ce qui implique également une augmentation salariale) ou pour pousser ce dernier à ne pas le choisir pour cette tâche et ainsi gagner un sursis pour son ami ? Cette amitié est également importante pour l'histoire, car le garde-frontière révèle un trait essentiel de la personnalité de Sasahara : il peut reculer de quelques pas, mais après il doit passer directement à l'attaque. C'est justement de cette manière dont se déroule le film, découpé en trois actes qui s'enchaînent les uns après les autres, portant sur la résignation (d'où le huis clos-oppressant, le style austère, et le respect minutieux des rituels), l'acceptation (qui tourne autour de la jeune épouse, mariée de force à Sasahara), et enfin la rébellion (où on retrouve, avant un un duel endiablé et une fin pessimiste, une séquence intime et humaniste digne d'Harakiri, véritable respiration au sein du récit).

Bref, Rebellion est un chambara que je revois avec un plaisir malgré un rythme très lent, respectueux en fait du rythme rituel d'une certaine tradition, qui se révèle, tout comme l'excellent Harakiri, à la fois une très belle critique de la société féodale et de ses codes déshumanisants, et un hymne à l'individu essayant d'exister au cours d'une histoire dirigée par les Seigneurs (voilà pourquoi il faut en quelque sorte accepter la lenteur du film pour apprécier ensuite la suite, plus humaine et libérée).

Note : 8.5/10
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar Dunandan » Mar 08 Nov 2011, 17:24

J'ai commencé à éditer sur ma première page quelques films que j'ai vus, avec la note que je leur donne pour le moment. Je ne mettrai pas tout, car il y en a un paquet (entre 500 et mille ...).
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar zack_ » Mar 08 Nov 2011, 18:08

C'est pour ça que je réponds même pas Logan (enfin si en faite :lol:)
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Zatoïchi : Les tambours de la colère - 7,75/10

Messagepar Dunandan » Mer 09 Nov 2011, 02:59


Image
Zatoïchi : Les tambours de la colère, Kenji Misumi (1968)

Cinquième et avant-dernière participation de Misumi, il s'agit vraiment du réalisateur le plus plaisant à regarder, à défaut d'innovations significatives. Cependant, l'angle abordé est relativement original, car nous retrouvons au début Zatoïchi comme simple yakuza, tuant pour de l'argent, qui est la nouvelle marque de la série à partir de l'épisode 16, consistant en l'acceptation de son côté obscur. Mais en même temps, il va tuer un innocent, produisant en lui des remords profonds et le désir de se faire pardonner, qui est plutôt le propre des épisodes précédant ce tournant décisif. Ainsi, j'ai l'impression d'être face à une histoire hybride, constituée de deux visions différentes du personnage. Mais le véritable thème semble plutôt une remise à plat de la légende pour revenir à un personnage plus humain, avec ses contradictions et ses zones d'ombre, brisant ainsi la logique d'une mystification de Zatoïchi développée dans Le justicier et Le défi.


Narration

Contrairement à l'épisode précédent, qui avait fait de Zatoïchi un demi-dieu vivant, le drame et l'humour vont de pair dans la caractérisation du personnage et donc de l'histoire : la première scène comique, qui montre Zatoïchi en train de conseiller aux enfants de tremper leurs graines dans du saké pour attraper des oiseaux, succède à une affirmation prophétique du masseur aveugle qui annonce, après la chute d'un fruit mur, que quelqu'un va bientôt mourir (à prendre dans un double sens : au sens propre, que sa destinée le mène toujours à des combats à morts, et au sens symbolique, que sa propre légende va mourir, prête à pourrir).


Application formelle du code d'honneur : damnation et salvation de Zatoïchi

L'histoire principale commence ensuite, déroulant intelligemment les différentes péripéties, toujours riches en thématiques chez Misumi. Zatoïchi se retrouve donc chez un Yakuza, accompagné d'un "sidekick" comme dans Zatoïchi and the doomed man. La présence de Zatoïchi dans le milieu permet de prendre la mesure du rapport de ce dernier avec le code d'honneur. Or, je pense qu'il agit à l'instar du samouraï mystérieux dans Route sanglante, qui appliquait la loi formellement sans penser aux vies ainsi changées : en effet, la mission de ces deux hommes est de tuer un homme qui n'aurait pas payé sa dette. La scène qui suit est un petit bijou d'humour, montrant d'abord Zatoïchi à la traîne derrière les yakuzas, puis à la tombée de la nuit, les rapports sont inversés. Mais la scène suivante est beaucoup plus dramatique. Ces changements de tons entre comédie et drame sont fréquents dans l'épisode, et permettent ainsi de jouer, suivant un ton léger ou plus mélodramatique, avec les forces et les faiblesses du personnage. Car il s'agit bien de cela, de "casser" la légende. Ainsi, comme dans Le justicier, Zatoïchi est dupé par le Parrain, sauf que ça va bien plus loin. En effet, dans l'autre épisode, le Parrain a subi une conversion du coeur, corrompu par le pouvoir, alors qu'il avait un fond juste. Or ici, son coeur est déjà mauvais, voulant en fait s'emparer de la soeur de l'homme à exécuter, grâce à qui il peut gravir un échelon dans le pouvoir, et Zatoïchi lui-même se contente d'exécuter le contrat sans discernement : ce dernier n'a donc plus cette faculté à distinguer le bien du mal. Je trouve que la séquence du meurtre est un moment vraiment intense, qui parvient à mettre en oeuvre successivement le talent mortel de Zatoïchi, son erreur de jugement, la subversion du code d'honneur par le Parrain, la détresse de la jeune femme qui accourt auprès de son frère, et la révélation de la seule personne à respecter vraiment le code d'honneur des yakuzas, à savoir Zatoïchi, mais qui au final a coûté la vie à un innocent. La réaction du masseur aveugle, selon moi, confirme ce que j'ai dit plus haut : il est devenu ce qu'il détestait en respectant le code à la lettre, mais c'est aussi l'effraction de ce dernier qui l'a délié de l'autorité du Parrain, et qui l'a incité à libérer la jeune femme de force. Autrement dit, c'est en puisant dans sa source culturelle, le code d'honneur des yakuzas, qu'il a détruit la vie de la femme en même temps qu'il a sauvée : cette ambiguïté hantera la relation de cette dernière avec Zatoïchi. De son côté, le Parrain ira au bout de sa trahison du code en assassinant le marchand pour prendre sa place, uniquement attiré par l'argent et le pouvoir. Pour lui, le respect du code n'est donc ni plus ni moins qu'une hypocrisie servant à servir ses intérêts.


Relation du bourreau et de la victime : un processus lent et difficile d'acceptation

Le centre de l'intrigue reposera ensuite sur la relation entre Zatoïchi et la jeune femme, qui a un statut double, en partie à cause de l'usage ambigü du code d'honneur dont je viens de parler. D'une part, elle semble pardonner au tueur de son frère de ce qu'il a fait, car ce dernier s'est mal conduit en demandant un prêt au Parrain et elle lui doit aussi la vie. Mais d'autre part elle est rongée par son besoin de se venger et d'obtenir réparation. Nous sommes bien loin de l'acceptation habituelle assez rapide de la femme du tueur de leur parent que l'on trouvait dans pas mal d'épisodes précédents. Ici, le processus du pardon est beaucoup plus lent, comme en témoigne la perception brouillée de la jeune femme, qui confond la dextérité de Zatoïchi aux jeux avec celle de son art du sabre, qui met également en évidence tout le paradoxe du personnage, qui sous l'apparence du jeu, agit tout aussi sournoisement avec son sabre contre ceux qui le malmènent. De la même manière, il a tué un yakuza sous le seul motif qu'il l'a insulté trois fois, révélant ainsi tout son côté obscur derrière son air maladroit et débonnaire d'aveugle. Par conséquent, rarement les démons de Zatoïchi n'ont été aussi bien mis en évidence, et dont la réussite de traitement doit beaucoup au traumatisme de la femme qui ne s'efface pas par magie. Et je signale au passage la prestation de l'actrice qui interprète son rôle avec beaucoup de sensibilité, l'un des personnages féminins les plus touchants de la série.


Un jeu du chat et de la souris qui tourne en dérision la légende entourant Zatoïchi

Tout au long du récit, les yakuzas essaieront de récupérer la jeune femme, et un mystérieux samouraï ronin, apparemment amoral comme dans Voyage en enfer (et dont le charisme me rappelle justement le samouraï de ce film, l'humour en plus), souhaite prendre ce qu'il veut sans faire référence à un quelconque code : la femme et la vie de Zatoïchi dans un duel. Ironiquement, il représente la figure martiale de cet épisode, car le masseur aveugle arrive souvent en retard au point de rendez-vous des combats. En effet, ce qui ne va pas faciliter la tâche à ce dernier, c'est qu'à plusieurs reprises, la femme décide de partir d'elle-même, ignorant les dangers qu'elle encourt. Elle change ainsi de mains assez fréquemment, passant du samouraï ronin aux yakuzas voulant l'employer comme prostituée de luxe, et produisant pas mal de péripéties plus ou moins amusantes (la poursuite sur la route est assez collector dans le genre) : cette tournure en dérision de Zatoïchi (duperies, erreurs en tout genre, runnings gags, ...) participe simultanément d'une démystification de la légende pour revenir à un personnage plus humain, et donc plus faillible, à l'image du Voyage meurtrier et des deux épisodes qui l'ont succédé.


Un climax de grande qualité

Dans cet épisode, la musique est quasiment absente, comme si le silence attendait d'être rempli par la scène finale, un climax de toute beauté, voyant s'affronter le samouraï ronin avec Zatoïchi, l'un des duels les mieux chorégraphiés et filmés de la série, se déroulant au rythme des tambours comme dans The blind's swordman vengeance (sauf qu'ici ils ne sont pas provoqués volontairement par l'adversaire, mais sont utilisés pour annoncer la productivité des moissons : un délicat mélange de vie et de mort) qui empêchent notre héros de se battre correctement. Ce très beau combat est précédé par un autre dans une ambiance clair/obscur rendant Zatoïchi au contraire invincible, comme dans Flashing's sword. Ainsi, l'idée thématique de ces deux scènes de combat n'est pas très originale, mais tous deux sont mis en scène de manière très différente, et surtout ont la bonne idée de se succéder, mettant ainsi l'accent sur les forces et les faiblesses physiques de Zatoïchi.

La fin du film est belle et brutale à la fois. Zatoïchi a rempli sa dette : le clan est entièrement anéanti, et de l'argent est laissé à la femme. Ainsi, cette dernière est devenue libre de toutes entraves. Par contraste, les propriétaires des Geishas se jettent simultanément sur l'argent, mettant en avant leur abominable avidité. Malgré les supplications de la femme, Zatoïchi part pour une autre destination, sans raisons particulières. Veut-il qu'elle ne risque pas sa vie à cause d'elle, comme ce fut le cas dans d'autres épisodes ? Est-ce pour qu'elle profite de sa liberté ? Personnellement, je pense qu'il agit en fonction de son code d'honneur : après avoir réglé sa dette, son rôle dans l'histoire est terminé. Cet égoïsme masqué derrière l'application formelle du code est glaçant d'insensibilité, mettant de nouveau à nu les contradictions de Zatoïchi.

Un épisode, qui sous l'apparence d'une reprise pure et simple des codes de la série, remet brillamment en question le statut légendaire de Zatoïchi en exposant ses contradictions et ses faiblesses par l'intermédiaire de l'humour ou d'actions discutables au niveau moral.
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Social Network (The) - 9/10

Messagepar Dunandan » Jeu 10 Nov 2011, 01:28

Critique supprimée
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Fureur de vaincre (La) - 7/10

Messagepar Dunandan » Ven 11 Nov 2011, 06:30

Image
La fureur de vaincre, Lo Wei (1972)

J'avais mis la moyenne symbolique à Big Boss, à cause de la présence charismatique (et nostalgique) de Bruce Lee durant les combats. Mais avec La fureur de vaincre, on arrive clairement à un niveau supérieur de réalisation, de chorégraphie (belle démonstration du nunchaku), et de mise en scène. Il n'y a presque plus de zooms moches, et les acteurs jouent à peu près correctement. Par contre, ce n'est pas encore un grand film (désolé de tuer la légende, mais Bruce Lee n'a jamais été un très bon acteur), il y a quelques faux-raccords, et il y a un délit de sales gueules, surtout, comme par hasard, chez les japonais et leur sous-fifre chinois.

Revenons à nos moutons. Depuis la mort de son maître, Chen Zhen, interprété par Bruce Lee, est consumé par la rage, et voue une haine inextinguible contre ses meurtriers, qui s'avèrent être des japonais ... Il se comporte alors comme une bête sauvage, dans sa manière de se battre, et d'agir. Ce trait de sa personnalité détonne avec la philosophie de son maître, qui veut au contraire éloigner cette fureur loin des combattants, et éduquer le corps et l'esprit. Cette fureur prend sa pleine mesure lorsqu'il se bat (compensant son jeu médiocre d'acteur, surtout quand il se déguise pour espionner les japonais), endossant de nouveau son allure de félin à la fois enragé et élégant. Il est beau à regarder.

Le personnage de Bruce Lee devient dans ce film tout un symbole, incarnant toute la frustration des chinois devant l'invasion des étrangers sur leur terre, qui les traitent pire que des chiens : les "malades d'Asie". Mais une fois son maître vengé, et la protection des siens assurée, sa place n'est plus parmi les vivants, car sa position est extrême et intenable politiquement parlant. La dernière scène où il se jette en avant vers les armes à feu étrangères est magnifique, cristallisant à jamais son image d'héros tragique.

Par contre, le remake Fist of Legend l'enfonce tout simplement à tous les niveaux, malgré un dénouement forcément plus puissant dans le Bruce Lee. Juste quelques mots sur ce qui les distingue fondamentalement (et ce qui me fait préférer l'opus avec Jet Li par la même occasion).
- Le racisme : dans le remake, Chen Zhen prend des cours chez les japonais, et a une copine japonaise. Il est donc impliqué dans la relation entre chinois et japonais, alors que dans l'original, il est bien remonté contre les japonais.
- Les arts-martiaux : dans le remake, les japonais enseignent quelque chose aux chinois, non seulement l'efficacité au combat, mais aussi l'art de guérir qui existe simultanément parmi les meilleurs combattants. Dans l'original, seul le point de vue des chinois compte.
- Les adversaires et les chorégraphies : tout ne tourne pas autour de Chen Zhen dans le remake, mais il y a des adversaires de taille, et de belles chorégraphies, même venant de ces derniers.

Probablement le meilleur Bruce Lee, avec un thème qui lui colle à la peau, et une assez bonne chorégraphie de combats. Mais il reste inférieur à son remake.
Critiques similaires
Film: Fureur de vaincre (La)
Note: 7/10
Auteur: Zeek

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar pabelbaba » Ven 11 Nov 2011, 11:02

C'est même le meilleur Bruce Lee! :mrgreen:

La comparaison avec Fist of Legend lui fait mal, mais bon, ils ont plus de 20 ans d'écart.
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar Waylander » Ven 11 Nov 2011, 11:11

tu te goures Dunandan, la fin, la nana qu'il demande en ami sur Facebook n'est pas son ex. :super:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar Dunandan » Ven 11 Nov 2011, 15:48

C'est bien ce qu'il me semblait mais j'avais vu ça sur une autre critique, et vu que je me rappelais pas de sa gueule ! Je rectifie ! :mrgreen:


pabelbaba a écrit:
C'est même le meilleur Bruce Lee!

La comparaison avec Fist of Legend lui fait mal, mais bon, ils ont plus de 20 ans d'écart.



Non seulement ça, mais surtout avec les films du même âge, style Chang Cheh ... Bon ok c'est plutôt du wu xia pian !
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City of violence - 7/10

Messagepar Dunandan » Sam 12 Nov 2011, 02:58

Critique supprimée
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Man to Man - 7,5/10

Messagepar Dunandan » Dim 13 Nov 2011, 05:56

Critique supprimée
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar Killbush » Dim 13 Nov 2011, 11:43

Waylander a écrit:tu te goures Dunandan, la fin, la nana qu'il demande en ami sur Facebook n'est pas son ex. :super:


Sauf erreur, il me semble bien que c'est son ex et qu'il attend désespérément qu'elle l'accepte en ami en rafraichissant sa page toutes les 30 sec :wink:
Starting to see pictures, ain't ya?
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2011

Messagepar Scalp » Dim 13 Nov 2011, 11:46

Ouep c'est ça.
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