MENACE II SOCIETY
10/10
After that I knew it was gonna be a long summer...
Toujour aussi incroyable de se rappeler qu on est la devant le
PREMIER film d’un duo de cineaste alors seulement ager de 21 ans !!! je sais pas si vous vous rendez compte !
21 ans !! les jumeaux de detroit ( on remarque pas mal de Tshirt et casquette des pistons et lions d ailleur ) avait gagner leur droit de foutre a l’ecran ce qu ils avait dans les trip apres quelques annees a shooter pas mal de clip pour tupac vont alors foutre un paver dans la marre , un constat sans concession ni taboo des ghetto de la West coast et l’enfer la vie sans espoire ni redemption possible quand on grandit la-bas . Les frangin se base sur une ossature et culture de film de gangster pour créer leur propre characterisation et changer le genre en gangsta , oui la difference est subtile. en effet comme tout ces vieux film de gangster que cain mate a l hopitale ( hommage donc bien revendiquer par les realisateur , c est pas juste placer la pour remplir ) qui fesait un constat des retaliation de la population apres la grande depression , ben la c est pareil .
c est pour ca qu on commence avec des image archive-documentaire des emeute et crise de Watts en 1965 qui crea en partie la dynamique social a campton et South LA , du coup la parralele est evident et Menace 2 society se voit et comme un reportage des News du soir , sans aucun partie pris , ni lecon de moral ni manicheisme . Juste tel quelle , sans compassion , sans non plus chercher a cacher quoi que ce soit , si ca choque , c est juste les consequence , c est pas le but . Les rebellion de Watts sont la genese de ce qui reduira au silence la communauter afro americaine , les frangin utilise cette citation historique pour montrer le passage de relais entre les generation , tout le passage sam jackson , qui ne vient pas justifier les act de cain mais decrire dans quelle circonstance les jeune generation venant de la on grandit en devenant le fameux « america’s nightmare « que O-dog represente a sont paroxysme .
I don't think God really cares too much about us, or he wouldn't have put us here. I mean, look where we stay at
Menace capture a la perfection ce monde de predateur avec un souci d authenticiter qui passione autant qu’il force le respect et admiration , comme un scorsese qui fesait de meme avec sont monde dans sont mean street tres proche au niveau des personnage et dramaturgie et de la meme facon ils place leur perso dans un mouvemenent perpetuelle illustrer grace a un montage et un cadrage fluide a la manière d un rodeur dans le quartier .
Dans le fond le film est donc extremement riche meme si pour le spectateur lambda ca pourrai se resumer a une bande de niggas et leur vie dans le ghetto sans trop de fil rouge . Ca veut pour autant pas dire que le film est pas dense , il a tellement a dire , pratiquement chaque ligne de dialogue a un sens bien plus eleves que le sens premier dans lequelle il est employer dans la scene et ca debite ainsi un univers complexe , une narration qui reconfigure completement l icon du fameux « american gangster » en gangsta pur produit de sont environement qui definira toute une generation , oui rien de moin . menace est au 90’s ce que Scarface fut au 80’s et mean streets au 70’s ( goodfellas est un peu trop romancer forcement et les personnage sont moin crue et condamner , surtout apres que henry hill balance toute sa clic , chose qui se verrai jamais dans les autres film citer ) . Les hughes mettent un point d’honneur a ne jamais capitaliser sur la detresse ou fatalites de leur personnage , elle est implicite et palpable , mais jamais surligner ou meme traiter de facon frontal , c est a nous de faire le travaille , encore une fois , comme si on regardais les news , on se fait notre avis . Pas besoin de 2h , en 97 min le film en dit long, pas de victimisation non plus comme on peut en voir dans les biopic de rappeur actuel ( coucou 50 , eminem et biggie ).
I'll be larger then that nigga Steven Seagal I'll be a big-ass-movie-star, shit
La voix off constante de Caine nous entraine de la meme manière que Sunset boulevard ( encore une ref citer par les frangin et que marty repris lui aussi ) dans la perversion de la psychologie de ce qui est de vivre dans le hood et ces mœurs , Tout la description faite est crue et vivide . confrontation ethnique avec les commercant koreen au debut ( what did ya say about my mama ??? ) , car-jacking mortelle qui laisse des litres de sang sur le bitume , braquage pour des broutilles , revanche au shotgun , ado enceinte , barbecue federateur , execution aleatoire et la seul issue est soit la prison soit le cimetierre . Les frangin ne cherche jamais la stylization gratuite , toute leur mise en scene est au service de leur personnage , quand ils font des long et lent panorama sur leur quartier , une scnee , c’est crue et les moment de vie partager du quotidien deviennet des festin visuel . les travelling et plan sequence leur serve de language qui est decrit plus long que n importe quelle dialogue superflue . Tout cela est superbement soutenue par un gros heritage de music black aussi bien de la soul 70’s facon superfly que du rap hardcore westcoast .
J ai pas parler de tout le rest , pour ca aller lire les critique de scalp et pathinder qui disent la veriter aussi ,
Bref un puissamen executer , une experience toujour aussi intence , masterpiece , redefinie et domine un genre