[Waylander] Mes critiques en 2011

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Messagepar Milkshake » Ven 28 Oct 2011, 18:38

Oui mais l'histoire est tellement naze et mal amené ... mais oui visuellement c'est facile dans son top 3 de Burton (avec Returns et Big Fish).
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Messagepar Scalp » Ven 28 Oct 2011, 18:39

C'est dans son top 3 tout court.
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Messagepar Waylander » Ven 28 Oct 2011, 18:40

Non vire Return c'est pourri. Met Ed Wood à la place et Mars attacks. (Etrange Noel de Mr JACK même si c'est pas lui le réal)
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Messagepar Milkshake » Ven 28 Oct 2011, 18:43

Returns c'est l’apogée de son style visuel pour une fois que le carton pâte ne tache pas. :mrgreen:
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Messagepar Dunandan » Ven 28 Oct 2011, 19:06

Heu, traduction : returns = Batman returns ? :mrgreen:
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Milkshake » Ven 28 Oct 2011, 19:08

Yes Sir :mrgreen:
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Alegas » Ven 28 Oct 2011, 23:43

Enfoiré tu me donnes carrément envie de redonner sa chance à Solaris.
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Et pour quelques dollars de plus - 9/10

Messagepar Waylander » Sam 29 Oct 2011, 12:00







Poursuivant sa trilogie du Dollar avec un talent exponentiel évident, Sergio Leone signe un second opus dont les bases préfigurent Le Bon la Brut et le Truand et un style sur le point de devenir légendaire. Plus mobile, la mise en scène exagère au possible les plans iconiques, les regards et les gueules cramées de la frontière mexicaine. Les paysages sont plus présents et mieux desservis par le scope , plus poussiéreux, le soleil est plus assommant, le film transpire lui-même autant que les personnages du film assaillit par la peur, comme paralyser par la démythification qu'entreprend le western spaghetti du western classique.


Les solitaires de Leone ne sont plus les cow-boys d'autrefois et même son premier western n'était pas aussi radical sur le traitement du mythe totalement nouveau qu'il instaure ci : le héros se venge du viol et du suicide que l'acte a engendré ; le chasseur de prime « Le manchot » sème la mort , la peur et une légende encore aujourd'hui vivace dans le cœur des cinéphiles : en ne dressant pas une « vraie » trilogie Leone permet à ses films de surprendre et de caresser le public dans le sens du poil en lui re-balançant ce qu'il avait tant aimé dans les précédents, Clint revient avec son poncho et son cigarillo au coin du bec : le regard concentré et alerte : c'est l'homme lui-même qui déborde d'un charisme presque irréel et pourtant naturel. Leone parait s'éprendre de ses acteurs au point d'en saisir ce qu'ils sont de plus virils : largement influencé par Akira Kursosawa, le réalisateur italien rehausse de plusieurs crans le niveau d'écriture de Pour une poignée de Dollars.




La caractérisation des icônes de l'Ouest se fait bien plus ambiguë et plus attachante : Clint n'est plus seul contre Gian Maria Volonté puisque Leone fait appel à un acteur au regard et à l'allure élégante et professionnelle , le grand Lee Van Cleef. La relation entre les deux chasseurs de primes est culte, Leone n'a pas pour ambition de faire des scènes "réalistes ": le ton presque comique de leur rencontre de nuit où on peut les voir s'adonner à des petits rituels visant à intimider l'autre nous rappelle , comme le gamin le dit, qu'ils agissent comme des enfants.
Sans se prendre totalement au sérieux, Et pour quelques dollars de plus dresse un background tragique où la haine et l'amour sont proches et où le "méchant" , par des non-dits, des regards et une obsession pour une montre à gousset et la musique qui en sort ne laisse pas sans arrière-pensée : on pourrait même le voir comme un suicidaire cherchant la mort inconsciemment lors de duel où la musique devient une sorte de prière demandant pardon à la femme qu'il a violée et poussée involontairement à l'autolyse- avant le fameux rituel duelliste.



L'univers de Leone n'est pas totalement noir : les anti-héros sont avant tout des mercenaires chassant pour l'argent mais n'oublient pas les valeurs oubliées d'une époque révolue : l'honneur, la loyauté...l'argent est toujours secondaire au fond d'eux. Preuve en est que Clint, dans le premier volet de la trilogie du Dollar ne prend pas le magot et dans cet opus, Mortimer laisse le fric au manchot puisque sa quête vengeresse est terminée. Bien évidement, ce genre d'hommes tue pur rester libre et survivre dans un monde aride construit sur des cadavres par milliers. Servit par une réalisation dont les gimmicks inhérent au genre son repris efficacement par Sergio qui les transforment en code "obligatoire" du genre : rien de plus statufiant que les longs plans d'un regard , d'un visage tout en sueur, d'un son de cloche retentissant pour appuyer l'intensité dramatique d'une scène, les musiques thématiques de Morriconne (les petites notes accompagnant un geste du Manchot par exemple), la dilatation du temps ici exacerbée (l'apogée étant il était une fois dans l'ouest et à tous les niveaux : limite on pourrait presque dire que c'est « trop » et que son style est mieux géré et équilibré sur les deux derniers films du Dollar) et toujours justifiée par un suspens des plus captivant (la scène de la banque, du début à la fin, où Leone s'amuse à alterner des plans de chaque protagonistes avec des plans extérieur de la banque puis des plans du coffre en bois etc...).




Leone sacralise à l’excès toute l'essence de son art dans un entre-deux sublime qui reprend certaines scènes du 1er : Clint qui galope et dépasse une troupe : les plans sont les mêmes ; on retrouve aussi la lapidation et les aptitudes de Clint sont les mêmes (son maniement véloce du pistolet, les plans qui accompagnent le geste...) mais ici, Et pour quelques dollars de plus bénéficie d'un 3ème caractère ce qui rend ce film plus attachant, plus grandiose, plus épique (les gunfights sont plus nombreux) et porteur de thèmes et d'émotions que Pour une poignée de dollars.
Remarquons aussi l’icône féminine encore une fois reléguée à l'arrière-plan : comme si chez le cinéaste, celle-ci ne pouvait se confronter ni comprendre ou égaler la morale des hommes de l'ouest : ceux-ci ne regardent qu'à peine les femmes et ne construisent jamais rien même quand cela leur est possible.





L'amour n'existe pas ou n'a pas lieu d'être dans les films de Sergio Leone. L'Ouest n'accueille que le sang, l'avidité, la poussière, la solitude et un style de vie en décalage avec l'évolution des grandes villes côtières. La Loi fait pâle figure à côté des chasseurs de primes bien pus performant et professionnels que les shérif (voir la scène où Clint retire l'insigne à l'un d'eux).
Le style très marqué des cadrages picturaux sur les jambes, les armes, les ¾ , les plans américain ou italiens de face de dos de la tête des personnages etc...tout est tellement atypique et inventif que ça pose direct le statut de Leone au-dessus de tous les autres. Avoir réussit le pari de dresser autant un film d'ambiance qu'un film de genre divertissant, profond et révolutionnaire mais subtil (tout le film regorge de non-dit, jamais le scénario ne devient explicatif sur quoi que ce soit).La bande originale majestueuse est encore plus réussie que le premier film. Le carillon c'est culte et ça le restera pour toujours tant l'émotion que la mélodie porte en elle est mélancolique , comme une berceuse funeste.


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Messagepar Scalp » Sam 29 Oct 2011, 12:14

:super: ( par contre on voit que Jean Mi y sait définitivement pas noté :eheh: )
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Sam 29 Oct 2011, 12:20

Roh ouai non mais le colonel Mortimer c est Geantissime quoi , un spin off avec lui et tjrs avec LVC ca aurait ete un fantasme quoi
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Suspiria - 7,5/10

Messagepar Waylander » Dim 30 Oct 2011, 11:31



Largement inspiré par Alice au pays des merveilles, les contes des frères Grimm et le style baroque qui influence énormément Argento, Suspiria est difficilement définissable : à la fois une descente aux enfers teinté de relecture d'une multitude de références littéraires et mythes occultes et un pur film de genre à la recherche artistique insondable toujours référentielle et impressionnante (Kubrick et son Shining ça pue Suspiria à plein nez) dont le style du cinéaste s'épure légèrement afin d’éviter la surenchère (c'est ce qui transparaissait à tous les niveaux dans les Frissons de l'Angoisse).Le talent du créateur est indéniable : chaque plan baigne dans une atmosphère étrange (la vraie épaisseur du film) grâce aux éclairages qui peuvent laisser penser qu'il s'agit de filtres mais le travail est tellement soigné...Jamais agressives, les lumières fluo et criardes permettent au film de se démarquer : le culte du film prend directement racine autour de la forme. Les mouvements de caméras fluides et très éloquents donnent parfaitement vie à l'histoire du film pourtant simple.Une jeune femme, une école, quelques meurtres, et un background fantastique lié aux forces occultes.











L'utilisation des musiques (parfois un peu trop présentes et répétitives : le main theme on doit l'entendre au moins 6 fois) sert encore une fois à donner de l'épaisseur et une ambiance particulièrement dérangeante à un fond finalement peu bavard, peu développé et sans véritables enjeux, étant donné que l'occulte prime, alors le spectateur reste dans le flou le plus total, comme l’héroïne, Suspiria n'est pas un film d'intrigue mais une œuvre à vivre : tout est fait pour déstabiliser, angoisser , stresser et mettre mal à l'aise donc toute la toile de fond et la story line de la sorcière ça colel pile poile au sujet ésotérique: on en apprendra pas plus et tout est inexplicable limite incompréhensible mais ça fout les miches grâce à toute ce voile permanent qu'on nous impose par une tension et une peur presque viscérale qui tient à la fois de la suggestion et, à l'opposé, d'un grand-guignol surexposé. La toile de fond de l'école de danse est à peine développé en fait mais tout prétexte au fond à connotation sexuelle (le tueur qui met sa lame dans la porte et fait des va et viens puis des haut-bas pour pénétrer dans la salle où est réfugiée la jeune femme un peu blessée, qui saigne....). En cela, Suspiria est quasiment une œuvre à part entière, racontée presque essentiellement par son esthétique.











Argento ambitionne un style expressionniste sobre et efficace où la photographie magistrale soigne chaque cadrage et gère l'espace avec une élégance malsaine. Les décors sont filmés tel un labyrinthe où les couloirs et les protagonistes exclusivement féminins connotent la perte de la virginité. Le long-métrage à en cela quelque chose de déstabilisant pour la gente féminine plus que pour les hommes car les héroïnes sont confrontés à une perversité latente assez abominable même si le film peut paraitre excessif Les acteurs du film sont assez transparents et l'écriture n'est pas le fort du metteur en scène mais son actrice principale mérite le détour. Son jeu, son histoire et ce qu'elle vit ne sont que les bases mêmes d'un pan du cinéma fantastique horrifique (BlackSwan dernier né en date).


Suspiria est un ovni, une expérience effroyable et un film maitrisé qui n'échappe pas à quelques scènes ridicules (la chauve-souris) , des petites facilités dans le scénario (sa rencontre avec la connaissance d'une des victimes et au même moment celle avec le vieil écrivain) et des gimmicks parfois gratuits et cheaps (le gros plan de l'égorgement, le gros plan du coeur...) ou une sur-utilisation de la musique parfois agaçante même si cela correspond totalement au grand-guignol voulut et aux codes du giallo : néanmoins, Suspiria n'en est pas un. C'est une sorte de mélange assez impressionnant et très prenant d'Argento et de toute une influence artistique autre que cinématographique. Un réalisateur forcément important qui a bercé un grand nombre de cinéphiles eux-mêmes devenus des réalisateurs: les frères Hugues,James wan, Chritophe Gans (de manière bien plus subtile)etc...










Les couloirs rouges, les fresques murales, les meurtres graphiques, des idées de plans à la pelle, un montage et des effet sonores qui immergent totalement (les 10 premières minutes, avant que l'intrigue démarre c'est du génie : on ne sait rien, très peu de dialogues, la musique des Goblins, la pluie, l'arrivée à l'école de danse, le suspens est à son comble mais aussi plus tard les cris, la respiration de la sorcière qui dort, les ombres fugaces, les cris la nuit..).Bien plus léché que les Frissons de l'angoisse, Suspiria est pourtant un conte de fée démystifié et un cauchemar éveillé envoutant.








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Dead man - 7,5/10

Messagepar Waylander » Lun 31 Oct 2011, 10:50






Dead Man représente par bien des aspects ce que l'on pourrit définir comme la mort d'un genre au sens littéral, ce qui induit une atmosphère dépressive et mélancolique, comme un doux requiem où la Mort omniprésente tout le long du film ne fait qu'instaurer les bases d'un film métaphorique mais sans prétention où la spiritualité amérindienne est au centre du film, mêlée à la poésie de William Blake et même des des citations de paroles de chansons des Doors. En 1.85 et noir et blanc aux nuances de gris très nettes, le film possède un charme indéniable. Jarmusch ne choisit pas le scope ni le 1.33 de jadis mais un format bien plus atypique pour le genre : c'est un des choix qui connote l’ambition même du film.

Dead Man est un constat sur l'histoire américaine vue à travers un jeune homme éduqué, plutôt innocent et fébrile surpris par l'endroit dans lequel il fut envoyé. Loin de son petit Cleveland et désormais les pieds dans la boue en pleine petite ville de bouseux, de trappeurs, de putes et cie: ambiance dépravée, les regards suspects, tout parait irréel, comme si le personnage était perdu au sein d'un purgatoire ou d'une ville fantôme perdue où l'évolution de la civilisation est inconnue. Lui qui vient de la vile avec son costume flambant neuf, ses petites lunettes et un boulot en vue, logique que l'aspect encore à l'ancienne l'étonne.


Jarmusch ne signe malgré tout pas une réalisation transcendante et pose des bases plutôt simplistes. Les plans ne sont pas très recherchés, aucune séquence ne vient sortir du lot et hisser l’œuvre à un plu haut niveau mais pour une fois le fond prime. Enormément de codes du western sont repris afin d'être tournés en dérision, ironie et humour noir quelque peu choquant surtout lorsque la violence est traitée de manière aussi crue et directe (le crâne écrasé, le jeune qui se fait headshooter de dos ou encore la mort de Nobody et du tueur, sans concessions, vues de loin et sans en faire trop : les figures du western meurent et la nouvelle , l'espoir perçu par Nobody, part au loin, vers un monde meilleur ou un autre niveau du monde tel Arthur vers Avalon ou Bilbo vers Valinor afin d'être purifié du Mal porté ou vécu (c'est le cas de Blake, pas du tout à sa place dans cette Amérique de la lutte, du sang, de la folie ...). Teinté d'onirisme et d'un sentiment d'apesanteur , la quête initiatique assez particulière de Blake peut autant dérouter que passionner : le personnage de Nobody, son allure, la relation qu'il entretien avec William etc...c'est très touchant, l'acteur est vraiment bon , son d'indien raté et solitaire le rend attachant. Deep est ici forcément très à l'aise mais sans signer une interprétation exceptionnelle, son naturel fait de lui l'acteur idéale pour le rôle. Le casting est assez surprenant : Gabriel Byrne, Alfred Molina, Lance Henriksen, Michael Wincott, Billy Bob Thornton etc...Ils sont tous là peu de temps et pas vraiment développés, purs caméos plus qu'autre chose mais forcément le cachet du film et l'attachement s'e trouve rehaussé.

La fin du western tout court à travers Dead Man, dès l'ouverture du film où Blake voyage en train (le fameux train ,figure conséquente et emblématique de la conquête de l'ouest) et regarde à chaque étape les paysages qui changent (on crois les 3 plus importants des US et de la conquête de l'ouest) et parfois, des carcasses jonchent le sol : un coup une diligence abandonnée et défoncé puis des tipis vides et désertés...tout est d'or et déjà mis en place pour comprendre le parallèle et la métaphore du film. Certes lent mais jamais ennuyant pour peu que le film nous touche.









Entre la présence des indiens, les bouseux, les trappeurs, les putes, les fusillades succinctes, le mec qui s'échappe par la fenêtre après voir tué quelqu'un, le voyage au cœur des paysages américains...l'essence du western est bien là mais revue par un Jim Jarmusch , en 1995 et sous une forme et un ton très personnel qui font de Dead man un ovni du genre où la forme tant néanmoins à vraiment s'écarter du profil type du western. toute la première partie est à peine survolée pour mieux se concentrer sur l’introspection tout en non-dit où les dialogues de Nobody ne sont formés pratiquement que de citations poétiques. Le running gag du tabac c'est fun.


Jamais le cinéaste n'en fait trop (comme pour la scène du peyotl et de la vision qui suit), même lorsqu'il immisce le rapport homme/nature et animiste très subtil, suggestif mais d'une beauté et d'une douce élégie à tomber (la scène où Blake tombe sur le faon tué par balle :love: ) sans tomber dans le ton pathos ou une solennité trop surlignée: le film mêle habilement 1er et second degré : Dead man ; western macabre, clairement un mix incongru de parodie pince sans rire du western et de poésie morbide. Le seul bémol du film c’est sa musique : en elle-même ça colle au sujet mais c’est le même riff de guitare tout le long du film ça en devient vite agaçant.

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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Lun 31 Oct 2011, 11:34

moi la musique j adore meme si c est redondant .
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Waylander » Lun 31 Oct 2011, 11:42

Ouais mais c’est justifié par le fond et le ton donc c'est pardonnable mais ça m'a quand même saoulé. de toute façon c'est un défaut que je relève souvent dans des films : dès qu'une musique tue le réalsiateur peut pas s'empêcher de la mettre 10 x alors que je trouve que ça casse l'effet qu’elle doit avoir. Leone , Argento et quelques autres abusent trop sur certaines thèmes qui tuent mais qui , dans le film perde ne puissance à cause de leur omniprésence.
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Re: [Waylander] Mes critiques en 2011

Messagepar Milkshake » Lun 31 Oct 2011, 12:46

Dead Man c'est le film parfait pour remplacer du lexomil.
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