LE STRATEGE (MONEYBALL)
8.75/10
Un triumph total , un film quasiement parfait c’est indeniable , objectivement le nombre de qualites et le travaille fournis pour allier une ecriture electrifiante et une forme stimulante illustrant se propose si riche et dense , ca laisse tout simplement admiratif . L’un des gros gagnant de l’annees , aussi l’un si ce n’est Le film le plus intelligent et mieux ecrit , moneyball est un rouleau compresseur , un poid lourd qui raflera surment pas mal de truc aux oscars . moneyball est le social network de 2011 , il arrive de la meme facon et avec la meme verve a elever un sujet qui peut rebuter le plus grand nombre pour le rendre passionant et scotchant grace a des dialogues simplement divin et fluide . Steve zaillian c’est pas un newbs , il a reussit a ecrire un scenario hyper dense en adaptant l’un des best seller de la culture sportive ricaine , et il a été suppler aaron sorkin pour dialoguer , rendre vivant et degrossir le tout, il avait déjà fait de meme sur le film de fincher justement et avec le resultat que l on connait, c était pas un hazard, il recidive .
Les 2 film partage un grand nombre de point commun dans l’execution et le traitement . les qualites/atout/force sont partager . moneyball est un film tres intellectuelle mais paradoxalement terriblement abordable . A la base le sujet des statistic de joueur de baseball, leur valeur sur le marcher des echange et les coefficient de transfert ect.. c’est pas super passionant et open aux plus grand nombre, de meme que le charabia informatique et ramification de la genese de facebook , et pourtant c’est de la que moneyball tire une des ces plus grande force et rameute ces fans , car cette annees, aucune autre film a autant surpris qualitativement parlant et soulever un tel plebicite unanime de la part des critique , c est un rax de marer, ca ne pouvait que laisser perplexe, douteux , songueur, pourtant on doit se rendre a l’evidence et se declarer K.O aussi .
La plupart des etonnant et conquis le disent ( j ai du mal a me mettre de ce point de vue ) mais meme sans rien connaitre ou meme sans aimer le baseball , moneyball fascine quand meme, car il va bien au dela et c est au final un simple fond et n est pas la l interet principale , tout comme social network .
D’ailleur il est facile de remplacer le baseball par un autres sport , ca gene en rien l’accrochage au film .
Le recit est baser sur un fait reel qui fut hautement detailler et etudier ( ca a d ailleur revolutioner le sport collectif en general puisque les formule du coach/president on été reprise a traver le globe dans toute sorte de championat de tout sport different ) , du coup ca donne un film hyper specifique , mathematique , et au final quasiement jamais sur la pelouse . on arpente les coulisses du sport professionnel jamais comme depuis any given Sunday , sauf que la c est les reunion de financier, president , coach ect .. les deal avec les agent et a ce niveau la quand le trailer laissait penser a un jerry maguire plus acerbe ben c est pas du tout ca. Les long et puissant échanges verbaux et vigoureux entre les perso tiennent en haleine et les nombreux thèmes (un petit club qui doit se battre dans un monde dominé par l'argent , batir l avenir sans compromettre le present ou renier le passer ).) sont explorés en profondeur , sans que les notions de statistiques viennent freiner l'intérêt ou alourdir la narration .En marge de tout ca , on a aussi une ptite storyline de la vie perso de Brad pitt avec sont passer et une relation avec sa femme et sa fille qui semble rajouter pour apporter une dimension humaine , mais comme dans Warrior , ici aussi c est bien foutu , humble, juste et pudique donc on se pleindra pas. Pitt d’ailleur , ben il est superbe, hyper charismatique , il assumer sont age, une vrai profondeur , un vrai role de superstar , un vrai meneur motivateur , quelle belle annee pour lui apres ca performance monumental dans tree of life, j en sui le premier etonner , j attend cogan’s bluff encore plus et comme un des plus attendue de 2012 .
Jonah hill est la grosse explosion du film, tout comme eisenberg pour social network encore une fois , une performance et un role assez proche , il sera nominer au oscar c est certain , son duo avec pitt fonctionner du tonner , un compliciter , une alchimie entre drame et serieux qui debarque au milleu de moment plus relax et detendue ( ou pitt excelle ) de comedie satirique et ironique ( par moment c’est hilarant , mais presque genant , du putain taf d acteur et ecriture jme repete ) . Pis phillip seymoour hoffman est toujour aussi a l aise et dominant lorsqu il s ajit de pousser une gueulante et manier les joute verbal a sont avantage , du lourd niveau acting encore une fois , tfacon bennet miller c est montrer un tres tres grans directeur d acteur CF ; capote . robin wright penne , jack mcgee complete un jolie cast .
La realisation de miller est tres appliques, c’est beau , de jolie plan sequence elegant qui etudie ces perso et les laisse parler et qui sait bien utiliser la superbe BO de mychael danna pour aider les emotion voulue a passer . le film degage une puissance et une furiositer dans ces dialogues, qui decuple l interet de ces themes ou la tension est reel . la photo de wally pfister apporte aussi au film une vrai culture de l image , cinematographiquement c’est un regal de savoir faire . Qui aurait crue qu un film sur un President de club de baseball et ces strategie et formule de statistique de valeur et echange de joueur serait si passionant, inoubliable , reussit et universelle ( ceux qui aime le baseball font etre en ebulition , ceux qui aime juste le sport en general seront au ange, ceux qui aime le bon cinema intelligent seront combler , si vous aimez pas vous chercher vraiment la petite bete ) .