DRIVE
5.5/10
Eh ben , apres un valhalla bien extreme dans sont mutisme et lenteur experimental , voila arriver un film deja plus construit, ce qui etait inesperer , mais bon faut quand meme pas croire que Refn se soit totalement canaliser et on est pas vraiment devant un vrai serie B pur et dur comme on a essayer de nous le faire croire . on se tape quand meme de grosse grosse longueur pas franchement toujour justifier , si ce n’est pour appuyer encore plus le coter « arty » et « autre » que refn recherche a tout prix tout le long du film . au bout d’un moment on aimerait quand meme que ce manierisme se lache un peu mais ca arrivera que par eclaire soudain .
Des silence interminable associer a certaine scene totalement immobile , ca laisse un peu perplexe par moment , surtout sur la fin , des regard et des non-dits qui font office de language et narration , plus la fin approche et plus on aimerais quand meme que ca s’emballe un peu , que gosling arrete de faite le rain man , faut pas mater le film un peu fatiguer sinon y en a beaucoup qui vont roupiller .
Le film a été suivis d’une armada de nom celebre d’illustre realisateur balancer en temp qu’hommage , reference et influence , on aime bien mettre des etiquette et baser sur des truc qu’on reconnait … on parle beaucoup de Mann , alors bon c’est vrai que y a 5 ou 6 plan d’helico de LA by night qui renvoie a Mann et oui ca lui ressemble , mais sinon ca fait leger pour tracer un parralelle . j ai aussi bcp lue sur le faite que le heros est un solitaire dont le destin est tracer dans le style mannien , faut pas exagerer quand meme , a ce moment la Drive renvoie tout autant au transporter !! Mann est loin d’etre aussi autiste ( oui le mot est lacher , fallait que ce soit dit ) et refn a reconnue avoir demander conseil a gaspar noe et on recent plus l’influence de ce dernier que de n importe qui d’autre . Friedken ? parcque y 3 poursuite en bagnole ? allons allons faut rester serieux la . Walter hill ? surment parcque drive partage de nombreux point commun avec the driver de 78
Alors oui dans drive il y a ¾ moment ou le heros a des moment de grand violence sanglante qui eclate et clash completement avec le calme du reste du temp , mais c’est pas de la violence a la peckinpah ( dont Hill est le digne decendant ) , c’est de la violence a la Refn , logique ( bien surprenant et cool les tete qui eclate , les coup de shotgun dans un espace hyper bien gerer de la chambre de motel , les tourne vise dans les yeux et autre poignardage ect … ) .
j’ai raisonablement apprecier le film quand meme hein , mais avec toute ces reference je salivais , et avant toute chose , drive est un film de Refn , pur et dur , avec ces themes , sa pate technique , sont style et traitement bien a lui et personne d’autre .
Bon sur la realisation. la ou valhalla était completement vider de tout artifice et chichi , ici c’est un demonstration de force , meme quand c’est chiant et molasson
Le script lui , est tres mince mais force est de constater que c’est en relation avec le traitement et ambition du film et sont realisateur qui avait une vision precise du truc . la mise en place de l’intrigue , presentation des perso et enjeu , tout ca c’est super rapide et mysterieux , on aurait que tres peu de background et devellopement . bon ca va on a un minimum de dialogue et situation qui definisse les perso qui sont de toute facon des caricature . Gosling c’est le heros solitaire calme en apparence et qui dit pas un mot , pas de nom non plus , une vrai figure recurrente du genre , le cure dent a l’appuie . il fait preuve d une belle presence , et quand il menace et tabasse des mec , malgre sont physique de blondinet ben on y croit , well done . les autres personnage sont juste des pretexte , presque pas etoffer et on pas grand-chose a raconter ( mullagan elle sourit niaisement et a pas grand-chose a faire ) . Oui le scenario est un peu trop surestimer sous pretexte que le film est un exercise de style et que c’est epurer .
Bryan cranston a une bonne tronche , le vieux copain typique . albert brooks en gros bad guy est bien charismatique et authentique par contre j’ai trouver que ron perlman cabotinait tout du long quoi , la scene ou il insulte tout le monde dans le garage ca fait decalage et too much , bof bof …oscar isaacs s’en sort bien avec lui aussi un role tres minime . Tout ceux qui on vomie et aime taper sur le script et les perso de miami vice ferait mieux de s’accrocher devant celui de drive qui est encore moin riche .
......... moi la je peut pas mettre plus et j explique mon pourquoi du comment dans ma critique, mais c est deja de la bonne note hein 
et il viellit et reste tres bien en tete 
) , et la Bo en rajoute une couche dans le genre trip organique qui claque , ca tue sa putain de race ........... par contre ouai , c est super minime/simpliste/autiste quoi et c est pas toujour justifier sur le totaliter du metrage , fallait que ce soit dit ... et dans l'ensemble , au resulta final , ca le fait bien quand meme
Je pensais le revoir un poil a la baisse en le revoyant , j’avasi Uber kiffer en salle , mais pensait avoir legerement surnoter a cause de la deferlante final qui brosse mon coter bourrin dans le sens du poil , et ben le verdict : Que nenni ! c’est toujour aussi bon la 2em fois , et enfait , le film passe bien mieux a la maison a plat que en salle en 3D, surtout pour toute les derniere heure a chicago ou on admire encore plus le confort des cgi en HD , donc jle lui laisse la note que j’avais atribuer car largement meriter a mes yeux pour un blockbuster qui ne decois jamais et au contraire, arrive encore a nous impressioner par l’awesomiter de ces sequence , un vrai moment de plaisir de spectateur decomplexer et destructeur made in bay qui est en total harmonie avec sont style et sa vision si genereuse du divertissement .
