[Scalp] Mes Critiques en 2011

[Heatmann]

fonda , oates et les screen font quand meme envie

[Waylander]

Ouais je vais essayer de le trouver. Le copie dvd est comment ?

[Scalp]

fonda , oates et les screen font quand meme envie

Attention, c'est du western chiant, je cite pas Jesse James pas pour rien

Ouais je vais essayer de le trouver. Le copie DVD est comment ?

Plutôt bonne, la copie a été restauré.

[Heatmann]

oh ben chiant pour chiant , autant que ce soit en western quoi n'est ce pas

Le brando One eyes jacks on peut presque dire que c est un western chiant , jl aime bien celui la

[Waylander]

fonda , oates et les screen font quand meme envie

Attention, c'est du western chiant, je cite pas Jesse James pas pour rien

[Scalp]

Ah non le Brando y a quand même une vraie histoire, là tu verras c'est très pauvre, tout est dans l'image.

[Heatmann]

ben en plus tu cite easy rider que tu trouve chiant aussi et ou ca passe par l image et le trip made in fonda et moi Easy rider c est un de mes films culte et favoris
donc jle sent plutot bien cette homme sans frontiere

[Scalp]

Ah oue Easy Rider je trouve ça même super chiant, franchement filmé sous coke ça a des limite

[Heatmann]

10/10 celui la , cash quoi un des film sur lequelle j ai le plus lue de truc et m en lasse jamais , je suis toujour a la recherche d article , anecdocte , analyse ect ....

[Scalp]

Y en parle pas mal dans le bouquin le Nouvel Hollywood.

[Heatmann]

oh t inquiete jle connais celui la , c est meme un peu la base pour la revolte 70's fameuse , biskind j ai lue des paquet de truc de lui , toujour tres sympa , mais en anglais , y a plus de parution

[Scalp]

La Brigade du Texas Kirk Douglas - 1975

Les westerns des 70's c'est quand même quelque chose, même des petits trucs plus ou moins obscurs peuvent s'avérer d'excellentes surprises. Ici on retrouve Kird Dougle qui joue, produit et réalise le film pour une ses rares réalisations.
70's oblige le film est ambigu et la frontière entre le bien et le mal est ici très mince, le film de par son ambiance et son approche fait penser à du Aldrich, y a pire comme comparaison.
On suit donc Douglas, marshall, qui veut devenir sénateur et pour se faire élire il communique à fond sur les captures de criminel, en prenant à chaque fois des photos de ses prises, pour cela il est avec son "Posse", sa dernière cible c'est Bruce Dern, un braqueur de train qui va voir son équipe se faire tuer sous ses yeux, et là le film est très malin car aucun des 2 personnages n'est vraiment un "bon", Douglas chasse les truands seulement par intérêt ( mais sans qu'il soit montrer comme un salaud fini, c'est un perso ambigu, la justice expéditive c'est pas un problème pour lui, mais on peut pas dire que ce soit un enculé ), et pis Dern c'est un truand qui hésite pas a abattre un shérif ( même si comme la scène se déroule ça nous montre que c'est pas un meurtrier de sang froid ).
Le film pour un western aborde des thèmes qu'on a pas trop l'habitude de se voir comme le pouvoir de la presse, l'accession au pouvoir en basant sa campagne sur l'insécurité.
Et très vite le coté course poursuite que le film laissait penser le film est mit de coté, Dern se faisant très vite arrêter.
L'anti climax final est génial, alors que western oblige on s'attend à un duel, Douglas désarmorce tout ça avec une fin où il n'hésite pas à ridiculiser son personnage, bon j'aurais kiffer une fin plus sombre mais ça reste quand même une fin très réussit ( enfin y a un retournement final pas super bien amené, c'est un peu gros, y manque une petite dizaine de minute pour approfondir certains persos.
La réalisation de Douglas est plutôt inspiré et il emballe une séquence d'action très réussit ( déjà rien que l'idée avec Dern qui sacrifie les bras cassé ça m'a bien fait marrer ) avec la violence obligé des 70's et les plans graphique qui vont avec.
Kirk Douglas livre une prestation sobre et il ne tire pas la couverture à lui, c'est du Douglas solide et qui bien que vieillissant en imposait encore, Bruce Dern ca a toujours été une valeur sur, pas de cabotinage, il livre même prestation à la McQueen tout en cool attitude, dans les seconds rôles on retrouve le toujours sympathique Bo Hopkins qui emballe la femme du barman et des têtes plus ou moins connues.
Une nouvelle fois Jarre signe une zic parfaite.
Encore un western méconnu qui mérite de sortir de l'oubli.

7/10

[Heatmann]

belle trouvaille la , vais vite le prendre, ca fait bien envie douglas + jarre et en plus tu cite aldrich

[Scalp]

The Friends of Eddy Coyle Peter Yates - 1973

Le voilà le meilleur film de Yates, c'est carrément un cran au dessus de Bullit ( le film a voir seulement pour sa course poursuite ).
Le film est assez déroutant, déjà le traitement est vraiment minimaliste, et pendant près de 45 minutes c'est un film choral où on suit plusieurs personnages sans qu'on voit encore clairement les liens, y a des discutions mystérieuse où on capte pas tout sur le coup, en fait le film est fidèle au titre on suit donc les amis de Coyle ( Mitchum ) un vieux malfrat de second zone ( qui se croit important ) qui pour ne pas retourner en prison va être obliger de rencarder un flic et très vite on va se rendre compte qu'il est près à tout pour ne pas retourner en prison ( alors qu'il se fait mousser au près de son refourgueur de flingue en lui racontant des histoires sur l'honneur entre malfrat, mais ce ne sont que des chimères auquel il se raccroche ), même a vendre ses potes braqueurs de banque a qui il vend des flingues.
Le récit alterne donc entre Mitchum qui achète des armes ou son le flic, les scènes de braquages ( très réussit ), le vendeur de flingue et le pote barman de Mitchum, y a quasiment pas une scène intimiste à part une mini séquence de 30 seconde entre Mitchum et sa femme y a pas un seul moment d'intimité, les personnages sont toujours entrain de faire un deal, de marchander leur liberté ou de braquer une banque.
Et là où le film change des films de ce genre c'est qu'ici il n'y a pas une seule confrontation direct entre les protagonistes, ici tout se fait en douce, dans l'ombre, quand on se fait chopper c'est parce que quelqu'un à balancer, quand on exécute un contrat l'ordre vient de haut et on fait ça comme un enculé et ici à part à la rigueur le personnage du flic, personne ne contrôle rien du tout, tout le monde dépend des autres ( si quelqu'un merde ça se répercute sur les autres ) : Eddie Coyle, les braqueurs, le revendeur n'auront pas le temps de comprendre ce qui se passe, celui qui s'en sort le mieux c'est celui qui se mouille le moins et qui reste le plus dans l'ombre ( le dernier dialogue entre le flic et Peter Boyle est plein d'ambiguité ).

Le film a des séquences très bavarde et la scène qui introduit le perso de Mitchum c'est carrément du Tarantino ( qui a surement dut s'inspirer du film, l'un des personnage s'appelant ici Jackie Brown ).
Le script du film ( c'est tiré d'un roman ) est franchement une pure réussite, le coté intrigue à tiroir fonctionne vraiment.

La réal de Yates sans esbroufe ( ici pas de course poursuite de 10 minutes, bon y a quand même une petite séquence en voiture qui dure 30 secondes et la maestria de Yates est bien là ) est bien maitrisé ( la séquence de braquage de banque est une belle réussite, Yates nous captive avec 3 fois rien, on a rarement vu braquage de banque aussi calme et silencieux, bon à un moment faut quand même calmer un petit malin donc ça utilise le gun ) et il ne dramatise rien, l'approche tel un French Connection est très documentaire, mais là où le film est réussit c'est surtout sur son ambiance, qui confère au film un coté très dépressif, faut dire que la photo hivernal du Boston ( ville qui toute de suite rajoute un sacré cachet au film ) de Victor J. Kemper est très réussit, et la ville est d'un tel morosité qu'on sait où l'histoire va nous emmener.

Yates dirige de main de maitre son casting et tout le monde est vraiment bon, Robert Mitchum je suis pas trop fan de sa seconde partie de carrière quand il a commencé à vieillir et choper son triple menton, il a un coté nonchalant qui me soule bein ici c'est de loin son meilleur rôle ( hors film noir ) et sa nonchalance habituel est ici assimilé à la lassitude d'un personnage au bout de la route et Michum fait des merveilles, il en impose en faisant rien du tout, il est juste là avec sa vieille carcasse et il est génial en anti héros, Peter Boyle un second rôle récurrent de l'époque a peu de scène mais il lui en faut pas beaucoup pour nous montrer quel bon acteur il est, et on a Richard Jordan ( un gars qui a joué dans tout les westerns de Winner ) en flic de l'ATF qui sait très bien se servir de ses indics, j'ai bien aimé le vendeur d'arme aussi.
La BO on dirait du Schriffin mais c'est pas lui.
Un vrai film noir au titre ironique car l'amitié ici il n'en est jamais question, le thème central étant plutôt la trahison, film un peu oublié même pas sortie en France en DVD.

”Life is hard, but it’s harder when you’re stupid”

8/10

[Heatmann]

Faut quejle voit