Ah bah alors la ma cher alinoe , ca me fait grandement plaisir ca , car moi , master & commander c est un des mes gros gros chouchou auquelle je met meme plus que toi pour ce qui est de la note oui oui une lecon de cinema d aventure, epic, humain , passionant de detail realiste et de vie , pis ca poutre mechant sur la forme ... film parfait a mes yeux .
Way t'avais pas trop aimer la 1er fois il me semble non ?
Merci à tous, voilà un film que je revoie à la hausse chaque fois que je le regarde (4ème fois depuis le cinéma et première fois en BR). Fière d'inaugurer ce magnifique Groo Approved
Bravo pour Master, certainement mon film d'aventure préféré ... quand on voit les premiers films de Weir ça semble improbable
LA Confidential par contre ça arrive pas à la cheville du roman. Malgré son cast impec je trouve pas le film plutôt moyen l'intrigue si écourté ça fonctionne pas à l'écran.
LA Conf, y aurait fallu un film de 4h pour pouvoir être fidèle au roman, là je trouve que Helgeland a bien réussit ses coupes, le livre de Elroy était trop dense pour que ce soit retranscrit tel quel, pis c'est le seul bouquin bien adapté parce quand tu vois Cop et le Dahlia tu pleures devant le saccage.
Limite en terme de réal je préfère le Dahlia (j'aurais jamais cru faire un compliment à De Palma ) à LA qui reste aussi impersonnel que toute la carrière de Hanson.
Bon après le dahlia l'histoire a été découpé à la tronçonneuse et il y a un miscast total d'acteur à la ramasse heureusement que Scarlett est là et surtout la belle brune qui fait le Dahlia seul passage inspiré du film.
Avec Pierce Brosnan, Linda Hamilton, Charles Hallahan
Catastrophe, USA, 1h48- 1997
6,75/10
Résumé : Le pic de Dante, volcan endormi dans l'État de Washington, présente des manifestations sismiques de faible amplitude. Harry Dalton, un volcanologue est dépêché sur place...
Un film catastrophe qui reprend tous les codes et les stéréotypes d’un genre qui connut son heure de gloire dans les années 70 et son renouveau dans les années 90. Il n’y a donc rien de vraiment surprenant dans l’intrigue, tant les différents protagonistes et le scénario sont presque des copies conformes de certains grands classiques du genre.
Ainsi le héros, Harry Dalton, que personne ne veut croire et surtout pas le conseil municipal qui craint de faire fuir un promoteur immobilier qui représente l’avenir de la petite ville. Un schéma qui ressemble à s’y méprendre à Jaws. Pas de surprise non plus, au niveau de l’incontournable décompte mortel inhérent à chaque film catastrophe. Dès la présentation des différents personnages, le spectateur à l’impression de savoir quelles seront les victimes de l’éruption volcanique. Cahier des charges oblige de la morale et du politiquement correct :
le chien et les enfants survivront ! Comme dans l’Aventure du Poséidon ou la Tour infernale. Pas touche aux enfants et aux animaux !
Peut-être, ai-je vu trop de films du genre pour être encore étonnée, car j’ai réellement eu l’impression d’être en avance sur les personnages pour chaque scène de bravoure. Dommage pour le suspens et la tension. Il y a bien évidemment, comme dans tout film du genre, une scène de panique très hollywoodienne avec son sauve qui peut général basé sur le principe du chacun pour soi et bien évidemment un lot de scènes très invraisemblables : l’adolescent qui conduit une voiture à travers une pluie de cendres pour rejoindre sa grand-mère ou encore le 4X4 doté de pneus probablement ignifugés qui roule sur la lave en fusion… Ah le 4X4 au cinéma, une vraie merveille qui écarte tous les écueils scénaristiques, dévalant les escarpements rocheux, déracinant les arbres sur son passage, traversant les rivières quand le pont est trop encombré… définitivement amphibie ! Ne partez pas sans lui, si vous envisagez de survivre à un désastre !
Pourtant, malgré cette impression de déjà vu cent fois et de bien meilleure façon d’en d’autres films du genre, le Pic de Dante se regarde avec plaisir. L’intrigue fait la part belle au développement des personnages, notamment à la relation entre Harry Dalton et Rachel Waldo. Pierce Brosnan et Linda Hamilton sont convaincants dans leurs rôles respectifs. D’un côté un volcanologue traumatisé par la disparition de son ancienne compagne lors d’une éruption volcanique et qui ne veut pas que ce genre d’évènement dramatique se reproduise. Un scientifique qui préfère se fier à ses sens et à ses convictions plutôt qu’à la logique et à ses instruments de mesure. Il reste profondément humain et n’a pas ce détachement scientifique et cartésien qui caractérise les membres de son équipe. Ils sont là pour analyser un phénomène et en oublient presque la dimension humaine. Paul Dreyfus (Charles Hallahan), le chef de l’expédition, illustre à merveille toute la difficulté à concilier les enjeux politiques, les analyses scientifiques et la protection des populations. De l’autre côté, Rachel Waldo, une mère qui élève seule ses deux enfants et qui préside aux destinées de sa ville. A la fois battante et un peu dépassée. Le réalisateur, Roger Donaldson développe en profondeur cette relation naissante entre ses deux personnages principaux sur fond de catastrophe naturelle. Un mot du personnage de Ruth, la grand-mère interprétée par Elizabeth Hoffman, tout à la fois agaçante et touchante. Une femme de caractère qui dissimule derrière son égoïsme et son côté bornée, ses failles et sa fragilité. Sa scène dans cette barque perdue au milieu d’un lac de cendres et d’acide est certainement la plus émouvante du film.
Il est un point sur lequel, le Pic de Dante s’avère une total réussite : la reconstitution à l’écran d’une éruption volcanique. Des signes annonciateurs à l’impact sur la faune et la flore, des gaz volcaniques aux incendies, des projections de cendres et de ponces aux nuées ardentes, des coulées de laves aux éboulements et tremblements de la terre, des émanations acides aux panaches volcaniques, tout semble authentique et réaliste. La séquence d’introduction est magistrale et intense. Le département des effets spéciaux et pyrotechniques réalise un travail remarquable qui reste convainquant 14 ans plus tard. Roger Donaldson multiplie les plans bucoliques sur le fameux pic, pour bien montrer à quel point cet Eden verdoyant peut se révéler meurtrier. Le calme avant le déluge de feu, de cendre et de gaz.
Si vous voulez vivre la colère d’un volcan confortablement installé dans votre fauteuil en grappillant du pop corn et en sirotant un soda, le Pic de Dante est pour vous !
J'adore ! un de mes films catastrophe préférés par les effets spéciaux et par Linda Hamilton qui fut avec Sigourney Weaver parmi les femmes fortes qui m’ont marqués au cinéma à l'époque de Alien et Terminator. !!