[Alegas] Mes Critiques en 2011

[Hannibal]

"Le vampire est censé ne pouvoir entrer pour la première fois dans une habitation sans y avoir été invité par le propriétaire"

source : Lewis Spence, An Encyclopaedia of Occultism, New Hyde Parks, University Books, 1960 (ISBN 978-0-7661-2815-6), p. 262 .

[Pathfinder]

Vous allez surement me pourrir la gueule mais j'ai preferé le remake. L'original m'a fait chier par moments.

[Heatmann]

non mais meme sans etre d accord, le remake us est pour le coup quand meme plutot bien reussi c est vrai

[Milkshake]

une règle à la con mais qui donne des scènes sympa dans True Blood.

J'ai vu pour la première fois Morse hier soir (terrible, je me demande si je vais pas augmenter un poil ma note)

Il y a pas une contradiction dans ta phrase ?

[Alegas]

"Le vampire est censé ne pouvoir entrer pour la première fois dans une habitation sans y avoir été invité par le propriétaire"

source : Lewis Spence, An Encyclopaedia of Occultism, New Hyde Parks, University Books, 1960 (ISBN 978-0-7661-2815-6), p. 262 .

Merci beaucoup, je connaissais pas du tout cette règle.

J'ai vu pour la première fois Morse hier soir (terrible, je me demande si je vais pas augmenter un poil ma note)

Il y a pas une contradiction dans ta phrase ?

Euh, non je vois pas.

[Milkshake]

Tu dis que tu la vu pour la première fois et que du coup tu vas changer ta note, donc tu l'as déjà vu non ?

[Alegas]

Nan ce que je voulais dire c'est que j'ai mis 8 hier soir après l'avoir vu mais là plus je réfléchis et plus je me dis que je vais augmenter ma note.

[Alegas]

Bronson de Nicolas Winding Refn

(2008)

Une vision prenante mais vite oubliée, voilà comment on pourrait résumer l'effet de Bronson sur son spectateur. Fort du succès de sa trilogie Pusher, Nicolas Winding Refn se voit offrir un projet qui s'inscrit plutôt bien dans ses thèmes, à savoir notamment la violence, la façon de chacun à réagir devant elle et le descente aux enfers, aussi bien physique que mentale. Pourtant, Bronson reste pour Refn qu'une simple commande afin de réunir les fonds pour le tournage de son Vahlalla Rising, et cela se ressent hélas beaucoup trop à l'écran. Car en prenant ses distances vis à vis de son sujet, Refn limite totalement les possibilités de son film, le réduisant ainsi à une sorte d'expérimentation visuelle et narrative où seul Tom Hardy, grandiose, tire véritablement son épingle du jeu. Néanmoins, la présence de Refn se fait véritablement sentir derrière la caméra, avec notamment des passages entiers faisant ouvertement référence à Clockwork Orange de Kubrick mais aussi avec des séquences décalées (la soirée dansante à l'asile) et/ou dérangeantes (le final et son évocation de l'art). Au final, c'est bien le côté expérimental du projet qui intéresse le plus, malgré l'impression de se retrouver devant un fourre-tout filmique, avec une recherche visuelle et de composition de plan vraiment intéressante (les combats au ralenti, les nombreux travellings font de Bronson le film le plus léché à ce jour de Refn) ainsi qu'une façon particulière de raconter l'histoire (les scènes théâtrales) qui permet à Tom Hardy de dévoiler toutes ses capacités d'acteur. Dommage donc que le film se fasse rapidement oublier, il lui suffirait pourtant un certain punch ainsi qu'un fond un poil plus travaillé pour être véritablement bon et marquant.

NOTE : 6/10

[Alegas]

Vahlalla Rising (Le Guerrier Silencieux, Vahlalla Rising) de Nicolas Winding Refn

(2009)

Un film qui divise énormément et cela se comprend tout à fait, Vahlalla Rising étant plus une expérience sensorielle qu'un véritable film. Nicolas Winding Refn l'a préparé pendant des années, au point de devenir son projet le plus personnel, et cela se ressent vraiment à l'écran, rien que d'un point de vue de mise en scène où Refn abandonne totalement le style de ses précédents films pour se renouveler totalement à base de plans larges composés de façon magnifique et de jeux de lumière qui font de Vahlalla Rising un film extrêmement expérimental, non seulement sur le plan visuel mais aussi sur le fond. De ce point de vue là, le film est le plus réussi de Refn, prenant un fait historique (les Vikings ayant réellement découvert l'Amérique de façon plus ou moins hasardeuse) pour finalement écrire sa propre histoire (comme la totalité de la filmographie de Refn, on se retrouve là aussi dans une descente aux enfers, sauf qu'ici il faut vraiment le prendre au mot) teintée de références multiples (Kubrick évidemment, mais aussi les écrits de Dante) qui permettent à l’œuvre de s'imposer comme le film de la maturité pour son auteur, abandonnant l'objectif de vouloir raconter une histoire pour faire passer un message fort que chacun pourra interpréter de plusieurs façons différentes.

Sur le plan visuel, on est bien là devant le meilleur travail de Refn à l'heure actuelle, on sent véritablement un travail de mise en scène dans la continuité, contrairement au premier Pusher et Bronson. Le film entier est composé de choix particulièrement audacieux, avec des séquences hypnotiques (la traversée de l'Atlantique), surréalistes et oniriques (la totalité des séquences en Amérique) vraiment intéressantes, mais l'un des gros points forts du film est évidemment le fait d'avoir un héros muet du début jusqu'à la fin (dont les motivations ne seront jamais connues, ce qui pourrait laisser penser qu'il est soit le Passeur vers Vahlalla, soit le Diable lui-même), interprété de façon magistrale par Madds Mikkelsen. Si l'expérience du film est parfois trop déroutante pour être appréciée à sa juste valeur (plusieurs passages longs qui se font réellement sentir, malgré la courte durée du métrage), elle pourrait être bien plus intéressante avec une seconde vision. Reste que malgré ce que pourront dire les détracteurs de ce genre de cinéma, on est bien là devant la renaissance d'un cinéaste qui n'en avait pas forcément besoin, ce qui laisse présager de très bons espoirs pour ses futurs projets.

NOTE : 7,5/10

[Criminale]

Heureusement que la note de Milshake est là car sinon je me serais posé des questions sur la finalité du film.

Je l'ai trouvé chiant au possible, du contemplatif qui ne m'émeut guère, aucune émotion transmise par les personnages, un silence qui m'a achevé.
Bref ce film à été un calvaire pour moi, loin de l'excellente trilogie qu'est Pusher.

[osorojo]

T'inquière Criminale, t'es pas le seul. J'ai même pas fini

[Heatmann]

z'etes loin d etre seul les gars moi je l ai finit mais alors treeeeeees difficilement , j ai mis plus que milkshake , 2/10 je croit et pourtant et paradoxalement ( meme si les film on peut de point commun ) j ai adorer Bronson.

[Scalp]

Le Vahlaha quand je vois qui met des bonnes notes au film ça me donne clairement pas envie de le voir

[Alegas]

C'est ça dis que j'ai des goûts de merde tant que tu y est.

[Scalp]

Non les fans de branlette mettent tous une bonne note, donc c'est que c'est dla merde.