[alinoé] Mes Critiques en 2011

Modérateur: Dunandan

Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar alinoe » Dim 04 Sep 2011, 11:04

Waylander a écrit:Tu veux pas poster une photo de toi (au moins le visage) sur le trombi pour qu’on te fasse un logo "approved parce que là j’ai une idée assez fun. :mrgreen:

Je déteste qu'on me prenne en photo, donc les seules que j'ai proviennent de Disneyland Paris, le seul endroit où je relâche un peu ma vigilance...
Ton idée de Logo approved me tente bien, donc je vais essayer d'en trouver une que je posterai dans le trombinoscope.


Incep Sean a écrit:Belle attaque Way', tout en douceur, au rythme du mouvement des arbres bercés par une fine brise... :mrgreen: :super:

Tu n'as pas du regarder l'âge indiqué dans ma fiche :lol:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar osorojo » Dim 04 Sep 2011, 11:25

Folle la guêpe qui se croit à l'abri parce qu'elle a passé le cap de la quarantaine :mrgreen:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Waylander » Dim 04 Sep 2011, 11:34

L'âge d'une femme n'a aucune importance. Je dirais même qu'une femme mûre attire bien plus qu'une jeune femme de 25 ans. Question d'expérience, de maturité tout ça quoi.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Dim 04 Sep 2011, 11:38

erferf est demandé sur ce topic.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar alinoe » Dim 04 Sep 2011, 12:17

Justement pas folle la guêpe. J'ai un look tout ce qu'il y a de plus normal et je suis toujours crispée sur les photos, donc je suis tranquille :wink:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar ViCo » Dim 04 Sep 2011, 13:13

alinoe a écrit:Tu n'as pas du regarder l'âge indiqué dans ma fiche :lol:


Way', y kiffe les MILF... :chut: :mrgreen:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Alegas » Dim 04 Sep 2011, 15:06

Scalp a écrit:erferf est demandé sur ce topic.


:eheh:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar erferf » Dim 04 Sep 2011, 21:55

J'ai entendu parler de MILF alors j'suis rentré
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L.A. Confidential - 9/10

Messagepar alinoe » Mar 06 Sep 2011, 19:59

L.A. Confidential

Réalisé par Curtis Hanson

Avec Kevin Spacey, Kim Bassinger, Danny DeVito, Russell Crowe, Guy Pearce, James Cromwell, Ron Rifkin, David Strathairn


Polar, USA, 2h18- 1997

9/10


Attention quelques spoilers.

Résumé : Los Angeles, années 50. Après la chute du caïd Mickey Cohen, la ville connaît une vague de règlements de comptes. Dans cette ambiance déjà explosive, la police se mobilise pour trouver les coupables du massacre du « Nite Owl Coffee Shop », au cours duquel un ancien flic est tombé.

L.A. Confidential est sans conteste la meilleure adaptation cinématographique d’une oeuvre de James Ellroy, non pas, par sa fidélité à la trame du roman, car le film s’en écarte beaucoup, mais par sa fidélité à l’ambiance et aux thématiques (fresque du Los Angeles des années 50 où la corruption est devenue une véritable institution et de ses policiers qui naviguent en eaux troubles).

Le film de Curtis Hanson marque un retour réussi au Film-noir, ce genre qui connu son heure de gloire dans les années 40-50. La reconstitution du Los Angeles des années 50, magnifiée par une photographie sobre et sombre, est criante de vérité grâce à l’excellent travail sur les décors de Jeannine Oppewall et sur les costumes de Ruth Myers. S’ajoute la bande originale de Jerry Goldsmith qui s’accorde parfaitement à chaque humeur et à chaque ambiance. Quant au contexte socio-historique, il est judicieusement résumé au cours du générique avec quelques images d’archives sur la fin de la guerre, sur la naissance de l’American Way of Life, sur l’image glamour de Los Angeles et d’Hollywood, avec ses orangeraies, ses plages de sable fin, ses avenues bordées de palmiers, ses stars, en somme le paradis sur terre pour l’américain moyen. Mais derrière le rêve, le raffinement, le strass et les paillettes se profile une réalité plus sordide. « There’s trouble in paradise » nous dit la voix off de Sid Hudgens, le rédacteur en chef du tabloïd Hush-Hush, spécialiste des révélations scandaleuses. Chantage, pots de vin, magouilles, trafics en tout genre, prostitution… sont le lot quotidien de la cité des anges. Il y a toujours quelqu’un pour tirer profit du secret d’autrui, toujours un photographe pour immortaliser les fautes commises. A Los Angeles, bien des rêves de célébrité ou de fortune, s’achèvent dans les sous-sols de maisons de banlieue, dans des motels glauques ou dans de minables coffee shop.

Dans cette ville aux apparences trompeuses, personne n’est véritablement ce qu’il paraît. Politiciens, millionnaires, policiers, stars, journalistes et malfrats se confondent. Ainsi, les mécènes millionnaires se révèlent proxénètes, les policiers se font informateurs de la presse à scandales et les call-girls de luxe peuvent avoir le visage de Veronica Lake. Nul n’est à l’abri de ce jeu de miroir dans lequel il devient difficile de reconnaître le vrai du faux, à l’exemple de cette scène avec Lana Turner. Sur le petit écran, les policiers sont des modèles, des héros, comme dans « Badge of Honor », la série à succès, les véritables « anges » de Los Angeles. Dans la réalité, la corruption gangrènent une police souvent plus dangereuse et plus violente que les gangsters qu’elle est censée poursuivre, attirée par les sirènes du luxe et de l’argent facile, dans une ville en pleine évolution. Peu importe les coupables, la vérité ou la justice, pourvu que l’arrestation se déroulent sous les flashs des journalistes et redore le blason d’une police marquée du sceau de la violence et du racisme.

Soulignons, le montage efficace qui parvient à rendre limpide une intrigue pourtant complexe, riche en rebondissements et aux pistes multiples, dans laquelle se croisent et s’entrecroisent trois inspecteurs aux styles diamétralement opposés, ainsi qu’une bonne dizaine de personnages clés. Malgré cette pléthore de personnages, aucun n’est sacrifié, tous sont superbement écrits et disposent d’une véritable épaisseur et présence à l’écran. Une prouesse qui témoigne d’une bonne maîtrise de la direction d’acteur. Tous les acteurs sont parfaits dans leurs rôles respectifs, exactement dans le ton qu’il convient. Il n’y a aucune erreur de casting.

En premier lieu, Russell Crowe qui incarne Bud White, la brute sentimentale, l’impulsif, le protecteur des femmes agressées. Il use de son badge et de la violence pour imposer une justice expéditive, dans laquelle il tient le rôle du juge, du jury et du bourreau.. Il enquête avec ses poings plutôt qu’avec sa tête, bien qu’il soit fort capable d’assembler les pièces du puzzle de l’énigmatique massacre de « l’Oiseau de nuit ». En quelque sorte un homme de main de la police dont les convictions s’ébranlent peu à peu, car il n’est pas prêt à franchir toutes les limites. Crowe incarne parfaitement ce personnage qui doit en permanence contrôler et mesurer une colère qui explose parfois, pour éviter de basculer de l’autre côté de la loi. La mélancolie hante son regard et apporte un zest de fragilité à cet écorché vif.

Guy Pearce est Ed Exley, le flic modèle et intègre, qui veut marcher dans les pas de son père, une légende de la police et le dépasser en tout point. Il oscille en permanence entre ses idéaux et l’ambition qui le dévore. Il comprendra qu’il faut savoir faire quelques compromis avec la loi et savoir utiliser les médias et les armes du pouvoir pour enrayer le crime, la corruption, et faire triompher la vérité. Pearce est parfait dans le rôle de ce flic droit et froid qui nous semble plutôt antipathique, au premier abord et auquel on finit par s’attacher.

Kevin Spacey est Jack Vincennes, le flic qui a perdu ses convictions. Consultant sur la série à succès « Badge of Honor », il préfère vivre sous les projecteurs d’Hollywood que de poursuivre les criminels. Il reçoit régulièrement des pots de vin de Sid Hudgens, le rédacteur en chef du tabloïd Hush Hush Magazine, pour des informations croustillantes et scandaleuses. Au fil des investigations sur le massacre du « Nite Owl », Il redécouvre le plaisir de l’enquête. Kevin Spacey apporte cette touche de confiance, ce zest d’arrogance et ce côté frimeur qui caractérisent si bien ce personnage.

Autour de ces trois flics gravitent une faune hétéroclite qui représente toutes les facettes inavouables du Los Angeles des années 50. Kim Bassinger irradie l’écran dans le rôle de Lynn Bracken, la call-girl de luxe au grand cœur, sosie de Veronica Lake. Elle est la femme fatale à la fois manipulatrice et manipulée. Une femme frêle et forte qu’interprète avec justesse Kim Bassinger. Danny DeVito est Sid Hudgens, le rédacteur en chef d’un journal à scandale. Il incarne à la perfection ce magouilleur né, prêt à tout pour le scoop. Son personnage apporte une bonne dose d’humour cynique au film. Ajoutons James Cromwell, dans son meilleur rôle, celui de Dudley Smith, le chef de la police, rusé et manipulateur, mais aussi David Strathairn impeccable dans le rôle d’un millionnaire aux affaires troubles. Dans L.A. Confidential, l’image mythique de la cité des anges s’effondre, pour laisser la place aux traîtrises, aux faits divers sordides et aux machinations. Les hommes sont faillibles et ont tous leur part d’ombre.


L.A. Confidential est un polar sombre et pessimiste, une visite de l’autre côté du miroir d’Hollywood et de Los Angeles, très loin de l’imagerie populaire de la fabrique des rêves. Un immense film qui eut le malheur de concourir aux Oscars, la même année que Titanic.

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Mar 06 Sep 2011, 22:41

ca fait plaisir des critique si paufiner pour des film qui le merite autant que LA confidential , jserai meme pas loin de lui mettre 10 a force de le revoir avec la meme puissance :love:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar jean-michel » Mer 07 Sep 2011, 06:22

Superbe critique, alinoe tu est dans le haut du panier!! :super: :mrgreen: :love:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Mer 07 Sep 2011, 14:00

LA Confidential c'est la preuve que n'importe quel Yes Man peut un jour torcher un chef d'oeuvre.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Killbush » Jeu 08 Sep 2011, 18:56

Sacrée critique pour un vrai chef d’œuvre :super:
Starting to see pictures, ain't ya?
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Master & Commander - 9/10

Messagepar alinoe » Mar 13 Sep 2011, 19:33

Master and Commander
De l'autre côté du monde

Réalisé par Peter Weir

Avec Russell Crowe, Paul Bettany, James D'Arcy, Max Pirkis, Billy Boyd, Robert Pugh


Aventure, USA, 2h18- 2003

9/10


Résumé : 1805. Jack Aubrey, capitaine de la frégate britannique, HMS Surprise reçoit l'ordre de mettre fin aux agissements du vaisseau corsaire français l'Acheron qui navigue à proximité des côtes brésiliennes...


Je n’ai lu aucun des romans de la saga des aventures du capitaine Jack Aubrey et du médecin Stephen Maturin, je ne saurais donc faire de comparaisons entre l’œuvre d’origine et son adaptation cinématographique. Il semblerait que les critiques et certains spectateurs aient reproché au film, le choix d’un adversaire français, en raison de l’actualité de l’époque. Personnellement, vu le contexte historique du scénario - les Guerres napoléoniennes - ce choix me semble totalement judicieux, d’autant que cet ennemi se révèle à l’égal du capitaine Aubrey, un tacticien hors pair et que son navire est une véritable prouesse technologique, une vision de l’avenir de la construction maritime qui rend même admiratif son rival britannique.

Peter Weir réalise une oeuvre qui mêle avec subtilité l’aventure maritime et l’aventure humaine. La fureur des combats alterne avec le calme de scènes plus intimistes, tels ces moments où la cabine du capitaine se transforme en salon de musique. Master and Commander est tout à la fois un swashbuckler palpitant avec ses batailles navales, son passage du Cap Horn ou ses abordages, et une reconstitution passionnante de la vie à bord d’un navire de la marine britannique au début du 19ème siècle.

Il est indéniable que Peter Weir maîtrise totalement son sujet, tant au niveau de la mise en scène que du contexte historique, des décors et des costumes. Il nous plonge littéralement dans la vie à bord de cette frégate anglaise, avec ses différents corps de métier, son système hiérarchique, ses aspirants, son code de discipline, ses superstitions et ses bouc-émissaires, sa promiscuité, ses modes de ravitaillements, ses manœuvres, entre rudesse et fraternité. Il nous rappelle qu’il fut un temps où les grands voyages scientifiques se faisaient sous l’égide des canons de la Marine, où la suprématie maritime allait de concert avec l’exploration de la faune et de la flore. Deux objectifs parfois difficiles à concilier comme l’illustre la relation d’amitié par moment conflictuelle entre le capitaine Aubrey et le chirurgien de bord et naturaliste, Maturin souvent obligé d’abandonner le fruit de ses recherches face aux impératifs de la mission.

L’action se déroule presque intégralement à bord du HMS Surprise filmé avec maestria par Peter Weir. Il n’est pas avare de plans et de mouvements de caméras qui subliment ce navire qui est bien plus qu’un simple décor. Il en explore tous les recoins, du gréement à la coque, du pont principal au pont-canon… multipliant les prises de vues originales. Il nous gratifie également d’une série de magnifiques plans à travers des longues vues avec des effets de loupes qui apportent une touche d’authenticité. Pour une fois, le spectateur a véritablement l’impression d’être à la place du personnage qui scrute l’horizon.
La photographie de Russell Boyd reflète chaque humeur et chaque ambiance (combats, côte du Brésil, Cap Horn, Galapagos…) par une subtile variation des tonalités, des nuances et des couleurs. Pour une fois, l’expression « Mer d’huile » pour évoquer une mer sans vent et sans vague, prend toute sa signification dans sa représentation à l’écran. Et que dire du Cap Horn, surnommé « le cap des tempêtes » par les navigateurs d’autrefois qui l’affrontèrent. Un passage dantesque où se confrontent le rugissement du vent, le fracas de la houle et les craquements du navire. Peter Weir parvient à restituer toute l’envergure et la redoutable splendeur de ce péril du bout du monde, de ce « cimetière marin », tel qu’il est décrit dans les récits des grands explorateurs.

Enfin, Peter Weir, se sort avec dextérité et aisance du dangereux exercice du duel maritime. Ces batailles navales sont rythmées et intenses, alternant plans larges et plans rapprochés, illustrant toute la fureur et le chaos du moment (canonnade, abordage, corps à corps, fumée, tactique, diversion, manœuvre et surtout le bois des vaisseaux qui explose et se transforme en projectiles meurtriers) , sans pour autant sacrifier la lisibilité des combats.
Le premier affrontement dans la brume est magistral. Les éléments et les nappes de brouillards deviennent des alliés ou des ennemis de circonstances. Le second grand affrontement allie ruse, stratégie et bravoure. Master and Commander, nous entraîne à la suite de Jack Aubrey et du capitaine de l’Acheron dans une captivante partie d’échec maritime.

Un grand vent d’aventure souffle sur Master and Commander sans que soit oubliée la dimension humaine. Le film est porté par de belles performances d’acteurs.

Russell Crowe impeccable dans le rôle de ce capitaine respecté, bon meneur d’homme, fin stratège et pas infaillible. Paul Bettany excellent dans le rôle du chirurgien humaniste et naturaliste qui doit constamment faire taire ses frustrations. Deux personnages diamétralement opposés mais finalement complémentaires, réunis par une solide amitié qui se noue autour d’une passion commune : la musique. Les concertos pour violons de Mozart, de Corelli, de Boccherini ou encore de Bach qui accompagnent les scènes intimistes, le sillage du navire et parfois les explorations sont tout simplement prodigieux et s’harmonisent merveilleusement avec la bande originale du film. A noter la superbe performance de Max Pirkis dans le rôle de Blakeney. En fait, tous les interprètes sont dans le ton et plus particulièrement les jeunes acteurs qui jouent les rôles des aspirants.

Il y a bien quelques petits défauts
(le stratagème de la dissimulation inspiré par un phasme ou le chirurgien qui s’opère lui-même)
mais ils sont vite balayés par toutes les qualités du film.
L’Aventure avec un immense A.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Mar 13 Sep 2011, 19:35

Magnifique screen une fois de plus :love: et très bonne critique bien entendu.
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