10/10
Chef d’oeuvre parmis les chef d’oeuvre , un film culte , perfection absolue de sont genre qui melent action et Sf comme aucun autre , impassible face au temp , a la mode et aux technologie qui passe et evolue , Predator est une collaboration entre de grand artist , visionaire meme , et un monument qui se bonifie meme avec les annees . Une œuvre absolument definitive dans sa representation du cinema 80’s , dans la glorification du soutient viril , le machisme assumes et iconise a mort . Predator s’affirme pourtant apres chaque minute de metrage comme etant beaucoup plus qu’un simple concept bourrin et charger de testorsterone . oui ca l’est par moment , mais au final le film , les choix de mise en scene et de rythme joue beaucoup plus sur une ambiance , un malaise , un menance pesante constante et meme se tape le luxe de quelque niveau de lecture plus profond .
La creature de stan winston se devoile tardivement , on a tendance a oublier ca , et a part le face a face final avec dutch , on ne la voit guere plus que la troupe d’arnold , un choix judicieux qui impose le meme suspence et mystere chez le spectateur que chez cette escouade de guerrier .
Bunch of slack-jawed faggots around here. This stuff will make you a god damned sexual Tyrannosaurus, just like me
La construction narratif du film est un model du genre , on se dit qu’on se tapera une seri B de luxe , c’est un peu ca , mais elever au rang d’œuvre d’art . peu de dialogue au final , des regard de pros , un language tactique realiste ( putain quand dutch donne ces ordre pour le placement de ces soldat , leur mission , ca te donne envie de te camoufler sous le tapis ! ) et pis des punchline et des replique culte qui fussent comme si c’était la norme . un vaisseau se crache , L’arriver des commandos , une mission de secour , pas de chichi , ca va vite et hop est déjà a crapahuter dans une jungle epaisse , dense qui est un veritable personnage a part entiere . la merveille de mise en scene hyper fluide et pleine de sagesse colle au mouvement topographique des mercenaires et leur progression dans une nature dont l’imagerie est bluffante , on a l’impression qu’on a jamais vue une tel jungle ce que dit d’ailleur le perso de jesse ventura , c’est pas anodin , le feeling est vraiment la , palpable .
I ain't got time to bleed .
There's something out there waiting for us, and it ain't no man. We're all gonna die
There's something out there waiting for us, and it ain't no man. We're all gonna die
La decouverte des corps mutiler , les doute qui peut a peut s’empare du perso de Billy ( putain comment il dechire cette indien ! personne n’as peur avant que billy n’est peur , tout le monde et surtout arnie lui demande conseil et ce qu’il resent , un vrai barometre , un des pions essentiel de cette escouade qui est une veritable famille unis ) les morts violente une a une …. Pis le casting et la fusion et compliciter total entre ces perso tres bien definis , des acteur aux top de leur forme font que l’unite special de dutch en sont entier ne forme qu’un seul personnage , les chasseur-guerrier les plus efficase et talentueux de la race humaine , que le predator a choisis d’affronter . la moinde petite scene de dialogues minimalist en dit pourtant long , tout compte , rien n’est laisser au hazard , pas un mot en trop pour rien dire , pas de remplissage vain .
La sequence de l’attaque du poste de patrouille est encore une fois scenariser au moment opportun et construit et shooter de facon irreprochable . reperage , deploiement , diversion , et pis la dose d’action et de cartouche est la aussi pour assurer un spectacle balistic phenomenal . quand jesse ventura meurt et que bill duke prend la gatling , rejoint par les membrer restant et qu’ils arroses les fouguere et palmier , ca reste encore a ce jour un grand moment jouissif qui fait office de veritable teraphie , toute cette tension et frutrastion accumuler est relacher et ca fait du bien !
Come on in, you fuckers. Come on in. Ol' Painless is waitin'
Un film de gros bras , Arnie a jamais été aussi tailler , les plan sur les muscle saillant sont legion , un des theme du film , le predator a ces gadget , les homme ont les leurs . Dutch est un perso vraiment fascinant , peut de background , peut d’ecritur et de texte et pourtant une presence de chaque instant , Arnie Own the jungle ! a ces coter carl weathers se tape aussi un role sur mesure , en pleine gloire rockyiene , il apporte un peu de desordre dans une team pragmatique et sotn star power ne faiblit pas . L’amitier entre duc ( bill duke , une gueule culte et un perso immediatement sympatique ) et blain ( rahh putain sa gatling quoi ! pis ventura qui chique du tabac et ces replique de bourrin c’est le bonheur quoi ) est communicative , le coter horrifique donne un coter slasher avec ce boogeyman invisible qui decime ces victime une par unes , sauf que la on en a pas rien a foutre des victime , tres fort ! ponchon et hawkins se fondent aussi super bien dans l’equipe , inoubliable !
Le concept entier de predator repose sur la precense de la creature et sa traque , la parralelel avec la jungle elle-même est bien la avec sont comportement , l’interpretation des commandos et sont camouflage , et c’est la que la realisation est exeptionel et magistral , car elle arrive a imposer d’entrer une ambiance unique , étouffante et implacable. le film ne subit aucun temps mort et le spectateur suit l’intrigue le souffle court.
Ca deviendrait redondant aussi de faire l’eloge de la BO de silvesti qui signe ici quelque theme les plus efficasse , approprier , evocateur et sensoriel de l’histoire , rien de moin . et d’ailleur tout les effet sonor sont aussi important et travailles que les autres aspect du film . les sont ambient , les voix , les bruit animal de la jungle , tout est mixer pour créer une atmosphere qui decuple la puissance des images . Mcalpine en fait pas des tonnes sur la photo , encore un choix ideal , un film tres naturel qui renforce l’impact realiste de ce qui se deroule sous nos yeux .
Que dire d’autre qui a pas déjà été dit , surtout quand on en vient on final , quand arnold n’as plus d’autre choix que d’affronter le predator , il se prepare , truffe sont camp de piege et repere strategique , se camoufler , s’arme et appele la bete pour un face a face ultime , attendue et qui decoit pas . le film se conclue comme il a commencer , sans debordement inutile , explosion infernal , helico , final theme et hop credit . Voila , un film d’action spectaculair et jouissif , un film de Sf horrifique intelligent , maitriser , culte , badass attitude au possible , une demonstration bestial et instinctive , la perfection jvous dit !