[Pathfinder] Mes critiques en 2011

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The Kingdom 6.75/10:

Introduit par un générique plastiquement magnifique et suffisement concis pour résumer le contexte, The Kingdom est un très honnète mix entre un actionner de qualité et un film politique (à peine survolé). J'entends par là, que sans etre trop manichéen dans son approche, The Kingdom n'est quand meme pas la panacée pour tout connaitre sur les tenants et aboutissants de la situation en Arabie Saoudite.

Le Royaume, il ne faut pas se leurrer, c'est un Blockbuster déguisé avec un budget conséquent, de grosses scènes d'actions et un casting de haute volée. Avec la virtuosité de l'action made in Bourne et une esthétique très Black Hawk Down, le film de Michael Mann (pardon Peter Berg! j'y reviendrais!) est très bien équilibré. Cette enquete en terre saoudienne se suit agréablement au gré d'un rythme parfaitement maitrisé oscillant entre fausse émotion (et oui ce n'est pas avec trois accords de guitare que l'on va etre touché!) et action pure et dure (la très courte scène sur le freeway est un top technique!).

Artistiquement parlant, l'ombre de Michael Mann (le producteur) plane sur tout le film. En bon poulain, Peter Berg reprend les tics de réalisation de son ainé avec des cadres tremblotants pres du visage, une approche humaine des deux partis (le fameux coté non manichéen que défend le film) et meme la musique. Sauf que Berg a très vite compris que l'action c'est loin d'etre le fort du papy et il va s'en affranchir dans le dernier tiers en terminant son film par une bonne vingtaine de minutes de défouloir. De l'imposante scène de l'autoroute aux multiples manos à manos dans un immeuble truffé d'enemis en passant par du gunfight aux lances roquettes, le réalisateur prouve qu'il est à l'aise avec l'action malgré une caméra un peu trop shaky.

Sur le fond, le film ne se mouille pas trop à l'image du message final (en gros ça ne s'arretera jamais)! L'escalade de la violence est inéluctable. Grosse production oblige, le film penche quand meme beaucoup plus vers l'action réaliste. On est pas chez Winterbottom non plus. Mais en bon technicien qu'il est, Peter Berg torche un film correct, prenant et divertissant. On attendait pas de l'entertainement sur ce sujet là mais bon...ça reste hautement recommandable et finalement c'est peut etre le dernier bon Michael Mann!

Quand te reverrais je, technique merveilleeeuusse?
- Import Zone ABC avec VQ et STF sur film & Bonus -

Image 10/10: Rien à redire, aspect documentaire, granuleuse à la Mann, détaillée, couleurs chaudes, du boulot bien fait! De la production récente quoi!

Son 10/10: Vu en VO DTS HD (VQ à hurler de rire!). La dynamique est bien costaud avec des basses ravageuses (l'attentat du début) et la répartition avant-arrière est parfaite (toute la séquence sur l'autoroute et la séquence finale).

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Reservoir Dogs 9.5/10

Premier Film de QT et déjà un chef d'oeuvre!

L'introduction du film suffit à elle seule à imposer les talents multiples d'un Tarantino encore débutant. Science parfaite du cadre (on dirait vraiment du Carpenter dans le sens inné de placer sa caméra) et dialogues au scalpel, le décorticage de "Like a Virgin" et surtout le speech sur les pourliches marque les esprits d'emblée et installe avec talent une galerie de personnages aux caractères très différents.

Quasi huis clos à la narration complètement destructurée (marque de fabrique du réalisateur), le film repose essentiellement sur les dialogues et les joutes verbales d'un groupe de malfrats moisis après un casse minable raté. Ponctué de flashbacks sur l'arrivée de chacun sur le job, le fim se suit sans le moindre ennui. La raison principale en est le talent incroyable d'écriture du père Tarantino qui, en une 1h30 de film et autant de nombreuses répliques hyper ciselées, arrive à s'attarder sur plusieurs personnages majeurs, sans en négliger un. C'est souvent passionant, volontairement con, bourrin et surtout ordurier (ça rappelle le Scorcese de la bonne époque avec son flot de Fuck à toutes les sauces). Le seul qui aurait peut etre mérité 5 minutes de plus c'est le psychotique Mister Blonde, réduit à une trop simple scène de torture. Sinon pour le reste, Keitel, Buscemi, Roth (dans une moindre mesure) et le défunt frère de Sean Penn sont parfait dans leurs roles.

Les scènes marquantes s'enchainent à vitesse grand V. Au delà de l'ouverture, la première rencontre Buscemi / Keitel, le flashback sur Vic Véga, le coupage d'oreille, l'histoire de Tim Roth, la BO passée à la postérité (personnage supplémentaire) et le final sont autant de moment de bravoures cultes, de la part d'un mec ayant pour unique but, partager son amour du cinéma Bis. Le film suinte de références multiples à chaque plan (Certes, on ne les reconnait ou on ne les connait pas toutes mais certaines font tellement plaisir à voir).

On résume bien trop souvent Reservoir Dogs à un film extremement violent. Hormis la torture du flic (à l'époque on ne parlait que de ça et finalement, elle est rapidement eclipsée par d'autres instants bien plus savoureux), le film est surtout un formidable revival du film noir aux répliques qui claquent et à l'humour bien particulier. Un classique instantané.

Le monde est divisé en deux catégorie, la technique et ceux qui creusent. Tu creuses.
-Zone B-

Image 8.5/10: C'est pas si mal finalement et ça dépend beaucoup de la source. Autant le zone A de Lionsgate que j'avais vu sur mon videoproj me paraissait trop sombre et brouillon, autant sur un mon Full HD 90cm, la copie de ce zone B est plutot bonne. Trop sombre par moments (le défaut récurrent des deux éditions), le master est bien nettoyé à l'exeption de deux trois petites taches noires au début. Sans etre un top (petit budget et ancienneté oblige!), l'image se tient bien offrant de jolies arrières plans bien définis et finalement tres peu de fourmillements.

Son 8/10: Enveloppe correcte avec pleins de petits bruits d'ambiance. La répartition est très agréable et parfois très précise, le meilleur exemple en est la scène finale avec en bruit de fond, Buscemi se faisant chopper par les flics. Sur les avants c'est très clair. Reservoir Dogs étant surtout un film ou ça parle, il ne faut vraiment pas s'attendre à un disque de démo. Meme les nombreux morceaux de la BO trouvent simplement un léger écho sur les surrounds. Pour les basses, faudra repasser. La bande son est comme le film, calme avec de très légères fulgurance sonores ça et là.

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Les 3 Royaumes 7/10:

Un John Woo tronqué de très grande qualité.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que le retour au pays de John Woo aura été salvateur. Et en plus, il s'agit de la version internationale amputée de 2 heures! Et bien pour une version charcutée, il s'agit déjà là d'un excellent film.

Les coupes drastiques se font sentir un peu partout mais ce montage n'enlève rien aux qualités épiques déployées sur le film. Aux commandes d'un budget de 80 millions de dollars, John Woo utilise au mieux son argent pour donner à son film une esthétique ultra poussée (qui se retournera contre lui d'ailleurs). Si le film est à tomber de beauté, on lui reprochera quand meme cet aspect trop propre, surtout dans les batailles. Là ou les Seigneurs de la guerre naviguait dans le crade, le sang et le barbare, les 3 Royaumes est trop clean, sans verser dans le Zang Ymou heureusement. Une approche plus barbare aurait été plus logique (meme Ong bak 2 et son faible budget y est arrivé!). Néanmoins, le film est une claque visuelle et cela malgré quelques SFX bien mal intégré (le plan séquence du pigeon! les myriades de bateaux de Cao Cao).

Coté batailles, le film va crescendo avec une introduction musclée, un milieu hallucinant de beauté et surtout un final de plus de 30 minutes totalement généreux. L'approche stratégique du combat reste la meilleure idée du film. Il est extremement interessant de suivre les nombreuses explications (utilisation du décor, importance de la météo, gestion de l'espace...).

Le casting est globalement très bon et pourtant dieu sait que je peste contre le jeu asiatique. Tony Leung est toujours aussi charismatique. J'aime beaucoup l'acteur qui joue son conseiller, celui qui maitrise la météo! Takeshi Kaneshiro, malgré un role fort, est relativement transparent.

Pour son retour à HK, John Woo retrouve sa liberté et cela se fait sentir. Il enchaine les ralentis iconique (les poses au combat de certains personnages sont vraiment magnifiques, Tony Leung et l'un de ses généraux dos à dos, aie aie aie!), les beaux mouvements de grues et il se montre toujours aussi généreux dans l'action. La séquence finale est à ce titre dantesque! Bataille navale, bataille d'armée terrestre, combats au sabre, le tout dans une furia visuelle qui force le respect. Je le répète mais malgré les gerbes de sang (pas numérique merci!), c'est un peu trop gentil tout ça!

Tiens un top John Woo!

1- A toute épreuve, le gunfight élevé au rang d'art!
2- Une balle dans la tete, un sujet fort aux scènes d'action dantesque!
3- Last Hurrah for Chivalry, le meilleur hommage à Chang Cheh et à sa Rage du tigre!
4- The Killer, un classique!
5- Le syndicat du crime 2, une séquelle à l'histoire naze mais aux gunfights frappadingues!

Technique...Oiseau à la grise robe, dans l'enfer des villes tu te dérobes!
- Zone B -

Image 10/10: Splendide, à couper le souffle, l'une des plus belles du support. Si la version longue est du meme niveau, c'est du tout bon.

Son 10/10: Magnifique de détail dans les moments calmes (une façade avant limpide) et très agressive (parfaite utilisation des surrounds et du caisson) lors des nombreuses scènes de batailles.

[Scalp]

Prépare ton 10 pour la version longue.

[Pathfinder]

Vu il y a quelques temps déjà et c'est vrai que bon...y a un monde entre les deux versions. Woo a frappé sacrément fort en tout cas.

[Alegas]

Ali 6.75/10:

Un Biopic profondément humain réalisé par un Michael Mann cédant du terrain aux sirènes de l'esthétisme outrancier.

Porté par un Will Smith habité et en état de grace, Ali se révèle avec le temps très irrégulier. Le film de Michael Mann s'ouvre sur une séquence flamboyante qui mérite à elle seule le statut de chef d'oeuvre. Sur une musique de Sam Cook, on découvre un modèle de montage parallèle d'Ali à deux époques de sa vie.

Le coté humain cher au réalisateur est parfaitement mis en valeur et l'on sait, dès cet instant que le film ne sera pas un simple film sur la boxe. Malheureusement, ce dernier ne tient pas la distance. Ponctué ça et là de séquences magnifiques (le premier combat, l'assassinat de Malcolm X, l'arrivée au Zaire, l'entrainement avec les enfants d'une perfection hallucinante.), Ali se prend, de trop nombreuses fois, les pieds dans le tapis, le faute à un Michael Mann plus soucieux de la beauté de ses cadres (et ils sont nombreux) que de l'interet meme de certaines scènes, confirmant ainsi les mauvais tics à venir de Miami Vice et Public Enemies.

Récurrence du cinéma de Mann, l'homme et ses convictions sont au centre de l'approche du réalisateur. Son appartenance et ses ramifications à la nation de l'islam ainsi que son amitié avec Malcom X sont bien traités au travers d'un Ali plus paumé qu'impliqué réellement. C'est dans la trop longue partie sur son refus d'incorporation (pourtant fait on ne peut plus marquant de sa vie) que le fillm s'embourbe. Ali manque de tout perdre pour suivre ses idées envers et contre tout et ça on l'aura bien compris, pas la peine d'etre redondant à ce point avec un amonsellement de scènes musicales inutile et trop nombrilistes (regardez comme mon plan près du visage est beau!). Le rythme en patit clairement, les 2h30 de métrage n'étant pas clairement pas indispensable.

Le film renait de ses cendres avec le combat au Zaire ou à nouveau le talent de Mann explose. Le footing au milieu des enfants est d'une beauté plastique et artistique sans faille. Tout est parfait, le cadre, le regard de Will Smith et surtout la musique. Mon dieu que c'est beau! Néanmoins, Mann va à nouveau nous souffler le froid avec le combat contre Foreman. Ce combat mythique (When we werre Kings est à ce sujet beaucoup plus passionant!) passé à la postérité devient très vite rébarbatif, car étant trop une copie carbone du premier combat contre Sonny Liston. La redite est trop flagrante pour y adhérer et ressentir une quelconque émotion, un comble pour un match aussi historique!

Comme toujours, la direction d'acteurs de Michael Mann est parfaite. Tous les acteurs sont au diapason, délivrant une performance de grande qualité. Will Smith est bien evidemment habité comme jamais entrainant dans son sillage tout le reste du casting, à l'image d'un formidable Jamie Foxx (que l'on savait déjà très bon) et un surprenant Mario Van Peebles.

Ali reste donc un Biopic interessant mais beaucoup trop emprunté pour restituer la flamboyance du personnage central.

La technique, ça ose tout. Et c'est meme à ça qu'on la reconnait!
- Zone B -

Image 9.5/10: Enfin Studio Canal se décarcasse et ça donne un résultat quasiment parfait. Hormis quelques séquences de nuit ultra bruitées à la Miami Vice, le reste est un sans faute avec un piqué d'image somptueux, des arrières plans très précis et des couleurs éclatantes.

Son 10/10: Immersion totale pour les ambiances de combat mais surtout pour les nombreux morceaux qui jalonnent le film. Du DTS HD de haute volée.

[Pathfinder]

Blade Runner 10/10: Peut etre le plus grand film de SF de tous les temps.

Alchimie parfaite entre esthétique minutieuse, musique magnifique, fable humaniste et personnages inoubliables, Blade Runner cotoie la perfection sur 120 minutes. Sous couvert d'une simple chasse à l'homme (réplicants plutot!) par un détective usé, le film de Ridley Scott se permet un niveau de lecture multiple et extrèmement riche doublé d'un lyrisme envoutant.

Hommage aux films de détective des années 50, vrai film de SF, ode à l'humain et ses félures, Blade runner aborde toutes ces thématiques complexes avec une aisance désarmante. Prenant bien son temps le rythme étant très lent, quasi hypnotique, le film est une quete pour chacun des personnages, principaux comme secondaires. Il n'y a ni gentils, ni ordures seulement des etres en souffrance à la volonté de vivre.

Harrison Ford, clairement son meilleur role, campe un Deckard en surface bourru mais finalement laissé pour compte par la vie, en recherche d'amour et voulant par dessus tout se prouver quelque chose (est il un réplicant finalement?). Et que dire de Rutger Hauer, némésis de Deckard finalement pas si éloigné que cela dans ses desseins. Le final sur le toit ou il raconte son passé est à tomber, résumant ainsi parfaitement l'idée du film. Le monologue de Batty est simplement fantastique et offre à cette séquence une émotion rare.

Blade Runner ne serait sans doute pas aussi touchant sans la sublime partition de Vangelis. L'exempe le plus flagrant, c'est le flinguage de Joanna Cassidy (splendide ralenti) prenant une dimension supplémentaire. Dans un premier temps violent et logique, il devient quasi-poétique et d'une beauté hallucinante. C'est peut etre l'une des scènes les plus belles et les plus chargées en émotion que j'ai vu!

Entre science fiction et poésie, Blade Runner réussit cet extraordinaire équilibre dans un genre plutot casse gueule. Bide en son temps, le film méritait bien cette réhabilitation. Chef d'oeuvre parmi les chefs d'oeuvre, Blade Runner reste le plus grand film du riche CV de Ridley Scott.

Tu aimes la technique? Ca tombe bien, j'te casse les oeufs!
- Import Zone ABC avec VF et STF sur film et bonus -
Test sur le Final Cut (1er Blu ray)

Image 9/10: Passés quelques fourmillements pénibles, c'est une copie somptueuse qui s'offre à nous. Nettoyée, précise, l'image de Blade runner possède un rendu parfait. Jamais vu le film comme ça avec des couleurs aussi solides et parfaitement saturées. Pour avoir eu la VHS, toutes les versions en dvd, c'est tout simplement un enchantement de redécouvrir Blade Runner en Haute définition.

Son 9/10: Répartition optimale, basses surprenantes, surrounds limpides, le son, à l'instar de l'image, est une redécouverte totale. Privilégier la VO True HD pour plus d'ampleur.

[Heatmann]

les meilleur combat de boxe au cinema realiste , leches , estetisant , different les uns des autres, proche des vrai rencontre mais aussi personel au real , montage et placement immersif et styler , clair que la studio canal a fait du beau boulot pour profiter de ce film hautement sensoriel

[Pathfinder]

Rocknrolla 3/10:

Pfff!!! je ne sais plus quoi penser de Guy Ritchie moi.

Plus les films s'enchainent et plus ça devient mauvais. Ritchie fait du sous Ritchie, recyclant inalassablement les qualités de son seul bon film, Arnaques, crimes et botaniques.

Alors Rock'n'rolla, il faut savoir que c'est très, très, très, trop long avec des situations dont on se fout éperduement tout comme la foultitude de personnages inisignifiants qui jalonnent le film.

Seule chose à sauver, c'est uniquement la poursuite avec les Ruskoffs qui, soit dit en passant, est une redite lointaine du personnage de Boris the Blade dans Snatch. Ritchie s'autoparodie, j'vous dis!

Coté acteurs, il faut vraiment faire quelque chose avec Thandie Newton, elle ne sait absolument pas jouer, c'est une horreur sans nom! Le reste du casting a l'air de s'en foutre royalement à l'image du méga surestimé Gérard Butler, de Mark Strong, qui a la cote en ce moment (je ne comprends vraiment pas pourquoi car il est très souvent mauvais)et d'un léthargique Tom Wilkinson.

Finalement, Revolver c'était presque pas si mal!

"Meurs! Pourriture technique!"
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Image 10/10: Parfaite et débordante de détails. Les plans de Londres sont magnifiques (mention spéciale pour les séquences se déroulant dans le stade de Manchester United).

Son 10/10: A voir seulement en VO True HD pour la dynamique et la répartition a couper le souffle. Ritchie aime les effets sonores et ça se sent clairement sur celui là

[Heatmann]

pfff tu post bien trop vite et en rafale on a meme pas le temp de rebondir dessus que y a deja une autre critique intercaler

[Pathfinder]

les meilleur combat de boxe au cinema realiste , leches , estetisant , different les uns des autres, proche des vrai rencontre mais aussi personel au real , montage et placement immersif et styler , clair que la studio canal a fait du beau boulot pour profiter de ce film hautement sensoriel

Je préfère me revoir cent fois Raging bull. J'ai meme trouvé Fighter mieux et plus intense qu'Ali! J'crois que le film de Mann aura bien du mal à passer les années.

[Pathfinder]

pfff tu post bien trop vite et en rafale on a meme pas le temp de rebondir dessus que y a deja une autre critique intercaler

Je copie mes critiques de rama, ce sera plus calme après! Puis t'as qu'à taffer si t'es pas heureux!

[Heatmann]

les meilleur combat de boxe au cinema realiste , leches , estetisant , different les uns des autres, proche des vrai rencontre mais aussi personel au real , montage et placement immersif et styler , clair que la studio canal a fait du beau boulot pour profiter de ce film hautement sensoriel

Je préfère me revoir cent fois Raging bull. J'ai meme trouvé Fighter mieux et plus intense qu'Ali! J'crois que le film de Mann aura bien du mal à passer les années.

non mais la je parle pas du film en entier et aimer ou pas aimer , je parle juste sur les combat .

[Scalp]

Rockn rolla tout le non cinéma de Ritchie en action.

[Pathfinder]

En meme temps, j'ai repondu au pif. Je comprenais rien à ton post.