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Spécial Roms Déliquance des “Roumains” en Ile-de-France : +72% en un anSelon cette étude policière datée de début juillet et émanant de plusieurs services de police du “grand Paris” (Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), la “délinquance générée par les ressortissants roumains” a augmenté de 72,4% au premier semestre 2011 par rapport au premier semestre 2010. 5.680 Roumains ont été “mis en cause” sur la même période pour des larcins, dont une majorité de mineurs, contre 3.294 sur les six premiers mois de 2010, poursuit le document.
Cette hausse constatée par la police n’est pas nouvelle. En pleine polémique sur les expulsions de Roumains roms en région parisienne, le précédent ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, avait affirmé au cours de l’été 2010 que les actes de délinquance perpétrés par des Roumains à Paris avaient augmenté de 259% en 18 mois.
Source:
lefigaro.fr-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Des responsables policiers et de la justice s’inquiètent de la délinquance "générée par les ressortissants roumains" en région parisienne qui, selon eux, explose, se diversifie et devient violente à l’égard des forces de l’ordre.La "délinquance générée par les ressortissants roumains" a augmenté de 72,4% au premier semestre 2011 par rapport au premier semestre 2010, selon une étude policière consultée par l’AFP.
5.680 Roumains, dont une très forte majorité de mineurs, ont été "mis en cause" pour des larcins sur les six premiers mois de 2011, contre un total de 3.294 sur la même période de 2010.
Datée de début juillet et émanant de plusieurs services de police du "grand Paris" (Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), l’étude ne fait pourtant que confirmer une tendance policière ancienne.
Un document de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), que s’était procuré l’AFP, faisait déjà état d’une hausse de 69% sur les cinq premiers mois de l’année 2011.
Le précédent ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, avait affirmé au cours de l’été 2010 que les actes de délinquance perpétrés par des Roumains à Paris avaient "augmenté de 259% en 18 mois".
Cette annonce survenait après que, le 28 juillet 2010, le chef de l’Etat eut tenu à l’Elysée une réunion très controversée sur les "problèmes que posent les comportements de certains parmi les gens du voyage et les Roms" après des violences survenues à Saint-Aignan (Loir-et-Cher).
L’étude de juillet pointe l’explosion des vols en tous genres, de téléphones portables ou dans les distributeurs automatiques de billets de banque (Dab), quatre à cinq par jour dans les lieux touristiques, commis "par des mineurs âgés de 10 à 17 ans".
Elle détaille aussi le développement des escroqueries à la charité, de la mendicité collective ou de ventes à la sauvette.
La famille B., activement recherchée par la police, est citée à titre d’exemple car elle fait régulièrement venir des ressortissants de Roumanie moyennant 100 euros par tête pour le voyage en France.
Ceux-ci, raconte l’étude, sont ensuite répartis dans la capitale, qui pour voler, qui pour mendier, en fonction de leur âge, voire "vendre des animaux dans la rue" 100 à 200 euros pièce, faux certificats à l’appui.
Des responsables de la police et de la justice ont fait part à l’AFP de leurs "inquiétudes" à cet égard, citant également des vols de cuivre, qui perturbent le trafic des métros, et l’organisation de jeux de hasard sur la voie publique.
"Ces ressortissants sont très organisés, diversifiés", ont-ils fait valoir. Ils n’"hésitent pas à protéger par la violence" leurs activités en agressant les forces de l’ordre, nombreuses là où ils sont implantés, notamment des Tuileries au Trocadéro.
Des CRS et des policiers en VTT ont été agressés le week-end dernier à Paris, une "tendance récente" faisant dire à un responsable policier : "Soit nous les dérangeons, soit nous ne leur faisons même plus peur".
L’étude rapporte les propos de jeunes Roumains évoquant une peine de cinq ans de prison chez eux en Roumanie pour un vol et "rien en France" s’agissant de délinquants mineurs.
La police, selon les sources, accuse la justice de ne pas les poursuivre plus sévèrement, la seconde invoque la législation, notamment celle sur les mineurs ou des "procédures mal faites".
La présence d’une dizaine de policiers roumains, affectés à Paris depuis les polémiques de l’été dernier, permet cependant à ces responsables de garder espoir face à ce phénomène qui "enquiquine la population" et "plombe les chiffres de la délinquance", selon eux.
Source:
reunion.orange.fr------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Leur grenier hanté par des squatteurs venus de l'EstREIMS (Marne) Depuis un an, un couple de Rémois entend des bruits bizarres dans son grenier. Ce ne sont point des fantômes mais il n'y a pas de quoi être rassuré quand même. Qui aimerait dormir avec un squatteur dans sa maison ?
LES époux X. ne croient pas aux revenants. Aussi ont-ils souri quand des personnes leur ont suggéré cette hypothèse pour expliquer les mystérieux bruits qu'ils entendaient la nuit dans le grenier de leur maison.
Des pas, des coups, des tuiles qui se déplacent… Après plusieurs mois d'interrogation, ils ont enfin une réponse, mais elle n'en demeure pas moins inquiétante elle aussi.
Esprit frappeur
Pour les époux X., domiciliés depuis 1978 dans une maison à l'écart, entre friches et jardins, du côté de la route de Witry, tout a commencé une nuit du printemps 2010. « Vers 2 h 30, j'ai été réveillée par un bruit bizarre », témoigne la dame. « Quelque chose cognait dans les volets de la chambre puis j'ai entendu comme des bruits de pas dans le grenier. » Difficile de vérifier ce qui se passait là-haut car le grenier donne sur le toit, sans accès direct à la maison. « Il faut une échelle et marcher sur les tuiles pour parvenir à la porte. »
Depuis cette nuit de printemps, l'esprit frappeur n'a jamais vraiment cessé de se manifester. « On a d'abord pensé à un chat ou un loir. Une nuit, il y a eu un gros boum. Je me suis dit qu'un chat était tombé de la poutre mais les boums ont recommencé d'autres nuits. Il aurait fallu que le chat ne soit vraiment pas doué. De plus, on entend marcher. Un chat, ça fait des pas de velours et un loir, ça gratte, ça ne fait pas des bruits de pas. »
Le couple en a parlé autour de lui.
« Des personnes nous ont dit que c'était des revenants. Mon oncle étant mort dans la maison, c'est peut-être son esprit qui revenait rôder. Evidemment, on n'y a pas cru. »
Les époux ont commencé à comprendre un soir de mars 2011. « On a entendu marcher beaucoup plus tôt que d'habitude. On en a profité pour guetter dehors. C'est alors qu'on a vu de la lumière dans le grenier. Il y avait donc bien un squatteur à l'intérieur. On a appelé les policiers mais ils nous ont dit qu'on avait mal vu, qu'il n'y avait rien. Ils sont repartis. Plus tard, le bruit a recommencé. Ce soir-là, il y avait deux personnes car on a entendu une dispute. Ça parlait étranger… peut-être un accent de l'Est. »
« Je suis devenue insomniaque »
Bon sang mais c'est bien sûr ! « Il y a des Roms qui squattent dans les environs. On a compris que c'était sans doute l'un d'eux qui vient dans notre grenier. Les bruits ont d'ailleurs commencé après leur arrivée. »
Tout s'est éclairé. « Les volets qui tapent, c'est quand il escalade le mur. Dans le grenier, le toit est en pente. Au fond, comme il est obligé de se baisser, il se laisse tomber sur le plancher. C'est pour ça qu'on entend des boums. »
La dame désespère de ne pas être entendue pour se débarrasser du squatteur.
« La police me dit qu'elle ne peut pas venir. Je suis devenue insomniaque. Je fais de la dépression. J'ai peur qu'il arrive à rentrer chez nous, qu'il nous agresse dans notre sommeil. »
Une autre inquiétude concerne la fragilité du grenier, pièce désaffectée normalement inoccupée.
« A force de se laisser tomber sur le plancher, il va finir pas passer au travers et nous tomber dessus. On dort juste en dessous. »
Source:
lunion.presse.fr-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Bon pour finir le meilleur pour la fin...
Une zoophile succombe au sperme de chienUne femme est décédée d’une «réaction allergique» à la semence canine. Le propriétaire du berger allemand en cause a été arrêté pour avoir contraint l’animal à un rapport sexuel.
Sean McDonnell, un Irlandais de 57 ans, comparait actuellement devant la justice. Ce chauffeur de bus de la ville de Raheen, près de Limerik, doit répondre d’actes de zoophilie.
En 2008, l’homme avait rencontré une femme de 43 ans, mère de quatre enfants, sur un forum fétichiste. Le couple s’était donné rendez-vous afin que Madame se fasse pénétrer par le berger allemand de Monsieur. Mais c’est à ce moment que tout s’est gâté. La femme n’était pas au courant de son allergie au sperme de chien. Elle est morte quelques heures après l’acte suite à un choc anaphylactique.
D’après le quotidien «Limerik Leader», l’homme pourrait être condamné à perpétuité. Non pas pour le meurtre de la femme, mais pour l’acte sexuel avec le chien, en vertu d’une loi jamais appliquée jusqu’ici dans le pays réprimant sévèrement la sodomie avec un animal. Le chien est lui toujours en quarantaine.
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