[Heatmann] Mes Critiques en 2011

[Alegas]

[padri18]

BAD TIMES

8/10

Il se bonifie avec le temps ce harsh times ! j’avais instantaner adore le film , son message et sa description , et plus je le vois , plus il se tasse , plus il prend de la bouteille , plus je « vieillit » et plus il me cause . harsh times il y a le cote purement cinematographique , et pis tout les a cotes , le trucs qui font que « i totally get this movie » . une descente au enfers sec et nerveuse qui ne menage en aucun cas le spectateur .
David ayer avait depuis le debut des annees 2000 prouver un certain savoir faire baser sur ces propre experience personelle , pour ce qui était de pondre des script toujour baser a LA , dans les ghettos du sud de la ville, des environnement urbain apre , un police présente et veroller , une jeunesse desillusiones ( fast and furious , swat, training day , dark blue , street kings .. ) , bref un mec qui reste fidele a ces origines et a defaut d’originalites , exploite plutôt sont authentices veritable .



Apres quelque liasse de dollar et une reconnaissance d’estime gagner sur des film a haut profile , il finance , ecrit , produit et realise ce tout pti film lui-même ( 2 million de dollar de budget de sa poche et celle de Bale ) avec l’aide de christian bale tomber amoureux du projet et de la vision de ayer .
Il fallait faire le film en marge de produit de studio qui ne voulais pas de sa radicalites estomacante . ainsi par le trajet independant , ayer a libre court a ces choix et livre avec harsh times, le taxi driver de sont epoque , sans evidement atteindre les cime de marty, dans les intention c’est ca , et en partie reussit sur tout les points .
C’est pas vraiment fait pour plaire a la masse general , on est la dans le schema du film indi a but artistique et personnel , meme si c’est etablie dans un contexte qui peut attirer plus de monde que les road trip initiatique , le fait que ca se passe chez lez wesh wesh west coast avec un acteur bankable ne doit pas induire en erreur . harsh times est articules autour d’un script tres malin puisqu’il ne pert jamais de vue sont message et fait la part belle a nos 2 personage principaux et surtout bale . Pour decrire le retour niquer de bale apres un tour en irak et les repercution sur les population plus demunis de LA et faire un portrait sans concession de leur combat et survie de tout le jour , ben ayer decortique et nous montre leur quotidient justmenet , et on suit ainsi pendant une bonne partie du film , juste leur sortie et egarement de tout le jour , sans reele arc narratif classic .



Alors oui bon on est pas la a les mater ne rien faire , tout est fait pour culimner a un climax qui pesait sur tout le film , mais disont que les scenette une succession de moment crue, sur le vif , de ce qui peuple tout le jour la vie de ces mec . a ce pti jeu par exemple , je trouve un harsh times plus pertinant , evocateur , et juste que La haine , ouai carrement .
Moi j’aurai pue rester encore des heures et des heures a me balader avec bale qui cherche du taf avec sont pote , deambuler en voiture a trainer , de magouille en arnaque , en galere , en improvisation , en defonce ect … de tranche de vie qui peuvent paraitre futile et pas tres subtile a bcp mais qui resonne et m’evoque plus de chose qu’un born on 4th july dans le genre retour difficile apres la guerre .
Bale dechirre l’ecran , sont language choquera les moin habituer a la dure realites , et pourtant c’est tres pertinant et realisate , une putain d’interpretation , de transformation , jamais on voit bale faire chaud mais plutôt depaintre un anti heros complexe et dechirer entre une veritable belle histoire d’amour , une grosse belle amities qui est au cœur du film , et une redemption impossible . pis gun en main , le marcel bien mouler , le regard intense et borderline , pfff il envoie du lourd le chri-chri .
Le pti freddy rodriguez s’en sort aussi tres bien , niveau interpretation isoles, c’est moin naturel que bale , mais plonger dans cette ensemble et decorum , c’est limpide . Eva sert a rien , sont role est pas ecrit , le fait est qu’une actrice connue est accepter se pti role , au moin elle est bonne a mater et joue plutôt bien un role serieux . Leur couple est un peu caricatural , rien de trop plombant .



Terry crews passe pour une courte scenes , on le croirait sortie de Friday ! tout les autre gangsta sont interpreter par des ex gang member , on s’y croirait .
Evidement l’ambiance urbaine est granuleuse et violente , un peu de travaille sur la photo et une mise en scenes sur le vif et a crue renforce le coter rude et a fleur de peau .
Ayer propose une plonger contemporaine et infernal dans les entraille pourrie de LA , comme un pti marty en sont temp . ca approndie quelque grand theme inserer dans une intrigue plus personele a hauteur de personnage , plus intime . un chaos sombre , tres noir , crepusculaire, souvent montrer a la tomber de la nuit. Les escapades entre pote au Mexique font sembler pendant un court moment , de paix retrouver , avant de culminer dans un climax inevitable et amere .
Mouaip , gros mechant coup de cœur la , bale tue , dit comme ca on dirait une suite d’eloge dythirambique gratuite, mais a l’ecran sa impressione . un cauchemard qui reste en tete apres coup , des dialogues vecut , un film qui ne prend pas le spectateur par la main pour le seduire , certain resteront sur le carreau , les autre partageron ce temoignage un brin egoiste de ayer , epatant , carrement .

[Heatmann]

MORT SUBITE

7/10

Apres plusieur succes video et dans des film d’action de moin gros calibre , Jc herite avec mort subite enfin des vrai grosse serie A de studio , de l’actioner pas uniquement monter sur sont nom , un enieme die hard like soutenue pas un budget et une equipe technique aguerrie . Sudden death c’est toujour bien sympa et bon a prendre dans le genre

Hyams a la realisation assure un excellent travaille de decoupage de sequence , on commence le film avec un gros plans sequence avec Van damme pompier a la backdraft , puis tout les huit clos dans l’arene de hockey est tres bien gerer dans le temp quasis reel et la structure du batiment .

C'est bien R il defonce du bad guy a la pele , que se soit le combat dans la cuisine ou dans les couloir des vestiaire .

Meme si le film arrive tres vite dans la vrai arene de hockey ( avec les vrai licence nhl , c est bien ca , tout est tres realiste, une prise d’otage qui fait jamais toc ) ca prend sont temp , mais ca a l’avantage d’aller crescendo , autant ca peine a rentrer dans l’action , autant , plus sa avance et plus ca enchaine sans aucune souffle les baston , fusillade, petite phase a la mcgyver ect…

Bon le cahier des charge du die hard like est respecter a la lettre . Power booth est un mechant tres mechant , il bute sans remord plein d’otage a la pele , jolie bodycount general dans le film . les homme de mains on des sale tronche et Van damme en heros du jour est impecable , la panoplie total .
. le budget a quand meme permit de jolie cascade , et plein de figurant , y a un deferlement de flic et de moyen qui sentent bon les 90’s glorieuse .
Un bon plaisir retro tout de meme

[Scalp]

Pas revu depuis sa sortie celui là et j'en garde un bon souvenir.

[zack_]

Pareil un bon souvenir!

[Heatmann]

JUICE

7.5/10

Une chronique de la jeunesse de brooklyn au debut des 90’s . juice reste toujour un film brute , sec , a vif , une petite saga urbaine qui se montre meme un poil trop sincere et fragile , ce qui rend le debut du film un poil caricatural et « facile » . Reste que dickerson ecrit avec ces tripes , ces propre experience et a aussi bien apris a l’ecole spike lee , et ca se resent . alors oui en plus du debut un peu trop schematiser qui a aussi un peu viellit ( le film date de 92 , et ca fait pas aussi modern et pertinant que clockers ou Fresh du meme genre ) mais le message, les themes et les personnage du film reste des figure bien solide qui assure un recit tres rhtymer et prenant , bien plus qu’un new jack city qui s’eparpille un peu trop et viellit moin bien , mais moin que boy’z in the hood qui reste une reference et bien entendue sans parler du chef d œuvre des frere hughes

un pti classic quand meme


Comme d’hab on suit le parcoure et le quotidien de 4 pote , de character et destiner differente meme si les origine et evolution sont semblable . Omar epps est excellent en Q , le plus serieux de la bande , qui pense plus au rap qu’au petit braquage qui rapporte pas grand-chose . Tupac lui , vole carrement tout le film , un vrai performance impressionante pour sont 1er role a l’ecran . faut dire que le perso de bishop est limit autobiographique , du coup le natural de pac est impressionant et glacant . Bishop est a trop de chose a prouver , megalomaniac et autodestructeur , il fascine rapidement , et inssufle encore plus de rage a un film déjà bien en colere et sans concession.

Alors le script montre bien cette descente au enfers, cette guerre d’influence et de corruption moral , ca glisse doucement de la glandouille deconnade avec querelle de bande rival , au reglement de compte fratricide , mortel , froid , impityoble . C’est un peu dommage que peut etre le manque d’experience de dickerson seul maitre a bord ici se resent dans sa trop grande honneteter dans la facon dont il fait la caracterisation de sont quatuor durant au moin 25/30 minute . l’ambiance in da hoodz est un gros plus et c’est super authentique , mais les psychologie font un peu figure imposer pour avoir un panel representatif .

La lente destruction du groupe prend peut a peu place quand ils se retouve face a de vrai probleme de conscience et quand il faut prendre de position , . Tout semble inevitable, la violence eclate la ou l’attend pas vraiment ,et ca fait mal , aussi bien physiquement , que dans le cœur et moralement pour nos homies . Bon sans suprise la Bo dechire avec que du rap de brooklyn influencer par Pac et sont style Raw . la realisatione est sans reproche , au plus pres du bitume , sans esbrouffe et utilisant bien sa jungle urbain comme decor et personnage secondaire qui plane au dessus de tout . on retrouve plein d’acteur black connue maintenant qui fesait leur debut ici . Juice est composer de plein de moment melancolique , de petite tranche de vie nostalgique et dramatique a la fois , et qui met bien plus l’accent sur ce qui est important et vrai , qu’un 8 mile ( je parle meme pas de get rich ou notorious , ca fait peur les film from the hood 00’s quand meme ) qui s’en est bien inspirer et qui fausse pas mal la donne , l’un est interresser, l’autre est honnete et sincere .

[Heatmann]

PASSION PLAY

0/10

Une purge sans nom , facilement l’un des film les plus pitoyable que j’ai vue . un ratage a tout les point de vue , un crash filmique au proportion cosmique . Des merde de ce calibre il y en a peu , la les mec se sont surpasser, du tres tres lourd . Mickey est completment a l’ouest et fait franchement pitier, une histoire de redemption fantasmer , d’anges , de freaks et de gangster , a la sauce mega nanard involontaire tellement c’est rater .
On dirait uwe boll qui remake arizona dreams . megan est meme pas trop a etre prise en cible , elle est meme plutôt bien dans sont role , et s’en sort mieux que tout le monde . Murray c’est rendue compte dans quelle galere il c’est fourrer . C’est immonde comment c’est mochet et saboter visuellement , les sfx sont risible , ca a ni queue ni tete et pis le serieux avec lequelle les situation aberante s’enfile en devient consternant . Cerise sur le gateau , la fin nous apprend qu’on c’est bien fait enculer et que tout le film ne sert a rien , merci ! j’ai déjà mis 0 a des truc bien meilleur , donc aucune hesitation ici .

[Scalp]

[Milkshake]

ça a l'air drôle a réserver pour une soirée arrosé

[Killbush]

La bande annonce sentait déja bien mauvais, hormis pour ceux qui veulent juste voir Megan en lingerie. Je passe mon tour

[Heatmann]

ouai le cast m'avait attirer , pas que megan , mickey et murray aussi , mais putain ca fait mal de tel desastre, en plus la , c est franchement megan la meilleur a l'ecran , si si . au moin le film a l'avantage de faire passer jonah hex pour une mega bombe

[Alegas]

RAGING BULL

10/10

Dur dur de faire une critique de raging bull . ce genre de chef d’œuvre intemporel , qui nous fout une claque artistique a chaque fois et fait relativiser pas mal sur la valeur des production actuelle , ce genre de film on se dit : ouai , ben ouai , rien a dire , je comprend pourquoi il a passer les decennie avec ce statut de bullbozer cinematographique . Et pis que dire de plus qui n’as pas déjà été dit sur ce film .
Donc jvais faire bref et dans la banalites quoi . Alors raging bull je trouve ( enfin que je dit JE j’ai l’impression que ca fait un peu con vue « l’aura » du film et que ca fait un peu enfoncement de porte ouverte quoi ) qu’il fait partie de ces rare film parfait , de la meme manière qu’un apocalypse now , ou blade runner, c’est des film sur lequelle j’ai absolument rien a redire a aucune niveau et je trouve ca meme intimindant d’en parler tent on sait pas par quelle bout les aborder .

En dehors des consideration general , qui font du film une putain de fresque qui eleve le terme d’etude de personnage au rang de creation magistrale , a titre perso , raging bull me fascine toujour plus a chaque visionnage , et s’avance toujour plus haut dans mon top 10 ultime . il a LE truc en plus qui le rend hypnotisant , magnetique , intrigant , la facon dont marty et bob decortique non seulement ce personnage, mais aussi tout sont entourage , ces origine, sont environement , sa famille , sont parcoure, bref c’est dense , touffue et reserve toujour des decouverte qui laisse admiratif .

Déjà la genese du film qui c’est fait dans la douleur , l’adversiter, le doute et la determination a par consequent pousser ces 2 artiste au top de leur forme a se vider les tripes et donner le meilleur d’eux meme ( dailleur marty a souvent declarer qu il était persuader que raging bull serait sont dernier film et voulait donc tout donner car rien a perdre et faire sont film le plus personnel , le plus crue ) et c est dans ces condition qu’ils accouchent de ce qui deviendra bien plus qu’un simple portait , repoussant les limite du biopic .
Le vie tumultueuse du taureau du bronx était le sujet ideal pour bob et marty, la motta venant du meme milleu que les 2 hommes . la motta ajoute a ces origines italo-new yorkaise , tout le contexte de la boxe et sa culture . la psychologie du bonhomme permettai aussi d’offrir un film tres riche thematiquement .

la classe eternel



Jamais la boxe ne fut taiter ainsi auparavant et ne le sera plus jamais par la suite . la boxe est jamais montrer comme le simple sport ou metier que jake exercait , mais comme une veritable metaphore sur l’etat d’esprit dans lequelle la motta s’enfoncait et s’epanouissait . Pour cela , marty avait a cœur de presenter une mise en scene hautement reflechis et penser comme l’aboutissement de sont œuvre formelle et transcander par l’image le script de schrader baser sur l’autobiographie de lamotta himself , en resulte une realisation virtuose qui donne plusieur niveau subtil de lecteur , des sous texte ebourrifant de substance quand on ecoute marty en commentaire audio decortiquer ces plan , ces sequence et ce qu’elle represente formellement par rapport a ce qui est insinuer par le texte ou les emotion des acteur , et la , tout prend un sens et on se rend compte combien scorsese est un genie et un artiste epoustouflant .
Autant goodfellas c’est LE pur scorsese au niveau du sujet et de la realisation , autant casino c’est sont feux d’artifice opulant , autant la avec raging bull , c’est sa joconde quoi , sans l’ombre d’un doute .
Pour la choregraphie des combat, leur dynamise , realisme et le montage , marty s’inspire de kurosawa et de rashomon et choisi plusieur angle et point de vue pour la meme action . De plus marty choisit le noir et blanc qui accentue selon lui la dualites du personnage et evite au combat de prendre trop d’importance par rapport au choc visuel que le sang rouge donnerait . le script depressif et noir de schrader fait peur a united artist qui voit un film completement anti commercial , un boxeur auto destructif et un real et un acteur qui souhait un film authentique et sans tabou larmoyant et valorisant le mec . heureusement que rockey venait de faire un carton , sinon le film aurait surment pas vue le jour .
Ca tombe bien , car le film se montre comme une therapie salvatrice pour scorsese qui était au fond du trou , apres plusieur bide , un addiction narcotique et de gros probleme de santer , il fait le parrallele avec les penchant autodestructeur de la motta et en parlant longuement avec le boxeur , il se trouve meme face a un mirroir , ils aller dans les meme recoin sombre de l’humaniter et souhaite en temoigner .

Marty reecrit un peu le script lui-même avec deniro ( les 2 foutent leur pognon aussi ) et la motta et par filmer en exterieur dans le bronx et dans les appartement de NY , aucune studio , sauf pour les scenes de boxe car scorsese voulait rentrer dans le ring et faire sentir chaque coup au spectateur . et comme chaque combat et different , chaque combat sera filmer de facon differente aussi . Scorsese restra ainsi pour tout les fight , a l interieur des corde avec son chef op et les 2 boxeur .
Pareil pour le son , marty passe 6 mois en post prod rien que pour le mixage son ! truc de ouf ! comme pour l image il veut un traitement different a chaque combat qui reflet la condition et etat d esprit de lamotta .
Les effet surround sont pris par perche , et les dialogue sur le ring redoubler en studio et mis en avant pour montrer la concentration de jake par rapport a la foule , ou inversement .
Le script elabore des transition savante entre les grande phase importante de la vie de la motta , entre l entreinement , les combat , sa vie de famille et sont entourage mafieux et amical . tout ca se melange dans la plus grande fluiditer , et s’etale sur une grande periode , une veritable fresque humaine .
La qualites d’ecriture laisse pantois aussi , tres authentique et pleine de sincerites . les dialogues de scenes de menages sont aussi incisif que les querelle entre male alpha dans les rue du bronx ! je pense pas non plus avoir a revenir sur le niveau d’approfondissement des personnage secondaire, tous interpreter par la creme des acteur italo americain made in NYC . pesci est la , et sa relation fraternel est aussi fouiller et nuancer que celle entre jake et sa femme , cathy moriarty , impecable, jeune mais pas fragile . toute la clique des fidele a marty sont la aussi dans les autre role .
Que dire de De niro , tout a été déjà dit la aussi . le summum de la methode actor studio . l’effacement de l acteur devant le personnage est total , et l’implication au dela de la simple creation . bob apprend la boxe et mimetise la motta dans son language corporel , une interpretation legendaire qui a plus a rien a prouver . bon voila ma succession d’eloge inutile a l’edifice raging bull , si il attein le titre de Greatest , de culte , de mythique , c est bien pour une raison ! rahh que ca fait du bien de se faire plaisir comme ca , le bluray 30ene anniveraire est a reserver au fan du film , les cinephile de gout , et la il a du bonus , du commentaire audio et une image/son qui fait du bien par ou sa passe !

[Alegas]

[Scalp]

Pas fan du film pour ma part, j'ai un gros soucis avec le script qui me captive carrément pas.

[Heatmann]

A l'eternel question , tu prend que 5 film sur une ile deserte, ben moi raging bull y est sans l 'ombre d'un doute ( avec blade runner , apocalypse now, godfather et heat , ouai bon que du classic mais c est dans les vieux pot qu on fait la meilleur soup ! ) , et enfait meme devant n importe quelle autre marty , si le film ferait 5 heure en nous montrant encore plus de la vie de lamotta , ce serai meme limite number 1 pour moi , limite hein , peut pas deloger heat