HANNA
7.5/10
Sacrer bon moment de cinema , tres atypique , un melange qui plairas pas au plus nombreux , mais force est de constater que le film reste en tete bien longtemp apres l’avoir vue , ce qui est bon signe , des sequence et personnage fort qui fascine , un etrange mix qui fonctionne autant au sensoriel qu’a l’adrenaline .
Le pitch et parie de faire une sorte de bourne avec une fillette de 15 était assez oser , et le traiter comme une metaphore de la puberter autant qu’un conte de fee qui tourner au reglement de black ops de la CIA apporte au film toute sa fraicheur , sont originaliter et singulartiter . Bien que hanna reprend une trame déjà vue plusieur ( ne serait que bourne dont il est un vrai deriver ) et des enjeu et code propre au film d’espionage parano , la quete d’identiter et du vrai film d’action aussi , on a vraiment l’impression de voir quelque chose de neuf , de frais , de jamais vue avant , en tout cas jamais traiter comme ca, et a l’heure actuelle ca fait vraiment du bien et saute au yeux comment joe wright a pondue une pelloche qui sur le papier peut sembler absurde et qui est au final rendue hautement credible , on croit a tout ce qu on voit a l’ecran , et prenant car mener a un rythme d’enfer et des acteur au top de leur forme qui s’agite sous les camera d’un realisateur tres doues qui livre ici une mise en scenes virtuose tout simplement parfaite .
Hanna , imaginer un peu , une version realiste de hit girl de kick ass qui passe pour une barbie a coter de hanna , le sourire et la legereter en moin , et ca donne une idee . le faite que hanna soit ado veut pas dire que wright a voulue faire un bourne pour les fan de justin bieber, non , il place sont heroine au cœur d’une conspiration somme toute assez legere qui est le pretexte pour livre un film tres sophistiquer dans sa forme , un veritable exercise de style qui ne peut que laisse admiratif tout cinephile , une parfaite cohesion de l’image et du son ( j’y reviendrait ) et un script assez epurer, qui met plutôt l’accent sur la psychologie et les relation des 4/5 personnage principaux, leur quetes, ce qu’elle represente , leur passer , leur pulsion , plutôt qu’un scenario reelement touffue .
Bon un des rare petit bemol c’est que oui on a bien compris tres vite les metaphore entre la course , la survie et la quete de hanna avec l’adolescence et toute les symbolique qui traite le film comme un conte de fee moderne , sauf que au bout d’un moment wright en abuse un peu , et jusqu ‘a la fin meme . c’est un peu surligner et tout les conte connue semble avoir été repetorier minutieusement pour apparaitre dans le film dans des illustration les plus varies et subtile , ou pas . tout la panel des frere grimm , la mechante sorciere, le petit chaperon , le mechant loup , hansel gretel ect ect ect … less is better than more , la ca fait un peut overdoser et suligne lourdingue , enfin ca enleve pas que ca fait une bonne partie de l’identiter du film , mais un peu plus de nuance aurait pas fait de mal .
On entre dans le film sans trop d’indication , la 1er demi heure est proche de la perfection , a tout le plan , clair et net . une construction enigmatique , envoutante , d’entre hanna nous subjuge, en apparence angelique , frele , douce , et a passer toute sa vie a vivre dans les bois en alaska avec papa qui l’entreine au combat a main nue, a la chasse, la mise a mort, la survit, lui apprend toutes les langues parler dans le monde , lui lit des encyclopedie le soir au coin de feu , il l’a prepare …. La prepare, comme une machine a tuer qui bientôt devient trop douer pour lui-même , mais la prepare a quoi ? elle se dit prete meme , on les entend parler de date , de lieu, un agenda minutieux et precis , pis tout ca beigne dans une beaute visuel majestueuse , les decors silencieur du grand nord aide bien , les grand plan large souple, les travelling lointain comme si on les scrutait de loin … Pis déjà la , saorise fait un boulot monstrueux , quelle actrice putain , arriver a rendre credible une gamine pareil , etre aussi innoncente que dangeureuse , bravo, et c est que le debut , elle va devenir de plus en plus complext et nuancer une fois « lacher en liberter » dans le vrai monde . Bana lui est solid comme un rock , un expert , un père attentioner , un ex espion qui cache des secret , une intensiter dans le regard , une vrai presence , et sont perso planera sur tout le film comme ca , il apparait quand il faut ou il faut , rapide , sec, efficasse, pro , pragmatique , un acteur qui tourne peut mais choisit ces projet et role on ne peut plus judicieusement !
L’arriver de la team d’intervention en vision nocturne dans la cabana d’hanna c’est juste une des plus belle et jouissive scenes que j’ai vue de l’anne ! visuellement a tomber, un decoupage terrible, et pis comme tout le film , la BO de chemical brothers est une tuerie sensoriel qui eleve le film . les sonorites sont fracassante et souligne l’ugence et la brutalites de l’action , de plus tout le boulot sur le son , pas que la BO , est tres precis et prend de la place dans le message que les sequene font transparaitre , des buitage mis en avant , on est comme hanna qui decouvre le monde , a l’affut , les sens s’eveille .
Hanna est pourtant un pur produit de sont epoque , c’est juste que c’est traiter comme une experience arty autant qu’un rush non stop . le coming of age est present , surtout pour le passage ou hanna squat avec une famille anglaise de parent hippie , quelque derive mignonette qui sont vite rattraper par les poursuivant de hanna , des agent de la CIA sans scrupule ainsi qu’une equipe de nettoyeur , tous ex nazi skinhead organiser comme une secte de hitman ( tom hollander dechire , et pourtant sont look et sa nonchalance etrange pourrai deranger , et enfait non ) .
plus on avance et plus on se rend compte que c’est aussi une sorte de film sur les origine d’un super heros, un peu un begins quoi . les elements sont la . c’est la que le melange se fait sans qu’on est le temp de grincer des dent , hanna passe des soirer d’ado presque normal , decouvre le camping et les garcon , mais c’est toujour sous les yeux des satelitte espion , elle se rend d’un point a un autre en s’accrochant a un essieu de hummer , et doit tuer quelque poigner d’agent anonyme avant de retrouver sa nouvelle copine .
enfin bon c’est passage prenent pas trop de place, ca dure 1h45 et ca va tres vite, on passe du pole nord au desert aride d’afrique du nord, aucune cgi , tout en decor naturel et on a l’impression de decouvrir chaque endroit pourtant souvent vue au cinema . d’un coter bana qui veille de loin , de l’autre hanna qui poursuit sa mission , et enfin , blanchette qui croise tout le monde . je suis pas specialement fan de blanchette , mais bon c’est une bonne actrice , et la elle nous fait un vrai numero de tireuse de ficelle facon vieux film d’espionage de la guerre froide , d’ailleur le film se poursuite et passe une grand partie a berlin qui bien que le film soit comtenporain , est filmer comme si on était revenue dans les 60/70’s , et c’est pas un hazard , c est la aussi une autre influance hommage que wright a placer ( avec d’autre comme lynch ou kubrick avec la salle d interogatoir sortie de dr folamour , mais c’est juste un placement ici ou la , rien dans le ton , n’ayez pas peur !! ) .
Sinon ben l’action est tres presente , on passe de moment de pur decouverte facon into the wild a un dur retour a la realiter . des combat et poursuite digne d’un vrai actioner moderne, une traque incesente a travers l’europe . Les nombreux combat font evidement echo au style bourne mais aussi a metal gear solid par exemple, sec , breve, efficasse et qui fait mal , rien n’est specialement fait pour rendre spectaculaire ou classe a l’ecran , un realisme qui se suffit , le fight dans les conteiners est encore une fois , une sequence magistrale ( le film en possede plein ) au niveau de la frenesie, de la soudaineter, de la rugueur , un science de plan , du cadrage qui laisse pantois . Comme d’hab wright s’eclate avec ces plan sequence, plusieur depasser plusieur minute et un en particulier , pas loin de 7/8 minute qui suit bana entre de bus a metro , en ville, on le quite jamais , il est suivit, on le suit aussi , et ca se termine par un combat a 1 contre 5 toujour sans coupure, la grand classe quoi et immersive au possible .
Le long final dans la parc d’attraction est lui aussi bourrer d’intensiter , et sans chichi . si vous été decut de nikita qui viellit mal , et que long kiss goodnight est trop blockbusteriser pour vous , essayer hanna , un film qui brise les convention du genre , et tent mieux, le resulta et epatant , je pense que je ne pourrai que le revoir a la hausse, gros gros coup de cœur la . Saorise dechirre , putain mais faut pas l’oublier au oscar 2012 la , bana se tape un role trop classe , c’est un bonheur pour les yeux et les oreilles . un film plus astmospherique que substantiel , top 10 de l’anne sans probleme la .
adapt or die , my name is hanna , sorry, i missed your heart