[alinoé] Mes Critiques en 2011

Modérateur: Dunandan

Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Ven 29 Avr 2011, 06:56

Ténèbres c'est son film le plus vulgaire et celui où il y a les plus gros morceaux de bravoure.
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Baby Cart, l'enfant massacre vol.2 - 9/10

Messagepar alinoe » Sam 30 Avr 2011, 14:14

Baby Cart - vol. 2
L'Enfant massacre

Réalisé par Kenji Misumi

Avec Tomisaburo Wakayama, Akihiro Tomikawa, Kayo Matsuo, Akiji Kobayashi, Minoru Oki, Shin Kishida
Chambara, Japon,1h21 - 1972

9/10


Résumé : Devenu tueur à gages, Ittô Ogami offre ses services au plus offrant. Il est recruté par un clan pour retrouver et tuer un artisan teinturier dont les secrets qui ont fait la fortune du clan, sont convoités par le shôgunat. Dans le même temps, traqué par le clan Yagyu, il devra affronter des ninjas, des redoutables guerrières et surtout les sanguinaires frères Ben, Ten et Rai qui assurent la protection de l'artisan tant recherché...


Dans le deuxième opus de la saga Baby Cart, Kenji Misumi reprend les recettes qui ont fait le succès de l’épisode précédent et les amplifie, pour livrer une suite en tout point supérieure au Sabre de la vengeance. Le ton est donné dès la scène d’ouverture avec ce duel fulgurant, intense et d’une rare violence. En empruntant le chemin des morts et en entrant volontairement dans l’Enfer des damnés, Ogami Itto s’est engagé dans une véritable spirale de la violence, mettant son sabre au service de ceux qui payent ses compétences que leur demande soit honorable ou pas et combattant sans relâche contre tout ceux qui veulent l’anéantir pour obtenir les faveurs du clan Yagyu.

Les combats et les techniques se succèdent, dans un élan d’inventivité et sur un rythme endiablé. On remarque en premier lieu, ses clochettes qui résonnent et témoignent de la présence d’ennemis invisibles prêts à frapper à tout moment. Pour survivre Ogami Itto se doit d’être perpétuellement sur ses gardes, nul lieu n’est sur pour lui et son fils. En second lieu, on est littéralement scotché par cette scène à la limite du gore, dans laquelle des guerrières découpent un ninja et clouent son tronc sur le sol avec un sabre. On retient aussi, les vêtements de ces guerrières, dont les formes et les motifs désorientent l’adversaire pour mieux le réduire en charpie, ou encore la séquence du désert en tout point fascinante, avec ces tâches de sang qui se répandent sur le sable. Enfin, on découvre, ces trois frères, Ben Ten Rai, si barbares et si inoubliables que John Carpenter décida de leur rendre un magnifique hommage dans Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin. Trois personnages hors du commun, presque à la hauteur du Loup à l’enfant.


La fureur des combats et des moments de bravoures alternent avec la poésie des paysages et les moments d’intimité entre Ogami Itto et Daigoro. Une réelle complicité s’instaure entre le père et le fils qui se soutiennent dans l’adversité et se comprennent mutuellement. Daigoro est un prolongement de la détermination d’Itto et ses adversaires qui pensent qu’il est une faiblesse ou un handicap commettent une erreur fatale. Akihiro Tomikawa est impressionnant de naturel dans le rôle de Daigoro, tout à la fois émouvant et drôle. C’est aussi ça la force de la saga Baby Cart, d’avoir su faire de l’enfant, un personnage à part entière et intéressant et non pas un fardeau.

Un chambara furieux, sanglant et détonnant qui réussit à surpasser le premier opus, tant au niveau de l’histoire que de la virtuosité et de la sauvagerie des combats.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar francesco34 » Sam 30 Avr 2011, 16:05

J'ai plutôt bien aimé le premier... faudra que je trouve à voir celui-là :D
J'avais pris le 1 à la médiathèque vers chez moi, ils en ont plusieurs mais le 2 est manquant, on a dû leur abimer ou leur voler :x
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Sam 30 Avr 2011, 16:51

Magnifique les screens !!
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar alinoe » Dim 01 Mai 2011, 10:25

Bilan avril 2011

Films vus : 17 dont 13 découvertes.

Moyenne :6,9


Classement par pays

USA : 7
Italie : 6
Japon : 2
HK : 1
France : 1


Découvertes : 13

Cat Ballou: 7/10
Sucker Punch : 7/10
Morning Glory: 5,5/10
Numéro quatre : 3/10
Le Chat à neuf queues : 6,5/10
Inferno : 8/10
Les Frissons de l'angoisse : 8/10
27 robes : 4/10
Détective Dee, le mystère de la flamme fantôme : 9,5/10
Django : 7/10
Thor : 7/10
Ténèbres : 6/10
L’Oiseau au plumage de cristal : 6,5/10


Films revus : 4


Baby Cart - vol. 2 : l'enfant massacre : 9/10
Dix petits indiens : 8,5/10
Baby Cart - vol. 3 : dans la terre de l'ombre: 7/10
Iron Man : 8/10



Coups de coeur du mois

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Oiseau au plumage de Cristal (L') - 7/10

Messagepar alinoe » Lun 02 Mai 2011, 18:27

L'Oiseau au plumage de cristal

Réalisé par Dario Argento

Avec Tony Musante, Suzy Kendall, Enrico Maria Salerno, Eva Renzi
Giallo, Italie,1h38 - 1970

7/10

Résumé : Témoin d’une tentative de meurtre dans une galerie d’art, Sam Delmas, un écrivain américain de passage à Rome s’improvise détective et recherche l’identité du mystérieux agresseur.

Le premier film de Dario Argento est un « giallo » plutôt lent et assez « sage », à la violence souvent simplement suggérée, dans lequel il pose déjà les bases et les codes de ses futurs films : un étranger témoin d’un meurtre qui mène sa propre enquête, un tueur énigmatique aux mains gantées de noir, des meurtres à l’arme blanche, quelques plans subjectifs qui nous placent dans la position du tueur (notamment ces coups de rasoirs face caméra qui lacèrent presque l’écran), quelques gros plans sur le regard du tueur et une ville déserte la nuit.



La thématique de l’art est déjà omniprésente, puisque le personnage principal est un écrivain dont l’enquête le mène dans une galerie d’art moderne, chez un antiquaire, chez un peintre excentrique et inquiétant, dans un musée d’ornithologie… ou encore dans un zoo.

Comme ce sera souvent le cas dans la suite de la filmographie d’Argento, un indice crucial est disséminé dès le début du métrage, un indice qui devient une obsession et hante le héros. Le scénario s’appuie sur ce qui deviendra le thème fétiche du réalisateur : l’illusion et les apparences trompeuses.

En empruntant à l’écrivain Edgar Wallace, sa manie des titres énigmatiques, Dario Argento ajoute un brin de poésie et une aura de mystère à son film. Qui ne serait pas intrigué par un film qui s’intitule : « L’Oiseau au plumage de cristal ».

La mise en scène est déjà inventive, avec ses alternances de plans fixes pendant lesquels le temps se fige et de flashbacks qui envahissent les actes du quotidien, parfois aux moments les plus inattendus pour symboliser les réflexions du héros. Dario Argento joue sur les éclairages pour accentuer les contrastes du noir et du blanc et mettre en valeur le rouge couleur du sang. La séquence dans la galerie d’art est conçue comme un véritable tableau au cadrage parfait.
La musique semble dès ce premier film, une composante essentielle pour Argento. Signées par Ennio Morricone, les mélodies très éloignées de ce que l’on attend dans ce genre de film jouant du registre du suspens, de la tension et de l’angoisse, marquent les esprits par leur lyrisme.

Un premier film très prometteur qui n’est cependant pas exempt de défauts. L’intrigue est quelque peu brouillonne et confuse, avec beaucoup trop de longueurs, de personnages inutiles et peu développés, dès lors l’ennui pointe vers le milieu du métrage. Tous les acteurs sont vraiment médiocres, voire mauvais. Tony Musante qui interprète Sam Delmas, l’écrivain enquêteur, garde la même expression ahurie pendant tout le film, ce qui n’aide pas à s’attacher au personnage. Les actrices qui ont du être recrutées pour leur capacité à hurler de manière hystérique deviennent rapidement agaçantes, la palme revenant à Suzy Kendall qui interprète Julia, la compagne de Sam Delmas. Sa crise de panique et de terreur au moment où le tueur tente d’entrer dans son domicile est à la limite du ridicule. Cette séquence devrait susciter l’angoisse chez le spectateur, et non pas lui donner envie de rire aux éclats !!

L’Oiseau au plumage de cristal, malgré ses défauts, ouvre une nouvelle voie au « giallo » et marque les prémices de cette violence stylisée et esthétique dont Dario Argento deviendra le maître incontesté.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Lun 02 Mai 2011, 19:03

Argento a détesté travaillé avec Musante, il en garde un mauvais souvenir.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar alinoe » Lun 02 Mai 2011, 19:07

Ça ne m'étonne pas ! On a envie de lui mettre des baffes pendant tout le film, pour qu'il change un peu d'expression.
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Baby Cart, dans la terre de l'ombre vol.3 - 8/10

Messagepar alinoe » Mar 03 Mai 2011, 18:44

Baby Cart - vol. 3
Dans la terre de l'ombre

Réalisé par Kenji Misumi

Avec Tomisaburo Wakayama, Akihiro Tomikawa, Go Kato, Yuko Hama, Isao Yamagata
Chambara, Japon,1h29 - 1972

8/10


Résumé : Itto Ogami croise la route d’un samouraï devenu mercenaire. Ce dernier le défie mais Itto refuse le combat, s’apercevant que Kanbei, malgré sa déchéance continu de suivre la voie du Bushido. Peu après, il vient en aide à une jeune paysanne condamnée à la prostitution par un clan yakuza et accepte d’être torturé à mort, en échange de sa liberté...

Dans la terre de l’ombre est un épisode plus contemplatif, plus lent, moins marqué par la violence et les geysers de sang, dans lequel Misumi prend le temps de se pencher un peu plus, sur la personnalité d’Ogami Itto, d’exposer toute l’humanité d’un personnage tourmenté, bien plus souvent perçu comme une machine à tuer et de développer une réflexion amère sur la voie du samouraï et la corruption qui gangrène toute la société du Japon féodal, à travers les destins croisés du ronin Kanbei, d’une jeune femme vouée à devenir prostituée et de cette femme chef de gang, fille d’un samouraï déchu. Toute la complexité à suivre le code du Bushido transparaît dans cet épisode.

Le film est parsemé de moments bucoliques qui mettent le plus souvent Daigoro sur le devant de la scène. Comme cette très belle séquence où il observe les mystères de la nature et mime une grenouille qui fait des bulles. Quelques moments de calmes et d’apaisements dans une vie mouvementée qui permettent d’étoffer le personnage de l’enfant qui prend de plus en plus de consistance au fil des épisodes.

Pour autant les combats ne sont pas absents et ne manquent pas de férocité et de rage. La bataille finale contre tout un clan est magistrale : 1 homme, 1 enfant et 1 cart contre des dizaines de mousquets, d’archers et de sabres. C’est dans cet épisode que le cart révèle toute sa dimension de gadget James « Bondien ». On savait qu’il dissimulait quelques lances et poignards, mais il devient également un bouclier contre les flèches et les tires d’armes à feu, abrite une sorte de mitraillette et des bâtons de dynamite.

Ce troisième épisode est aussi un bien bel hommage de Kenji Misumi au Western et plus particulièrement au Western Spaghetti, avec ces quelques gros plans sur les visages et les regards, cette séance d’entraînement au tire dans la plus pure tradition du genre, ce décor de sable qui n’est pas sans rappeler le désert, ou encore ces colts utilisés par des samouraïs.

Un épisode légèrement moins intense, mais qui incite plus à la réflexion que les deux précédents dans lequel on retrouve avec toujours autant de plaisir le personnage du Loup à l’enfant.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Mar 03 Mai 2011, 19:23

tin ben la serie baby cart se paye de bonne critique bien complete et vaste dans la ref de BOM maintenant :super: :love:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Scalp » Mar 03 Mai 2011, 19:34

C'est cool quand je vais me refaire la série j'aurais plein de screen à piquer :mrgreen:
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Princesse Bride - 9/10

Messagepar alinoe » Jeu 05 Mai 2011, 19:03

The Princess Bride

Réalisé par Rob Reiner

Avec Cary Elwes, robin Wright, Mandy Patinkin, Chris Sarandon, Peter Falk, Fred Savage, Christopher guest, Billy Crystal
Fantasy, USA,1h38 - 1987

9/10


Résumé : Cloué au lit par la grippe, un petit garçon accepte à contre-coeur que son grand-père lui raconte une histoire de princesse...

Le film de Rob Reiner est une adaptation en tout point réussie du roman de fantasy de William Goldman. Un vrai film coup de cœur capable de générer une bonne humeur communicative. Un must dans la catégorie de ces films qui racontent une histoire dans l’histoire.


Ce petit garçon quelque peu blasé, plus habitué aux jeux vidéo qu’à la lecture, c’est le miroir dans lequel se reflète le spectateur qui a déjà tout vu et qui trouve que cette histoire de princesse laisse une impression de déjà-vu avec ses personnages stéréotypés…. Et puis, comme cet enfant, il se fait berner par l’art de ce grand-père (et donc du scénariste), de détourner les codes de ces genres éculés que sont le conte de fées et le film de cape et d’épée, pour en faire un pastiche anachronique, bourré d’inventivité, aux dialogues ciselés et aux rebondissements improbables et inattendus. Un bon conteur et un bon scénariste doivent savoir manier l’art de surprendre et de tenir en haleine leur public, même si celui-ci sait que le conte se termine invariablement par l’incontournable : « Happily ever after ». Derrière son aspect de comédie ironique et délirante, le film met en avant un talent essentiel et précieux à mes yeux, celui du conteur : même l’histoire la plus convenue, la plus banale, peut devenir palpitante et rocambolesque, si celui qui la narre y met toute sa passion. Le personnage du grand père incarné par Peter Falk est un bien bel hommage à tout ces conteurs, ces écrivains, ces scénaristes qui consacrent leur temps à faire vivre des histoires pour le plus grand plaisir du public.


Prenez un conte classique avec une jolie princesse naïve comme il se doit, ajoutez une valet de ferme amoureux de la dites princesse qui devient un pirate redouté de tous, au look très Zorro, un géant plus poète que redoutable, l’incontournable scène de sables mouvants des films d’aventures, quelques monstres, un prince narcissique, arrogant, aux talents de limier, un homme de main à six doigts, une fine lame espagnole, agrémentez de duels dignes des meilleurs Swashbuckler, avec joutes verbales courtoises, parades et bottes secrètes, d’un zest de magie avec un couple de sorciers décatis, d’un soupçon de torture inventive, d’un duel de cerveaux autour d’une coupe empoisonnée, d’une attaque de château où disposer d’une brouette devient un atout indéniable, saupoudrez d’une bonne dose d’humour et de quelques miracles au nom de l’amour véritable et vous obtenez la recette de Princess Bride, un conte fantaisiste, une comédie ironique qui explose les codes du genre pour mieux les réinventer, d’ailleurs, le film commence pratiquement par le baiser final !

Rob Reiner et William Goldman, nous livre leurs secrets pour transformer un conte romantique gnan gnan, en épopée surprenante. Car, la première fois que l’on visionne ce film, on ne sait jamais, ce qu’il adviendra dans la scène suivante, tout au plus peut-on deviner un « happy end » final, mais les péripéties qui conduiront à cette incontournable conclusion, sont impossibles à imaginer, tant le narrateur fait preuve d’ingéniosité. Ce film réconcilie toute la famille avec les histoires de princesses, en ajoutant tout ce qui fait le sel de l'aventure, les pirates, les géants, les combats à l'épée façon Errol Flynn, un prince bien retors...pour les plus jeunes et le côté satirique et rocambolesque pour les parents. Un hommage parodique à l’humour décalé, mais jamais grossier. Nul besoin de rot ou de pet pour faire rire et emporter l’adhésion des enfants et des parents.


Cette histoire de princesse, à nulle autre pareille, doit aussi son succès à des interprétations inspirées. Peter Falk excelle dans le rôle du grand-père narrateur et Fred Savage est parfait dans le rôle de ce jeune garçon dubitatif face à cette histoire de princesse. Robin Wright joue très sérieusement son rôle de princesse Bouton d’Or, alors que tous les autres acteurs jouent avec délectation sur un registre satirique ce qui accentue les effets comiques de toutes ces aventures. On retiendra surtout les prestations de Chris Sarandon vil à souhait dans le rôle du prince machiavélique et Mandy Patinkin, fabuleux en escrimeur espagnol, à la réplique devenue culte : « Bonjour. Je m’appelle Inigo Montoya. Tu as tué mon père. Prépares toi à mourir ».

Ajoutez des décors en cartons pâtes au charme désuet qui alternent avec de splendides décors naturels, une musique envoutante et vous obtenez un film simple et pétillant de drôlerie, dans la lignée duquel s’inscrivent avec plus ou moins de réussite Il était une fois et surtout Stardust .

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Jeu 05 Mai 2011, 22:17

bon je dirait rien sur enchanted hein :nono: mais ouai stardust a bien remit un coup de neuf dans le genre :love: pas revue depui un bail bride mais j ai toujour delirer et bcp aimer :super:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar alinoe » Ven 06 Mai 2011, 06:00

D'où ma phrase : "plus ou moins réussi". Le plus réussi concernant effectivement Stardust que j'apprécie autant que Princess Bride et le moins réussi concernant Enchanted. :wink:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2011

Messagepar Heatmann » Ven 06 Mai 2011, 07:36

ah bah j avai encore lue a la vas vite quoi :oops: :super:
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